Ăchellede douleur ; Niveaux scolaires. Ăcole Maternelle + Petite section (et TPS) Moyenne section ActivitĂ© pour travailler la lecture de phrases avec les Ă©lĂšves du 1er cycle. L'enfant doit 1,05 ⏠Ajouter au panier. Ajouter aux favoris.
Zola Germinal PREMIERE PARTIE I, I Dans la plaine rase, sous la nuit sans Ă©toiles, d'une obscuritĂ© et d'une Ă©paisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes Ă Montsou, dix kilomĂštres de pavĂ© coupant tout droit, Ă travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait mĂÂȘme pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacĂ©es d'avoir balayĂ© des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d'arbre ne tachait le ciel, le pavĂ© se dĂ©roulait avec la rectitude d'une jetĂ©e, au milieu de l'embrun aveuglant des tĂ©nĂšbres. L'homme Ă©tait parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongĂ©, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, nouĂ© dans un mouchoir Ă carreaux, le gĂÂȘnait beaucoup; et il le serrait contre ses flancs, tantĂÂŽt d'un coude, tantĂÂŽt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains Ă la fois, des mains gourdes que les laniĂšres du vent d'est faisaient saigner. Une seule idĂ©e occupait sa tĂÂȘte vide d'ouvrier sans travail et sans gĂte, l'espoir que le froid serait moins vif aprĂšs le lever du jour. Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche Ă deux kilomĂštres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brĂ»lant au plein air, et comme suspendus. D'abord, il hĂ©sita, pris de crainte; puis, il ne put rĂ©sister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains. Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparut. L'homme avait Ă droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrĂ©e; tandis qu'un talus d'herbe s'Ă©levait Ă gauche, surmontĂ© de pignons confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, Ă un coude du chemin, les feux reparurent prĂšs de lui, sans qu'il comprĂt davantage comment ils brĂ»laient si haut dans le ciel mort, pareils Ă des lunes fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l'arrĂÂȘter. C'Ă©tait une masse lourde, un tas Ă©crasĂ© de constructions, d'oĂÂč se dressait la silhouette d'une cheminĂ©e d'usine; de rares lueurs sortaient des fenĂÂȘtres encrassĂ©es, cinq ou six lanternes tristes Ă©taient pendues dehors, Ă des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de trĂ©teaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyĂ©e de nuit et de fumĂ©e, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d'un Ă©chappement de vapeur, qu'on ne voyait point. Alors, l'homme reconnut une fosse. Il fut repris de honte Ă quoi bon? il n'y aurait pas de travail. Au lieu de se diriger vers les bĂÂątiments, il se risqua enfin Ă gravir le terri sur lequel brĂ»laient les trois feux de houille, dans des corbeilles de fonte, pour Ă©clairer et rĂ©chauffer la besogne. Les ouvriers de la coupe Ă terre avaient dĂ» travailler tard, on sortait encore les dĂ©bris inutiles. Maintenant, il entendait les moulineurs pousser les trains sur les trĂ©teaux, il distinguait des ombres vivantes culbutant les berlines, prĂšs de chaque feu. - Bonjour, dit-il en s'approchant d'une des corbeilles. Tournant le dos au brasier, le charretier Ă©tait debout, un vieillard vĂÂȘtu d'un tricot de laine violette, coiffĂ© d'une casquette en poil de lapin; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilitĂ© de pierre, qu'on eĂ»t vidĂ© les six berlines montĂ©es par lui. Le manoeuvre employĂ© au culbuteur, un gaillard roux et efflanquĂ©, ne se pressait guĂšre, pesait sur le levier d'une main endormie. Et, lĂ -haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines rĂ©guliĂšres passaient comme des coups de faux. - Bonjour, rĂ©pondit le vieux. Un silence se fit. L'homme, qui se sentait regardĂ© d'un oeil mĂ©fiant, dit son nom tout de suite. - Je me nomme Etienne Lantier, je suis machineur... Il n'y a pas de travail ici? Les flammes l'Ă©clairaient, il devait avoir vingt et un ans, trĂšs brun, joli homme, l'air fort malgrĂ© ses membres menus. RassurĂ©, le charretier hochait la tĂÂȘte. - Du travail pour un machineur, non, non... Il s'en est encore prĂ©sentĂ© deux hier. Il n'y a rien. Une rafale leur coupa la parole. Puis, Etienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terri - C'est une fosse, n'est-ce pas? Le vieux, cette fois, ne put rĂ©pondre. Un violent accĂšs de toux l'Ă©tranglait. Enfin, il cracha, et son crachat, sur le sol empourprĂ©, laissa une tache noire. - Oui, une fosse, le Voreux... Tenez! le coron est tout prĂšs. A son tour, de son bras tendu, il dĂ©signait dans la nuit le village dont le jeune homme avait devinĂ© les toitures. Mais les six berlines Ă©taient vides, il les suivit sans un claquement de fouet, les jambes raidies par des rhumatismes; tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourrasque, qui lui hĂ©rissait le poil. Le Voreux, Ă prĂ©sent, sortait du rĂÂȘve. Etienne, qui s'oubliait devant le brasier Ă chauffer ses pauvres mains saignantes, regardait, retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar goudronnĂ© du criblage, le beffroi du puits, la vaste chambre de la machine d'extraction, la tourelle carrĂ©e de la pompe d'Ă©puisement. Cette fosse, tassĂ©e au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminĂ©e comme une corne menaçante, lui semblait avoir un air mauvais de bĂÂȘte goulue, accroupie lĂ pour manger le monde. Tout en l'examinant, il songeait Ă lui, Ă son existence de vagabond, depuis huit jours qu'il cherchait une place; il se revoyait dans son atelier du chemin de fer, giflant son chef, chassĂ© de Lille, chassĂ© de partout; le samedi, il Ă©tait arrivĂ© Ă Marchiennes, oĂÂč l'on disait qu'il y avait du travail, aux Forges; et rien, ni aux Forges, ni chez Sonneville, il avait dĂ» passer le dimanche cachĂ© sous les bois d'un chantier de charronnage, dont le surveillant venait de l'expulser, Ă deux heures de la nuit. Rien, plus un sou, pas mĂÂȘme une croĂ»te qu'allait-il faire ainsi par les chemins, sans but, ne sachant seulement oĂÂč s'abriter contre la bise? Oui, c'Ă©tait bien une fosse, les rares lanternes Ă©clairaient le carreau, une porte brusquement ouverte lui avait permis d'entrevoir les foyers des gĂ©nĂ©rateurs, dans une clartĂ© vive. Il s'expliquait jusqu'Ă l'Ă©chappement de la pompe, cette respiration grosse et longue, soufflant sans relĂÂąche, qui Ă©tait comme l'haleine engorgĂ©e du monstre. Le manoeuvre du culbuteur, gonflant le dos, n'avait pas mĂÂȘme levĂ© les yeux sur Etienne, et celui-ci allait ramasser son petit paquet tombĂ© Ă terre, lorsqu'un accĂšs de toux annonça le retour du charretier. Lentement, on le vit sortir de l'ombre, suivi du cheval jaune, qui montait six nouvelles berlines pleines. - Il y a des fabriques Ă Montsou? demanda le jeune homme. Le vieux cracha noir, puis rĂ©pondit dans le vent - Oh! ce ne sont pas les fabriques qui manquent. Fallait voir ça, il y a trois ou quatre ans! Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, jamais on n'avait tant gagnĂ©... Et voilĂ qu'on se remet Ă se serrer le ventre. Une vraie pitiĂ© dans le pays, on renvoie le monde, les ateliers ferment les uns aprĂšs les autres... Ce n'est peut-ĂÂȘtre pas la faute de l'empereur; mais pourquoi va-t-il se battre en AmĂ©rique? Sans compter que les bĂÂȘtes meurent du cholĂ©ra, comme les gens. Alors, en courtes phrases, l'haleine coupĂ©e, tous deux continuĂšrent Ă se plaindre. Etienne racontait ses courses inutiles depuis une semaine; il fallait donc crever de faim? BientĂÂŽt les routes seraient pleines de mendiants. Oui, disait le vieillard, ça finirait par mal tourner, car il n'Ă©tait pas Dieu permis de jeter tant de chrĂ©tiens Ă la rue. - On n'a pas de la viande tous les jours. - Encore si l'on avait du pain! - C'est vrai, si l'on avait du pain seulement! Leurs voix se perdaient, des bourrasques emportaient les mots dans un hurlement mĂ©lancolique. - Tenez! reprit trĂšs haut le charretier en se tournant vers le midi, Montsou est lĂ ... Et, de sa main tendue de nouveau, il dĂ©signa dans les tĂ©nĂšbres des points invisibles, Ă mesure qu'il les nommait. LĂ -bas, Ă Montsou, la sucrerie Fauvelle marchait encore, mais la sucrerie Hoton venait de rĂ©duire son personnel, il n'y avait guĂšre que la minoterie Dutilleul et la corderie Bleuze pour les cĂÂąbles de mine, qui tinssent le coup. Puis, d'un geste large, il indiqua, au nord, toute une moitiĂ© de l'horizon les ateliers de construction Sonneville n'avaient pas reçu les deux tiers de leurs commandes habituelles; sur les trois hauts fourneaux des Forges de Marchiennes, deux seulement Ă©taient allumĂ©s; enfin, Ă la verrerie Gagebois, une grĂšve menaçait, car on parlait d'une rĂ©duction de salaire. - Je sais, je sais, rĂ©pĂ©tait le jeune homme Ă chaque indication. J'en viens. - Nous autres, ça va jusqu'Ă prĂ©sent, ajouta le charretier. Les fosses ont pourtant diminuĂ© leur extraction. Et regardez, en face, Ă la Victoire, il n'y a aussi que deux batteries de fours Ă coke qui flambent. Il cracha, il repartit derriĂšre son cheval somnolent, aprĂšs l'avoir attelĂ© aux berlines vides. Maintenant, Etienne dominait le pays entier. Les tĂ©nĂšbres demeuraient profondes, mais la main du vieillard les avait comme emplies de grandes misĂšres, que le jeune homme, inconsciemment, sentait Ă cette heure autour de lui, partout, dans l'Ă©tendue sans bornes. N'Ă©tait-ce pas un cri de famine que roulait le vent de mars, au travers de cette campagne nue? Les rafales s'Ă©taient enragĂ©es, elles semblaient apporter la mort du travail, une disette qui tuerait beaucoup d'hommes. Et, les yeux errants, il s'efforçait de percer les ombres, tourmentĂ© du dĂ©sir et de la peur de voir. Tout s'anĂ©antissait au fond de l'inconnu des nuits obscures, il n'apercevait, trĂšs loin, que les hauts fourneaux et les fours Ă coke. Ceux-ci, des batteries de cent cheminĂ©es, plantĂ©es obliquement, alignaient des rampes de flammes rouges; tandis que les deux tours, plus Ă gauche, brĂ»laient toutes bleues en plein ciel, comme des torches gĂ©antes. C'Ă©tait d'une tristesse d'incendie, il n'y avait d'autres levers d'astres, Ă l'horizon menaçant, que ces feux nocturnes des pays de la houille et du fer. - Vous ĂÂȘtes peut-ĂÂȘtre de la Belgique? reprit derriĂšre Etienne le charretier, qui Ă©tait revenu. Cette fois, il n'amenait que trois berlines. On pouvait toujours culbuter celles-lĂ un accident arrivĂ© Ă la cage d'extraction, un Ă©crou cassĂ©, allait arrĂÂȘter le travail pendant un grand quart d'heure. En bas du terri, un silence s'Ă©tait fait, les moulineurs n'Ă©branlaient plus les trĂ©teaux d'un roulement prolongĂ©. On entendait seulement sortir de la fosse le bruit lointain d'un marteau, tapant sur de la tĂÂŽle. - Non, je suis du Midi, rĂ©pondit le jeune homme. Le manoeuvre, aprĂšs avoir vidĂ© les berlines, s'Ă©tait assis Ă terre, heureux de l'accident; et il gardait sa sauvagerie muette, il avait simplement levĂ© de gros yeux Ă©teints sur le charretier, comme gĂÂȘnĂ© par tant de paroles. Ce dernier, en effet, n'en disait pas si long d'habitude. Il fallait que le visage de l'inconnu lui convĂnt et qu'il fĂ»t pris d'une de ces dĂ©mangeaisons de confidences, qui font parfois causer les vieilles gens tout seuls, Ă haute voix. - Moi, dit-il, je suis de Montsou, je m'appelle Bonnemort. - C'est un surnom? demanda Etienne Ă©tonnĂ©. Le vieux eut un ricanement d'aise, et montrant le Voreux - Oui, oui... On m'a retirĂ© trois fois de lĂ -dedans en morceaux, une fois avec tout le poil roussi, une autre avec de la terre jusque dans le gĂ©sier, la troisiĂšme avec le ventre gonflĂ© d'eau comme une grenouille... Alors, quand ils ont vu que je ne voulais pas crever, ils m'ont appelĂ© Bonnemort, pour rire. Sa gaietĂ© redoubla, un grincement de poulie mal graissĂ©e, qui finit par dĂ©gĂ©nĂ©rer en un accĂšs terrible de toux. La corbeille de feu, maintenant, Ă©clairait en plein sa grosse tĂÂȘte, aux cheveux blancs et rares, Ă la face plate, d'une pĂÂąleur livide, maculĂ©e de taches bleuĂÂątres. Il Ă©tait petit, le cou Ă©norme, les mollets et les talons en dehors, avec de longs bras dont les mains carrĂ©es tombaient Ă ses genoux. Du reste, comme son cheval qui demeurait immobile sur les pieds, sans paraĂtre souffrir du vent, il semblait en pierre, il n'avait l'air de se douter ni du froid ni des bourrasques sifflant Ă ses oreilles. Quand il eut toussĂ©, la gorge arrachĂ©e par un raclement profond, il cracha au pied de la corbeille, et la terre noircit. Etienne le regardait, regardait le sol qu'il tachait de la sorte. - Il y a longtemps, reprit-il, que vous travaillez Ă la mine? Bonnemort ouvrit tout grands les deux bras. - Longtemps, ah! oui!... Je n'avais pas huit ans, lorsque je suis descendu, tenez! juste dans le Voreux, et j'en ai cinquante-huit, Ă cette heure. Calculez un peu... J'ai tout fait lĂ -dedans, galibot d'abord, puis herscheur, quand j'ai eu la force de rouler, puis haveur pendant dix-huit ans. Ensuite, Ă cause de mes sacrĂ©es jambes, ils m'ont mis de la coupe Ă terre, remblayeur, raccommodeur, jusqu'au moment oĂÂč il leur a fallu me sortir du fond, parce que le mĂ©decin disait que j'allais y rester. Alors, il y a cinq annĂ©es de cela, ils m'ont fait charretier... Hein? c'est joli, cinquante ans de mine, dont quarante-cinq au fond! Tandis qu'il parlait, des morceaux de houille enflammĂ©s, qui, par moments, tombaient de la corbeille, allumaient sa face blĂÂȘme d'un reflet sanglant. - Ils me disent de me reposer, continua-t-il. Moi, je ne veux pas, ils me croient trop bĂÂȘte!... J'irai bien deux annĂ©es, jusqu'Ă ma soixantaine, pour avoir la pension de cent quatre-vingts francs. Si je leur souhaitais le bonsoir aujourd'hui, ils m'accorderaient tout de suite celle de cent cinquante. Ils sont malins, les bougres!... D'ailleurs, je suis solide, Ă part les jambes. C'est, voyez-vous, l'eau qui m'est entrĂ©e sous la peau, Ă force d'ĂÂȘtre arrosĂ© dans les tailles. Il y a des jours oĂÂč je ne peux pas remuer une patte sans crier. Une crise de toux l'interrompit encore. - Et ça vous fait tousser aussi? dit Etienne. Mais il rĂ©pondit non de la tĂÂȘte, violemment. Puis, quand il put parler - Non, non, je me suis enrhumĂ©, l'autre mois. Jamais je ne toussais, Ă prĂ©sent je ne peux plus me dĂ©barrasser... Et le drĂÂŽle, c'est que je crache, c'est que je crache... Un raclement monta de sa gorge, il cracha noir. - Est-ce que c'est du sang? demanda Etienne, osant enfin le questionner. Lentement, Bonnemort s'essuyait la bouche d'un revers de main. - C'est du charbon... J'en ai dans la carcasse de quoi me chauffer jusqu'Ă la fin de mes jours. Et voilĂ cinq ans que je ne remets pas les pieds au fond. J'avais ça en magasin, paraĂt-il, sans mĂÂȘme m'en douter. Bah! ça conserve! Il y eut un silence, le marteau lointain battait Ă coups rĂ©guliers dans la fosse, le vent passait avec sa plainte, comme un cri de faim et de lassitude venu des profondeurs de la nuit. Devant les flammes qui s'effaraient, le vieux continuait plus bas, remĂÂąchant des souvenirs. Ah! bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas d'hier que lui et les siens tapaient Ă la veine! La famille travaillait pour la Compagnie des mines de Montsou, depuis la crĂ©ation; et cela datait de loin, il y avait dĂ©jĂ cent six ans. Son aĂÂŻeul, Guillaume Maheu, un gamin de quinze ans alors, avait trouvĂ© le charbon gras Ă RĂ©quillart, la premiĂšre fosse de la Compagnie, une vieille fosse aujourd'hui abandonnĂ©e, lĂ -bas, prĂšs de la sucrerie Fauvelle. Tout le pays le savait, Ă preuve que la veine dĂ©couverte s'appelait la veine Guillaume, du prĂ©nom de son grand-pĂšre. Il ne l'avait pas connu, un gros Ă ce qu'on racontait, trĂšs fort, mort de vieillesse Ă soixante ans. Puis, son pĂšre, Nicolas Maheu dit le Rouge, ĂÂągĂ© de quarante ans Ă peine, Ă©tait restĂ© dans le Voreux, que l'on fonçait en ce temps-lĂ un Ă©boulement, un aplatissement complet, le sang bu et les os avalĂ©s par les roches. Deux de ses oncles et ses trois frĂšres, plus tard, y avaient aussi laissĂ© leur peau. Lui, Vincent Maheu, qui en Ă©tait sorti Ă peu prĂšs entier, les jambes mal d'aplomb seulement, passait pour un malin. Quoi faire, d'ailleurs? Il fallait travailler. On faisait ça de pĂšre en fils, comme on aurait fait autre chose. Son fils, Toussaint Maheu, y crevait maintenant, et ses petits-fils, et tout son monde, qui logeait en face, dans le coron. Cent six ans d'abattage, les mioches aprĂšs les vieux, pour le mĂÂȘme patron hein? beaucoup de bourgeois n'auraient pas su dire si bien leur histoire! - Encore, lorsqu'on mange! murmura de nouveau Etienne. - C'est ce que je dis, tant qu'on a du pain Ă manger, on peut vivre. Bonnemort se tut, les yeux tournĂ©s vers le coron, oĂÂč des lueurs s'allumaient une Ă une. Quatre heures sonnaient au clocher de Montsou, le froid devenait plus vif. - Et elle est riche, votre Compagnie? reprit Etienne. Le vieux haussa les Ă©paules, puis les laissa retomber, comme accablĂ© sous un Ă©croulement d'Ă©cus. - Ah! oui, ah! oui... Pas aussi riche peut-ĂÂȘtre que sa voisine, la Compagnie d'Anzin. Mais des millions et des millions tout de mĂÂȘme. On ne compte plus... Dix-neuf fosses, dont treize pour l'exploitation, le Voreux, la Victoire, CrĂšvecoeur, Mirou, Saint-Thomas, Madeleine, Feutry-Cantel, d'autres encore, et six pour l'Ă©puisement ou l'aĂ©rage, comme RĂ©quillart... Dix mille ouvriers, des concessions qui s'Ă©tendent sur soixante-sept communes, une extraction de cinq mille tonnes par jour, un chemin de fer reliant toutes les fosses, et des ateliers, et des fabriques!... Ah! oui, ah! oui, il y en a, de l'argent! Un roulement de berlines, sur les trĂ©teaux, fit dresser les oreilles du gros cheval jaune. En bas, la cage devait ĂÂȘtre rĂ©parĂ©e, les moulineurs avaient repris leur besogne. Pendant qu'il attelait sa bĂÂȘte, pour redescendre, le charretier ajouta doucement, en s'adressant Ă elle - Faut pas t'habituer Ă bavarder, fichu paresseux!... Si monsieur Hennebeau savait Ă quoi tu perds le temps! Etienne, songeur, regardait la nuit. Il demanda - Alors, c'est Ă monsieur Hennebeau, la mine? - Non, expliqua le vieux, monsieur Hennebeau n'est que le directeur gĂ©nĂ©ral. Il est payĂ© comme nous. D'un geste, le jeune homme montra l'immensitĂ© des tĂ©nĂšbres. - A qui est-ce donc, tout ça? Mais Bonnemort resta un instant suffoquĂ© par une nouvelle crise, d'une telle violence, qu'il ne pouvait reprendre haleine. Enfin, quand il eut crachĂ© et essuyĂ© l'Ă©cume noire de ses lĂšvres, il dit, dans le vent qui redoublait - Hein? Ă qui tout ça?... On n'en sait rien. A des gens. Et, de la main, il dĂ©signait dans l'ombre un point vague, un lieu ignorĂ© et reculĂ©, peuplĂ© de ces gens, pour qui les Maheu tapaient Ă la veine depuis plus d'un siĂšcle. Sa voix avait pris une sorte de peur religieuse, c'Ă©tait comme s'il eĂ»t parlĂ© d'un tabernacle inaccessible, oĂÂč se cachait le dieu repu et accroupi, auquel ils donnaient tous leur chair, et qu'ils n'avaient jamais vu. - Au moins si l'on mangeait du pain Ă sa suffisance! rĂ©pĂ©ta pour la troisiĂšme fois Etienne, sans transition apparente. - Dame, oui! si l'on mangeait toujours du pain, ça serait trop beau! Le cheval Ă©tait parti, le charretier disparut Ă son tour, d'un pas traĂnard d'invalide. PrĂšs du culbuteur, le manoeuvre n'avait point bougĂ©, ramassĂ© en boule, enfonçant le menton entre ses genoux, fixant sur le vide ses gros yeux Ă©teints. Quand il eut repris son paquet, Etienne ne s'Ă©loigna pas encore. Il sentait les rafales lui glacer le dos, pendant que sa poitrine brĂ»lait, devant le grand feu. Peut-ĂÂȘtre, tout de mĂÂȘme, ferait-il bien de s'adresser Ă la fosse le vieux pouvait ne pas savoir; puis, il se rĂ©signait, il accepterait n'importe quelle besogne. OĂÂč aller et que devenir, Ă travers ce pays affamĂ© par le chĂÂŽmage? Laisser derriĂšre un mur sa carcasse de chien perdu? Cependant, une hĂ©sitation le troublait, une peur du Voreux, au milieu de cette plaine rase, noyĂ©e sous une nuit si Ă©paisse. A chaque bourrasque, le vent paraissait grandir, comme s'il eĂ»t soufflĂ© d'un horizon sans cesse Ă©largi. Aucune aube ne blanchissait dans le ciel mort, les hauts fourneaux seuls flambaient, ainsi que les fours Ă coke, ensanglantant les tĂ©nĂšbres, sans en Ă©clairer l'inconnu. Et le Voreux, au fond de son trou, avec son tassement de bĂÂȘte mĂ©chante, s'Ă©crasait davantage, respirait d'une haleine plus grosse et plus longue, l'air gĂÂȘnĂ© par sa digestion pĂ©nible de chair humaine. I, II Au milieu des champs de blĂ© et de betteraves, le coron des Deux-Cent-Quarante dormait sous la nuit noire. On distinguait vaguement les quatre immenses corps de petites maisons adossĂ©es, des corps de caserne ou d'hĂÂŽpital, gĂ©omĂ©triques, parallĂšles, que sĂ©paraient les trois larges avenues, divisĂ©es en jardins Ă©gaux. Et, sur le plateau dĂ©sert, on entendait la seule plainte des rafales, dans les treillages arrachĂ©s des clĂÂŽtures. Chez les Maheu, au numĂ©ro 16 du deuxiĂšme corps, rien ne bougeait. Des tĂ©nĂšbres Ă©paisses noyaient l'unique chambre du premier Ă©tage, comme Ă©crasant de leur poids le sommeil des ĂÂȘtres que l'on sentait lĂ , en tas, la bouche ouverte, assommĂ©s de fatigue. MalgrĂ© le froid vif du dehors, l'air alourdi avait une chaleur vivante, cet Ă©touffement chaud des chambrĂ©es les mieux tenues, qui sentent le bĂ©tail humain. Quatre heures sonnĂšrent au coucou de la salle du rez-de-chaussĂ©e, rien encore ne remua, des haleines grĂÂȘles sifflaient, accompagnĂ©es de deux ronflements sonores. Et brusquement, ce fut Catherine qui se leva. Dans sa fatigue, elle avait, par habitude, comptĂ© les quatre coups du timbre, Ă travers le plancher, sans trouver la force de s'Ă©veiller complĂštement. Puis, les jambes jetĂ©es hors des couvertures, elle tĂÂątonna, frotta enfin une allumette et alluma la chandelle. Mais elle restait assise, la tĂÂȘte si pesante, qu'elle se renversait entre les deux Ă©paules, cĂ©dant au besoin invincible de retomber sur le traversin. Maintenant, la chandelle Ă©clairait la chambre, carrĂ©e, Ă deux fenĂÂȘtres, que trois lits emplissaient. Il y avait une armoire, une table, deux chaises de vieux noyer, dont le ton fumeux tachait durement les murs, peints en jaune clair. Et rien autre, des hardes pendues Ă des clous, une cruche posĂ©e sur le carreau, prĂšs d'une terrine rouge servant de cuvette. Dans le lit de gauche, Zacharie, l'aĂnĂ©, un garçon de vingt et un ans, Ă©tait couchĂ© avec son frĂšre Jeanlin, qui achevait sa onziĂšme annĂ©e; dans celui de droite, deux mioches, LĂ©nore et Henri, la premiĂšre de six ans, le second de quatre, dormaient aux bras l'un de l'autre; tandis que Catherine partageait le troisiĂšme lit avec sa soeur Alzire, si chĂ©tive pour ses neuf ans, qu'elle ne l'aurait mĂÂȘme pas sentie prĂšs d'elle, sans la bosse de la petite infirme qui lui enfonçait les cĂÂŽtes. La porte vitrĂ©e Ă©tait ouverte, on apercevait le couloir du palier, l'espĂšce de boyau oĂÂč le pĂšre et la mĂšre occupaient un quatriĂšme lit, contre lequel ils avaient dĂ» installer le berceau de la derniĂšre venue, Estelle, ĂÂągĂ©e de trois mois Ă peine. Cependant, Catherine fit un effort dĂ©sespĂ©rĂ©. Elle s'Ă©tirait, elle crispait ses deux mains dans ses cheveux roux, qui lui embroussaillaient le front et la nuque. Fluette pour ses quinze ans, elle ne montrait de ses membres, hors du fourreau Ă©troit de sa chemise, que des pieds bleuis, comme tatouĂ©s de charbon, et des bras dĂ©licats, dont la blancheur de lait tranchait sur le teint blĂÂȘme du visage, dĂ©jĂ gĂÂątĂ© par les continuels lavages au savon noir. Un dernier bĂÂąillement ouvrit sa bouche un peu grande, aux dents superbes dans la pĂÂąleur chlorotique des gencives; pendant que ses yeux gris pleuraient de sommeil combattu, avec une expression douloureuse et brisĂ©e, qui semblait enfler de fatigue sa nuditĂ© entiĂšre. Mais un grognement arriva du palier, la voix de Maheu bĂ©gayait, empĂÂątĂ©e - SacrĂ© nom! il est l'heure... C'est toi qui allumes, Catherine? - Oui, pĂšre... Ca vient de sonner, en bas. - DĂ©pĂÂȘche-toi donc, fainĂ©ante! Si tu avais moins dansĂ© hier dimanche, tu nous aurais rĂ©veillĂ©s plus tĂÂŽt... En voilĂ une vie de paresse! Et il continua de gronder, mais le sommeil le reprit Ă son tour, ses reproches s'embarrassĂšrent, s'Ă©teignirent dans un nouveau ronflement. La jeune fille, en chemise, pieds nus sur le carreau, allait et venait par la chambre. Comme elle passait devant le lit d'Henri et de LĂ©nore, elle rejeta sur eux la couverture, qui avait glissĂ©; et ils ne s'Ă©veillaient pas, anĂ©antis dans le gros sommeil de l'enfance. Alzire, les yeux ouverts, s'Ă©tait retournĂ©e pour prendre la place chaude de sa grande soeur, sans prononcer un mot. - Dis donc, Zacharie! et toi, Jeanlin, dis donc! rĂ©pĂ©tait Catherine, debout devant les deux frĂšres, qui restaient vautrĂ©s, le nez dans le traversin. Elle dut saisir le grand par l'Ă©paule et le secouer; puis, tandis qu'il mĂÂąchait des injures, elle prit le parti de les dĂ©couvrir, en arrachant le drap. Cela lui parut drĂÂŽle, elle se mit Ă rire, lorsqu'elle vit les deux garçons se dĂ©battre, les jambes nues. - C'est bĂÂȘte, lĂÂąche-moi! grogna Zacharie de mĂ©chante humeur, quand il se fut assis. Je n'aime pas les farces... Dire, nom de Dieu! qu'il faut se lever! Il Ă©tait maigre, dĂ©gingandĂ©, la figure longue, salie de quelques rares poils de barbe, avec les cheveux jaunes et la pĂÂąleur anĂ©mique de toute la famille. Sa chemise lui remontait au ventre, et il la baissa, non par pudeur, mais parce qu'il n'avait pas chaud. - C'est sonnĂ© en bas, rĂ©pĂ©tait Catherine. Allons, houp! le pĂšre se fĂÂąche. Jeanlin, qui s'Ă©tait pelotonnĂ©, referma les yeux, en disant - Va te faire fiche, je dors! Elle eut un nouveau rire de bonne fille. Il Ă©tait si petit, les membres grĂÂȘles, avec des articulations Ă©normes, grossies par des scrofules, qu'elle le prit, Ă pleins bras. Mais il gigotait, son masque de singe blafard et crĂ©pu, trouĂ© de ses yeux verts, Ă©largi par ses grandes oreilles, pĂÂąlissait de la rage d'ĂÂȘtre faible. Il ne dit rien, il la mordit au sein droit. - MĂ©chant bougre! murmura-t-elle en retenant un cri et en le posant par terre. Alzire, silencieuse, le drap au menton, ne s'Ă©tait pas rendormie. Elle suivait de ses yeux intelligents d'infirme sa soeur et ses deux frĂšres, qui maintenant s'habillaient. Une autre querelle Ă©clata autour de la terrine, les garçons bousculĂšrent la jeune fille, parce qu'elle se lavait trop longtemps. Les chemises volaient, pendant que, gonflĂ©s encore de sommeil, ils se soulageaient sans honte, avec l'aisance tranquille d'une portĂ©e de jeunes chiens, grandis ensemble. Du reste, Catherine fut prĂÂȘte la premiĂšre. Elle enfila sa culotte de mineur, passa la veste de toile, noua le bĂ©guin bleu autour de son chignon; et, dans ces vĂÂȘtements propres du lundi, elle avait l'air d'un petit homme, rien ne lui restait de son sexe, que le dandinement lĂ©ger des hanches. - Quand le vieux rentrera, dit mĂ©chamment Zacharie, il sera content de trouver le lit dĂ©fait... Tu sais, je lui raconterai que c'est toi. Le vieux, c'Ă©tait le grand-pĂšre, Bonnemort, qui, travaillant la nuit, se couchait au jour; de sorte que le lit ne refroidissait pas, il y avait toujours dedans quelqu'un Ă ronfler. Sans rĂ©pondre, Catherine s'Ă©tait mise Ă tirer la couverture et Ă la border. Mais, depuis un instant, des bruits s'entendaient derriĂšre le mur, dans la maison voisine. Ces constructions de briques, installĂ©es Ă©conomiquement par la Compagnie, Ă©taient si minces, que les moindres souffles les traversaient. On vivait coude Ă coude, d'un bout Ă l'autre; et rien de la vie intime n'y restait cachĂ©, mĂÂȘme aux gamins. Un pas lourd avait Ă©branlĂ© un escalier, puis il y eut comme une chute molle, suivie d'un soupir d'aise. - Bon! dit Catherine, Levaque descend, et voilĂ Bouteloup qui va retrouver la Levaque. Jeanlin ricana, les yeux d'Alzire eux-mĂÂȘmes brillĂšrent. Chaque matin, ils s'Ă©gayaient ainsi du mĂ©nage Ă trois des voisins, un haveur qui logeait un ouvrier de la coupe Ă terre, ce qui donnait Ă la femme deux hommes, l'un de nuit, l'autre de jour. - PhilomĂšne tousse, reprit Catherine aprĂšs avoir tendu l'oreille. Elle parlait de l'aĂnĂ©e des Levaque, une grande fille de dix-neuf ans, la maĂtresse de Zacharie, dont elle avait deux enfants dĂ©jĂ , si dĂ©licate de poitrine d'ailleurs, qu'elle Ă©tait cribleuse Ă la fosse, n'ayant jamais pu travailler au fond. - Ah, ouiche! PhilomĂšne! rĂ©pondit Zacharie, elle s'en moque, elle dort!... C'est cochon de dormir jusqu'Ă six heures! Il passait sa culotte, lorsqu'il ouvrit une fenĂÂȘtre, prĂ©occupĂ© d'une idĂ©e brusque. Au-dehors, dans les tĂ©nĂšbres, le coron s'Ă©veillait, des lumiĂšres pointaient une Ă une, entre les lames des persiennes. Et ce fut encore une dispute il se penchait pour guetter s'il ne verrait pas sortir de chez les Pierron, en face, le maĂtre-porion du Voreux, qu'on accusait de coucher avec la Pierronne; tandis que sa soeur lui criait que le mari avait, depuis la veille, pris son service de jour Ă l'accrochage, et que bien sĂ»r Dansaert n'avait pu coucher, cette nuit-lĂ . L'air entrait par bouffĂ©es glaciales, tous deux s'emportaient, en soutenant chacun l'exactitude de ses renseignements, lorsque des cris et des larmes Ă©clatĂšrent. C'Ă©tait, dans son berceau, Estelle que le froid contrariait. Du coup, Maheu se rĂ©veilla. Qu'avait-il donc dans les os? VoilĂ qu'il se rendormait comme un propre Ă rien. Et il jurait si fort, que les enfants, Ă cĂÂŽtĂ©, ne soufflaient plus. Zacharie et Jeanlin achevĂšrent de se laver, avec une lenteur dĂ©jĂ lasse. Alzire, les yeux grands ouverts, regardait toujours. Les deux mioches, LĂ©nore et Henri, aux bras l'un de l'autre, n'avaient pas remuĂ©, respirant du mĂÂȘme petit souffle, malgrĂ© le vacarme. - Catherine, donne-moi la chandelle! cria Maheu. Elle finissait de boutonner sa veste, elle porta la chandelle dans le cabinet, laissant ses frĂšres chercher leurs vĂÂȘtements, au peu de clartĂ© qui venait de la porte. Son pĂšre sautait du lit. Mais elle ne s'arrĂÂȘta point, elle descendit en gros bas de laine, Ă tĂÂątons, et alluma dans la salle une autre chandelle, pour prĂ©parer le cafĂ©. Tous les sabots de la famille Ă©taient sous le buffet. - Te tairas-tu, vermine! reprit Maheu, exaspĂ©rĂ© des cris d'Estelle, qui continuaient. Il Ă©tait petit comme le vieux Bonnemort, et il lui ressemblait en gras, la tĂÂȘte forte, la face plate et livide, sous les cheveux jaunes, coupĂ©s trĂšs courts. L'enfant hurlait davantage, effrayĂ©e par ces grands bras noueux qui se balançaient au-dessus d'elle. - Laisse-la, tu sais bien qu'elle ne veut pas se taire, dit la Maheude, en s'allongeant au milieu du lit. Elle aussi venait de s'Ă©veiller, et elle se plaignait, c'Ă©tait bĂÂȘte de ne jamais faire sa nuit complĂšte. Ils ne pouvaient donc partir doucement? Enfouie dans la couverture, elle ne montrait que sa figure longue, aux grands traits, d'une beautĂ© lourde, dĂ©jĂ dĂ©formĂ©e Ă trente-neuf ans par sa vie de misĂšre et les sept enfants qu'elle avait eus. Les yeux au plafond, elle parla avec lenteur, pendant que son homme s'habillait. Ni l'un ni l'autre n'entendait plus la petite qui s'Ă©tranglait Ă crier. - Hein? tu sais, je suis sans le sou, et nous voici Ă lundi seulement encore six jours Ă attendre la quinzaine... Il n'y a pas moyen que ça dure. A vous tous, vous apportez neuf francs. Comment veux-tu que j'arrive? Nous sommes dix Ă la maison. - Oh! neuf francs! se rĂ©cria Maheu. Moi et Zacharie, trois ça fait six... Catherine et le pĂšre, deux ça fait quatre; quatre et six, dix... Et Jeanlin, un, ça fait onze. - Oui, onze, mais il y a les dimanches et les jours de chĂÂŽmage... Jamais plus de neuf, entends-tu? Il ne rĂ©pondit pas, occupĂ© Ă chercher par terre sa ceinture de cuir. Puis, il dit en se relevant - Faut pas se plaindre, je suis tout de mĂÂȘme solide. Il y en a plus d'un, Ă quarante-deux ans, qui passe au raccommodage. - Possible, mon vieux, mais ça ne nous donne pas du pain... Qu'est-ce que je vais fiche, dis? Tu n'as rien, toi? - J'ai deux sous. - Garde-les pour boire une chope... Mon Dieu! qu'est-ce que je vais fiche? Six jours, ça n'en finit plus. Nous devons soixante francs Ă Maigrat, qui m'a mise Ă la porte avant-hier. Ca ne m'empĂÂȘchera pas de retourner le voir. Mais, s'il s'entĂÂȘte Ă refuser... Et la Maheude continua d'une voix morne, la tĂÂȘte immobile, fermant par instants les yeux sous la clartĂ© triste de la chandelle. Elle disait le buffet vide, les petits demandant des tartines, le cafĂ© mĂÂȘme manquant, et l'eau qui donnait des coliques, et les longues journĂ©es passĂ©es Ă tromper la faim avec des feuilles de choux bouillies. Peu Ă peu, elle avait dĂ» hausser le ton, car le hurlement d'Estelle couvrait ses paroles. Ces cris devenaient insoutenables. Maheu parut tout d'un coup les entendre, hors de lui, et il saisit la petite dans le berceau, il la jeta sur le lit de la mĂšre, en balbutiant de fureur - Tiens! prends-la, je l'Ă©craserais. Nom de Dieu d'enfant! ça ne manque de rien, ça tĂšte, et ça se plaint plus haut que les autres! Estelle s'Ă©tait mise Ă tĂ©ter, en effet. Disparue sous la couverture, calmĂ©e par la tiĂ©deur du lit, elle n'avait plus qu'un petit bruit goulu des lĂšvres. - Est-ce que les bourgeois de la Piolaine ne t'ont pas dit d'aller les voir? reprit le pĂšre au bout d'un silence. La mĂšre pinça la bouche, d'un air de doute dĂ©couragĂ©. - Oui, ils m'ont rencontrĂ©e, ils portent des vĂÂȘtements aux enfants pauvres... Enfin, je mĂšnerai ce matin chez eux LĂ©nore et Henri. S'ils me donnaient cent sous seulement. Le silence recommença. Maheu Ă©tait prĂÂȘt. Il demeura un moment immobile, puis il conclut de sa voix sourde - Qu'est-ce que tu veux? c'est comme ça, arrange-toi pour la soupe... Ca n'avance Ă rien d'en causer, vaut mieux ĂÂȘtre lĂ -bas au travail. - Bien sur, rĂ©pondit la Maheude. Souffle la chandelle, je n'ai pas besoin de voir la couleur de mes idĂ©es. Il souffla la chandelle. DĂ©jĂ , Zacharie et Jeanlin descendaient; il les suivit; et l'escalier de bois craquait sous leurs pieds lourds, chaussĂ©s de laine. DerriĂšre eux, le cabinet et la chambre Ă©taient retombĂ©s aux tĂ©nĂšbres. Les enfants dormaient, les paupiĂšres d'Alzire elle-mĂÂȘme s'Ă©taient closes. Mais la mĂšre restait maintenant les yeux ouverts dans l'obscuritĂ©, tandis que, tirant sur sa mamelle pendante de femme Ă©puisĂ©e, Estelle ronronnait comme un petit chat. En bas, Catherine s'Ă©tait d'abord occupĂ©e du feu, la cheminĂ©e de fonte, Ă grille centrale, flanquĂ©e de deux fours, et oĂÂč brĂ»lait constamment un feu de houille. La Compagnie distribuait par mois, Ă chaque famille, huit hectolitres d'escaillage, charbon dur ramassĂ© dans les voies. Il s'allumait difficilement, et la jeune fille qui couvrait le feu chaque soir, n'avait qu'Ă le secouer le matin, en ajoutant des petits morceaux de charbon tendre, triĂ©s avec soin. Puis, aprĂšs avoir posĂ© une bouillotte sur la grille, elle s'accroupit devant le buffet. C'Ă©tait une salle assez vaste, tenant tout le rez-de-chaussĂ©e, peinte en vert pomme, d'une propretĂ© flamande, avec ses dalles lavĂ©es Ă grande eau et semĂ©es de sable blanc. Outre le buffet de sapin verni, l'ameublement consistait en une table et des chaises du mĂÂȘme bois. CollĂ©es sur les murs, des enluminures violentes, les portraits de l'Empereur et de l'ImpĂ©ratrice donnĂ©s par la Compagnie, des soldats et des saints, bariolĂ©s d'or, tranchaient crĂ»ment dans la nuditĂ© claire de la piĂšce; et il n'y avait d'autres ornements qu'une boĂte de carton rose sur le buffet, et que le coucou Ă cadran peinturlurĂ©, dont le gros tic-tac semblait remplir le vide du plafond. PrĂšs de la porte de l'escalier, une autre porte conduisait Ă la cave. MalgrĂ© la propretĂ©, une odeur d'oignon cuit, enfermĂ©e depuis la veille, empoisonnait l'air chaud, cet air alourdi, toujours chargĂ© d'une ĂÂącretĂ© de houille. Devant le buffet ouvert, Catherine rĂ©flĂ©chissait. Il ne restait qu'un bout de pain, du fromage blanc en suffisance, mais Ă peine une lichette de beurre; et il s'agissait de faire les tartines pour eux quatre. Enfin, elle se dĂ©cida, coupa les tranches, en prit une qu'elle couvrit de fromage, en frotta une autre de beurre, puis les colla ensemble c'Ă©tait "le briquet", la double tartine emportĂ©e chaque matin Ă la fosse. BientĂÂŽt, les quatre briquets furent en rang sur la table, rĂ©partis avec une sĂ©vĂšre justice, depuis le gros du pĂšre jusqu'au petit de Jeanlin. Catherine, qui paraissait toute Ă son mĂ©nage, devait pourtant rĂÂȘvasser aux histoires que Zacharie racontait sur le maĂtre-porion et la Pierronne, car elle entrebĂÂąilla la porte d'entrĂ©e et jeta un coup d'oeil dehors. Le vent soufflait toujours, des clartĂ©s plus nombreuses couraient sur les façades basses du coron, d'oĂÂč montait une vague trĂ©pidation de rĂ©veil. DĂ©jĂ des portes se refermaient, des files noires d'ouvriers s'Ă©loignaient dans la nuit. Etait-elle bĂÂȘte, de se refroidir, puisque le chargeur Ă l'accrochage dormait bien sĂ»r, en attendant d'aller prendre son service, Ă six heures! Et elle restait, elle regardait la maison, de l'autre cĂÂŽtĂ© des jardins. La porte s'ouvrit, sa curiositĂ© s'alluma. Mais ce ne pouvait ĂÂȘtre que la petite des Pierron, Lydie, qui partait pour la fosse. Un bruit sifflant de vapeur la fit se tourner. Elle ferma, se hĂÂąta de courir l'eau bouillait et se rĂ©pandait, Ă©teignant le feu. Il ne restait plus de cafĂ©, elle dut se contenter de passer l'eau sur le marc de la veille; puis, elle sucra dans la cafetiĂšre, avec de la cassonade. Justement, son pĂšre et ses deux frĂšres descendaient. - Fichtre! dĂ©clara Zacharie, quand il eut mis le nez dans son bol, en voilĂ un qui ne nous cassera pas la tĂÂȘte! Maheu haussa les Ă©paules d'un air rĂ©signĂ©. - Bah! c'est chaud, c'est bon tout de mĂÂȘme. Jeanlin avait ramassĂ© les miettes des tartines et trempait une soupe. AprĂšs avoir bu, Catherine acheva de vider la cafetiĂšre dans les gourdes de fer-blanc. Tous quatre, debout, mal Ă©clairĂ©s par la chandelle fumeuse, avalaient en hĂÂąte. - Y sommes-nous Ă la fin!! dit le pĂšre. On croirait qu'on a des rentes! Mais une voix vint de l'escalier, dont ils avaient laissĂ© la porte ouverte. C'Ă©tait la Maheude qui criait - Prenez tout le pain, j'ai un peu de vermicelle pour les enfants! - Oui, oui! rĂ©pondit Catherine. Elle avait recouvert le feu, en calant, sur un coin de la grille, un restant de soupe, que le grand-pĂšre trouverait chaude, lorsqu'il rentrerait Ă six heures. Chacun prit sa paire de sabots sous le buffet, se passa la ficelle de sa gourde Ă l'Ă©paule, et fourra son briquet dans son dos, entre la chemise et la veste. Et ils sortirent, les hommes devant, la fille derriĂšre, soufflant la chandelle, donnant un tour de clef. La maison redevint noire. - Tiens! nous filons ensemble, dit un homme qui refermait la porte de la maison voisine. C'Ă©tait Levaque, avec son fils BĂ©bert, un gamin de douze ans, grand ami de Jeanlin. Catherine, Ă©tonnĂ©e, Ă©touffa un rire, Ă l'oreille de Zacharie quoi donc? Bouteloup n'attendait mĂÂȘme plus que le mari fĂ»t parti! Maintenant, dans le coron, les lumiĂšres s'Ă©teignaient. Une derniĂšre porte claqua, tout dormait de nouveau, les femmes et les petits reprenaient leur somme, au fond des lits plus larges. Et, du village Ă©teint au Voreux qui soufflait, c'Ă©tait sous les rafales un lent dĂ©filĂ© d'ombres, le dĂ©part des charbonniers pour le travail, roulant des Ă©paules, embarrassĂ©s de leurs bras, qu'ils croisaient sur la poitrine; tandis que, derriĂšre, le briquet faisait Ă chacun une bosse. VĂÂȘtus de toile mince, ils grelottaient de froid, sans se hĂÂąter davantage, dĂ©bandĂ©s le long de la route, avec un piĂ©tinement de troupeau. I, III Etienne, descendu enfin du terri, venait d'entrer au Voreux; et les hommes auxquels il s'adressait, demandant s'il y avait du travail, hochaient la tĂÂȘte, lui disaient tous d'attendre le maĂtre-porion. On le laissait libre, au milieu des bĂÂątiments mal Ă©clairĂ©s, pleins de trous noirs, inquiĂ©tants avec la complication de leurs salles et de leurs Ă©tages. AprĂšs avoir montĂ© un escalier obscur Ă moitiĂ© dĂ©truit, il s'Ă©tait trouvĂ© sur une passerelle branlante, puis avait traversĂ© le hangar du criblage, plongĂ© dans une nuit si profonde, qu'il marchait les mains en avant, pour ne pas se heurter. Devant lui, brusquement, deux yeux jaunes, Ă©normes, trouĂšrent les tĂ©nĂšbres. Il Ă©tait sous le beffroi, dans la salle de recette, Ă la bouche mĂÂȘme du puits. Un porion, le pĂšre Richomme, un gros Ă figure de bon gendarme, barrĂ©e de moustaches grises, se dirigeait justement vers le bureau du receveur. - On n'a pas besoin d'un ouvrier ici, pour n'importe quel travail? demanda de nouveau Etienne. Richomme allait dire non; mais il se reprit et rĂ©pondit comme les autres, en s'Ă©loignant - Attendez monsieur Dansaert, le maĂtre-porion. Quatre lanternes Ă©taient plantĂ©es lĂ , et les rĂ©flecteurs, qui jetaient toute la lumiĂšre sur le puits, Ă©clairaient vivement les rampes de fer, les leviers des signaux et des verrous, les madriers des guides, oĂÂč glissaient les deux cages. Le reste, la vaste salle, pareille Ă une nef d'Ă©glise, se noyait, peuplĂ©e de grandes ombres flottantes. Seule, la lampisterie flambait au fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait comme une Ă©toile prĂšs de s'Ă©teindre. L'extraction venait d'ĂÂȘtre reprise; et, sur les dalles de fonte, c'Ă©tait un tonnerre continu, les berlines de charbon roulĂ©es sans cesse, les courses des moulineurs, dont on distinguait les longues Ă©chines penchĂ©es, dans le remuement de toutes ces choses noires et bruyantes qui s'agitaient. Un instant, Etienne resta immobile, assourdi, aveuglĂ©. Il Ă©tait glacĂ©, des courants d'air entraient de partout. Alors, il fit quelques pas, attirĂ© par la machine, dont il voyait maintenant luire les aciers et les cuivres. Elle se trouvait en arriĂšre du puits, Ă vingt-cinq mĂštres, dans une salle plus haute, et assise si carrĂ©ment sur son massif de briques, qu'elle marchait Ă toute vapeur, de toute sa force de quatre cents chevaux, sans que le mouvement de sa bielle Ă©norme, Ă©mergeant et plongeant, avec une douceur huilĂ©e, donnĂÂąt un frisson aux murs. Le machineur, debout Ă la barre de mise en train, Ă©coutait les sonneries des signaux, ne quittait pas des yeux le tableau indicateur, oĂÂč le puits Ă©tait figurĂ©, avec ses Ă©tages diffĂ©rents, par une rainure verticale, que parcouraient des plombs pendus Ă des ficelles, reprĂ©sentant les cages. Et, Ă chaque dĂ©part, quand la machine se remettait en branle, les bobines, les deux immenses roues de cinq mĂštres de rayon, aux moyeux desquels les deux cĂÂąbles d'acier s'enroulaient et se dĂ©roulaient en sens contraire, tournaient d'une telle vitesse, qu'elles n'Ă©taient plus qu'une poussiĂšre grise. - Attention donc! criĂšrent trois moulineurs, qui traĂnaient une Ă©chelle gigantesque. Etienne avait manquĂ© d'ĂÂȘtre Ă©crasĂ©. Ses yeux s'habituaient il regardait en l'air filer les cĂÂąbles, plus de trente mĂštres de ruban d'acier, qui montaient d'une volĂ©e dans le beffroi, oĂÂč ils passaient sur les molettes, pour descendre Ă pic dans le puits s'attacher aux cages d'extraction. Une charpente de fer, pareille Ă la haute charpente d'un clocher, portait les molettes. C'Ă©tait un glissement d'oiseau, sans un bruit, sans un heurt, la fuite rapide, le continuel va-et-vient d'un fil de poids Ă©norme, qui pouvait enlever jusqu'Ă douze mille kilogrammes, avec une vitesse de dix mĂštres Ă la seconde. - Attention donc, nom de Dieu! criĂšrent de nouveau les moulineurs, qui poussaient l'Ă©chelle de l'autre cĂÂŽtĂ©, pour visiter la molette de gauche. Lentement, Etienne revint Ă la recette. Ce vol gĂ©ant sur sa tĂÂȘte l'ahurissait. Et, grelottant dans les courants d'air, il regarda la manoeuvre des cages, les oreilles cassĂ©es par le roulement des berlines. PrĂšs du puits, le signal fonctionnait, un lourd marteau Ă levier, qu'une corde tirĂ©e du fond laissait tomber sur un billot. Un coup pour arrĂÂȘter, deux pour descendre, trois pour monter c'Ă©tait sans relĂÂąche comme des coups de massue dominant le tumulte, accompagnĂ©s d'une claire sonnerie de timbre; pendant que le moulineur, dirigeant la manoeuvre, augmentait encore le tapage, en criant des ordres au machineur, dans un porte-voix. Les cages, au milieu de ce branle-bas, apparaissaient et s'enfonçaient, se vidaient et se remplissaient, sans qu'Etienne comprĂt rien Ă ces besognes compliquĂ©es. Il ne comprenait bien qu'une chose le puits avalait des hommes par bouchĂ©es de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il semblait ne pas les sentir passer. DĂšs quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe Ă la main, attendant par petits groupes d'ĂÂȘtre en nombre suffisant. Sans un bruit, d'un jaillissement doux de bĂÂȘte nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur les verrous, avec ses quatre Ă©tages contenant chacun deux berlines pleines de charbon. Des moulineurs, aux diffĂ©rents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres, vides ou chargĂ©es Ă l'avance des bois de taille. Et c'Ă©tait dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers, cinq par cinq, jusqu'Ă quarante d'un coup, lorsqu'ils tenaient toutes les cases. Un ordre partait du porte-voix, un beuglement sourd et indistinct, pendant qu'on tirait quatre fois la corde du signal d'en bas, "sonnant Ă la viande", pour prĂ©venir de ce chargement de chair humaine. Puis, aprĂšs un lĂ©ger sursaut, la cage plongeait silencieuse, tombait comme une pierre, ne laissait derriĂšre elle que la fuite vibrante du cĂÂąble. - C'est profond? demanda Etienne Ă un mineur, qui attendait prĂšs de lui, l'air somnolent. - Cinq cent cinquante-quatre mĂštres, rĂ©pondit l'homme. Mais il y a quatre accrochages au-dessus, le premier Ă trois cent vingt. Tous deux se turent, les yeux sur le cĂÂąble qui remontait. Etienne reprit - Et quand ça casse? - Ah! quand ça casse... Le mineur acheva d'un geste. Son tour Ă©tait arrivĂ©, la cage avait reparu, de son mouvement aisĂ© et sans fatigue. Il s'y accroupit avec des camarades, elle replongea, puis jaillit de nouveau au bout de quatre minutes Ă peine, pour engloutir une autre charge d'hommes. Pendant une demi-heure, le puits en dĂ©vora de la sorte, d'une gueule plus ou moins gloutonne, selon la profondeur de l'accrochage oĂÂč ils descendaient, mais sans un arrĂÂȘt, toujours affamĂ©, de boyaux gĂ©ants capables de digĂ©rer un peuple. Cela s'emplissait, s'emplissait encore, et les tĂ©nĂšbres restaient mortes, la cage montait du vide dans le mĂÂȘme silence vorace. Etienne, Ă la longue, fut repris du malaise qu'il avait Ă©prouvĂ© dĂ©jĂ sur le terri. Pourquoi s'entĂÂȘter? ce maĂtre-porion le congĂ©dierait comme les autres. Une peur vague le dĂ©cida brusquement il s'en alla, il ne s'arrĂÂȘta dehors que devant le bĂÂątiment des gĂ©nĂ©rateurs. La porte, grande ouverte, laissait voir sept chaudiĂšres Ă deux foyers. Au milieu de la buĂ©e blanche, dans le sifflement des fuites, un chauffeur Ă©tait occupĂ© Ă charger un des foyers, dont l'ardente fournaise se faisait sentir jusque sur le seuil; et le jeune homme, heureux d'avoir chaud, s'approchait, lorsqu'il rencontra une nouvelle bande de charbonniers, qui arrivait Ă la fosse. C'Ă©taient les Maheu et les Levaque. Quand il aperçut, en tĂÂȘte, Catherine avec son air doux de garçon, l'idĂ©e superstitieuse lui vint de risquer une derniĂšre demande. - Dites donc, camarade, on n'a pas besoin d'un ouvrier ici, pour n'importe quel travail? Elle le regarda, surprise, un peu effrayĂ©e de cette voix brusque qui sortait de l'ombre. Mais, derriĂšre elle, Maheu avait entendu, et il rĂ©pondit, il causa un instant. Non, on n'avait besoin de personne. Ce pauvre diable d'ouvrier, perdu sur les routes, l'intĂ©ressait. Lorsqu'il le quitta, il dit aux autres - Hein! on pourrait ĂÂȘtre comme ça... Faut pas se plaindre, tous n'ont pas du travail Ă crever. La bande entra et alla droit Ă la baraque, vaste salle grossiĂšrement crĂ©pie, entourĂ©e d'armoires que fermaient des cadenas. Au centre, une cheminĂ©e de fer, une sorte de poĂÂȘle sans porte, Ă©tait rouge, si bourrĂ©e de houille incandescente, que des morceaux craquaient et dĂ©boulaient sur la terre battue du sol. La salle ne se trouvait Ă©clairĂ©e que par ce brasier, dont les reflets sanglants dansaient le long des boiseries crasseuses, jusqu'au plafond sali d'une poussiĂšre noire. Comme les Maheu arrivaient, des rires Ă©clataient dans la grosse chaleur. Une trentaine d'ouvriers Ă©taient debout, le dos tournĂ© Ă la flamme, se rĂÂŽtissant d'un air de jouissance. Avant la descente, tous venaient ainsi prendre et emporter dans la peau un bon coup de feu, pour braver l'humiditĂ© du puits. Mais, ce matin-lĂ , on s'Ă©gayait davantage, on plaisantait la Mouquette, une herscheuse de dix-huit ans, bonne fille dont la gorge et le derriĂšre Ă©normes crevaient la veste et la culotte. Elle habitait RĂ©quillart avec son pĂšre, le vieux Mouque, palefrenier, et Mouquet son frĂšre, moulineur; seulement, les heures de travail n'Ă©tant pas les mĂÂȘmes, elle se rendait seule Ă la fosse; et, au milieu des blĂ©s en Ă©tĂ©, contre un mur en hiver, elle se donnait du plaisir, en compagnie de son amoureux de la semaine. Toute la mine y passait, une vraie tournĂ©e de camarades, sans autre consĂ©quence. Un jour qu'on lui reprochait un cloutier de Marchiennes, elle avait failli crever de colĂšre, criant qu'elle se respectait trop, qu'elle se couperait un bras, si quelqu'un pouvait se flatter de l'avoir vue avec un autre qu'un charbonnier. - Ce n'est donc plus le grand Chaval? disait un mineur en ricanant. T'as pris ce petiot-lĂ ? Mais lui faudrait une Ă©chelle!... Je vous ai aperçus derriĂšre RĂ©quillart. A preuve qu'il est montĂ© sur une borne. - AprĂšs? rĂ©pondait la Mouquette en belle humeur. Qu'est-ce que ça te fiche? On ne t'a pas appelĂ© pour que tu pousses. Et cette grossiĂšretĂ© bonne enfant redoublait les Ă©clats des hommes, qui enflaient leurs Ă©paules, Ă demi cuites par le poĂÂȘle; tandis que, secouĂ©e elle-mĂÂȘme de rires, elle promenait au milieu d'eux l'indĂ©cence de son costume, d'un comique troublant, avec ses bosses de chair, exagĂ©rĂ©es jusqu'Ă l'infirmitĂ©. Mais la gaietĂ© tomba, Mouquette racontait Ă Maheu que Fleurance, la grande Fleurance, ne viendrait plus on l'avait trouvĂ©e, la veille, raide sur son lit, les uns disaient d'un dĂ©crochement du coeur, les autres d'un litre de geniĂšvre bu trop vite. Et Maheu se dĂ©sespĂ©rait encore de la malchance, voilĂ qu'il perdait une de ses herscheuses, sans pouvoir la remplacer immĂ©diatement! Il travaillait au marchandage, ils Ă©taient quatre haveurs associĂ©s dans sa taille, lui, Zacharie, Levaque et Chaval. S'ils n'avaient plus que Catherine pour rouler, la besogne allait souffrir. Tout d'un coup, il cria - Tiens! et cet homme qui cherchait de l'ouvrage! Justement, Dansaert passait devant la baraque. Maheu lui conta l'histoire, demanda l'autorisation d'embaucher l'homme; et il insistait sur le dĂ©sir que tĂ©moignait la Compagnie de substituer aux herscheuses des garçons, comme Ă Anzin. Le maĂtre-porion eut d'abord un sourire, car le projet d'exclure les femmes du fond rĂ©pugnait d'ordinaire aux mineurs, qui s'inquiĂ©taient du placement de leurs filles, peu touchĂ©s de la question de moralitĂ© et d'hygiĂšne. Enfin, aprĂšs avoir hĂ©sitĂ©, il permit, mais en se rĂ©servant de faire ratifier sa dĂ©cision par M. NĂ©grel, l'ingĂ©nieur. - Ah bien! dĂ©clara Zacharie, il est loin, l'homme, s'il court toujours! - Non, dit Catherine, je l'ai vu s'arrĂÂȘter aux chaudiĂšres. - Va donc, fainĂ©ante! cria Maheu. La jeune fille s'Ă©lança, pendant qu'un flot de mineurs montaient au puits, cĂ©dant le feu Ă d'autres. Jeanlin, sans attendre son pĂšre, alla lui aussi prendre sa lampe, avec BĂ©bert, gros garçon naĂÂŻf, et Lydie, chĂ©tive fillette de dix ans. Partie devant eux, la Mouquette s'exclamait dans l'escalier noir, en les traitant de sales mioches et en menaçant de les gifler, s'ils la pinçaient. Etienne, dans le bĂÂątiment aux chaudiĂšres, causait en effet avec le chauffeur, qui chargeait les foyers de charbon. Il Ă©prouvait un grand froid, Ă l'idĂ©e de la nuit oĂÂč il lui fallait rentrer. Pourtant, il se dĂ©cidait Ă partir, lorsqu'il sentit une main se poser sur son Ă©paule. - Venez, dit Catherine, il y a quelque chose pour vous. D'abord, il ne comprit pas. Puis, il eut un Ă©lan de joie, il serra Ă©nergiquement les mains de la jeune fille. - Merci, camarade... Ah! vous ĂÂȘtes un bon bougre, par exemple! Elle se mit Ă rire, en le regardant dans la rouge lueur des foyers, qui les Ă©clairaient. Cela l'amusait, qu'il la prĂt pour un garçon, fluette encore, son chignon cachĂ© sous le bĂ©guin. Lui, riait aussi de contentement; et ils restĂšrent un instant tous deux Ă se rire Ă la face, les joues allumĂ©es. Maheu, dans la baraque, accroupi devant sa caisse, retirait ses sabots et ses gros bas de laine. Lorsque Etienne fut lĂ , on rĂ©gla tout en quatre paroles trente sous par jour, un travail fatigant, mais qu'il apprendrait vite. Le haveur lui conseilla de garder ses souliers, et il lui prĂÂȘta une vieille barrette, un chapeau de cuir destinĂ© Ă garantir le crĂÂąne, prĂ©caution que le pĂšre et les enfants dĂ©daignaient. Les outils furent sortis de la caisse, oĂÂč se trouvait justement la pelle de Fleurance. Puis, quand Maheu y eut enfermĂ© leurs sabots, leurs bas, ainsi que le paquet d'Etienne, il s'impatienta brusquement. - Que fait-il donc, cette rosse de Chaval? Encore quelque fille culbutĂ©e sur un tas de pierres!... Nous sommes en retard d'une demi-heure, aujourd'hui. Zacharie et Levaque se rĂÂŽtissaient tranquillement les Ă©paules. Le premier finit par dire - C'est Chaval que tu attends?... Il est arrivĂ© avant nous, il est descendu tout de suite. - Comment! tu sais ça et tu ne m'en dis rien!... Allons! allons! dĂ©pĂÂȘchons. Catherine, qui chauffait ses mains, dut suivre la bande. Etienne la laissa passer, monta derriĂšre elle. De nouveau, il voyageait dans un dĂ©dale d'escaliers et de couloirs obscurs, oĂÂč les pieds nus faisaient un bruit mou de vieux chaussons. Mais la lampisterie flamboya, une piĂšce vitrĂ©e, emplie de rĂÂąteliers qui alignaient par Ă©tages des centaines de lampes Davy, visitĂ©es, lavĂ©es de la veille, allumĂ©es comme des cierges au fond d'une chapelle ardente. Au guichet, chaque ouvrier prenait la sienne, poinçonnĂ©e Ă son chiffre; puis, il l'examinait, la fermait lui-mĂÂȘme; pendant que le marqueur, assis Ă une table, inscrivait sur le registre l'heure de la descente. Il fallut que Maheu intervĂnt pour la lampe de son nouveau herscheur. Et il y avait encore une prĂ©caution, les ouvriers dĂ©filaient devant un vĂ©rificateur, qui s'assurait si toutes les lampes Ă©taient bien fermĂ©es. - Fichtre! il ne fait pas chaud ici, murmura Catherine grelottante. Etienne se contenta de hocher la tĂÂȘte. Il se retrouvait devant le puits, au milieu de la vaste salle, balayĂ©e de courants d'air. Certes, il se croyait brave, et pourtant une Ă©motion dĂ©sagrĂ©able le serrait Ă la gorge, dans le tonnerre des berlines, les coups sourds des signaux, le beuglement Ă©touffĂ© du porte-voix, en face du vol continu de ces cĂÂąbles, dĂ©roulĂ©s et enroulĂ©s Ă toute vapeur par les bobines de la machine. Les cages montaient, descendaient avec leur glissement de bĂÂȘte de nuit, engouffraient toujours des hommes, que la gueule du trou semblait boire. C'Ă©tait son tour maintenant, il avait trĂšs froid, il gardait un silence nerveux, qui faisait ricaner Zacharie et Levaque; car tous deux dĂ©sapprouvaient l'embauchage de cet inconnu, Levaque surtout, blessĂ© de n'avoir pas Ă©tĂ© consultĂ©. Aussi Catherine fut-elle heureuse d'entendre son pĂšre expliquer les choses au jeune homme. - Regardez, au-dessus de la cage, il y a un parachute, des crampons de fer qui s'enfoncent dans les guides, en cas de rupture. Ca fonctionne, oh! pas toujours... Oui, le puits est divisĂ© en trois compartiments, fermĂ©s par des planches, du haut en bas au milieu les cages, Ă gauche le goyot des Ă©chelles... Mais il s'interrompit pour gronder, sans se permettre de trop hausser la voix - Qu'est-ce que nous fichons lĂ , nom de Dieu! Est-il permis de nous faire geler de la sorte! Le porion Richomme, qui allait descendre lui aussi, sa lampe Ă feu libre fixĂ©e par un clou dans le cuir de sa barrette, l'entendit se plaindre. - MĂ©fie-toi, gare aux oreilles! murmura-t-il paternellement, en vieux mineur restĂ© bon pour les camarades. Faut bien que les manoeuvres se fassent... Tiens! nous y, sommes, embarque avec ton monde. La cage, en effet, garnie de bandes de tĂÂŽle et d'un grillage Ă petites mailles, les attendait, d'aplomb sur les verrous. Maheu, Zacharie, Levaque, Catherine se glissĂšrent dans une berline du fond; et, comme ils devaient y tenir cinq, Etienne y entra Ă son tour; mais les bonnes places Ă©taient prises, il lui fallut se tasser prĂšs de la jeune fille, dont un coude lui labourait le ventre. Sa lampe l'embarrassait, on lui conseilla de l'accrocher Ă une boutonniĂšre de sa veste. Il n'entendit pas, la garda maladroitement Ă la main. L'embarquement continuait, dessus et dessous, un enfournement confus de bĂ©tail. On ne pouvait donc partir, que se passait-il? Il lui semblait s'impatienter depuis de longues minutes. Enfin, une secousse l'Ă©branla, et tout sombra; les objets autour de lui s'envolĂšrent, tandis qu'il Ă©prouvait un vertige anxieux de chute, qui lui tirait les entrailles. Cela dura tant qu'il fut au jour, franchissant les deux Ă©tages des recettes, au milieu de la fuite tournoyante des charpentes. Puis, tombĂ© dans le noir de la fosse, il resta Ă©tourdi, n'ayant plus la perception nette de ses sensations. - Nous voilĂ partis, dit paisiblement Maheu. Tous Ă©taient Ă l'aise. Lui, par moments, se demandait s'il descendait ou s'il montait. Il y avait comme des immobilitĂ©s, quand la cage filait droit, sans toucher aux guides; et de brusques trĂ©pidations se produisaient ensuite, une sorte de dansement dans les madriers, qui lui donnait la peur d'une catastrophe. Du reste, il ne pouvait distinguer les parois du puits, derriĂšre le grillage oĂÂč il collait sa face. Les lampes Ă©clairaient mal le tassement des corps, Ă ses pieds. Seule, la lampe Ă feu libre du porion, dans la berline voisine, brillait comme un phare. - Celui-ci a quatre mĂštres de diamĂštre, continuait Maheu, pour l'instruire. Le cuvelage aurait bon besoin d'ĂÂȘtre refait, car l'eau filtre de tous cĂÂŽtĂ©s... Tenez! nous arrivons au niveau, entendez-vous? Etienne se demandait justement quel Ă©tait ce bruit d'averse. Quelques grosses gouttes avaient d'abord sonnĂ© sur le toit de la cage, comme au dĂ©but d'une ondĂ©e; et, maintenant, la pluie augmentait, ruisselait, se changeait en un vĂ©ritable dĂ©luge. Sans doute, la toiture Ă©tait trouĂ©e, car un filet d'eau, coulant sur son Ă©paule, le trempait jusqu'Ă la chair. Le froid devenait glacial, on enfonçait dans une humiditĂ© noire, lorsqu'on traversa un rapide Ă©blouissement, la vision d'une caverne oĂÂč des hommes s'agitaient, Ă la lueur d'un Ă©clair. DĂ©jĂ , on retombait au nĂ©ant. Maheu disait - C'est le premier accrochage. Nous sommes Ă trois cent vingt mĂštres. Regardez la vitesse. Levant sa lampe, il Ă©claira un madrier des guides, qui filait ainsi qu'un rail sous un train lancĂ© Ă toute vapeur; et, au-delĂ , on ne voyait toujours rien. Trois autres accrochages passĂšrent, dans un envolement de clartĂ©s. La pluie assourdissante battait les tĂ©nĂšbres. - Comme c'est profond! murmura Etienne. Cette chute devait durer depuis des heures. Il souffrait de la fausse position qu'il avait prise, n'osant bouger, torturĂ© surtout par le coude de Catherine. Elle ne prononçait pas un mot, il la sentait seulement contre lui, qui le rĂ©chauffait. Lorsque la cage, enfin, s'arrĂÂȘta au fond, Ă cinq cent cinquante-quatre mĂštres, il s'Ă©tonna d'apprendre que la descente avait durĂ© juste une minute. Mais le bruit des verrous qui se fixaient, la sensation sous lui de cette soliditĂ©, l'Ă©gaya brusquement; et ce fut en plaisantant qu'il tutoya Catherine. - Qu'as-tu sous la peau, Ă ĂÂȘtre chaud comme ça?... J'ai ton coude dans le ventre, bien sĂ»r. Alors, elle Ă©clata aussi. Etait-il bĂÂȘte, de la prendre encore pour un garçon! Il avait donc les yeux bouchĂ©s? - C'est dans l'oeil que tu l'as, mon coude, rĂ©pondit-elle, au milieu d'une tempĂÂȘte de rires, que le jeune homme, surpris, ne s'expliqua point. La cage se vidait, les ouvriers traversĂšrent la salle de l'accrochage, une salle taillĂ©e dans le roc, voĂ»tĂ©e en maçonnerie, et que trois grosses lampes Ă feu libre Ă©clairaient. Sur les dalles de fonte, les chargeurs roulaient violemment des berlines pleines. Une odeur de cave suintait des murs, une fraĂcheur salpĂÂȘtrĂ©e oĂÂč passaient des souffles chauds, venus de l'Ă©curie voisine. Quatre galeries s'ouvraient lĂ , bĂ©antes. - Par ici, dit Maheu Ă Etienne. Vous n'y ĂÂȘtes pas, nous avons Ă faire deux bons kilomĂštres. Les ouvriers se sĂ©paraient, se perdaient par groupes, au fond de ces trous noirs. Une quinzaine venaient de s'engager dans celui de gauche; et Etienne marchait le dernier, derriĂšre Maheu, que prĂ©cĂ©daient Catherine, Zacharie et Levaque. C'Ă©tait une belle galerie de roulage, Ă travers banc, et d'un roc si solide, qu'elle avait eu besoin seulement d'ĂÂȘtre muraillĂ©e en partie. Un par un, ils allaient, ils allaient toujours, sans une parole, avec les petites flammes des lampes. Le jeune homme butait Ă chaque pas, s'embarrassait les pieds dans les rails. Depuis un instant, un bruit sourd l'inquiĂ©tait, le bruit lointain d'un orage dont la violence semblait croĂtre et venir des entrailles de la terre. Etait-ce le tonnerre d'un Ă©boulement, Ă©crasant sur leurs tĂÂȘtes la masse Ă©norme qui les sĂ©parait du jour? Une clartĂ© perça la nuit, il sentit trembler le roc; et, lorsqu'il se fut rangĂ© le long du mur, comme les camarades, il vit passer contre sa face un gros cheval blanc, attelĂ© Ă un train de berlines. Sur la premiĂšre, tenant les guides, BĂ©bert Ă©tait assis; tandis que Jeanlin, les poings appuyĂ©s au bord de la derniĂšre, courait pieds nus. On se remit en marche. Plus loin, un carrefour se prĂ©senta, deux nouvelles galeries s'ouvraient, et la bande s'y divisa encore, les ouvriers se rĂ©partissaient peu Ă peu dans tous les chantiers de la mine. Maintenant, la galerie de roulage Ă©tait boisĂ©e, des Ă©tais de chĂÂȘne soutenaient le toit, faisaient Ă la roche Ă©bouleuse une chemise de charpente, derriĂšre laquelle on apercevait les lames des schistes, Ă©tincelants de mica, et la masse grossiĂšre des grĂšs, ternes et rugueux. Des trains de berlines pleines ou vides passaient continuellement, se croisaient, avec leur tonnerre emportĂ© dans l'ombre par des bĂÂȘtes vagues, au trot de fantĂÂŽme. Sur la double voie d'un garage, un long serpent noir dormait, un train arrĂÂȘtĂ©, dont le cheval s'Ă©broua, si noyĂ© de nuit, que sa croupe confuse Ă©tait comme un bloc tombĂ© de la voĂ»te. Des portes d'aĂ©rage battaient, se refermaient lentement. Et, Ă mesure qu'on avançait, la galerie devenait plus Ă©troite, plus basse, inĂ©gale de toit, forçant les Ă©chines Ă se plier sans cesse. Etienne, rudement, se heurta la tĂÂȘte. Sans la barrette de cuir, il avait le crĂÂąne fendu. Pourtant, il suivait avec attention, devant lui, les moindres gestes de Maheu, dont la silhouette sombre se dĂ©tachait sur la lueur des lampes. Pas un des ouvriers ne se cognait, ils devaient connaĂtre chaque bosse, noeud des bois ou renflement de la roche. Le jeune homme souffrait aussi du sol glissant, qui se trempait de plus en plus. Par moments, il traversait de vĂ©ritables mares, que le gĂÂąchis boueux des pieds rĂ©vĂ©lait seul. Mais ce qui l'Ă©tonnait surtout, c'Ă©taient les brusques changements de tempĂ©rature. En bas du puits, il faisait trĂšs frais, et dans la galerie de roulage, par oĂÂč passait tout l'air de la mine, soufflait un vent glacĂ©, dont la violence tournait Ă la tempĂÂȘte, entre les muraillements Ă©troits. Ensuite, Ă mesure qu'on s'enfonçait dans les autres voies, qui recevaient seulement leur part disputĂ©e d'aĂ©rage, le vent tombait, la chaleur croissait, une chaleur suffocante, d'une pesanteur de plomb. Maheu n'avait plus ouvert la bouche. Il prit Ă droite une nouvelle galerie, en disant simplement Ă Etienne, sans se tourner - La veine Guillaume. C'Ă©tait la veine oĂÂč se trouvait leur taille. DĂšs les premiĂšres enjambĂ©es, Etienne se meurtrit de la tĂÂȘte et des coudes. Le toit en pente descendait si bas que, sur des longueurs de vingt et trente mĂštres, il devait marcher cassĂ© en deux. L'eau arrivait aux chevilles. On fit ainsi deux cents mĂštres; et, tout d'un coup, il vit disparaĂtre Levaque, Zacharie et Catherine, qui semblaient s'ĂÂȘtre envolĂ©s par une fissure mince, ouverte devant lui. - Il faut monter, reprit Maheu. Pendez votre lampe Ă une boutonniĂšre, et accrochez-vous aux bois. Lui-mĂÂȘme disparut. Etienne dut le suivre. Cette cheminĂ©e, laissĂ©e dans la veine, Ă©tait rĂ©servĂ©e aux mineurs et desservait toutes les voies secondaires. Elle avait l'Ă©paisseur de la couche de charbon, Ă peine soixante centimĂštres. Heureusement, le jeune homme Ă©tait mince, car, maladroit encore, il s'y hissait avec une dĂ©pense inutile de muscles, aplatissant les Ă©paules et les hanches, avançant Ă la force des poignets, cramponnĂ© aux bois. Quinze mĂštres plus haut, on rencontra la premiĂšre voie secondaire; mais il fallut continuer, la taille de Maheu et consorts Ă©tait la sixiĂšme voie, dans l'enfer, ainsi qu'ils disaient; et, de quinze mĂštres en quinze mĂštres, les voies se superposaient, la montĂ©e n'en finissait plus, Ă travers cette fente qui raclait le dos et la poitrine. Etienne rĂÂąlait, comme si le poids des roches lui eĂ»t broyĂ© les membres, les mains arrachĂ©es, les jambes meurtries, manquant d'air surtout, au point de sentir le sang lui crever la peau. Vaguement, dans une voie, il aperçut deux bĂÂȘtes accroupies, une petite, une grosse, qui poussaient des berlines c'Ă©taient Lydie et la Mouquette, dĂ©jĂ au travail. Et il lui restait Ă grimper la hauteur de deux tailles! La sueur l'aveuglait, il dĂ©sespĂ©rait de rattraper les autres, dont il entendait les membres agiles frĂÂŽler le roc d'un long glissement. - Courage, ça y est! dit la voix de Catherine. Mais, comme il arrivait en effet, une autre voix cria du fond de la taille - Eh bien! quoi donc? est-ce qu'on se fout du monde...? J'ai deux kilomĂštres Ă faire de Montsou, et je suis lĂ le premier! C'Ă©tait Chaval, un grand maigre de vingt-cinq ans, osseux, les traits forts, qui se fĂÂąchait d'avoir attendu. Lorsqu'il aperçut Etienne, il demanda, avec une surprise de mĂ©pris - Qu'est-ce que c'est que ça? Et, Maheu lui ayant contĂ© l'histoire, il ajouta entre les dents - Alors, les garçons mangent le pain des filles! Les deux hommes Ă©changĂšrent un regard, allumĂ© d'une de ces haines d'instinct qui flambent subitement. Etienne avait senti l'injure, sans comprendre encore. Un silence rĂ©gna, tous se mettaient au travail. C'Ă©taient enfin les veines peu Ă peu emplies, les tailles en activitĂ©, Ă chaque Ă©tage, au bout de chaque voie. Le puits dĂ©vorateur avait avalĂ© sa ration quotidienne d'hommes, prĂšs de sept cents ouvriers, qui besognaient Ă cette heure dans cette fourmiliĂšre gĂ©ante, trouant la terre de toutes parts, la criblant ainsi qu'un vieux bois piquĂ© des vers. Et, au milieu du silence lourd, de l'Ă©crasement des couches profondes, on aurait pu, l'oreille collĂ©e Ă la roche, entendre le branle de ces insectes humains en marche, depuis le vol du cĂÂąble qui montait et descendait la cage d'extraction, jusqu'Ă la morsure des outils entamant la houille, au fond des chantiers d'abattage. Etienne, en se tournant, se trouva de nouveau serrĂ© contre Catherine. Mais, cette fois, il devina les rondeurs naissantes de la gorge, il comprit tout d'un coup cette tiĂ©deur qui l'avait pĂ©nĂ©trĂ©. - Tu es donc une fille? murmura-t-il, stupĂ©fait. Elle rĂ©pondit de son air gai, sans rougeur - Mais oui... Vrai! tu y as mis le temps! I, IV Les quatre haveurs venaient de s'allonger les uns au-dessus des autres, sur toute la montĂ©e du front de taille. SĂ©parĂ©s par les planches Ă crochets qui retenaient le charbon abattu, ils occupaient chacun quatre mĂštres environ de la veine; et cette veine Ă©tait si mince, Ă©paisse Ă peine en cet endroit de cinquante centimĂštres, qu'ils se trouvaient lĂ comme aplatis entre le toit et le mur, se traĂnant des genoux et des coudes, ne pouvant se retourner sans se meurtrir les Ă©paules. Ils devaient, pour attaquer la houille, rester couchĂ©s sur le flanc, le cou tordu, les bras levĂ©s et brandissant de biais la rivelaine, le pic Ă manche court. En bas, il y avait d'abord Zacharie; Levaque et Chaval s'Ă©tageaient au-dessus; et, tout en haut enfin, Ă©tait Maheu. Chacun havait le lit de schiste, qu'il creusait Ă coups de rivelaine; puis, il pratiquait deux entailles verticales dans la couche, et il dĂ©tachait le bloc, en enfonçant un coin de fer, Ă la partie supĂ©rieure. La houille Ă©tait grasse, le bloc se brisait, roulait en morceaux le long du ventre et des cuisses. Quand ces morceaux, retenus par la planche, s'Ă©taient amassĂ©s sous eux, les haveurs disparaissaient, murĂ©s dans l'Ă©troite fente. C'Ă©tait Maheu qui souffrait le plus. En haut, la tempĂ©rature montait jusqu'Ă trente-cinq degrĂ©s, l'air ne circulait pas, l'Ă©touffement Ă la longue devenait mortel. Il avait dĂ», pour voir clair, fixer sa lampe Ă un clou, prĂšs de sa tĂÂȘte; et cette lampe, qui chauffait son crĂÂąne, achevait de lui brĂ»ler le sang. Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humiditĂ©. La roche, au-dessus de lui, Ă quelques centimĂštres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entĂÂȘtĂ©, toujours Ă la mĂÂȘme place. Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque elles battaient sa face, s'Ă©crasaient, claquaient sans relĂÂąche. Au bout d'un quart d'heure, il Ă©tait trempĂ©, couvert de sueur lui-mĂÂȘme, fumant d'une chaude buĂ©e de lessive. Ce matin-lĂ , une goutte, s'acharnant dans son oeil, le faisait jurer. Il ne voulait pas lĂÂącher son havage, il donnait de grands coups, qui le secouaient violemment entre les deux roches, ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre, sous la menace d'un aplatissement complet. Pas une parole n'Ă©tait Ă©changĂ©e. Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irrĂ©guliers, voilĂ©s et comme lointains. Les bruits prenaient une sonoritĂ© rauque, sans un Ă©cho dans l'air mort. Et il semblait que les tĂ©nĂšbres fussent d'un noir inconnu, Ă©paissi par les poussiĂšres volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. Les mĂšches des lampes, sous leurs chapeaux de toile mĂ©tallique, n'y mettaient que des points rougeĂÂątres. On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminĂ©e, plate et oblique, oĂÂč la suie de dix hivers aurait amassĂ© une nuit profonde. Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tĂÂȘte violente, barbouillĂ©e comme pour un crime. Parfois, en se dĂ©tachant, luisaient des blocs de houille, des pans et des arĂÂȘtes, brusquement allumĂ©s d'un reflet de cristal. Puis, tout retombait au noir, les rivelaines tapaient Ă grands coups sourds, il n'y avait plus que le halĂštement des poitrines, le grognement de gĂÂȘne et de fatigue, sous la pesanteur de l'air et la pluie des sources. Zacharie, les bras mous d'une noce de la veille, lĂÂącha vite la besogne en prĂ©textant la nĂ©cessitĂ© de boiser, ce qui lui permettait de s'oublier Ă siffler doucement, les yeux vagues dans l'ombre. DerriĂšre les haveurs, prĂšs de trois mĂštres de la veine restaient vides, sans qu'ils eussent encore pris la prĂ©caution de soutenir la roche, insoucieux du danger et avares de leur temps. - Eh! l'aristo! cria le jeune homme Ă Etienne, passe-moi des bois. Etienne, qui apprenait de Catherine Ă manoeuvrer sa pelle, dut monter des bois dans la taille. Il y en avait de la veille une petite provision. Chaque matin, d'habitude, on les descendait tout coupĂ©s sur la mesure de la couche. - DĂ©pĂÂȘche-toi donc, sacrĂ©e flemme! reprit Zacharie, en voyant le nouveau herscheur se hisser gauchement au milieu du charbon, les bras embarrassĂ©s de quatre morceaux de chĂÂȘne. Il faisait, avec son pic une entaille dans le toit, puis une autre dans le mur; et il y calait les deux bouts du bois, qui Ă©tayait ainsi la roche. L'aprĂšs-midi, les ouvriers de la coupe Ă terre prenaient les dĂ©blais laissĂ©s au fond de la galerie par les haveurs, et remblayaient les tranchĂ©es exploitĂ©es de la veine, oĂÂč ils noyaient les bois, en ne mĂ©nageant que la voie infĂ©rieure et la voie supĂ©rieure, pour le roulage. Maheu cessa de geindre. Enfin, il avait dĂ©tachĂ© son bloc. Il essuya sur sa manche son visage ruisselant, il s'inquiĂ©ta de ce que Zacharie Ă©tait montĂ© faire derriĂšre lui. - Laisse donc ça, dit-il. Nous verrons aprĂšs dĂ©jeuner... Vaut mieux abattre, si nous voulons avoir notre compte de berlines. - C'est que, rĂ©pondit le jeune homme, ça baisse. Regarde, il y a une gerçure. J'ai peur que ça n'Ă©boule. Mais le pĂšre haussa les Ă©paules. Ah! ouiche! Ă©bouler! Et puis, ce ne serait pas la premiĂšre fois, on s'en tirerait tout de mĂÂȘme. Il finit par se fĂÂącher, il renvoya son fils au front de taille. Tous, du reste, se dĂ©tiraient. Levaque, restĂ© sur le dos, jurait en examinant son pouce gauche, que la chute d'un grĂšs venait d'Ă©corcher au sang. Chaval, furieusement, enlevait sa chemise, se mettait le torse nu, pour avoir moins chaud. Ils Ă©taient dĂ©jĂ noirs de charbon, enduits d'une poussiĂšre fine que la sueur dĂ©layait, faisait couler en ruisseaux et en mares. Et Maheu recommença le premier Ă taper, plus bas, la tĂÂȘte au ras de la roche. Maintenant, la goutte lui tombait sur le front, si obstinĂ©e, qu'il croyait la sentir lui percer d'un trou les os du crĂÂąne. - Il ne faut pas faire attention, expliquait Catherine Ă Etienne. Ils gueulent toujours. Et elle reprit sa leçon, en fille obligeante. Chaque berline chargĂ©e arrivait au jour telle qu'elle partait de la taille, marquĂ©e d'un jeton spĂ©cial pour que le receveur pĂ»t la mettre au compte du chantier. Aussi devait-on avoir grand soin de l'emplir et de ne prendre que le charbon propre autrement, elle Ă©tait refusĂ©e Ă la recette. Le jeune homme, dont les yeux s'habituaient Ă l'obscuritĂ©, la regardait, blanche encore, avec son teint de chlorose; et il n'aurait pu dire son ĂÂąge, il lui donnait douze ans, tellement elle lui semblait frĂÂȘle. Pourtant, il la sentait plus vieille, d'une libertĂ© de garçon, d'une effronterie naĂÂŻve, qui le gĂÂȘnait un peu elle ne lui plaisait pas, il trouvait trop gamine sa tĂÂȘte blafarde de Pierrot, serrĂ©e aux tempes par le bĂ©guin. Mais ce qui l'Ă©tonnait, c'Ă©tait la force de cette enfant, une force nerveuse oĂÂč il entrait beaucoup d'adresse. Elle emplissait sa berline plus vite que lui, Ă petits coups de pelle rĂ©guliers et rapides; elle la poussait ensuite jusqu'au plan inclinĂ©, d'une seule poussĂ©e lente, sans accrocs, passant Ă l'aise sous les roches basses. Lui, se massacrait, dĂ©raillait, restait en dĂ©tresse. A la vĂ©ritĂ©, ce n'Ă©tait point un chemin commode. Il y avait une soixantaine de mĂštres, de la taille au plan inclinĂ©; et la voie, que les mineurs de la coupe Ă terre n'avaient pas encore Ă©largie, Ă©tait un vĂ©ritable boyau, de toit trĂšs inĂ©gal, renflĂ© de continuelles bosses Ă certaines places, la berline chargĂ©e passait tout juste, le herscheur devait s'aplatir, pousser sur les genoux, pour ne pas se fendre la tĂÂȘte. D'ailleurs, les bois pliaient et cassaient dĂ©jĂ . On les voyait, rompus au milieu, en longues dĂ©chirures pĂÂąles, ainsi que des bĂ©quilles trop faibles. Il fallait prendre garde de s'Ă©corcher Ă ces cassures; et, sous le lent Ă©crasement qui faisait Ă©clater des rondins de chĂÂȘne gros comme la cuisse, on se coulait Ă plat ventre, avec la sourde inquiĂ©tude d'entendre brusquement craquer son dos. - Encore! dit Catherine en riant. La berline d'Etienne venait de dĂ©railler, au passage le plus difficile. Il n'arrivait point Ă rouler droit, sur ces rails qui se faussaient dans la terre humide; et il jurait, il s'emportait, se battait rageusement avec les roues, qu'il ne pouvait, malgrĂ© des efforts exagĂ©rĂ©s, remettre en place. - Attends donc, reprit la jeune fille. Si tu te fĂÂąches, jamais ça ne marchera. Adroitement, elle s'Ă©tait glissĂ©e, avait enfoncĂ© Ă reculons le derriĂšre sous la berline; et, d'une pesĂ©e des reins, elle la soulevait et la replaçait. Le poids Ă©tait de sept cents kilogrammes. Lui, surpris, honteux, bĂ©gayait des excuses. Il fallut qu'elle lui montrĂÂąt Ă Ă©carter les jambes, Ă s'arc-bouter les pieds contre les bois, des deux cĂÂŽtĂ©s de la galerie, pour se donner des points d'appui solides. Le corps devait ĂÂȘtre penchĂ©, les bras raidis, de façon Ă pousser de tous les muscles, des Ă©paules et des hanches. Pendant un voyage, il la suivit, la regarda filer, la croupe tendue, les poings si bas, qu'elle semblait trotter Ă quatre pattes, ainsi qu'une de ces bĂÂȘtes naines qui travaillent dans les cirques. Elle suait, haletait, craquait des jointures, mais sans une plainte, avec l'indiffĂ©rence de l'habitude, comme si la commune misĂšre Ă©tait pour tous de vivre ainsi ployĂ©. Et il ne parvenait pas Ă en faire autant, ses souliers le gĂÂȘnaient, son corps se brisait, Ă marcher de la sorte, la tĂÂȘte basse. Au bout de quelques minutes, cette position devenait un supplice, une angoisse intolĂ©rable, si pĂ©nible, qu'il se mettait un instant Ă genoux, pour se redresser et respirer. Puis, au plan inclinĂ©, c'Ă©tait une corvĂ©e nouvelle. Elle lui apprit Ă emballer vivement sa berline. En haut et en bas de ce plan, qui desservait toutes les tailles, d'un accrochage Ă un autre, se trouvait un galibot, le freineur en haut, le receveur en bas. Ces vauriens de douze Ă quinze ans se criaient des mots abominables; et, pour les avertir, il fallait en hurler de plus violents. Alors, dĂšs qu'il y avait une berline vide Ă remonter, le receveur donnait le signal, la herscheuse emballait sa berline pleine, dont le poids faisait monter l'autre, quand le freineur desserrait son frein. En bas, dans la galerie du fond, se formaient les trains que les chevaux roulaient jusqu'au puits. - OhĂ©! sacrĂ©es rosses! criait Catherine dans le plan, entiĂšrement boisĂ©, long d'une centaine de mĂštres, qui rĂ©sonnait comme un porte-voix gigantesque. Les galibots devaient se reposer, car ils ne rĂ©pondaient ni l'un ni l'autre. A tous les Ă©tages, le roulage s'arrĂÂȘta. Une voix grĂÂȘle de fillette finit par dire - Y en a un sur la Mouquette, bien sĂ»r! Des rires Ă©normes grondĂšrent, les herscheuses de toute la veine se tenaient le ventre. - Qui est-ce? demanda Etienne Ă Catherine. Cette derniĂšre lui nomma la petite Lydie, une galopine qui en savait plus long et qui poussait sa berline aussi raide qu'une femme, malgrĂ© ses bras de poupĂ©e. Quant Ă la Mouquette, elle Ă©tait bien capable d'ĂÂȘtre avec les deux galibots Ă la fois. Mais la voix du receveur monta, criant d'emballer. Sans doute, un porion passait en bas. Le roulage reprit aux neuf Ă©tages, on n'entendit plus que les appels rĂ©guliers des galibots et que l'Ă©brouement des herscheuses arrivant au plan, fumantes comme des juments trop chargĂ©es. C'Ă©tait le coup de la bestialitĂ© qui soufflait dans la fosse, le dĂ©sir subit du mĂÂąle, lorsqu'un mineur rencontrait une de ces filles Ă quatre pattes, les reins en l'air, crevant de ses hanches sa culotte de garçon. Et, Ă chaque voyage, Etienne retrouvait au fond l'Ă©touffement de la taille, la cadence sourde et brisĂ©e des rivelaines, les grands soupirs douloureux des haveurs s'obstinant Ă leur besogne. Tous les quatre s'Ă©taient mis nus, confondus dans la houille, trempĂ©s d'une boue noire jusqu'au bĂ©guin. Un moment, il avait fallu dĂ©gager Maheu qui rĂÂąlait, ĂÂŽter les planches pour faire glisser le charbon sur la voie. Zacharie et Levaque s'emportaient contre la veine, qui devenait dure, disaient-ils, ce qui allait rendre les conditions de leur marchandage dĂ©sastreuses. Chaval se tournait, restait un instant sur le dos, Ă injurier Etienne, dont la prĂ©sence, dĂ©cidĂ©ment, l'exaspĂ©rait. - EspĂšce de couleuvre! ça n'a pas la force d'une fille!... Et veux-tu remplir ta berline! Hein? c'est pour mĂ©nager tes bras... Nom de Dieu! je te retiens les dix sous, si tu nous en fais refuser une! Le jeune homme Ă©vitait de rĂ©pondre, trop heureux jusque-lĂ d'avoir trouvĂ© ce travail de bagne, acceptant la brutale hiĂ©rarchie du manoeuvre et du maĂtre ouvrier. Mais il n'allait plus, les pieds en sang, les membres tordus de crampes atroces, le tronc serrĂ© dans une ceinture de fer. Heureusement, il Ă©tait dix heures, le chantier se dĂ©cida Ă dĂ©jeuner. Maheu avait une montre qu'il ne regarda mĂÂȘme pas. Au fond de cette nuit sans astres, jamais il ne se trompait de cinq minutes. Tous remirent leur chemise et leur veste. Puis, descendus de la taille, ils s'accroupirent, les coudes aux flancs, les fesses sur leurs talons, dans cette posture si habituelle aux mineurs, qu'ils la gardent mĂÂȘme hors de la mine, sans Ă©prouver le besoin d'un pavĂ© ou d'une poutre pour s'asseoir. Et chacun, ayant sorti son briquet, mordait gravement Ă l'Ă©paisse tranche, en lĂÂąchant de rares paroles sur le travail de la matinĂ©e. Catherine, demeurĂ©e debout, finit par rejoindre Etienne, qui s'Ă©tait allongĂ© plus loin, en travers des rails, le dos contre les bois. Il y avait lĂ une place Ă peu prĂšs sĂšche. - Tu ne manges pas? demanda-t-elle, la bouche pleine, son briquet Ă la main. Puis, elle se rappela ce garçon errant dans la nuit, sans un sou, sans un morceau de pain peut-ĂÂȘtre. - Veux-tu partager avec moi? Et, comme il refusait, en jurant qu'il n'avait pas faim, la voix tremblante du dĂ©chirement de son estomac, elle continua gaiement - Ah! si tu es dĂ©goĂ»tĂ©!... Mais, tiens! je n'ai mordu que de ce cĂÂŽtĂ©-ci, je vais te donner celui-lĂ . DĂ©jĂ , elle avait rompu les tartines en deux. Le jeune homme, prenant sa moitiĂ©, se retint pour ne pas la dĂ©vorer d'un coup; et il posait les bras sur ses cuisses, afin qu'elle n'en vĂt point le frĂ©missement. De son air tranquille de bon camarade, elle venait de se coucher prĂšs de lui, Ă plat ventre, le menton dans une main, mangeant de l'autre avec lenteur. Leurs lampes, entre eux, les Ă©clairaient. Catherine le regarda un moment en silence. Elle devait le trouver joli, avec son visage fin et ses moustaches noires. Vaguement, elle souriait de plaisir. - Alors, tu es machineur, et on t'a renvoyĂ© de ton chemin de fer... Pourquoi? - Parce que j'avais giflĂ© mon chef. Elle demeura stupĂ©faite, bouleversĂ©e dans ses idĂ©es hĂ©rĂ©ditaires de subordination, d'obĂ©issance passive. - Je dois dire que j'avais bu, continua-t-il, et quand je bois, cela me rend fou, je me mangerais et je mangerais les autres... Oui, je ne peux pas avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un homme... Ensuite, je suis malade pendant deux jours. - Il ne faut pas boire, dit-elle sĂ©rieusement. - Ah! n'aie pas peur, je me connais! Et il hochait la tĂÂȘte, il avait une haine de l'eau-de-vie, la haine du dernier enfant d'une race d'ivrognes, qui souffrait dans sa chair de toute cette ascendance trempĂ©e et dĂ©traquĂ©e d'alcool, au point que la moindre goutte en Ă©tait devenue pour lui un poison. - C'est Ă cause de maman que ça m'ennuie d'avoir Ă©tĂ© mis Ă la rue, dit-il aprĂšs avoir avalĂ© une bouchĂ©e. Maman n'est pas heureuse, et je lui envoyais de temps Ă autre une piĂšce de cent sous. - OĂÂč est-elle donc, ta mĂšre? - A Paris... Blanchisseuse, rue de la Goutte-d'Or. Il y eut un silence. Quand il pensait Ă ces choses, un vacillement pĂÂąlissait ses yeux noirs, la courte angoisse de la lĂ©sion dont il couvait l'inconnu, dans sa belle santĂ© de jeunesse. Un instant, il resta les regards noyĂ©s au fond des tĂ©nĂšbres de la mine; et, Ă cette profondeur, sous le poids et l'Ă©touffement de la terre, il revoyait son enfance, sa mĂšre jolie encore et vaillante, lĂÂąchĂ©e par son pĂšre, puis reprise aprĂšs s'ĂÂȘtre mariĂ©e Ă un autre, vivant entre les deux hommes qui la mangeaient, roulant avec eux au ruisseau, dans le vin, dans l'ordure. C'Ă©tait lĂ -bas, il se rappelait la rue, des dĂ©tails lui revenaient le linge sale au milieu de la boutique, et des ivresses qui empuantissaient la maison, et des gifles Ă casser les mĂÂąchoires. - Maintenant, reprit-il d'une voix lente, ce n'est pas avec trente sous que je pourrai lui faire, des cadeaux... Elle va crever de misĂšre, c'est sĂ»r. Il eut un haussement d'Ă©paules dĂ©sespĂ©rĂ©, il mordit de nouveau dans sa tartine. - Veux-tu boire? demanda Catherine qui dĂ©bouchait sa gourde. Oh! c'est du cafĂ©, ça ne te fera pas de mal... On Ă©touffe, quand on avale comme ça. Mais il refusa c'Ă©tait bien assez de lui avoir pris la moitiĂ© de son pain. Pourtant, elle insistait d'un air de bon coeur, elle finit par dire - Eh bien! je bois avant toi, puisque tu es si poli... Seulement, tu ne peux plus refuser Ă prĂ©sent, ce serait vilain. Et elle lui tendit sa gourde. Elle s'Ă©tait relevĂ©e sur les genoux, il la voyait tout prĂšs de lui, Ă©clairĂ©e par les deux lampes. Pourquoi donc l'avait-il trouvĂ©e laide? Maintenant qu'elle Ă©tait noire, la face poudrĂ©e de charbon fin, elle lui semblait d'un charme singulier. Dans ce visage envahi d'ombre, les dents de la bouche trop grande Ă©clataient de blancheur, les yeux s'Ă©largissaient, luisaient avec un reflet verdĂÂątre, pareils Ă des yeux de chatte. Une mĂšche des cheveux roux, qui s'Ă©tait Ă©chappĂ©e du bĂ©guin, lui chatouillait l'oreille et la faisait rire. Elle ne paraissait plus si jeune, elle pouvait bien avoir quatorze ans tout de mĂÂȘme. - Pour te faire plaisir, dit-il, en buvant et en lui rendant la gourde. Elle avala une seconde gorgĂ©e, le força Ă en prendre une aussi, voulant partager, disait-elle; et ce goulot mince, qui allait d'une bouche Ă l'autre, les amusait. Lui, brusquement, s'Ă©tait demandĂ© s'il ne devait pas la saisir dans ses bras, pour la baiser sur les lĂšvres. Elle avait de grosses lĂšvres d'un rose pĂÂąle, avivĂ©es par le charbon, qui le tourmentaient d'une envie croissante. Mais il n'osait pas, intimidĂ© devant elle, n'ayant eu Ă Lille que des filles, et de l'espĂšce la plus basse, ignorant comment on devait s'y prendre avec une ouvriĂšre encore dans sa famille. - Tu dois avoir quatorze ans alors? demanda-t-il, aprĂšs s'ĂÂȘtre remis Ă son pain. Elle s'Ă©tonna, se fĂÂącha presque. - Comment! quatorze! mais j'en ai quinze!... C'est vrai, je ne suis pas grosse. Les filles, chez nous, ne poussent guĂšre vite. Il continua Ă la questionner, elle disait tout, sans effronterie ni honte. Du reste, elle n'ignorait rien de l'homme ni de la femme, bien qu'il la sentĂt vierge de corps, et vierge enfant, retardĂ©e dans la maturitĂ© de son sexe par le milieu de mauvais air et de fatigue oĂÂč elle vivait. Quand il revint sur la Mouquette, pour l'embarrasser, elle conta des histoires Ă©pouvantables, la voix paisible, trĂšs Ă©gayĂ©e. Ah! celle-lĂ en faisait de belles! Et, comme il dĂ©sirait savoir si elle-mĂÂȘme n'avait pas d'amoureux, elle rĂ©pondit en plaisantant qu'elle ne voulait pas contrarier sa mĂšre, mais que cela arriverait forcĂ©ment un jour. Ses Ă©paules s'Ă©taient courbĂ©es, elle grelottait un peu dans le froid de ses vĂÂȘtements trempĂ©s de sueur, la mine rĂ©signĂ©e et douce, prĂÂȘte Ă subir les choses et les hommes. - C'est qu'on en trouve, des amoureux, quand on vit tous ensemble, n'est-ce pas? - Bien sĂ»r. - Et puis, ça ne fait du mal Ă personne... On ne dit rien au curĂ©. - Oh! le curĂ©, je m'en fiche!... Mais il y a l'Homme noir. - Comment, l'Homme noir? - Le vieux mineur qui revient dans la fosse et qui tord le cou aux vilaines filles. Il la regardait, craignant qu'elle ne se moquĂÂąt de lui. - Tu crois Ă ces bĂÂȘtises, tu ne sais donc rien? - Si fait, moi, je sais lire et Ă©crire... Ca rend service chez nous, car du temps de papa et de maman, on n'apprenait pas. Elle Ă©tait dĂ©cidĂ©ment trĂšs gentille. Quand elle aurait fini sa tartine, il la prendrait et la baiserait sur ses grosses lĂšvres roses. C'Ă©tait une rĂ©solution de timide, une pensĂ©e de violence qui Ă©tranglait sa voix. Ces vĂÂȘtements de garçon, cette veste et cette culotte sur cette chair de fille, l'excitaient et le gĂÂȘnaient. Lui, avait avalĂ© sa derniĂšre bouchĂ©e. Il but Ă la gourde, la lui rendit pour qu'elle la vidĂÂąt. Maintenant, le moment d'agir Ă©tait venu, et il jetait un coup d'oeil inquiet vers les mineurs, au fond, lorsqu'une ombre boucha la galerie. Depuis un instant, Chaval, debout, les regardait de loin. Il s'avança, s'assura que Maheu ne pouvait le voir; et, comme Catherine Ă©tait restĂ©e Ă terre, sur son sĂ©ant, il l'empoigna par les Ă©paules, lui renversa la tĂÂȘte, lui Ă©crasa la bouche sous un baiser brutal, tranquillement, en affectant de ne pas se prĂ©occuper d'Etienne. Il y avait, dans ce baiser, une prise de possession, une sorte de dĂ©cision jalouse. Cependant, la jeune fille s'Ă©tait rĂ©voltĂ©e. - Laisse-moi, entends-tu! Il lui maintenait la tĂÂȘte, il la regardait au fond des yeux. Ses moustaches et sa barbiche rouges flambaient dans son visage noir, au grand nez en bec d'aigle. Et il la lĂÂącha enfin, et il s'en alla, sans dire un mot. Un frisson avait glacĂ© Etienne. C'Ă©tait stupide d'avoir attendu. Certes, non, Ă prĂ©sent, il ne l'embrasserait pas, car elle croirait peut-ĂÂȘtre qu'il voulait faire comme l'autre. Dans sa vanitĂ© blessĂ©e, il Ă©prouvait un vĂ©ritable dĂ©sespoir. - Pourquoi as-tu menti? dit-il Ă voix basse. C'est ton amoureux. - Mais non, je te jure! cria-t-elle. Il n'y a pas ça entre nous. Des fois, il veut rire... MĂÂȘme qu'il n'est pas d'ici, voilĂ six mois qu'il est arrivĂ© du Pas-de-Calais. Tous deux s'Ă©taient levĂ©s, on allait se remettre au travail. Quand elle le vit si froid, elle parut chagrine. Sans doute, elle le trouvait plus joli que l'autre, elle l'aurait prĂ©fĂ©rĂ© peut-ĂÂȘtre. L'idĂ©e d'une amabilitĂ©, d'une consolation la tracassait; et, comme le jeune homme, Ă©tonnĂ©, examinait sa lampe qui brĂ»lait bleue, avec une large collerette pale, elle tenta au moins de le distraire. - Viens, que je te montre quelque chose, murmura-t-elle d'un air de bonne amitiĂ©. Lorsqu'elle l'eut menĂ© au fond de la taille, elle lui fit remarquer une crevasse, dans la houille. Un lĂ©ger bouillonnement s'en Ă©chappait, un petit bruit, pareil Ă un sifflement d'oiseau. - Mets ta main, tu sens le vent... C'est du grisou. Il resta surpris. Ce n'Ă©tait que ça, cette terrible chose qui faisait tout sauter? Elle riait, elle disait qu'il y en avait beaucoup ce jour-lĂ , pour que la flamme des lampes fĂ»t si bleue. - Quand vous aurez fini de bavarder, fainĂ©ants! cria la rude voix de Maheu. Catherine et Etienne se hĂÂątĂšrent de remplir leurs berlines et les poussĂšrent au plan inclinĂ©, l'Ă©chine raidie, rampant sous le toit bossuĂ© de la voie. DĂšs le second voyage, la sueur les inondait et leurs os craquaient de nouveau. Dans la taille, le travail des haveurs avait repris. Souvent, ils abrĂ©geaient le dĂ©jeuner, pour ne pas se refroidir; et leurs briquets, mangĂ©s aussi loin du soleil, avec une voracitĂ© muette, leur chargeaient de plomb l'estomac. AllongĂ©s sur le flanc, ils tapaient plus fort, ils n'avaient que l'idĂ©e fixe de complĂ©ter un gros nombre de berlines. Tout disparaissait dans cette rage du gain disputĂ© si rudement. Ils cessaient de sentir l'eau qui ruisselait et enflait leurs membres, les crampes des attitudes forcĂ©es, l'Ă©touffement des tĂ©nĂšbres, oĂÂč ils blĂÂȘmissaient ainsi que des plantes mises en cave. Pourtant, Ă mesure que la journĂ©e s'avançait, l'air s'empoisonnait davantage, se chauffait de la fumĂ©e des lampes, de la pestilence des haleines, de l'asphyxie du grisou, gĂÂȘnant sur les yeux comme des toiles d'araignĂ©e, et que devait seul balayer l'aĂ©rage de la nuit. Eux, au fond de leur trou de taupe, sous le poids de la terre, n'ayant plus de souffle dans leurs poitrines embrasĂ©es, tapaient toujours. I, V Maheu, sans regarder Ă sa montre laissĂ©e dans sa veste, s'arrĂÂȘta et dit - BientĂÂŽt une heure... Zacharie, est-ce fait? Le jeune homme boisait depuis un instant. Au milieu de sa besogne, il Ă©tait restĂ© sur le dos, les yeux vagues, rĂÂȘvassant aux parties de crosse qu'il avait faites la veille. Il s'Ă©veilla, il rĂ©pondit - Oui, ça suffira, on verra demain. Et il retourna prendre sa place Ă la taille. Levaque et Chaval, eux aussi, lĂÂąchaient la rivelaine. Il y eut un repos. Tous s'essuyaient le visage sur leurs bras nus, en regardant la roche du toit, dont les masses schisteuses se fendillaient. Ils ne causaient guĂšre que de leur travail. - Encore une chance, murmura Chaval, d'ĂÂȘtre tombĂ© sur des terres qui dĂ©boulent!... Ils n'ont pas tenu compte de ça, dans le marchandage. - Des filous! grogna Levaque. Ils ne cherchent qu'Ă nous foutre dedans. Zacharie se mit Ă rire. Il se fichait du travail et du reste, mais ça l'amusait d'entendre empoigner la Compagnie. De son air placide, Maheu expliqua que la nature des terrains changeait tous les vingt mĂštres. Il fallait ĂÂȘtre juste, on ne pouvait rien prĂ©voir. Puis, les deux autres continuant Ă dĂ©blatĂ©rer contre les chefs, il devint inquiet, il regarda autour de lui. - Chut! en voilĂ assez! - Tu as raison, dit Levaque, qui baissa Ă©galement la voix. C'est malsain. Une obsession des mouchards les hantait, mĂÂȘme Ă cette profondeur, comme si la houille des actionnaires, encore dans la veine, avait eu des oreilles. - N'empĂÂȘche, ajouta trĂšs haut Chaval d'un air de dĂ©fi, que si ce cochon de Dansaert me parle sur le ton de l'autre jour, je lui colle une brique dans le ventre... Je ne l'empĂÂȘche pas, moi, de se payer les blondes qui ont la peau fine. Cette fois, Zacharie Ă©clata. Les amours du maĂtre-porion et de la Pierronne Ă©taient la continuelle plaisanterie de la fosse. Catherine elle-mĂÂȘme, appuyĂ©e sur sa pelle, en bas de la taille, se tint les cĂÂŽtes et mit d'une phrase Etienne au courant; tandis que Maheu se fĂÂąchait, pris d'une peur qu'il ne cachait plus. - Hein? tu vas te taire!... Attends d'ĂÂȘtre tout seul, si tu veux qu'il t'arrive du mal. Il parlait encore, lorsqu'un bruit de pas vint de la galerie supĂ©rieure. Presque aussitĂÂŽt, l'ingĂ©nieur de la fosse, le petit NĂ©grel, comme les ouvriers le nommaient entre eux, parut en haut de la taille, accompagnĂ© de Dansaert, le maĂtre-porion. - Quand je le disais! murmura Maheu. Il y en a toujours lĂ , qui sortent de la terre. Paul NĂ©grel, neveu de M. Hennebeau, Ă©tait un garçon de vingt-six ans, mince et joli, avec des cheveux frisĂ©s et des moustaches brunes. Son nez pointu, ses yeux vifs, lui donnaient un air de furet aimable, d'une intelligence sceptique, qui se changeait en une autoritĂ© cassante, dans ses rapports avec les ouvriers. Il Ă©tait vĂÂȘtu comme eux, barbouillĂ© comme eux de charbon; et, pour les rĂ©duire au respect, il montrait un courage Ă se casser les os, passant par les endroits les plus difficiles, toujours le premier sous les Ă©boulements et dans les coups de grisou. - Nous y sommes, n'est-ce pas? Dansaert, demanda-t-il. Le maĂtre-porion, un Belge Ă face Ă©paisse, au gros nez sensuel, rĂ©pondit avec une politesse exagĂ©rĂ©e - Oui, monsieur NĂ©grel... Voici l'homme qu'on a embauchĂ© ce matin. Tous deux s'Ă©taient laissĂ©s glisser au milieu de la taille. On fit monter Etienne. L'ingĂ©nieur leva sa lampe, le regarda, sans le questionner. - C'est bon, dit-il enfin. Je n'aime guĂšre qu'on ramasse des inconnus sur les routes... Surtout, ne recommencez pas. Et il n'Ă©couta point les explications qu'on lui donnait, les nĂ©cessitĂ©s du travail, le dĂ©sir de remplacer les femmes par des garçons, pour le roulage. Il s'Ă©tait mis Ă Ă©tudier le toit, pendant que les haveurs reprenaient leurs rivelaines. Tout d'un coup, il s'Ă©cria - Dites donc, Maheu, est-ce que vous vous fichez du monde!... Vous allez tous y rester, nom d'un chien! - Oh! c'est solide, rĂ©pondit tranquillement l'ouvrier. - Comment! solide!... Mais la roche tasse dĂ©jĂ , et vous plantez des bois Ă plus de deux mĂštres, d'un air de regret! Ah! vous ĂÂȘtes bien tous les mĂÂȘmes, vous vous laisseriez aplatir le crĂÂąne, plutĂÂŽt que de lĂÂącher la veine, pour mettre au boisage le temps voulu!... Je vous prie de m'Ă©tayer ça sur-le-champ. Doublez les bois, entendez-vous! Et, devant le mauvais vouloir des mineurs qui discutaient, en disant qu'ils Ă©taient bons juges de leur sĂ©curitĂ©, il s'emporta. - Allons donc! quand vous aurez la tĂÂȘte broyĂ©e, est-ce que c'est vous qui en supporterez les consĂ©quences? Pas du tout! ce sera la Compagnie, qui devra vous faire des pensions, Ă vous ou Ă vos femmes... Je vous rĂ©pĂšte qu'on vous connaĂt pour avoir deux berlines de plus le soir, vous donneriez vos peaux. Maheu, malgrĂ© la colĂšre dont il Ă©tait peu Ă peu gagnĂ©, dit encore posĂ©ment - Si l'on nous payait assez, nous boiserions mieux. L'ingĂ©nieur haussa les Ă©paules, sans rĂ©pondre. Il avait achevĂ© de descendre le long de la taille, il conclut seulement d'en bas - Il vous reste une heure, mettez-vous tous Ă la besogne; et je vous avertis que le chantier a trois francs d'amende. Un sourd grognement des haveurs accueillit ces paroles. La force de la hiĂ©rarchie les retenait seule, cette hiĂ©rarchie militaire qui, du galibot au maĂtre-porion, les courbait les uns sous les autres. Chaval et Levaque pourtant eurent un geste furieux, tandis que Maheu les modĂ©rait du regard et que Zacharie haussait gouailleusement les Ă©paules. Mais Etienne Ă©tait peut-ĂÂȘtre le plus frĂ©missant. Depuis qu'il se trouvait au fond de cet enfer, une rĂ©volte lente le soulevait. Il regarda Catherine rĂ©signĂ©e, l'Ă©chine basse. Etait-ce possible qu'on se tuĂÂąt Ă une si dure besogne dans ces tĂ©nĂšbres mortelles, et qu'on n'y gagnĂÂąt mĂÂȘme pas les quelques sous du pain quotidien? Cependant NĂ©grel s'en allait avec Dansaert, qui s'Ă©tait contentĂ© d'approuver d'un mouvement continu de la tĂÂȘte. Et leurs voix, de nouveau, s'Ă©levĂšrent ils venaient de s'arrĂÂȘter encore, ils examinaient le boisage de la galerie, dont les haveurs avaient l'entretien sur une longueur de dix mĂštres, en arriĂšre de la taille. - Quand je vous dis qu'ils se fichent du monde! criait l'ingĂ©nieur. Et vous, nom d'un chien! vous ne surveillez donc pas? - Mais si, mais si, balbutiait le maĂtre-porion. On est las de leur rĂ©pĂ©ter les choses. NĂ©grel appela violemment - Maheu! Maheu! Tous descendirent. Il continuait - Voyez ça, est-ce que ça tient?... C'est bĂÂąti comme quatre sous. VoilĂ un chapeau que les moutons ne portent dĂ©jĂ plus, tellement on l'a posĂ© Ă la hĂÂąte... Pardi! je comprends que le raccommodage nous coĂ»te si cher. N'est-ce pas? Pourvu que ça dure tant que vous en avez la responsabilitĂ©! Et puis tout casse, et la Compagnie est forcĂ©e d'avoir une armĂ©e de raccommodeurs... Regardez un peu lĂ -bas, c'est un vrai massacre. Chaval voulut parler, mais il le fit taire. - Non, je sais ce que vous allez dire encore. Qu'on vous paie davantage, hein? Eh bien! je vous prĂ©viens que vous forcerez la Direction Ă faire une chose oui, on vous paiera le boisage Ă part, et l'on rĂ©duira proportionnellement le prix de la berline. Nous verrons si vous y gagnerez... En attendant, reboisez-moi ça tout de suite. Je passerai demain. Et, dans le saisissement causĂ© par sa menace, il s'Ă©loigna. Dansaert, si humble devant lui, resta en arriĂšre quelques secondes, pour dire brutalement aux ouvriers - Vous me faites empoigner, vous autres... Ce n'est pas trois francs d'amende que je vous flanquerai, moi! Prenez garde! Alors, quand il fut parti, Maheu Ă©clata Ă son tour. - Nom de Dieu! ce qui n'est pas juste n'est pas juste. Moi, j'aime qu'on soit calme, parce que c'est la seule façon de s'entendre; mais, Ă la fin, ils vous rendraient enragĂ©s... Avez-vous entendu? La berline baissĂ©e, et le boisage Ă part! encore une façon de nous payer moins!... Nom de Dieu de nom de Dieu! Il cherchait quelqu'un sur qui tomber, lorsqu'il aperçut Catherine et Etienne, les bras ballants. - Voulez-vous bien me donner des bois! Est-ce que ça vous regarde?... Je vas vous allonger mon pied quelque part. Etienne alla se charger, sans rancune de cette rudesse, si furieux lui-mĂÂȘme contre les chefs, qu'il trouvait les mineurs trop bons enfants. Du reste, Levaque et Chaval s'Ă©taient soulagĂ©s en gros mots. Tous, mĂÂȘme Zacharie, boisaient rageusement. Pendant prĂšs d'une demi-heure, on n'entendit que le craquement des bois, calĂ©s Ă coups de masse. Ils n'ouvraient plus la bouche, ils soufflaient, s'exaspĂ©raient contre la roche, qu'ils auraient bousculĂ©e et remontĂ©e d'un renfoncement d'Ă©paules, s'ils l'avaient pu. - En voilĂ assez! dit enfin Maheu, brisĂ© de colĂšre et de fatigue. Une heure et demie... Ah! une propre journĂ©e, nous n'aurons pas cinquante sous!... Je m'en vais, ça me dĂ©goĂ»te. Bien qu'il y eĂ»t encore une demi-heure de travail, il se rhabilla. Les autres l'imitĂšrent. La vue seule de la taille les jetait hors d'eux. Comme la herscheuse s'Ă©tait remise au roulage, ils l'appelĂšrent en s'irritant de son zĂšle si le charbon avait des pieds, il sortirait tout seul. Et les six, leurs outils sous le bras, partirent, ayant Ă refaire les deux kilomĂštres, retournant au puits par la route du matin. Dans la cheminĂ©e, Catherine et Etienne s'attardĂšrent, tandis que les haveurs glissaient jusqu'en bas. C'Ă©tait une rencontre, la petite Lydie, arrĂÂȘtĂ©e au milieu d'une voie pour les laisser passer, et qui leur racontait une disparition de la Mouquette, prise d'un tel saignement de nez, que depuis une heure elle Ă©tait allĂ©e se tremper la figure quelque part, on ne savait pas oĂÂč. Puis, quand ils la quittĂšrent, l'enfant poussa de nouveau sa berline, Ă©reintĂ©e, boueuse, raidissant ses bras et ses jambes d'insecte, pareille Ă une maigre fourmi noire en lutte contre un fardeau trop lourd. Eux, dĂ©valaient sur le dos, aplatissaient leurs Ă©paules, de peur de s'arracher la peau du front; et ils filaient si raide, le long de la roche polie par tous les derriĂšres des chantiers, qu'ils devaient, de temps Ă autre, se retenir aux bois, pour que leurs fesses ne prissent pas feu, disaient-ils en plaisantant. En bas, ils se trouvĂšrent seuls. Des Ă©toiles rouges disparaissaient au loin, Ă un coude de la galerie. Leur gaietĂ© tomba, ils se mirent en marche d'un pas lourd de fatigue, elle devant, lui derriĂšre. Les lampes charbonnaient, il la voyait Ă peine, noyĂ©e d'une sorte de brouillard fumeux; et l'idĂ©e qu'elle Ă©tait une fille lui causait un malaise, parce qu'il se sentait bĂÂȘte de ne pas l'embrasser, et que le souvenir de l'autre l'en empĂÂȘchait. AssurĂ©ment, elle lui avait menti l'autre Ă©tait son amant, ils couchaient ensemble sur tous les tas d'escaillage, car elle avait dĂ©jĂ le dĂ©hanchement d'une gueuse. Sans raison, il la boudait, comme si elle l'eĂ»t trompĂ©. Elle pourtant, Ă chaque minute, se tournait, l'avertissait d'un obstacle, semblait l'inviter Ă ĂÂȘtre aimable. On Ă©tait si perdu, on aurait si bien pu rire en bons amis! Enfin, ils dĂ©bouchĂšrent dans la galerie de roulage, ce fut pour lui un soulagement Ă l'indĂ©cision dont il souffrait; tandis qu'elle, une derniĂšre fois, eut un regard attristĂ©, le regret d'un bonheur qu'ils ne retrouveraient plus. Maintenant, autour d'eux, la vie souterraine grondait, avec le continuel passage des porions, le va-et-vient des trains, emportĂ©s au trot des chevaux. Sans cesse, des lampes Ă©toilaient la nuit. Ils devaient s'effacer contre la roche, laisser la voie Ă des ombres d'hommes et de bĂÂȘtes, dont ils recevaient l'haleine au visage. Jeanlin, courant pieds nus derriĂšre son train, leur cria une mĂ©chancetĂ© qu'ils n'entendirent pas, dans le tonnerre des roues. Ils allaient toujours, elle silencieuse Ă prĂ©sent, lui ne reconnaissant pas les carrefours ni les rues du matin, s'imaginant qu'elle le perdait de plus en plus sous la terre; et ce dont il souffrait surtout, c'Ă©tait du froid, un froid grandissant qui l'avait pris au sortir de la taille, et qui le faisait grelotter davantage, Ă mesure qu'il se rapprochait du puits. Entre les muraillements Ă©troits, la colonne d'air soufflait de nouveau en tempĂÂȘte. Ils dĂ©sespĂ©raient d'arriver jamais, lorsque, brusquement, ils se trouvĂšrent dans la salle de l'accrochage. Chaval leur jeta un regard oblique, la bouche froncĂ©e de mĂ©fiance. Les autres Ă©taient lĂ , en sueur, dans le courant glacĂ©, muets comme lui, ravalant des grondements de colĂšre. Ils arrivaient trop tĂÂŽt, on refusait de les remonter avant une demi-heure, d'autant plus qu'on faisait des manoeuvres compliquĂ©es, pour la descente d'un cheval. Les chargeurs emballaient encore des berlines, avec un bruit assourdissant de ferrailles remuĂ©es, et les cages s'envolaient, disparaissaient dans la pluie battante qui tombait du trou noir. En bas, le bougnou, un puisard de dix mĂštres, empli de ce ruissellement, exhalait lui aussi son humiditĂ© vaseuse. Des hommes tournaient sans cesse autour du puits, tiraient les cordes des signaux, pesaient sur les bras des leviers, au milieu de cette poussiĂšre d'eau dont leurs vĂÂȘtements se trempaient. La clartĂ© rougeĂÂątre des trois lampes Ă feu libre, dĂ©coupant de grandes ombres mouvantes, donnait Ă cette salle souterraine un air de caverne scĂ©lĂ©rate, quelque forge de bandits, voisine d'un torrent. Maheu tenta un dernier effort. Il s'approcha de Pierron, qui avait pris son service Ă six heures. - Voyons, tu peux bien nous laisser monter. Mais le chargeur, un beau garçon, aux membres forts et au visage doux, refusa d'un geste effrayĂ©. - Impossible, demande au porion... On me mettrait Ă l'amende. De nouveaux grondements furent Ă©touffĂ©s. Catherine se pencha, dit Ă l'oreille d'Etienne - Viens donc voir l'Ă©curie. C'est lĂ qu'il fait bon! Et ils durent s'Ă©chapper sans ĂÂȘtre vus, car il Ă©tait dĂ©fendu d'y aller. Elle se trouvait Ă gauche, au bout d'une courte galerie. Longue de vingt-cinq mĂštres, haute de quatre, taillĂ©e dans le roc et voĂ»tĂ©e en briques, elle pouvait contenir vingt chevaux. Il y faisait bon en effet, une bonne chaleur de bĂÂȘtes vivantes, une bonne odeur de litiĂšre fraĂche, tenue proprement. L'unique lampe avait une lueur calme de veilleuse. Des chevaux au repos tournaient la tĂÂȘte, avec leurs gros yeux d'enfants, puis se remettaient Ă leur avoine, sans hĂÂąte, en travailleurs gras et bien portants, aimĂ©s de tout le monde. Mais, comme Catherine lisait Ă voix haute les noms, sur les plaques de zinc, au-dessus des mangeoires, elle eut un lĂ©ger cri, en voyant un corps se dresser brusquement devant elle. C'Ă©tait la Mouquette, effarĂ©e, qui sortait d'un tas de paille, oĂÂč elle dormait. Le lundi, lorsqu'elle Ă©tait trop lasse des farces du dimanche, elle se donnait un violent coup de poing sur le nez, quittait sa taille sous le prĂ©texte d'aller chercher de l'eau, et venait s'enfouir lĂ , avec les bĂÂȘtes, dans la litiĂšre chaude. Son pĂšre, d'une grande faiblesse pour elle, la tolĂ©rait, au risque d'avoir des ennuis. Justement, le pĂšre Mouque entra, court, chauve, ravagĂ©, mais restĂ© gros quand mĂÂȘme, ce qui Ă©tait rare chez un ancien mineur de cinquante ans. Depuis qu'on en avait fait un palefrenier, il chiquait Ă un tel point, que ses gencives saignaient dans sa bouche noire. En apercevant les deux autres avec sa fille, il se fĂÂącha. - Qu'est-ce que vous fichez lĂ , tous? Allons, houp! bougresses qui m'amenez un homme ici!... C'est propre de venir faire vos saletĂ©s dans ma paille. Mouquette trouvait ça drĂÂŽle, se tenait le ventre. Mais Etienne, gĂÂȘnĂ©, s'en alla, tandis que Catherine lui souriait. Comme tous trois retournaient Ă l'accrochage, BĂ©bert et Jeanlin y arrivaient aussi, avec un train de berlines. Il y eut un arrĂÂȘt pour la manoeuvre des cages, et la jeune fille s'approcha de leur cheval, le caressa de la main, en parlant de lui Ă son compagnon. C'Ă©tait Bataille, le doyen de la mine, un cheval blanc qui avait dix ans de fond. Depuis dix ans, il vivait dans ce trou, occupant le mĂÂȘme coin de l'Ă©curie, faisant la mĂÂȘme tĂÂąche le long des galeries noires, sans avoir jamais revu le jour. TrĂšs gras, le poil luisant, l'air bonhomme, il semblait y couler une existence de sage, Ă l'abri des malheurs de lĂ -haut. Du reste, dans les tĂ©nĂšbres, il Ă©tait devenu d'une grande malignitĂ©. La voie oĂÂč il travaillait avait fini par lui ĂÂȘtre si familiĂšre, qu'il poussait de la tĂÂȘte les portes d'aĂ©rage, et qu'il se baissait, afin de ne pas se cogner, aux endroits trop bas. Sans doute aussi il comptait ses tours, car lorsqu'il avait fait le nombre rĂ©glementaire de voyages, il refusait d'en recommencer un autre, on devait le reconduire Ă sa mangeoire. Maintenant, l'ĂÂąge venait, ses yeux de chat se voilaient parfois d'une mĂ©lancolie. Peut-ĂÂȘtre revoyait-il vaguement, au fond de ses rĂÂȘvasseries obscures, le moulin oĂÂč il Ă©tait nĂ©, prĂšs de Marchiennes, un moulin plantĂ© sur le bord de la Scarpe, entourĂ© de larges verdures, toujours Ă©ventĂ© par le vent. Quelque chose brĂ»lait en l'air, une lampe Ă©norme, dont le souvenir exact Ă©chappait Ă sa mĂ©moire de bĂÂȘte. Et il restait la tĂÂȘte basse, tremblant sur ses vieux pieds, faisant d'inutiles efforts pour se rappeler le soleil. Cependant, les manoeuvres continuaient dans le puits, le marteau des signaux avait tapĂ© quatre coups, on descendait le cheval; et c'Ă©tait toujours une Ă©motion, car il arrivait parfois que la bĂÂȘte, saisie d'une telle Ă©pouvante, dĂ©barquait morte. En haut, liĂ© dans un filet, il se dĂ©battait Ă©perdument; puis, dĂšs qu'il sentait le sol manquer sous lui, il restait comme pĂ©trifiĂ©, il disparaissait sans un frĂ©missement de la peau, l'oeil agrandi et fixe. Celui-ci Ă©tant trop gros pour passer entre les guides, on avait dĂ», en l'accrochant au-dessous de la cage, lui rabattre et lui attacher la tĂÂȘte sur le flanc. La descente dura prĂšs de trois minutes, on ralentissait la machine par prĂ©caution. Aussi, en bas, l'Ă©motion grandissait-elle. Quoi donc? Est-ce qu'on allait le laisser en route, pendu dans le noir? Enfin, il parut, avec son immobilitĂ© de pierre, son oeil fixe, dilatĂ© de terreur. C'Ă©tait un cheval bai, de trois ans Ă peine, nommĂ© Trompette. - Attention! criait le pĂšre Mouque, chargĂ© de le recevoir. Amenez-le, ne le dĂ©tachez pas encore. BientĂÂŽt, Trompette fut couchĂ© sur les dalles de fonte, comme une masse. Il ne bougeait toujours pas, il semblait dans le cauchemar de ce trou obscur, infini, de cette salle profonde, retentissante de vacarme. On commençait Ă le dĂ©lier, lorsque Bataille, dĂ©telĂ© depuis un instant, s'approcha, allongea le cou pour flairer ce compagnon, qui tombait ainsi de la terre. Les ouvriers Ă©largirent le cercle en plaisantant. Eh bien! quelle bonne odeur lui trouvait-il? Mais Bataille s'animait, sourd aux moqueries. Il lui trouvait sans doute la bonne odeur du grand air, l'odeur oubliĂ©e du soleil dans les herbes. Et il Ă©clata tout Ă coup d'un hennissement sonore, d'une musique d'allĂ©gresse, oĂÂč il semblait y avoir l'attendrissement d'un sanglot. C'Ă©tait la bienvenue, la joie de ces choses anciennes dont une bouffĂ©e lui arrivait, la mĂ©lancolie de ce prisonnier de plus qui ne remonterait que mort. - Ah! cet animal de Bataille! criaient les ouvriers Ă©gayĂ©s par ces farces de leur favori. Le voilĂ qui causĂ© avec le camarade. Trompette, dĂ©liĂ©, ne bougeait toujours pas. Il demeurait sur le flanc, comme s'il eĂ»t continuĂ© Ă sentir le filet l'Ă©treindre, garrottĂ© par la peur. Enfin, on le mit debout d'un coup de fouet, Ă©tourdi, les membres secouĂ©s d'un grand frisson. Et le pĂšre Mouque emmena les deux bĂÂȘtes qui fraternisaient. - Voyons, y sommes-nous, Ă prĂ©sent? demanda Maheu. Il fallait dĂ©barrasser les cages, et du reste dix minutes manquaient encore pour l'heure de la remonte. Peu Ă peu, les chantiers se vidaient, des mineurs revenaient de toutes les galeries. Il y avait dĂ©jĂ lĂ une cinquantaine d'hommes, mouillĂ©s et grelottants, sous les fluxions de poitrine qui soufflaient de partout. Pierron, malgrĂ© son visage doucereux, gifla sa fille Lydie, parce qu'elle avait quittĂ© la taille avant l'heure. Zacharie pinçait sournoisement la Mouquette, histoire de se rĂ©chauffer. Mais le mĂ©contentement grandissait, Chaval et Levaque racontaient la menace de l'ingĂ©nieur, la berline baissĂ©e de prix, le boisage payĂ© Ă part; et des exclamations accueillaient ce projet, une rĂ©bellion germait dans ce coin Ă©troit, Ă prĂšs de six cents mĂštres sous la terre. BientĂÂŽt, les voix ne se continrent plus, ces hommes souillĂ©s de charbon, glacĂ©s par l'attente, accusĂšrent la Compagnie de tuer au fond une moitiĂ© de ses ouvriers, et de faire crever l'autre moitiĂ© de faim. Etienne Ă©coutait, frĂ©missant. - DĂ©pĂÂȘchons! dĂ©pĂÂȘchons! rĂ©pĂ©tait aux chargeurs le porion Richomme. Il hĂÂątait la manoeuvre pour la remonte, ne voulant point sĂ©vir, faisant semblant de ne pas entendre. Cependant, les murmures devenaient tels, qu'il fut forcĂ© de s'en mĂÂȘler. DerriĂšre lui, on criait que ça ne durerait pas toujours et qu'un beau matin la boutique sauterait. - Toi qui es raisonnable, dit-il Ă Maheu, fais-les donc taire. Quand on n'est pas les plus forts, on doit ĂÂȘtre les plus sages. Mais Maheu, qui se calmait et finissait par s'inquiĂ©ter, n'eut point Ă intervenir. Soudain, les voix tombĂšrent NĂ©grel et Dansaert, revenant de leur inspection, dĂ©bouchaient d'une galerie, en sueur aussi tous les deux. L'habitude de la discipline fit ranger les hommes, tandis que l'ingĂ©nieur traversait le groupe, sans une parole. Il se mit dans une berline, le maĂtre-porion dans une autre; on tira cinq fois le signal, sonnant Ă la grosse viande, comme on disait pour les chefs; et la cage fila en l'air, au milieu d'un silence morne. I, VI Dans la cage qui le remontait, tassĂ© avec quatre autres, Etienne rĂ©solut de reprendre sa course affamĂ©e, le long des routes. Autant valait-il crever tout de suite que de redescendre au fond de cet enfer, pour n'y pas mĂÂȘme gagner son pain. Catherine, enfournĂ©e au-dessus de lui, n'Ă©tait plus lĂ , contre son flanc, d'une bonne chaleur engourdissante. Et il aimait mieux ne pas songer Ă des bĂÂȘtises, et s'Ă©loigner; car, avec son instruction plus large, il ne se sentait point la rĂ©signation de ce troupeau, il finirait par Ă©trangler quelque chef. Brusquement, il fut aveuglĂ©. La remonte venait d'ĂÂȘtre si rapide, qu'il restait ahuri du grand jour, les paupiĂšres battantes dans cette clartĂ© dont il s'Ă©tait dĂ©shabituĂ© dĂ©jĂ . Ce n'en fut pas moins un soulagement pour lui, de sentir la cage retomber sur les verrous. Un moulineur ouvrait la porte, le flot des ouvriers sautait des berlines. - Dis donc, Mouquet, murmura Zacharie Ă l'oreille du moulineur, filons-nous au Volcan, ce soir? Le Volcan Ă©tait un cafĂ©-concert de Montsou. Mouquet cligna l'oeil gauche, avec un rire silencieux qui lui fendait les mĂÂąchoires. Petit et gros comme son pĂšre, il avait le nez effrontĂ© d'un gaillard qui mangeait tout, sans nul souci du lendemain. Justement, la Mouquette sortait Ă son tour, et il lui allongea une claque formidable sur les reins, par tendresse fraternelle. Etienne reconnaissait Ă peine la haute nef de la recette, qu'il avait vue inquiĂ©tante, dans les lueurs louches des lanternes. Ce n'Ă©tait que nu et sale. Un jour terreux entrait par les fenĂÂȘtres poussiĂ©reuses. Seule, la machine luisait, lĂ -bas, avec ses cuivres; les cĂÂąbles d'acier, enduits de graisse, filaient comme des rubans trempĂ©s d'encre; et les molettes en haut, l'Ă©norme charpente qui les supportait, les cages, les berlines, tout ce mĂ©tal prodiguĂ© assombrissait la salle de leur gris dur de vieilles ferrailles. Sans relĂÂąche, le grondement des roues Ă©branlait les dalles de fonte; tandis que, de la houille ainsi promenĂ©e, montait une fine poudre de charbon, qui poudrait Ă noir le sol, les murs, jusqu'aux solives du beffroi. Mais Chaval, ayant donnĂ© un coup d'oeil au tableau des jetons, dans le petit bureau vitrĂ© du receveur, revint furieux. Il avait constatĂ© qu'on leur refusait deux berlines, l'une parce qu'elle ne contenait pas la quantitĂ© rĂ©glementaire, l'autre parce que la houille en Ă©tait malpropre. - La journĂ©e est complĂšte, cria-t-il. Encore vingt sous de moins!... Aussi est-ce qu'on devrait prendre des fainĂ©ants, qui se servent de leurs bras comme un cochon de sa queue! Et son regard oblique, dirigĂ© sur Etienne, complĂ©tait sa pensĂ©e. Celui-ci fut tentĂ© de rĂ©pondre Ă coups de poing. Puis, il se demanda Ă quoi bon, puisqu'il partait. Cela le dĂ©cidait absolument. - On ne peut pas bien faire le premier jour, dit Maheu pour mettre la paix. Demain, il fera mieux. Tous n'en restaient pas moins aigris, agitĂ©s d'un besoin de querelle. Comme ils passaient Ă la lampisterie rendre leurs lampes, Levaque s'empoigna avec le lampiste, qu'il accusait de mal nettoyer la sienne. Ils ne se dĂ©tendirent un peu que dans la baraque, oĂÂč le feu brĂ»lait toujours. MĂÂȘme on avait dĂ» trop le charger, car le poĂÂȘle Ă©tait rouge, la vaste piĂšce sans fenĂÂȘtre semblait en flammes, tellement les reflets du brasier saignaient sur les murs. Et ce furent des grognements de joie, tous les dos se rĂÂŽtissaient Ă distance, fumaient ainsi que des soupes. Quand les reins brĂ»laient, on se cuisait le ventre. La Mouquette, tranquillement, avait rabattu sa culotte pour sĂ©cher sa chemise. Des garçons blaguaient, on Ă©clata de rire, parce qu'elle leur montra tout Ă coup son derriĂšre, ce qui Ă©tait chez elle l'extrĂÂȘme expression du dĂ©dain. - Je m'en vais, dit Chaval qui avait serrĂ© ses outils dans sa caisse. Personne ne bougea. Seule, Mouquette se hĂÂąta, s'Ă©chappa derriĂšre lui, sous le prĂ©texte qu'ils rentraient l'un et l'autre Ă Montsou. Mais on continuait de plaisanter, on savait qu'il ne voulait plus d'elle. Catherine, cependant, prĂ©occupĂ©e, venait de parler bas Ă son pĂšre. Celui-ci s'Ă©tonna, puis il approuva d'un hochement de tĂÂȘte; et, appelant Etienne pour lui rendre son paquet - Ecoutez donc, murmura-t-il, si vous n'avez pas le sou, vous aurez le temps de crever avant la quinzaine... Voulez-vous que je tĂÂąche de vous trouver du crĂ©dit quelque part? Le jeune homme resta un instant embarrassĂ©. Justement, il allait rĂ©clamer ses trente sous et partir. Mais une honte le retint devant la jeune fille. Elle le regardait fixement, peut-ĂÂȘtre croirait-elle qu'il boudait le travail. - Vous savez, je ne vous promets rien, continua Maheu. Nous en serons quittes pour un refus. Alors, Etienne ne dit pas non. On refuserait. Du reste, ça ne l'engageait point, il pourrait toujours s'Ă©loigner, aprĂšs avoir mangĂ© un morceau. Puis, il fut mĂ©content de n'avoir pas dit non, en voyant la joie de Catherine, un joli rire, un regard d'amitiĂ©, heureuse de lui ĂÂȘtre venue en aide. A quoi bon tout cela? Quand ils eurent repris leurs sabots et fermĂ© leurs cases, les Maheu quittĂšrent la baraque, Ă la queue des camarades qui s'en allaient un Ă un, dĂšs qu'ils s'Ă©taient rĂ©chauffĂ©s. Etienne les suivit, Levaque et son gamin se mirent de la bande. Mais, comme ils traversaient le criblage, une scĂšne violente les arrĂÂȘta. C'Ă©tait dans un vaste hangar, aux poutres noires de poussiĂšre envolĂ©e, aux grandes persiennes d'oĂÂč soufflait un continuel courant d'air. Les berlines de houille arrivaient directement de la recette, Ă©taient versĂ©es ensuite par des culbuteurs sur les trĂ©mies, de longues glissiĂšres de tĂÂŽle; et, Ă droite et Ă gauche de ces derniĂšres, les cribleuses, montĂ©es sur des gradins, armĂ©es de la pelle et du rĂÂąteau, ramassaient les pierres, poussaient le charbon propre, qui tombait ensuite par des entonnoirs dans les wagons de la voie ferrĂ©e, Ă©tablie sous le hangar. PhilomĂšne Levaque se trouvait lĂ , mince et pĂÂąle, d'une figure moutonniĂšre de fille crachant le sang. La tĂÂȘte protĂ©gĂ©e d'un lambeau de laine bleue, les mains et les bras noirs jusqu'aux coudes, elle triait au-dessous d'une vieille sorciĂšre, la mĂšre de la Pierronne, la BrĂ»lĂ© ainsi qu'on la nommait, terrible avec ses yeux de chat-huant et sa bouche serrĂ©e comme la bourse d'un avare. Elles s'empoignaient toutes les deux, la jeune accusant la vieille de lui ratisser ses pierres, Ă ce point qu'elle n'en faisait pas un panier en dix minutes. On les payait au panier, c'Ă©taient des querelles sans cesse renaissantes. Les chignons volaient, les mains restaient marquĂ©es en noir sur les faces rouges. - Fous-lui donc un renfoncement! cria d'en haut Zacharie Ă sa maĂtresse. Toutes les cribleuses Ă©clatĂšrent. Mais la BrĂ»lĂ© se jeta hargneusement sur le jeune homme. - Dis donc, saletĂ©! tu ferais mieux de reconnaĂtre les deux gosses dont tu l'as emplie!... S'il est permis, une bringue de dix-huit ans, qui ne tient pas debout! Maheu dut empĂÂȘcher son fils de descendre, pour voir un peu, disait-il, la couleur de sa peau, Ă cette carcasse. Un surveillant accourait, les rĂÂąteaux se remirent Ă fouiller le charbon. On n'apercevait plus, du haut en bas des trĂ©mies, que les dos ronds des femmes, acharnĂ©es Ă se disputer les pierres. Dehors, le vent s'Ă©tait brusquement calmĂ©, un froid humide tombait du ciel gris. Les charbonniers gonflĂšrent les Ă©paules, croisĂšrent les bras et partirent, dĂ©bandĂ©s, avec un roulis des reins qui faisait saillir leurs gros os, sous la toile mince des vĂÂȘtements. Au grand jour, ils passaient comme une bande de nĂšgres culbutes dans de la vase. Quelques-uns n'avaient pas fini leur briquet; et ce reste de pain, rapportĂ© entre la chemise et la veste, les rendait bossus. - Tiens! voilĂ Bouteloup, dit Zacharie en ricanant. Levaque, sans s'arrĂÂȘter, Ă©changea deux phrases avec son logeur, gros garçon brun de trente-cinq ans, l'air placide et honnĂÂȘte. - Ca y est, la soupe, Louis? - Je crois. - Alors, la femme est gentille, aujourd'hui? - Oui, gentille, je crois. D'autres mineurs de la coupe Ă terre arrivaient, des bandes nouvelles qui, une Ă une, s'engouffraient dans la fosse. C'Ă©tait la descente de trois heures, encore des hommes que le puits mangeait, et dont les Ă©quipes allaient remplacer les marchandages des haveurs, au fond des voies. Jamais la mine ne chĂÂŽmait, il y avait nuit et jour des insectes humains fouissant la roche, Ă six cents mĂštres sous les champs de betteraves. Cependant, les gamins marchaient les premiers. Jeanlin confiait Ă BĂ©bert un plan compliquĂ©, pour avoir Ă crĂ©dit quatre sous de tabac; tandis que Lydie, respectueusement, venait Ă distance. Catherine suivait avec Zacharie et Etienne. Aucun ne parlait. Et ce fut seulement devant le cabaret de l'Avantage, que Maheu et Levaque les rejoignirent. - Nous y sommes, dit le premier Ă Etienne. Voulez-vous entrer? On se sĂ©para. Catherine Ă©tait restĂ©e un instant immobile, regardant une derniĂšre fois le jeune homme de ses grands yeux, d'une limpiditĂ© verdĂÂątre d'eau de source, et dont le visage noir creusait encore le cristal. Elle sourit, elle disparut avec les autres, sur le chemin montant qui conduisait au coron. Le cabaret se trouvait entre le village et la fosse, au croisement des deux routes. C'Ă©tait une maison de briques Ă deux Ă©tages, blanchie du haut en bas Ă la chaux, Ă©gayĂ©e autour des fenĂÂȘtres d'une large bordure bleu ciel. Sur une enseigne carrĂ©e, clouĂ©e au-dessus de la porte, on lisait en lettres jaunes A l'Avantage, dĂ©bit tenu par Rasseneur. DerriĂšre, s'allongeait un jeu de quilles, clos d'une haie vive. Et la Compagnie, qui avait tout fait pour acheter ce lopin, enclavĂ© dans ses vastes terres, Ă©tait dĂ©solĂ©e de ce cabaret, poussĂ© en plein champ, ouvert Ă la sortie mĂÂȘme du Voreux. - Entrez, rĂ©pĂ©ta Maheu Ă Etienne. La salle, petite, avait une nuditĂ© claire, avec ses murs blancs, ses trois tables et sa douzaine de chaises, son comptoir de sapin, grand comme un buffet de cuisine. Une dizaine de chopes au plus Ă©taient lĂ , trois bouteilles de liqueur, une carafe, une petite caisse de zinc Ă robinet d'Ă©tain, pour la biĂšre; et rien autre, pas une image, pas une tablette, pas un jeu. Dans la cheminĂ©e de fonte, vernie et luisante, brĂ»lait doucement une pĂÂątĂ©e de houille. Sur les dalles, une fine couche de sable blanc buvait l'humiditĂ© continuelle de ce pays trempĂ© d'eau. - Une chope, commanda Maheu Ă une grosse fille blonde, la fille d'une voisine qui parfois gardait la salle. Rasseneur est lĂ ? La fille tourna le robinet, en rĂ©pondant que le patron allait revenir. Lentement, d'un seul trait, le mineur vida la moitiĂ© de la chope, pour balayer les poussiĂšres qui lui obstruaient la gorge. Il n'offrit rien Ă son compagnon. Un seul consommateur, un autre mineur mouillĂ© et barbouillĂ©, Ă©tait assis devant une table et buvait sa biĂšre en silence, d'un air de profonde mĂ©ditation. Un troisiĂšme entra, fut servi sur un geste, paya et s'en alla, sans avoir dit un mot. Mais un gros homme de trente-huit ans, rasĂ©, la figure ronde, parut avec un sourire dĂ©bonnaire. C'Ă©tait Rasseneur, un ancien haveur que la Compagnie avait congĂ©diĂ© depuis trois ans, Ă la suite d'une grĂšve. TrĂšs bon ouvrier, il parlait bien, se mettait Ă la tĂÂȘte de toutes les rĂ©clamations, avait fini par ĂÂȘtre le chef des mĂ©contents. Sa femme tenait dĂ©jĂ un dĂ©bit, ainsi que beaucoup de femmes de mineurs; et, quand il fut jetĂ© sur le pavĂ©, il resta cabaretier lui-mĂÂȘme, trouva de l'argent, planta son cabaret en face du Voreux, comme une provocation Ă la Compagnie. Maintenant, sa maison prospĂ©rait, il devenait un centre, il s'enrichissait des colĂšres qu'il avait peu Ă peu soufflĂ©es au coeur de ses anciens camarades. - C'est ce garçon que j'ai embauchĂ© ce matin, expliqua Maheu tout de suite. As-tu une de tes deux chambres libre, et veux-tu lui faire crĂ©dit d'une quinzaine? La face large de Rasseneur exprima subitement une grande dĂ©fiance. Il examina d'un coup d'oeil Etienne et rĂ©pondit, sans se donner la peine de tĂ©moigner un regret - Mes deux chambres sont prises. Pas possible. Le jeune homme s'attendait Ă ce refus; et il en souffrit pourtant, il s'Ă©tonna du brusque ennui qu'il Ă©prouvait Ă s'Ă©loigner. N'importe, il s'en irait, quand il aurait ses trente sous. Le mineur qui buvait Ă une table Ă©tait parti. D'autres, un Ă un, entraient toujours se dĂ©crasser la gorge, puis se remettaient en marche du mĂÂȘme pas dĂ©hanchĂ©. C'Ă©tait un simple lavage, sans joie ni passion, le muet contentement d'un besoin. - Alors, il n'y a rien? demanda d'un ton particulier Rasseneur Ă Maheu, qui achevait sa biĂšre Ă petits coups. Celui-ci tourna la tĂÂȘte et vit qu'Etienne seul Ă©tait lĂ . - Il y a qu'on s'est chamaillĂ© encore... Oui, pour le boisage. Il conta l'affaire. La face du cabaretier avait rougi, une Ă©motion sanguine la gonflait, lui sortait en flammes de la peau et des yeux. Enfin, il Ă©clata. - Ah bien! s'ils s'avisent de baisser les prix, ils sont fichus. Etienne le gĂÂȘnait. Cependant, il continua, en lui lançant des regards obliques. Et il avait des rĂ©ticences, des sous-entendus, il parlait du directeur, M. Hennebeau, de sa femme, de son neveu le petit NĂ©grel, sans les nommer, rĂ©pĂ©tant que ça ne pouvait pas continuer ainsi, que ça devait casser un de ces quatre matins. La misĂšre Ă©tait trop grande, il cita les usines qui fermaient, les ouvriers qui s'en allaient. Depuis un mois, il donnait plus de six livres de pain par jour. On lui avait dit, la veille, que M. Deneulin, le propriĂ©taire d'une fosse voisine, ne savait comment tenir le coup. Du reste, il venait de recevoir une lettre de Lille, pleine de dĂ©tails inquiĂ©tants. - Tu sais, murmura-t-il, ça vient de cette personne que tu as vue ici un soir. Mais il fut interrompu. Sa femme entrait Ă son tour, une grande femme maigre et ardente, le nez long, les pommettes violacĂ©es. Elle Ă©tait en politique beaucoup plus radicale que son mari. - La lettre de Pluchart, dit-elle. Ah! s'il Ă©tait le maĂtre, celui-lĂ , ça ne tarderait pas Ă mieux aller! Etienne Ă©coutait depuis un instant, comprenait, se passionnait, Ă ces idĂ©es de misĂšre et de revanche. Ce nom, jetĂ© brusquement, le fit tressaillir. Il dit tout haut, comme malgrĂ© lui - Je le connais, Pluchart. On le regardait, il dut ajouter - Oui, je suis machineur, il a Ă©tĂ© mon contremaĂtre, Ă Lille... Un homme capable, j'ai causĂ© souvent avec lui. Rasseneur l'examinait de nouveau; et il y eut, sur son visage, un changement rapide, une sympathie soudaine. Enfin, il dit Ă sa femme - C'est Maheu qui m'amĂšne Monsieur, un herscheur Ă lui, pour voir s'il n'y a pas une chambre en haut, et si nous ne pourrions pas faire crĂ©dit d'une quinzaine. Alors, l'affaire fut conclue en quatre paroles. Il y avait une chambre, le locataire Ă©tait parti le matin. Et le cabaretier, trĂšs excitĂ©, se livra davantage, tout en rĂ©pĂ©tant qu'il demandait seulement le possible aux patrons, sans exiger, comme tant d'autres, des choses trop dures Ă obtenir. Sa femme haussait les Ă©paules, voulait son droit, absolument. - Bonsoir, interrompit Maheu. Tout ça n'empĂÂȘchera pas qu'on descende, et tant qu'on descendra, il y aura du monde qui en crĂšvera... Regarde, te voilĂ gaillard, depuis trois ans que tu en es sorti. - Oui, je me suis beaucoup refait, dĂ©clara Rasseneur complaisamment. Etienne alla jusqu'Ă la porte, remerciant le mineur qui partait; mais celui-ci hochait la tĂÂȘte, sans ajouter un mot, et le jeune homme le regarda monter pĂ©niblement le chemin du coron. Mme Rasseneur, en train de servir des clients, venait de le prier d'attendre une minute, pour qu'elle le conduisĂt Ă sa chambre, oĂÂč il se dĂ©barbouillerait. Devait-il rester? Une hĂ©sitation l'avait repris, un malaise qui lui faisait regretter la libertĂ© des grandes routes, la faim au soleil, soufferte avec la joie d'ĂÂȘtre son maĂtre. Il lui semblait qu'il avait vĂ©cu lĂ des annĂ©es, depuis son arrivĂ©e sur le terri, au milieu des bourrasques, jusqu'aux heures passĂ©es sous la terre, Ă plat ventre dans les galeries noires. Et il lui rĂ©pugnait de recommencer, c'Ă©tait injuste et trop dur, son orgueil d'homme se rĂ©voltait, Ă l'idĂ©e d'ĂÂȘtre une bĂÂȘte qu'on aveugle et qu'on Ă©crase. Pendant qu'Etienne se dĂ©battait ainsi, ses yeux, qui erraient sur la plaine immense, peu Ă peu l'aperçurent. Il s'Ă©tonna, il ne s'Ă©tait pas figurĂ© l'horizon de la sorte, lorsque le vieux Bonnemort le lui avait indiquĂ© du geste, au fond des tĂ©nĂšbres. Devant lui, il retrouvait bien le Voreux, dans un pli de terrain, avec ses bĂÂątiments de bois et de briques, le criblage goudronnĂ©, le beffroi couvert d'ardoises, la salle de la machine et la haute cheminĂ©e d'un rouge pĂÂąle, tout cela tassĂ©, l'air mauvais. Mais, autour des bĂÂątiments, le carreau s'Ă©tendait, et il ne se l'imaginait pas si large, changĂ© en un lac d'encre par les vagues montantes du stock de charbon, hĂ©rissĂ© des hauts chevalets qui portaient les rails des passerelles, encombrĂ© dans un coin de la provision des bois, pareille Ă la moisson d'une forĂÂȘt fauchĂ©e. Vers la droite, le terri barrait la vue, colossal comme une barricade de gĂ©ants, dĂ©jĂ couvert d'herbe dans sa partie ancienne, consumĂ© Ă l'autre bout par un feu intĂ©rieur qui brĂ»lait depuis un an, avec une fumĂ©e Ă©paisse, en laissant Ă la surface, au milieu du gris blafard des schistes et des grĂšs, de longues traĂnĂ©es de rouille sanglante. Puis, les champs se dĂ©roulaient, des champs sans fin de blĂ© et de betteraves, nus Ă cette Ă©poque de l'annĂ©e, des marais aux vĂ©gĂ©tations dures, coupĂ©s de quelques saules rabougris, des prairies lointaines, que sĂ©paraient des files maigres de peupliers. TrĂšs loin, de petites taches blanches indiquaient des villes, Marchiennes au nord, Montsou au midi; tandis que la forĂÂȘt de Vandame, Ă l'est, bordait l'horizon de la ligne violĂÂątre de ses arbres dĂ©pouillĂ©s. Et, sous le ciel livide, dans le jour bas de cet aprĂšs-midi d'hiver, il semblait que tout le noir du Voreux, toute la poussiĂšre volante de la houille se fĂ»t abattue sur la plaine, poudrant les arbres, sablant les routes, ensemençant la terre. Etienne regardait, et ce qui le surprenait surtout, c'Ă©tait un canal, la riviĂšre de la Scarpe canalisĂ©e, qu'il n'avait pas vu dans la nuit. Du Voreux Ă Marchiennes, ce canal allait droit, un ruban d'argent mat de deux lieues, une avenue bordĂ©e de grands arbres, Ă©levĂ©e au-dessus des bas terrains, filant Ă l'infini avec la perspective de ses berges vertes, de son eau pĂÂąle oĂÂč glissait l'arriĂšre vermillonnĂ© des pĂ©niches. PrĂšs de la fosse, il y avait un embarcadĂšre, des bateaux amarrĂ©s, que les berlines des passerelles emplissaient directement. Ensuite, le canal faisait un coude, coupait de biais les marais; et toute l'ĂÂąme de cette plaine rase paraissait ĂÂȘtre lĂ , dans cette eau gĂ©omĂ©trique qui la traversait comme une grande route, charriant la houille et le fer. Les regards d'Etienne remontaient du canal au coron, bĂÂąti sur le plateau, et dont il distinguait seulement les tuiles rouges. Puis, ils revenaient vers le Voreux, s'arrĂÂȘtaient, en bas de la pente argileuse, Ă deux Ă©normes tas de briques, fabriquĂ©es et cuites sur place. Un embranchement du chemin de fer de la Compagnie passait derriĂšre une palissade, desservant la fosse. On devait descendre les derniers mineurs de la coupe Ă terre. Seul, un wagon que poussaient des hommes jetait un cri aigu. Ce n'Ă©tait plus l'inconnu des tĂ©nĂšbres, les tonnerres inexplicables, les flamboiements d'astres ignorĂ©s. Au loin, les hauts fourneaux et les fours Ă coke avaient pĂÂąli avec l'aube. Il ne restait lĂ , sans un arrĂÂȘt, que l'Ă©chappement de la pompe, soufflant toujours de la mĂÂȘme haleine grosse et longue, l'haleine d'un ogre dont il distinguait la buĂ©e grise maintenant, et que rien ne pouvait repaĂtre. Alors, Etienne, brusquement, se dĂ©cida. Peut-ĂÂȘtre avait-il cru revoir les yeux clairs de Catherine, lĂ -haut, Ă l'entrĂ©e du coron. Peut-ĂÂȘtre Ă©tait-ce plutĂÂŽt un vent de rĂ©volte, qui venait du Voreux. Il ne savait pas, il voulait redescendre dans la mine pour souffrir et se battre, il songeait violemment Ă ces gens dont parlait Bonnemort, Ă ce dieu repu et accroupi, auquel dix mille affamĂ©s donnaient leur chair, sans le connaĂtre. DEUXIEME PARTIE II, I La propriĂ©tĂ© des GrĂ©goire, la Piolaine, se trouvait Ă deux kilomĂštres de Montsou, vers l'est, sur la route de Joiselle. C'Ă©tait une grande maison carrĂ©e, sans style, bĂÂątie au commencement du siĂšcle dernier. Des vastes terres qui en dĂ©pendaient d'abord, il ne restait qu'une trentaine d'hectares, clos de murs, d'un facile entretien. On citait surtout le verger et le potager, cĂ©lĂšbres par leurs fruits et leurs lĂ©gumes, les plus beaux du pays. D'ailleurs, le parc manquait, un petit bois en tenait lieu. L'avenue de vieux tilleuls, une voĂ»te de feuillage de trois cents mĂštres, plantĂ©e de la grille au perron, Ă©tait une des curiositĂ©s de cette plaine rase, oĂÂč l'on comptait les grands arbres, de Marchiennes Ă Beaugnies. Ce matin-lĂ , les GrĂ©goire s'Ă©taient levĂ©s Ă huit heures. D'habitude, ils ne bougeaient guĂšre qu'une heure plus tard, dormant beaucoup, avec passion; mais la tempĂÂȘte de la nuit les avait Ă©nervĂ©s. Et, pendant que son mari Ă©tait allĂ© voir tout de suite si le vent n'avait pas fait de dĂ©gĂÂąts, Mme GrĂ©goire venait de descendre Ă la cuisine, en pantoufles et en peignoir de flanelle. Courte, grasse, ĂÂągĂ©e dĂ©jĂ de cinquante-huit ans, elle gardait une grosse figure poupine et Ă©tonnĂ©e, sous la blancheur Ă©clatante de ses cheveux. - MĂ©lanie, dit-elle Ă la cuisiniĂšre, si vous faisiez la brioche ce matin, puisque la pĂÂąte est prĂÂȘte. Mademoiselle ne se lĂšvera pas avant une demi-heure, et elle en mangerait avec son chocolat... Hein! ce serait une surprise. La cuisiniĂšre, vieille femme maigre qui les servait depuis trente ans, se mit Ă rire. - Ca, c'est vrai, la surprise serait fameuse... Mon fourneau est allumĂ©, le four doit ĂÂȘtre chaud; et puis, Honorine va m'aider un peu. Honorine, une fille d'une vingtaine d'annĂ©es, recueillie enfant et Ă©levĂ©e Ă la maison, servait maintenant de femme de chambre. Pour tout personnel, outre ces deux femmes, il n'y avait que le cocher, Francis, chargĂ© des gros ouvrages. Un jardinier et une jardiniĂšre s'occupaient des lĂ©gumes, des fruits, des fleurs et de la basse-cour. Et, comme le service Ă©tait patriarcal, d'une douceur familiĂšre, ce petit monde vivait en bonne amitiĂ©. Mme GrĂ©goire, qui avait mĂ©ditĂ© dans son lit la surprise de la brioche, resta pour voir mettre la pĂÂąte au four. La cuisine Ă©tait immense, et on la devinait la piĂšce importante, Ă sa propretĂ© extrĂÂȘme, Ă l'arsenal des casseroles, des ustensiles, des pots qui l'emplissaient. Cela sentait bon la bonne nourriture. Des provisions dĂ©bordaient des rĂÂąteliers et des armoires. - Et qu'elle soit bien dorĂ©e, n'est-ce pas? recommanda Mme GrĂ©goire en passant dans la salle Ă manger. MalgrĂ© le calorifĂšre qui chauffait toute la maison, un feu de houille Ă©gayait cette salle. Du reste, il n'y avait aucun luxe la grande table, les chaises, un buffet d'acajou; et, seuls, deux fauteuils profonds trahissaient l'amour du bien-ĂÂȘtre, les longues digestions heureuses. On n'allait jamais au salon, on demeurait lĂ , en famille. Justement, M. GrĂ©goire rentrait, vĂÂȘtu d'un gros veston de futaine, rose lui aussi pour ses soixante ans, avec de grands traits honnĂÂȘtes et bons, dans la neige de ses cheveux bouclĂ©s. Il avait vu le cocher et le jardinier aucun dĂ©gĂÂąt important, rien qu'un tuyau de cheminĂ©e abattu. Chaque matin, il aimait Ă donner un coup d'oeil Ă la Piolaine, qui n'Ă©tait pas assez grande pour lui causer des soucis, et dont il tirait tous les bonheurs du propriĂ©taire. - Et CĂ©cile? demanda-t-il, elle ne se lĂšve donc pas, aujourd'hui? - Je n'y comprends rien, rĂ©pondit sa femme. Il me semblait l'avoir entendue remuer. Le couvert Ă©tait mis, trois bols sur la nappe blanche. On envoya Honorine voir ce que devenait Mademoiselle. Mais elle redescendit aussitĂÂŽt, retenant des rires, Ă©touffant sa voix, comme si elle eĂ»t parlĂ© en haut, dans la chambre. - Oh! si monsieur et madame voyaient mademoiselle!... Elle dort, oh! elle dort, ainsi qu'un JĂ©sus... On n'a pas idĂ©e de ça, c'est un plaisir Ă la regarder. Le pĂšre et la mĂšre Ă©changeaient des regards attendris. Il dit en souriant - Viens-tu voir? - Cette pauvre mignonne! murmura-t-elle. J'y vais. Et ils montĂšrent ensemble. La chambre Ă©tait la seule luxueuse de la maison, tendue de soie bleue, garnie de meubles laquĂ©s, blancs Ă filets bleus, un caprice d'enfant gĂÂątĂ©e satisfait par les parents. Dans les blancheurs vagues du lit, sous le demi-jour qui tombait de l'Ă©cartement d'un rideau, la jeune fille dormait, une joue appuyĂ©e sur son bras nu. Elle n'Ă©tait pas jolie, trop saine, trop bien portante, mĂ»re Ă dix-huit ans; mais elle avait une chair superbe, une fraĂcheur de lait, avec ses cheveux chĂÂątains, sa face ronde au petit nez volontaire, noyĂ© entre les joues. La couverture avait glissĂ©, et elle respirait si doucement, que son haleine ne soulevait mĂÂȘme pas sa gorge dĂ©jĂ lourde. - Ce maudit vent l'aura empĂÂȘchĂ©e de fermer les yeux, dit la mĂšre doucement. Le pĂšre, d'un geste, lui imposa silence. Tous les deux se penchaient, regardaient avec adoration, dans sa nuditĂ© de vierge, cette fille si longtemps dĂ©sirĂ©e, qu'ils avaient eue sur le tard, lorsqu'ils ne l'espĂ©raient plus. Ils la voyaient parfaite, point trop grasse, jamais assez bien nourrie. Et elle dormait toujours, sans les sentir prĂšs d'elle, leur visage contre le sien. Pourtant, une onde lĂ©gĂšre troubla sa face immobile. Ils tremblĂšrent qu'elle ne s'Ă©veillĂÂąt, ils s'en allĂšrent sur la pointe des pieds. - Chut! dit M. GrĂ©goire Ă la porte. Si elle n'a pas dormi, il faut la laisser dormir. - Tant qu'elle voudra, la mignonne, appuya Mme GrĂ©goire. Nous attendrons. Ils descendirent, s'installĂšrent dans les fauteuils de la salle Ă manger; tandis que les bonnes, riant du gros sommeil de Mademoiselle, tenaient sans grogner le chocolat sur le fourneau. Lui, avait pris un journal; elle, tricotait un grand couvre-pieds de laine. Il faisait trĂšs chaud, pas un bruit ne venait de la maison muette. La fortune des GrĂ©goire, quarante mille francs de rentes environ, Ă©tait tout entiĂšre dans une action des mines de Montsou. Ils en racontaient avec complaisance l'origine, qui partait de la crĂ©ation mĂÂȘme de la Compagnie. Vers le commencement du dernier siĂšcle, un coup de folie s'Ă©tait dĂ©clarĂ©, de Lille Ă Valenciennes, pour la recherche de la houille. Les succĂšs des concessionnaires qui devaient plus tard former la Compagnie d'Anzin, avaient exaltĂ© toutes les tĂÂȘtes. Dans chaque commune, on sondait le sol; et les sociĂ©tĂ©s se crĂ©aient, et les concessions poussaient en une nuit. Mais, parmi les entĂÂȘtĂ©s de l'Ă©poque, le baron Desrumaux avait certainement laissĂ© la mĂ©moire de l'intelligence la plus hĂ©roĂÂŻque. Pendant quarante annĂ©es, il s'Ă©tait dĂ©battu sans faiblir, au milieu de continuels obstacles premiĂšres recherches infructueuses, fosses nouvelles abandonnĂ©es au bout de longs mois de travail, Ă©boulements qui comblaient les trous, inondations subites qui noyaient les ouvriers, centaines de mille francs jetĂ©s dans la terre; puis, les tracas de l'administration, les paniques des actionnaires, la lutte avec les seigneurs terriens, rĂ©solus Ă ne pas reconnaĂtre les concessions royales, si l'on refusait de traiter d'abord avec eux. Il venait enfin de fonder la sociĂ©tĂ© Desrumaux, Fauquenoix et Cie, pour exploiter la concession de Montsou, et les fosses commençaient Ă donner de faibles bĂ©nĂ©fices, lorsque deux concessions voisines, celle de Cougny, appartenant au comte de Cougny, et celle de Joiselle, appartenant Ă la sociĂ©tĂ© Cornille et Jenard, avaient failli l'Ă©craser sous le terrible assaut de leur concurrence. Heureusement, le 25 aoĂ»t 1760, un traitĂ© intervenait entre les trois concessions et les rĂ©unissait en une seule. La Compagnie des mines de Montsou Ă©tait créée, telle qu'elle existe encore aujourd'hui. Pour la rĂ©partition, on avait divisĂ©, d'aprĂšs l'Ă©talon de la monnaie du temps, la propriĂ©tĂ© totale en vingt-quatre sous, dont chacun se subdivisait en douze deniers, ce qui faisait deux cent quatre-vingt-huit deniers; et, comme le denier Ă©tait de dix mille francs, le capital reprĂ©sentait une somme de prĂšs de trois millions. Desrumeaux, agonisant, mais vainqueur, avait eu, dans le partage, six sous et trois deniers. En ces annĂ©es-lĂ le baron possĂ©dait la Piolaine, d'oĂÂč dĂ©pendaient trois cents hectares, et il avait Ă son service, comme rĂ©gisseur, HonorĂ© GrĂ©goire, un garçon de la Picardie, l'arriĂšre-grand-pĂšre de LĂ©on GrĂ©goire, pĂšre de CĂ©cile. Lors du traitĂ© de Montsou, HonorĂ©, qui cachait dans un bas une cinquantaine de mille francs d'Ă©conomies, cĂ©da en tremblant Ă la foi inĂ©branlable de son maĂtre. Il sortit dix mille livres de beaux Ă©cus, il prit un denier, avec la terreur de voler ses enfants de cette somme. Son fils EugĂšne toucha en effet des dividendes fort minces; et, comme il s'Ă©tait mis bourgeois et qu'il avait eu la sottise de manger les quarante autres mille francs de l'hĂ©ritage paternel dans une association dĂ©sastreuse, il vĂ©cut assez chichement. Mais les intĂ©rĂÂȘts du denier montaient peu Ă peu, la fortune commença avec FĂ©licien, qui put rĂ©aliser un rĂÂȘve dont son grand-pĂšre, l'ancien rĂ©gisseur, avait bercĂ© son enfance l'achat de la Piolaine dĂ©membrĂ©e, qu'il eut comme bien national, pour une somme dĂ©risoire. Cependant, les annĂ©es qui suivirent furent mauvaises, il fallut attendre le dĂ©nouement des catastrophes rĂ©volutionnaires, puis la chute sanglante de NapolĂ©on. Et ce fut LĂ©on GrĂ©goire qui bĂ©nĂ©ficia, dans une progression stupĂ©fiante, du placement timide et inquiet de son bisaĂÂŻeul. Ces dix pauvres mille francs grossissaient, s'Ă©largissaient, avec la prospĂ©ritĂ© de la Compagnie. DĂšs 1820, ils rapportaient cent pour cent, dix mille francs. En 1844, ils en produisaient vingt mille; en 1850, quarante. Il y avait deux ans enfin, le dividende Ă©tait montĂ© au chiffre prodigieux de cinquante mille francs la valeur du denier, cotĂ© Ă la Bourse de Lille un million, avait centuplĂ© en un siĂšcle. M. GrĂ©goire, auquel on conseillait de vendre, lorsque ce cours d'un million fut atteint, s'y Ă©tait refusĂ©, de son air souriant et paterne. Six mois plus tard, une crise industrielle Ă©clatait, le denier retombait Ă six cent mille francs. Mais il souriait toujours, il ne regrettait rien, car les GrĂ©goire avaient maintenant une foi obstinĂ©e en leur mine. Ca remonterait, Dieu n'Ă©tait pas si solide. Puis, Ă cette croyance religieuse, se mĂÂȘlait une profonde gratitude pour une valeur, qui, depuis un siĂšcle, nourrissait la famille Ă ne rien faire. C'Ă©tait comme une divinitĂ© Ă eux, que leur Ă©goĂÂŻsme entourait d'un culte, la bienfaitrice du foyer, les berçant dans leur grand lit de paresse, les engraissant Ă leur table gourmande. De pĂšre en fils, cela durait pourquoi risquer de mĂ©contenter le sort, en doutant de lui? Et il y avait, au fond de leur fidĂ©litĂ©, une terreur superstitieuse, la crainte que le million du denier ne se fĂ»t brusquement fondu, s'ils l'avaient rĂ©alisĂ© et mis dans un tiroir. Ils le voyaient plus Ă l'abri dans la terre, d'oĂÂč un peuple de mineurs, des gĂ©nĂ©rations d'affamĂ©s l'extrayaient pour eux, un peu chaque jour, selon leurs besoins. Du reste, les bonheurs pleuvaient sur cette maison. M. GrĂ©goire, trĂšs jeune, avait Ă©pousĂ© la fille d'un pharmacien de Marchiennes, une demoiselle laide, sans un sou, qu'il adorait et qui lui avait tout rendu, en fĂ©licitĂ©. Elle s'Ă©tait enfermĂ©e dans son mĂ©nage, extasiĂ©e devant son mari, n'ayant d'autre volontĂ© que la sienne; jamais des goĂ»ts diffĂ©rents ne les sĂ©paraient, un mĂÂȘme idĂ©al de bien-ĂÂȘtre confondait leurs dĂ©sirs; et ils vivaient ainsi depuis quarante ans, de tendresse et de petits soins rĂ©ciproques. C'Ă©tait une existence rĂ©glĂ©e, les quarante mille francs mangĂ©s sans bruit, les Ă©conomies dĂ©pensĂ©es pour CĂ©cile, dont la naissance tardive avait un instant bouleversĂ© le budget. Aujourd'hui encore, ils contentaient chacun de ses caprices un second cheval, deux autres voitures, des toilettes venues de Paris. Mais ils goĂ»taient lĂ une joie de plus, ils ne trouvaient rien de trop beau pour leur fille, avec une telle horreur personnelle de l'Ă©talage, qu'ils avaient gardĂ© les modes de leur jeunesse. Toute dĂ©pense qui ne profitait pas leur semblait stupide. Brusquement, la porte s'ouvrit, et une voix forte cria - Eh bien! quoi donc, on dĂ©jeune sans moi! C'Ă©tait CĂ©cile, au saut du lit, les yeux gonflĂ©s de sommeil. Elle avait simplement relevĂ© ses cheveux et passĂ© un peignoir de laine blanche. - Mais non, dit la mĂšre, tu vois qu'on t'attendait... Hein? ce vent a dĂ» t'empĂÂȘcher de dormir, pauvre mignonne!! La jeune fille la regarda, trĂšs surprise. - Il a fait du vent?... Je n'en sais rien, je n'ai pas bougĂ© de la nuit. Alors, cela leur sembla drĂÂŽle, tous les trois se mirent Ă rire; et les bonnes, qui apportaient le dĂ©jeuner, Ă©clatĂšrent aussi, tellement l'idĂ©e que Mademoiselle avait dormi d'un trait ses douze heures, Ă©gayait la maison. La vue de la brioche acheva d'Ă©panouir les visages. - Comment! elle est donc cuite? rĂ©pĂ©tait CĂ©cile. En voilĂ une attrape qu'on me fait!... C'est ça qui va ĂÂȘtre bon, tout chaud, dans le chocolat! Ils s'attablaient enfin, le chocolat fumait dans les bols, on ne parla longtemps que de la brioche. MĂ©lanie et Honorine restaient, donnaient les dĂ©tails sur la cuisson, les regardaient se bourrer, les lĂšvres grasses, en disant que c'Ă©tait un plaisir de faire un gĂÂąteau, quand on voyait les maĂtres le manger si volontiers. Mais les chiens aboyĂšrent violemment on crut qu'ils annonçaient la maĂtresse de piano, qui venait de Marchiennes le lundi et le vendredi. Il venait aussi un professeur de littĂ©rature. Toute l'instruction de la jeune fille s'Ă©tait ainsi faite Ă la Piolaine, dans une ignorance heureuse, dans des caprices d'enfant, jetant le livre par la fenĂÂȘtre, dĂšs qu'une question l'ennuyait. - C'est M. Deneulin, dit Honorine en rentrant. DerriĂšre elle, Deneulin, un cousin de M. GrĂ©goire, parut sans façon, le verbe haut, le geste vif, avec une allure d'ancien officier de cavalerie. Bien qu'il eĂ»t dĂ©passĂ© la cinquantaine, ses cheveux coupĂ©s ras et ses grosses moustaches Ă©taient d'un noir d'encre. - Oui, c'est moi, bonjour... Ne vous dĂ©rangez donc pas! Il s'Ă©tait assis, pendant que la famille s'exclamait. Elle finit par se remettre Ă son chocolat. - Est-ce que tu as quelque chose Ă me dire? demanda M. GrĂ©goire. - Non, rien du tout, se hĂÂąta de rĂ©pondre Deneulin. Je suis sorti
Apprivoiserla douleur chronique avec l'ACT - Guide de pratique en 10 modules de FrĂ©dĂ©rick Dionne - Collection Les ateliers du praticien - Livraison gratuite Ă 0,01⏠dĂšs 35⏠d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ
La prise en charge de la douleur chronique peut ĂȘtre une source de confusion pour le patient et le mĂ©decin. Parce que de nombreux mĂ©dicaments sont maintenant disponibles pour traiter la douleur chronique, il est gĂ©nĂ©ralement une perspective ahurissante pour eux de trouver le plus bĂ©nĂ©fique. Certains patients croient que le meilleur moyen de traiter la douleur est de passer directement aux mĂ©dicaments opioĂŻdes, et certains ne prendraient jamais dâopioĂŻdes, peu importe lâintensitĂ© de leur douleur. Pour les mĂ©decins, un systĂšme Ă©tait nĂ©cessaire pour tirer le maximum de soulagement de la douleur des analgĂ©siques rĂ©soudre ce problĂšme, lâOrganisation mondiale de la santĂ© a dĂ©veloppĂ© lâĂ©chelle de la douleur. Ceci est une approche systĂ©matique pour les mĂ©dicaments contre la douleur, leur administration et le soulagement de la douleur. Il implique dâaugmenter lentement la quantitĂ© de mĂ©dicaments utilisĂ©s, et il se termine par les opioĂŻdes les plus forts disponibles. En faisant travailler un patient sur lâĂ©chelle de la douleur, les mĂ©decins et les patients peuvent trouver le meilleur cocktail qui contrĂŽle la douleur avec le moins dâopioĂŻdes AnalgĂ©siques non-opioĂŻdes2 AnalgĂ©siques adjuvants3 Faibles opioĂŻdes4 Puissants opioĂŻdes5 Grimper Ă lâĂ©chelle AnalgĂ©siques non-opioĂŻdes Les analgĂ©siques non-opioĂŻdes sont gĂ©nĂ©ralement les mĂ©dicaments trouvĂ©s sur le comptoir. Par exemple, les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens, tels que Advil et Aleve, doivent ĂȘtre utilisĂ©s en premier lorsque lâon tente de traiter la douleur dâun patient. Les analgĂ©siques non opioĂŻdes, tels que lâibuprofĂšne Ă forte dose, constituent Ă©galement une premiĂšre Ă©tape importante dans lâĂ©chelle de la douleur. Certains patients ont un grand soulagement de la douleur avec ces mĂ©dicaments, mais certains ne ressentent aucun effet. Des mĂ©dicaments anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens puissants sont Ă©galement disponibles sur ordonnance, tels que Celebrex et Voltaren, et font Ă©galement partie de cet Ă©chelon. Ils peuvent parfois traiter la douleur alors que dâautres ne le font pas. Lâaspirine et lâacĂ©taminophĂšne ne doivent pas non plus ĂȘtre ignorĂ©s, car ils peuvent aider certains patients souffrant de douleurs lĂ©gĂšres. AnalgĂ©siques adjuvants Les analgĂ©siques adjuvants sont les nouveaux membres de la famille de lâĂ©chelle antidouleur. Ce sont des mĂ©dicaments qui sont traditionnellement utilisĂ©s pour dâautres conditions, en particulier la dĂ©pression et les convulsions. Bien que lâutilisation de ces mĂ©dicaments pour la douleur soit un concept nouveau, les chercheurs ont testĂ© leur efficacitĂ© en tant quâanalgĂ©siques pendant une longue pĂ©riode. Par exemple, les antidĂ©presseurs tricycliques, tels que lâamitriptyline, ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s pendant des dĂ©cennies pour leur utilisation contre la douleur chronique. Les nouveaux mĂ©dicaments de dĂ©pression sont Ă©galement utilisĂ©s pour soulager la douleur. En fait, Cymbalta est le premier mĂ©dicament approuvĂ© pour le traitement de la douleur chronique. Les mĂ©dicaments anti-Ă©pileptiques sont utiles, en particulier pour la douleur liĂ©e aux nerfs. La capacitĂ© de la gabapentine Ă traiter la neuropathie pĂ©riphĂ©rique a Ă©tĂ© bien documentĂ©e, mais les mĂ©dicaments rĂ©cents dans cette catĂ©gorie, tels que Lyrica, sont encore plus efficaces en tant que traitements. Lorsque ces mĂ©dicaments sont associĂ©s Ă un analgĂ©sique non opioĂŻde, ils peuvent souvent contrĂŽler la manifestation de la douleur chronique. Faibles opioĂŻdes Les opioĂŻdes faibles sont des mĂ©dicaments qui contiennent une petite quantitĂ© de mĂ©dicaments narcotiques, mais ils sont gĂ©nĂ©ralement combinĂ©s pharmacologiquement avec un analgĂ©sique non opioĂŻde. Les mĂ©dicaments de ce sous-groupe comprennent la codĂ©ine, le Darvocet, la dihydrocodĂ©ine et le Tramadol. Ces mĂ©dicaments sont gĂ©nĂ©ralement prescrits pour la douleur lĂ©gĂšre, mais quand ils sont combinĂ©s avec les analgĂ©siques non-opioĂŻdes et adjuvants, ils soulagent souvent complĂštement la douleur. Les opioĂŻdes les plus faibles ont moins de risques dâeffets secondaires, tels que la nausĂ©e, la constipation et la sĂ©dation. Ils ont Ă©galement moins de risque de dĂ©pendance, ce qui les rend attrayants comme traitement pour les maladies chroniques. Câest lâeffet combinĂ© de ce mĂ©dicament avec les deux catĂ©gories prĂ©cĂ©dentes qui forme un cocktail qui est trĂšs efficace contre la douleur modĂ©rĂ©e Ă sĂ©vĂšre. Puissants opioĂŻdes Les opioĂŻdes forts sont utilisĂ©s lorsque les mĂ©dicaments antĂ©rieurs ne parviennent pas Ă contrĂŽler la douleur. Ces mĂ©dicaments comprennent la morphine, lâhydrocodone, lâoxycodone et le fentanyl, entre autres. Lors de la prescription de ces mĂ©dicaments, lâopioĂŻde le plus faible est remplacĂ© par le plus fort, et le non-opioĂŻde et lâadjuvant restent en place. Cela permet au prescripteur dâutiliser le moins possible dâopioĂŻde fort. Bien sĂ»r, lâutilisation dâopioĂŻdes forts a des effets secondaires. De nombreux patients rapportent ressentir des nausĂ©es et la sĂ©dation est souvent sĂ©vĂšre. En outre, la constipation est une prĂ©occupation importante, car les opioĂŻdes Ă forte dose peuvent ralentir le tractus gastro-intestinal. Ceci est gĂ©nĂ©ralement adressĂ© avec adoucisseurs de selles et laxatifs. La possibilitĂ© de dĂ©pendance est plus grande avec ces mĂ©dicaments, mĂȘme si elle est moins probable lorsquâils sont pris comme prescrit. Grimper Ă lâĂ©chelle LâĂ©chelle de la douleur est utilisĂ©e de maniĂšre systĂ©matique pour obtenir le meilleur soulagement possible de la douleur avec les mĂ©dicaments les moins puissants. Tous les patients souffrant de douleur sont initialement commencĂ©s avec des non-opioĂŻdes. En fait, ils peuvent ĂȘtre automĂ©dication avec eux sur le comptoir, mais les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens de force de prescription devraient encore ĂȘtre tentĂ©s pour lâefficacitĂ©. Si elles ne fonctionnent pas, un adjuvant est ajoutĂ©. De nombreux adjuvants sont spĂ©cifiques Ă la douleur nerveuse, et ils peuvent ne pas ĂȘtre utiles pour dâautres conditions. De plus, certains adjuvants entraĂźnent des effets secondaires graves, ils doivent donc ĂȘtre utilisĂ©s avec prĂ©caution. LâĂ©tape suivante consiste Ă ajouter un opiacĂ© faible au cocktail actuel. Certains chercheurs sâinterrogent sur lâutilitĂ© de cette Ă©tape car de nombreux opiacĂ©s faibles sont inefficaces et comportent le risque de certaines toxicitĂ©s. Cependant, leur faible risque de dĂ©pendance en fait une alternative viable avant dâutiliser des opiacĂ©s plus forts. La derniĂšre Ă©tape consiste Ă utiliser des opiacĂ©s forts, en commençant par de trĂšs petites doses. Le dosage est ensuite augmentĂ© jusquâĂ ce que la douleur soit contrĂŽlĂ©e ou que les effets secondaires soient intolĂ©rables. Ce mĂ©dicament est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© Ă cĂŽtĂ© de lâadjuvant et non-opioĂŻde pour attaquer la douleur sous autant dâangles que possible. No votes yet. Please wait...
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Le systĂšme allemand de passeport pour les vaccins restreint les libertĂ©s en fonction des niveaux de code couleur et du statut de rappel du vaccinLundi 15 aoĂ»t 2022 par Lance D JohnsonNatural News AprĂšs avoir imposĂ© de multiples expĂ©riences mĂ©dicales sur la population et blessĂ© et tuĂ© un certain pourcentage de la population, le ministre allemand de la SantĂ©, Karl Lauterbach, annonce un nouveau systĂšme de passeport vaccinal Ă code couleur qui restreint les libertĂ©s individuelles en fonction du l'Ă©tat de l'amplificateur ». Les personnes qui n'ont pas Ă©tĂ© "fraĂźchement vaccinĂ©es" au cours des trois derniers mois sont soumises Ă des restrictions dans toute la sociĂ©tĂ© allemande. Chaque fois qu'une personne se conforme Ă un nouveau coup de rappel, elle rĂ©cupĂšre ses libertĂ©s». Ce nouveau systĂšme est dĂ©ployĂ© dans le cadre de la loi sur la protection contre les infections» tyrannie des passeports vaccinaux s'intensifie en Allemagne alors que des citoyens bien conditionnĂ©s deviennent de vĂ©ritables esclavesLa nouvelle application de passeport vaccinal est surnommĂ©e Corona-Warn-App CWA. Il attribue une couleur spĂ©cifique aux personnes qui se sont conformĂ©es Ă la derniĂšre sĂ©rie de coups de rappel. Les personnes qui n'affichent pas cette couleur sur leur application seront menacĂ©es de mandats de masque, d'exigences de test et d'isolement, entre autres actes discriminatoires restrictifs que le gouvernement allemand concocte Ă tout qui ne sont pas fraĂźchement boostĂ©s » avec des inoculations COVID se voient attribuer une couleur en fonction de leur statut de vaccination indigne. Le systĂšme de passeport pour les vaccins de style PCC attribue plusieurs niveaux de droits » en fonction de la conformitĂ© d'une personne Ă la dictature mĂ©dicale actuelle. Les esclaves citoyens qui ont survĂ©cu Ă plusieurs sĂ©ries de coups COVID doivent toujours porter des masques, doivent toujours montrer la preuve d'un test COVID nĂ©gatif et prendre d'autres ordres du gouvernement s'ils n'ont pas Ă©tĂ© fraĂźchement vaccinĂ©s» au cours des trois derniers mois. Dans certains cas, l'application accepte un test COVID nĂ©gatif Ă la place d'un rappel rĂ©cent, accordant la couleur dont une personne a besoin pour renoncer aux mandats de masque et aux ordonnances d'isolement. Le Berliner Zeitung a dĂ©clarĂ© que la nouvelle application de passeport pour les vaccins "accorderait des droits diffĂ©rents Ă l'avenir" en fonction des derniĂšres "orientations de santĂ© publique".RĂ©pondreSupprimerEn relation le taux de natalitĂ© en Allemagne chute de maniĂšre improbable de 11% au premier trimestre 2022.Les passeports de vaccination sont le terrain d'essai pour dĂ©noncer sa foi et dĂ©clarer l'obĂ©issance aux mauvaises et fausses autoritĂ©sLa mise Ă jour de l'application allemande est similaire au systĂšme de passeport de vaccin Ă code couleur de la Chine. Un feu vert permet aux citoyens-esclaves de se dĂ©placer librement. Le code jaune leur refuse l'accĂšs Ă la sociĂ©tĂ©, ordonnant au citoyen esclave de rester chez lui pendant sept jours. Le code rouge est Ă©mis pour enfermer les citoyens esclaves pendant deux semaines Ă la fois. Lauterbach a dĂ©clarĂ© que l'Allemagne modifierait les rĂšgles et fermerait l'exemption de masque si trop de personnes fraĂźchement vaccinĂ©es "profitent" de la couleur qui leur est piqĂ»res COVID n'ont jamais Ă©tĂ© des vaccinations, pour commencer. Les individus sans discernement apprennent Ă leurs dĂ©pens ce qui se passe rĂ©ellement dans le monde. Les piqĂ»res COVID dĂ©truisent le systĂšme immunitaire et provoquent une inflammation des systĂšmes d'organes vitaux du corps. Ils sont utilisĂ©s comme outil de tromperie pour dĂ©truire la santĂ© humaine et asservir les populations. C'est du contrĂŽle mental. Il s'agit de tester l'intĂ©gritĂ© et la foi des gens. Les applications de passeport pour les vaccins ne sont que le terrain d'essai d'un contrĂŽle psychologique et d'une oppression spirituelle pays commencent Ă dĂ©ployer des identifiants numĂ©riques et des dispositifs de surveillance tels que des bracelets et des bracelets de cheville. Ce systĂšme totalitaire va finalement exiger le respect de croyances encore plus sinistres et contrĂŽlantes, ce qui nĂ©cessitera davantage d'obĂ©issance corporelle, de surveillance biologique, de cotes de crĂ©dit social et d'agenouillement perpĂ©tuel devant de fausses autoritĂ©s dĂ©moniaques. En fin de compte, ce systĂšme consiste Ă dĂ©noncer sa foi et Ă consacrer sa vie Ă un gouvernement mondial trompeur et abusif. C'est un systĂšme impie de terreur psychologique et d'obĂ©issance au meurtre de sources comprennent me rappelle de cette phrase dite par Claude Pieplu au dessin animĂ© 'Les shadocks' "La maladie est malade !"Comme quoi on ne s'est jamais demandĂ© auparavant si elle pouvait ĂȘtre en bonne santĂ© !SupprimerLe CDC plaide l'ignorance du lien entre les piqĂ»res COVID et l'inflammation cardiaqueLundi 15 aoĂ»t 2022 par Ethan HuffNatural News ImmĂ©diatement aprĂšs le lancement de l'opĂ©ration Warp Speed ââĂ la fin de 2020, les taux de myocardite, de pĂ©ricardite et d'autres formes d'inflammation cardiaque ont commencĂ© Ă monter en flĂšche. Mais selon les Centers for Disease Control and Prevention CDC, il n'y a aucun lien connu entre ces conditions de santĂ© et les "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan COVID-19.En rĂ©ponse Ă une demande de la Freedom of Information Act FOIA demandant des rapports du CDC sur le risque post-injection d'inflammation cardiaque, la sociĂ©tĂ© privĂ©e se faisant passer pour une agence de santĂ© publique a plaidĂ© l'ignorance Ă ce sujet, affirmant qu'elle n'avait aucune idĂ©e que les vaccins contre la grippe Fauci pourrait endommager le cĆur du CDC qui a rĂ©pondu Ă la demande de la FOIA a dĂ©clarĂ© qu'elle s'appuyait sur les donnĂ©es du systĂšme gouvernemental de notification des Ă©vĂ©nements indĂ©sirables liĂ©s aux vaccins VAERS, qui est cogĂ©rĂ© par le CDC et la Food and Drug Administration FDA. Ils ont utilisĂ© le systĂšme de signalement passif pour examiner les blessures liĂ©es au coup signalĂ©es entre le 2 avril 2021 et le 2 octobre 2021. Le Centre national des maladies infectieuses zoonotiques Ă©mergentes a effectuĂ© une recherche dans nos dossiers qui n'a rĂ©vĂ©lĂ© aucun document relatif Ă votre demande », a dĂ©clarĂ© Roger Andoh, un responsable des dossiers du CDC, Ă Epoch Times, ajoutant qu' une association entre la myocardite et l'ARNm COVID -19 la vaccination n'Ă©tait pas connue Ă ce chef du CDC nie le lien entre les injections de COVID et l'inflammation cardiaqueLes autoritĂ©s israĂ©liennes et l'armĂ©e amĂ©ricaine ont Ă©tĂ© les premiĂšres Ă rendre compte publiquement des injections de COVID provoquant une inflammation cardiaque. Ils l'ont fait en avril 2021, bien avant que le CDC ne prenne mĂȘme la peine de reconnaĂźtre un tel Walensky, la directrice du CDC dont le mari a rĂ©coltĂ© des millions de subventions» gouvernementales corrompues, a affirmĂ© qu'aprĂšs avoir examinĂ© la question, aucun signal de sĂ©curitĂ© n'a Ă©tĂ© trouvĂ© reliant les coups Ă la myocardite ou Ă la a fallu attendre fin juin de cette annĂ©e pour que le CDC admette enfin que les donnĂ©es disponibles "suggĂšrent en fait une association avec la vaccination". Au moment oĂč aoĂ»t est arrivĂ©, le CDC a en fait commencĂ© Ă utiliser le mot dommage» pour dĂ©crire la savons pertinemment que Walensky et le reste de son espĂšce au CDC ont menti au public amĂ©ricain tout ce temps. Ils savaient depuis le dĂ©but que les tirs Ă©taient mortels, mais ils ont jouĂ© les idiots Ă ce sujet."Soit la main droite ne sait pas ce que fait la main gauche au CDC, soit les responsables fĂ©dĂ©raux de la santĂ© diffusent des informations erronĂ©es sur ce qu'ils savaient sur la myocardite aprĂšs les vaccins ARNm COVID et quand ils l'ont su", a dĂ©clarĂ© Barbara Loe Fisher, co-fondateur et prĂ©sident du Centre national d'information sur les vaccins NVIC.Selon Fisher, l'affirmation du CDC selon laquelle il ne connaissait aucun lien de ce type entre les injections et l'inflammation cardiaque "est manifestement fausse".Le sĂ©nateur Ron Johnson R-Wisc. A abordĂ© directement la rĂ©ponse FOIA du CDC, expliquant qu'elle "soulĂšve encore plus de questions sur l'honnĂȘtetĂ©, la transparence et l'utilisation, ou l'absence de celle-ci, de ses systĂšmes de surveillance de la sĂ©curitĂ©, tels que VAERS, pour dĂ©tecter les effets indĂ©sirables du vaccin COVID-19."J'ai envoyĂ© deux lettres au CDC concernant l'incapacitĂ© de l'agence Ă trouver des documents dĂ©montrant son utilisation des systĂšmes de surveillance des vaccins", a-t-il ajoutĂ© dans un communiquĂ©. "Ă ce jour, le CDC n'a pas rĂ©pondu Ă mes lettres."Une porte-parole du CDC a dĂ©clarĂ© au Times dans un e-mail que tout cela n'Ă©tait qu'un gros oopsie, et que le CDC n'avait qu'Ă publier une "correction" Ă ce sujet et tout ira soi-disant correction ne fera absolument rien pour annuler toutes les blessures et tous les dĂ©cĂšs qui se sont produits, mais c'est ainsi que les choses sont presque toujours traitĂ©es lorsque le gouvernement commet des crimes contre l' derniĂšre couverture mĂ©diatique sur les injections de virus chinois et les dommages prolifiques qu'elles causent Ă la santĂ© humaine peut ĂȘtre trouvĂ©e sur sources de cet article incluent 2 drogue la plus dangereuse au monde n'est PAS la cocaĂŻne, l'hĂ©roĂŻne ou le crystal meth, mais plutĂŽt une drogue couramment prescrite par les mĂ©decins qui reçoivent de somptueuses primes pour l'avoir August 15, 2022 by WellsNatural News Cinquante fois plus forte que l'hĂ©roĂŻne pure, cette drogue a tuĂ© plus de 100 000 AmĂ©ricains l'annĂ©e derniĂšre, mĂȘme lorsqu'elle Ă©tait prise conformĂ©ment aux prescriptions de leur mĂ©decin charlatan qui vendait de la drogue. Ce factoĂŻde est selon le CDC. Cette drogue s'appelle le fentanyl, et c'est la drogue la plus dangereuse distribuĂ©e par les mĂ©decins agréés et par les trafiquants de drogue dans les rues d'AmĂ©rique. Le fentanyl est la vĂ©ritable pandĂ©mie en AmĂ©rique, pas le sur les rĂ©seaux sociaux, le fentanyl tue chaque annĂ©e plus de personnes que toute autre drogue, lĂ©gale ou illĂ©galeAutre forme de rĂ©ductionnisme dĂ©mographique, la drogue la plus dangereuse au monde est disponible presque partout. Vous avez mal ? Les mĂ©decins le distribuent. Vous voulez vous sentir bien ? Les trafiquants de drogue dans la rue le distribuent. Vous avez de l'argent ? Les adolescents et les jeunes adultes le trouvent sur les rĂ©seaux sociaux. Une dose lĂ©tale n'est que de 2 milligrammes. Cette quantitĂ© est souvent vendue en capsules dans la rue, par des personnes ayant des ordonnances qu'elles continuent Ă renouveler inutilement. Dites simplement au mĂ©decin que vous avez mal et le tour est jouĂ©, vous ĂȘtes un trafiquant de drogue annĂ©e, cela s'aggrave de façon exponentielle. Une seule poignĂ©e peut tuer des centaines de personnes, et elle traverse la frontiĂšre sud des Ătats-Unis plus rapidement qu'un camion rempli de synthĂ©tique n'a ni goĂ»t ni odeur. Les mĂ©decins l'utilisent pour les patients atteints de cancer afin de les endormir dans la mort. Les mĂ©decins prĂ©tendent que c'est un mĂ©dicament de dernier recours, mais ils le distribuent ensuite pour tout, de l'amygdalite aux maux de dos invĂ©rifiables. Les mĂ©decins laissent les patients remplir le mĂ©dicament jusqu'Ă 8 fois sans nouvelle visite au bureau. Saint-Louis est l'Ă©picentre de la pandĂ©mie amĂ©ricaine de fentanyl, et la vidĂ©o intĂ©grĂ©e au bas de cet article dĂ©taille l'horrible plupart des gens qui achĂštent de la drogue dans la rue reçoivent du fentanyl sans mĂȘme le savoir. Cela conduit Ă des surdoses plus qu'autre chose. Les laboratoires en Chine proposent aux trafiquants de drogue de venir visiter et de voir comment c'est fait. Est-ce que ça se passe aussi aux USA ?RĂ©pondreSupprimerTout le monde peut commander du fentanyl sur les applications de mĂ©dias sociaux et les applications tĂ©lĂ©phoniques cryptĂ©esIl existe toute une liste de faux mĂ©dicaments sur ordonnance qui circulent Ă travers le pays. Certaines personnes pensent qu'ils sont rĂ©els. Ils pensent qu'ils achĂštent le produit pharmaceutique prescrit par un mĂ©decin Ă quelqu'un d'autre, alors qu'en rĂ©alitĂ©, un scientifique voyou ou un scientifique en herbe pensez Ă Jesse de Breaking Bad ici le prĂ©pare dans son sous-sol ou son camping-car, puis le met dans des capsules et l'appelant quelque chose qui semble avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ entendu parler de quelques-uns d'entre eux percocet, xanax alias barres ou "benzos", adderall a-train ou "addy", ecstasy MDMA ou mollies, hydrocodone 357's et oxycodone 30's, 40's, 80's ou 'fait'. Parfois, le fentanyl est mĂ©langĂ© Ă de la cocaĂŻne libre dans le crack et appelĂ© bleu ou applejack, ou cuit avec de l'hĂ©roĂŻne birria, ou concoctĂ© en laboratoire avec du crystal meth amp, bump ou 'crank', puis sniffĂ©, fumĂ©, avalĂ© ou injectĂ©. Certaines personnes les appellent 8 boules » ou boulets de canon ». Certains sont coupĂ©s mĂ©langĂ©s avec des laxatifs pour bĂ©bĂ©s et mĂȘme des non-consommables chargĂ©s de produits de ces concoctions contiennent de l'antigel ou un insecticide pour des effets hallucinatoires supplĂ©mentaires et une dĂ©pendance plus profonde. Plus la descente » est mauvaise, plus le toxicomane a besoin d'une autre solution. Big pharma le sait aussi. Les mĂ©decins qui les vendent comme ordonnances le savent mĂ©decins reçoivent des primes de dĂźner raffinĂ©es et des spiffs » d'argent pour des discours lors de congrĂšs de mĂ©decins/santĂ© sur l'efficacitĂ© du fentanyl contre la douleurCertains mĂ©decins auraient reçu plus de 10 000 $ juste pour imposer du fentanyl Ă leurs patients. Des millions de dollars sont distribuĂ©s aux mĂ©decins de l'Ătat pour l'Ă©linguer. Avez-vous des douleurs de quelque nature que ce soit ? Mal aux dents ? Maux de tĂȘte chroniques ? Mal au dos ou au cou ? Genoux blessĂ©s ? Les mĂ©decins amĂ©ricains ont du fentanyl pour vous, la drogue la plus dangereuse de la planĂšte qui peut vous tuer si vous ne prenez que 2 milligrammes. Achetez-le auprĂšs d'un ami, d'un parent ou d'un collĂšgue Ă qui on l'a prescrit pour la douleur, et vous pourriez simplement ĂȘtre contaminĂ© par du fentanyl. Demandez simplement aux gens de Saint-Louis qui meurent en masse aprĂšs avoir pris du fentanyl sur ordonnance ». Regardez ce court documentaire et vous serez choquĂ© par la VRAIE PANDĂMIE qui se passe en AmĂ©rique - voir clip sur site -RĂ©pondreSupprimerRĂ©glez votre frĂ©quence frauduleuse sur pour obtenir la vĂ©ritĂ© sur la sĂ©curitĂ© nationale et les nouvelles sur le trafic de drogue qui sont censurĂ©es par le reste des mĂ©dias pendant que vous lisez for this article include Ătats-Unis existeront-ils aprĂšs novembre ?De Paul Craig aoĂ»t 2022Le nazi en tant que procureur gĂ©nĂ©ral des Ătats-Unis a dĂ©clarĂ© qu'il allait faire desceller le mandat qu'il a utilisĂ© pour justifier l'invasion agressive du domicile du prĂ©sident Trump par un FBI armĂ© et politisĂ©, piĂ©geant essentiellement des artistes pour le parti dĂ©mocrate question Ă laquelle le procureur gĂ©nĂ©ral nazi ne rĂ©pond pas, et la question que les prĂ©posĂ©s Ă©vitent soigneusement de poser, est pourquoi le mandat contenant la cause probable de l'invasion sans prĂ©cĂ©dent de la maison d'un prĂ©sident amĂ©ricain a-t-il Ă©tĂ© scellĂ© en premier lieu ?Il ne fait aucun doute que l'explication officielle sera un mensonge, que les prĂ©stituĂ©s rĂ©pĂ©teront sans cesse dans leur tentative de transformer le mensonge en vĂ©ritĂ© par la rĂ©pĂ©tition, tout comme ils l'ont fait avec les armes de destruction massive de Saddam Hussein », l'utilisation d'armes chimiques par Assad, " Ă l' point de vue sur la situation est qu'il n'y a pas de cause probable. Voici un scĂ©nario qui peut se dĂ©rouler. Le FBI a emportĂ© quelques cartons de documents auxquels ils avaient prĂ©alablement accĂšs mais sans intĂ©rĂȘt. Une fois qu'ils auront dĂ©cidĂ© de la nature du coup montĂ© de Trump, ils insĂ©reront le document qu'ils utiliseront pour incriminer Trump dans l'une des cases. Ensuite, ils insĂ©reront dans le mandat la cause probable» qui justifie l'invasion de quoi tu dis. Le magistrat fĂ©dĂ©ral qui a fourni le mandat n'accepterait jamais un coup montĂ©. Comment savez-vous ? Le magistrat est le mĂȘme qui, apparemment sur ordre, a laissĂ© partir le pĂ©dophile Epstein la premiĂšre fois qu'il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Tout comme les dĂ©mocrates avides de pouvoir rĂ©volutionnaire ont armĂ© les agences de sĂ©curitĂ© amĂ©ricaines et les mĂ©dias pour en faire des armĂ©es contre leurs adversaires politiques, ils ont Ă©galement armĂ© les tribunaux en nommant des juges. Tout comme le FBI tentait de piĂ©ger le prĂ©sident Trump avec le Russiagate et avec un Jan. 6 insurrection », tout comme les procureurs gĂ©nĂ©raux du MJ, les procureurs et les juges fĂ©dĂ©raux. Le systĂšme judiciaire amĂ©ricain est aussi corrompu que partie Ă©veillĂ©e de la population, les AmĂ©ricains suffisamment intelligents pour pouvoir penser indĂ©pendamment de ce que CNN, NPR, NBC, le NYTimes et le reste des presstitutes leur collent Ă la tĂȘte, sont furieux contre les anti-amĂ©ricanismes remparts de Biden. Pour n'en citer que quelques-uns l'ouverture des frontiĂšres inondant le pays d'immigrants envahisseurs et les charges sociales, la criminalitĂ© et le vote illĂ©gal qui y sont associĂ©s ; poursuites politiques des opposants ; conflit gratuit avec la Russie, la Chine et l'Iran ; la diabolisation des AmĂ©ricains blancs en tant que racistes ; les confinements illĂ©gaux et les mandats de vaccination ; le feu vert donnĂ© Ă la perversion sexuelle ; l'imposition d'une formation Ă la sensibilitĂ© et de la thĂ©orie critique de la race aux enfants blancs dans les Ă©coles publiques et aux membres blancs de l'armĂ©e et de la fonction publique et l'imposition de quotas sur leur promotion. Le rĂ©gime corrompu de Biden a fait tout ce qu'il pouvait pour dĂ©truire l'Ă©galitĂ© de traitement. Au lieu d'une sociĂ©tĂ© d'opportunitĂ©s, l'AmĂ©rique a maintenant une sociĂ©tĂ© de privilĂšges spĂ©ciaux pour les minoritĂ©s opprimĂ©es».Les gens en ont finalement eu assez et les sondages le montrent. Wipeout attend les dĂ©mocrates anti-amĂ©ricains corrompus en novembre, et les dĂ©mocrates avec leurs armĂ©es du FBI, de la CIA, de la NSA, du DOJ et des mĂ©dias ne vont pas le laisser doit ĂȘtre faussement inculpĂ© et Ă©liminĂ©. C'est Ă©vident depuis six ans - le Russiagate, la porte de mise en accusation, l'insurrection du 6 janvier, et maintenant le dernier en date de l'invasion par la Gestapo du domicile du prĂ©sident Trump, que les mĂ©dias donneront bientĂŽt un sommes confrontĂ©s Ă des dĂ©mocrates dĂ©sespĂ©rĂ©s. Les crimes commis par Hillary, les responsables du ministĂšre de la Justice, le FBI, la CIA et les comitĂ©s du CongrĂšs dĂ©mocrate ne constituent rien de moins qu'une haute trahison contre les Ătats-Unis. Les preuves sont si abondantes que mĂȘme les rĂ©publicains mauviettes ne pourraient Ă©viter de les utiliser et de rĂ©tablir l'intĂ©gritĂ© du gouvernement amĂ©ricain et la rue de la loi aux le montage prĂ©vu de Trump Ă©choue, le rĂ©gime de Biden dĂ©couvrira un complot de suprĂ©matie blanche par les Trump Deplorables» pour voler les Ă©lections de novembre, nĂ©cessitant une prise en charge fĂ©dĂ©rale des Ă©lections pour empĂȘcher son vol par les suprĂ©matistes blancs. De cette façon, les dĂ©mocrates voleront Ă nouveau l'Ă©lection, et la persĂ©cution de leurs ennemis politiques aura le ton de l'Ă©limination des chemises brunes par Hitler et de l'Ă©limination des bolcheviks par dĂ©mocrates, assis sur leur armĂ©e de procureurs fĂ©dĂ©raux, d'espions et de tueurs Ă gages du FBI, de la CIA et de la NSA, et d'un ministĂšre de propagande efficace se faisant passer pour un mĂ©dia, ne se sont pas approchĂ©s si prĂšs du pouvoir total qu'ils vont reculer et subir le consĂ©quences de leurs nombreux crimes. La question est le parti rĂ©publicain faible et intimidĂ© de Mitch McConnell et John Durham peut-il faire quelque chose Ă ce sujet ?Pour que la libertĂ©, un gouvernement responsable et l'Ătat de droit survivent aux Ătats-Unis, le peuple amĂ©ricain devra-t-il prendre les armes contre Washington, tout comme les Russes du Donbass ont dĂ» le faire contre Kiev ?Si les dĂ©mocrates peuvent ĂȘtre empĂȘchĂ©s de voler Ă nouveau les Ă©lections de novembre, peut-ĂȘtre que davantage de rĂ©publicains avec une colonne vertĂ©brale peuvent entrer en fonction, des gens comme Devin Nunes, Jim Jordan, Marjorie Taylor Greene, le gouverneur du Dakota du Sud Kristi Noem et le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Le gouverneur DeSantis a dĂ©clarĂ© catĂ©goriquement qu'il ne permettrait pas aux procureurs Ă©veillĂ©s de dĂ©fendre les criminels contre la justice, comme c'est la pratique dans de nombreuses juridictions dĂ©mocrates. DeSantis comprend que la politique des dĂ©mocrates de normalisation de la criminalitĂ©, de la perversion sexuelle et de l'ouverture des frontiĂšres signifie la mort de l' que cela ait pris une Ă©ternitĂ©, finalement de nombreux AmĂ©ricains en sont Ă©galement venus Ă cette rĂ©alisation. Si les AmĂ©ricains sensibles qui restent peuvent refuser d'ĂȘtre placĂ©s dans une position dĂ©fensive par les ennemis dĂ©mocrates et mĂ©diatiques de l'AmĂ©rique, des gens bien plus dangereux que les Russes, les Chinois et les Iraniens, et devenir agressifs comme Antifa et BLM, la rĂ©publique a une chance d'ĂȘtre c'est adieu l' la majoritĂ© 330 millions d'AmĂ©ricains qui reprĂ©sente l'AmĂ©rique et non un nano groupuscule de 'dirigeants' qui refuse la nous trompons pas, seul un chef dâĂtat peut passer la dictature rĂ©publique en DĂ©mocratie. Et, jusque lĂ , je n'ai entendu aucun chef dâĂtat proposer la DĂ©mocratie !SupprimerAnonymat sur les rĂ©seaux sociaux le faux dĂ©batLâanonymat sur la toile nâĂ©tant majoritairement quâune ArlĂ©sienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux dĂ©bat. le 15 aoĂ»t 2022Par Yannick Chatelain. Pour moi lâanonymat pratiquĂ© sur les rĂ©seaux sociaux est une rĂ©gression » dĂ©clarait Emmanuel de Wasqueriel, sur France Inter, prĂ©cisant quâune dĂ©mocratie, câest avancer Ă visage dĂ©couvert⊠» et plutĂŽt que de restreindre la libertĂ© dâexpression sur les rĂ©seaux sociaux, il faudrait obliger Ă la suppression de lâanonymat » ajoutant ainsi sa voix Ă un faux dĂ©bat rĂ©guliĂšrement relancĂ© la fin de lâusage du rappel, cette thĂ©matique avait resurgi en octobre 2020 portĂ©e par des Ă©lus de premier plan dont Xavier Bertrand et ValĂ©rie PĂ©cresse suite au tragique assassinat du professeur Samuel fin des pseudos la porte ouverte Ă lâautocensurePour que ce genre de faux dĂ©bat prenne fin, encore faudrait-il que ceux qui sâexpriment sur le sujet intĂšgrent une bonne fois pour toutes que lâanonymat sur les rĂ©seaux sociaux nâexiste pas, Ă moins de faire partie de lâĂ©lite hacker et de disposer de compĂ©tence technologique hors norme rendant le traçage de lâĂ©metteur particuliĂšrement complexe, voire libertĂ© dâexpression a des limites et elle est dâores et dĂ©jĂ encadrĂ©e en France par la loi. Dans la rĂ©alitĂ© du net, si une plainte est dĂ©posĂ©e derriĂšre un pseudonyme, les forces de lâordre disposent de tous les moyens nĂ©cessaires pour remonter Ă la source. Il serait dâailleurs Ă ce titre plus juste de parler de PseudoAnonyme que de pseudonyme et de vulgariser cette appellation. Ce faux dĂ©bat serait alors peut-ĂȘtre dĂ©finitivement qui militent pour la levĂ©e de ce PseudoAnonymat le font peut-ĂȘtre par ignorance technologique. Sâils se pensent de bonne foi, il ne peut dĂšs lors leur en ĂȘtre tenu rigueur. Ils pourront alors Ă©ventuellement repenser leur position antĂ©rieure. A contrario si tel nâest pas le cas, si ce combat est menĂ© en connaissance, alors il sâagit dâun argument fallacieux utilisĂ© de façon dĂ©libĂ©rĂ©e pour justifier lâinterventionnisme de lâĂtat et un encadrement potentiellement outrancier de la libertĂ© dâexpression en postulant la mĂ©connaissance technologique dâune partie de la fin de ce PseudoAnonymat serait la porte ouverte Ă lâautocensure. Le mal serait, in fine, bien pire que le bien supposĂ© apportĂ© Ă notre dĂ©mocratie. La fin de ce PseudoAnonymat porterait insidieusement un coup fatal Ă la libre expression de chacunâŠQue dire alors et quâĂ©crire ? Hormis exprimer des platitudes insipides sâinscrivant dans telle ou telle pensĂ©e dominante pour ne surtout pas prendre le risque de tomber dans ce qui peut rapidement se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre une effroyable machine Ă broyer des PseudoAnonyme est avant tout une protection de lâusager et de sa libre expressionComme Ă©voquĂ© prĂ©cĂ©demment, lâanonymat sur Internet est parfaitement relatif lorsque les autoritĂ©s compĂ©tentes sont mandatĂ©es par les autoritĂ©s judiciaires pour remonter Ă lâĂ©metteur. Ces derniĂšres disposent des outils et des savoir-faire et elles le contrario un usager lambda contrariĂ© par un propos, une idĂ©e, et souhaitant en dĂ©coudre aura beaucoup plus de difficultĂ© Ă remonter Ă la source pour rĂ©gler ses lors que le propos ne tombe pas sous le coup de la loi, lâusage de pseudonymes â contrairement Ă ce quâavance lâhistorien Emmanuel de Wasqueriel et dâautres qui partagent son avis â câest avant tout la garantie pour chacun dâexercer son droit Ă une libre parole sans crainte de reprĂ©sailles disproportionnĂ©es, sans avoir Ă redouter â si le propos ne convient pas Ă dâautres usagers â que la machine Ă dĂ©truire ne sâ faut garder Ă lâesprit que sans le garde-fou dâun PseudoAnonymat, pour un propos qui dĂ©plait sans contrevenir Ă la loi, tout usager sâexposerait Ă devenir la cible des formes de harcĂšlement les plus courantes recensĂ©es par le blog du hacker, Ă savoir Lâusurpation dâidentitĂ©Le Doxing Documents TracingLe Swatting canular tĂ©lĂ©phoniqueDiscours haineux / diffamation / trollingRevenge poLe cyberstalking la traque sur Internet Remember Justine SaccoLe lynchage en ligne peut toucher tout le monde. Nul nâest Ă lâabri de voir sa vie ruinĂ©e pour quelques mots trĂšs maladroits comme le rĂ©vĂšle le cas de Justine Sacco dont jâavais fait lâ 2013 et cette professionnelle de la communication avait eu la bien mauvaise idĂ©e de tweeter Ă ses 170 abonnĂ©es RĂ©pondreSupprimer Going to Africa. Hope I donât get AIDS. Just kidding. Iâm white ! »Il y avait deux façons dâinterprĂ©ter ce tweet ambigu soit une dĂ©nonciation dâune prise en charge du Sida non Ă©quitable en Afrique du Sud selon sa couleur de peau, soit un racisme des plus arrogants. Le rĂ©seau aura interprĂ©tĂ© le tweet de la jeune femme comme un tweet raciste. Il aura alors suffi de onze heures de vol pour que la jeune femme voie sa vie ruinĂ©e, la toile Ă©tant remplie de justiciers auto-proclamĂ©s qui se font ainsi des bourreaux plus cruels que les cibles quâils clouent au pilori de lâ quâil en aurait Ă©tĂ© de mĂȘme du destin de cette jeune femme si elle avait tweetĂ© sous un pseudonyme ? Ce tweet aurait tout simplement pu ĂȘtre signalĂ© par les utilisateurs en ayant eu une lecture raciste⊠des plaintes dĂ©posĂ©es⊠et la jeune femme aurait alors, Ă©ventuellement, eu Ă en rĂ©pondre Ă la justice de son pays qui aurait alors tout Ă©tat de cause elle ne serait pas devenue une cible Ă abattre ni la victime dâun massacre en bande de lĂąches organisĂ©s. Un massacre intĂ©grant des tweets, eux, sans la moindre ambiguĂŻtĂ© et passibles de conclure ce faux dĂ©bat de lâanonymatAu temps de la cancel culture, les rĂ©seaux et les hommes Ă©tant ce quâils sont, parfois moins sophistiquĂ©s que les machines quâils inventent et utilisent, le PseudoAnonymat est indispensable pour permettre Ă chacun de pouvoir sâexprimer librement sur la toile sans risquer des reprĂ©sailles qui peuvent se rĂ©vĂ©ler totalement PseudoAnonymat â sâil est nĂ©cessaire de le réécrire â nâempĂȘchant nullement la justice, la vraie â pas celle dâune meute â de faire son travail sâil y a lieu. Sâexprimer librement est un droit constitutionnel reconnu Ă tout citoyen français. Dans son article 10, la DĂ©claration des droits de lâHomme et du citoyen ne prĂ©cise-t-elle pas Nul ne doit ĂȘtre inquiĂ©tĂ© pour ses opinions, mĂȘme religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas lâordre public Ă©tabli par la Loi. »Dans son article 11, cette mĂȘme dĂ©claration nâinsiste-t-elle pas La libre communication des pensĂ©es et des opinions est un des droits les plus prĂ©cieux de lâhomme tout citoyen peut donc parler, Ă©crire, imprimer librement, sauf Ă rĂ©pondre de lâabus de cette libertĂ© dans les cas dĂ©terminĂ©s par la loi. »Lâanonymat sur la toile nâĂ©tant majoritairement quâune ArlĂ©sienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux Parler de libertĂ© nâa de sens quâĂ condition que ce soit la libertĂ© de dire aux gens ce quâils nâont pas envie dâentendre. » George OrwellArticle publiĂ© initialement le 19 janvier 2021 Emmanuel de Wasqueriel, " il faudrait obliger Ă la suppression de lâanonymat » " ...Si aujourd'hui vous avez encore la libertĂ© de parler, de critiquer les religions, la politiques et l'escroquerie 'cocovide19', demain... si s'affiche votre nom et votre adresse et pourquoi pas votre photo de CI, vous risquez la mort de quitter votre appartement car, si vous ne connaissez pas les gens de la rue eux ils vous connaissent !Touchez pas c'est collector !samedi 22 juin 2013 Le lynchage en ligne peut toucher tout le monde. Nul nâest Ă lâabri de voir sa vie ruinĂ©e pour quelques mots trĂšs maladroits comme le rĂ©vĂšle le cas de Justine Sacco dont jâavais fait lâanalyse. ...HAHAHAHA ! Vous parlez de ministres ? de chefs dâĂtats ? Eux ils parlent de leur nom, sont photographiĂ©s, filmĂ©s mais eux... ils ont 50 000 gardes du corps ! Eux ! Eux c'est pas Vous !Supprimer"Ils peuvent faire de la surveillance audio, vidĂ©o et physique sur vous 24H/365J par an" Rex Lee sur les applications intrusivesPAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 0125Dans cet Ă©pisode spĂ©cial, Tiffany Meier d'Epoch Times s'est entretenue avec Rex M. Lee, conseiller en cybersĂ©curitĂ© chez My Smart Privacy. Il aide Ă faire la lumiĂšre sur les cyberattaques de la Chine contre l'AmĂ©rique, comment elles nous affectent dans notre vie quotidienne et ce qui peut ĂȘtre fait pour les note que les pays adversaires peuvent entrer par le biais d'applications invasives Vous devez considĂ©rer une application comme un malware lĂ©gal. Et c'est la meilleure façon de dĂ©crire les applications aujourd'hui. Une application, qu'il s'agisse d'une application de mĂ©dias sociaux dĂ©veloppĂ©e par Bytedance, telle que TikTok, Facebook ou Instagram, n'importe laquelle de ces applications, ce sont essentiellement des logiciels malveillants lĂ©gaux qui permettent au dĂ©veloppeur de surveiller, de suivre et d'exploiter les donnĂ©es de l'utilisateur final Ă des fins financiĂšres. gagnez 24 heures sur 24, 365 jours par an."Une seule application intrusive permet au dĂ©veloppeur de collecter plus de 5 000 points de donnĂ©es hautement confidentiels associĂ©s aux informations personnelles, commerciales, mĂ©dicales, juridiques et d'emploi de l'utilisateur final, car la surveillance et l'exploration de donnĂ©es effectuĂ©es par ces sociĂ©tĂ©s sont aveugles, ce qui signifie qu'ils ne collectent pas seulement des informations sur les consommateurs, ils collectent toutes les informations de l'utilisateur final, y compris les messages texte, les e-mails, les piĂšces jointes, les Ă©vĂ©nements du calendrier, etc. », a-t-il Ă savoir Ă quel point ils sont envahissants, Lee a dĂ©clarĂ©RĂ©pondreSupprimer"Ce qu'une application fera, c'est qu'elle s'interconnectera avec tout le matĂ©riel de l'appareil et les capteurs de l'appareil, tels que la camĂ©ra et le microphone, ainsi que des capteurs, tels que l'accĂ©lĂ©romĂštre. Ainsi, ils peuvent effectuer une surveillance audio, vidĂ©o et physique sur vous 24 heures sur 24, 365 jours par an, tout en collectant ces 5 000 points de donnĂ©es hautement confidentiels sur l'utilisateur final. Ce qu'ils font, c'est qu'ils emballent cela et qu'ils le monĂ©tisent. Mais aussi, comme nous le voyons dans les nouvelles, ces entreprises technologiques sont alignĂ©es sur les gouvernements. Ainsi, les informations se retrouvent souvent entre les mains du a Ă©galement rencontrĂ© Greg Copley, prĂ©sident de l'International Strategic Studies Association et auteur de "The New Total War". Il Ă©voque le rĂ©cent buzz suscitĂ© par le voyage de la prĂ©sidente de la Chambre Nancy Pelosi Ă TaĂŻwan et ce que cela signifie pour ce mois de novembre, Ă la fois en ce qui concerne nos Ă©lections de mi-mandat et le dirigeant chinois Xi Jinping Ă la recherche d'un troisiĂšme mandat sans a dit Nous avons maintenant une meilleure idĂ©e de la maniĂšre dont l'ArmĂ©e populaire de libĂ©ration [APL] mĂšnerait une guerre contre TaĂŻwan, si cela devait arriver. Et s'ils ont en fait permis au secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral Xi de les faire entrer en guerre sur la question de Taiwan, le Japon a clairement indiquĂ©, et il a rĂ©pĂ©tĂ© cette dĂ©claration lors de la visite de la prĂ©sidente Pelosi, que le Japon soutiendrait Taiwan en cas d'attaque militaire par la RĂ©publique populaire de Chine. Certes, les Ătats-Unis y seront entraĂźnĂ©s d'une maniĂšre ou d'une autre. Oui, cela impliquerait des risques Ă©levĂ©s et le potentiel de nombreuses victimes. Mais cela impliquerait Ă©galement des risques plus Ă©levĂ©s pour la RĂ©publique populaire de Chine, non seulement dans le conflit direct entre l'APL et les forces armĂ©es de la RĂ©publique de Chine et les forces armĂ©es amĂ©ricaines et les forces d'autodĂ©fense japonaises, mais il existe Ă©galement d'autres forces qui se fiancerait automatiquement."Cela inclurait probablement l'Australie, mais cela inclurait certainement l'Inde, et le facteur indien est un facteur dont PĂ©kin ne souhaite pas discuter ouvertement. MĂȘme dans la posture actuelle du jeu de guerre contre TaĂŻwan, l'APL a commencĂ© Ă dĂ©placer des forces supplĂ©mentaires vers le plateau tibĂ©tain pour ĂȘtre prĂȘtes Ă une rĂ©ponse indienne lĂ -bas. La rĂ©ponse indienne serait massive. L'Inde a une capacitĂ© de force similaire Ă bien des Ă©gards Ă la RĂ©publique populaire de Chine, et pourrait dĂ©placer l'intĂ©gralitĂ© de ses forces contre la RPC, Ă la fois sur le plateau tibĂ©tain et dans le contexte eurasien, mais aussi dans l'ocĂ©an Indien dans un contexte naval, " il l'interview complĂšte ci-dessous- voir clip sur site nĂ©gociants en matiĂšres premiĂšres aident Ă financer la guerre brutale de la Russie en Ukraine voici commentlundi 15 aoĂ»t 2022par JD HeyesNatural News Les sanctions occidentales contre la Russie Ă la suite de son invasion de l'Ukraine fin fĂ©vrier n'ont absolument rien fait d'autre que nuire aux Ă©conomies occidentales et, en fait, les pays occidentaux financent essentiellement la guerre brutale en cours Ă Moscou, selon un rapport publiĂ© cette rapporte que "malgrĂ© une plĂ©thore de sanctions et de boycotts, la Russie a rĂ©ussi Ă exporter prĂšs d'un milliard de dollars de combustibles fossiles par jour depuis son invasion de l'Ukraine", grĂące aux nĂ©gociants en matiĂšres premiĂšres de pays comme la Suisse, Singapour et DubaĂŻ, oĂč ils servent d'intermĂ©diaires pour les pays qui s'arrachent du brut russe fortement mĂȘme que Joe Biden et les dĂ©mocrates idiots ont renversĂ© l'indĂ©pendance Ă©nergĂ©tique des Ătats-Unis obtenue par le vrai prĂ©sident, Donald Trump, la grande majoritĂ© du monde continue d'alimenter leurs Ă©conomies avec des combustibles fossiles bon marchĂ© et abondants, et avec un "dommage" nĂ©gligeable pour la tant que tel, le vaste secteur Ă©nergĂ©tique de la Russie est en plein essor tandis que les pays d'Europe qui ont sanctionnĂ© l'Ă©nergie russe envisagent de manquer d'approvisionnement pendant l'hiver qui approche Ă grands pas et trĂšs froid, grĂące Ă©galement en grande partie Ă une dĂ©pendance excessive et insensĂ©e Ă l'Ă©nergie "verte" inefficace qui ne peut pas remplacer les combustibles fossiles cours des 100 premiers jours de la guerre, la Russie a rĂ©ussi Ă rĂ©colter prĂšs de 100 milliards de dollars de ventes de pĂ©trole et, en fait, la hausse des prix du brut et du carburant provoquĂ©e par l'Occident "a permis aux revenus pĂ©troliers et gaziers russes d'augmenter mĂȘme aprĂšs que les sanctions ont forcĂ© les volumes d'exportation Ă chuter », rapporte fin de compte, il n'y a pas de pĂ©nurie d'acheteurs volontaires faisant la queue pour l'Oural russe bon marchĂ©, ni d'intermĂ©diaires les mettant en relation avec des sociĂ©tĂ©s Ă©nergĂ©tiques russes", poursuit le rapport du site."Se cachent dans les coulisses les gĂ©ants suisses du nĂ©goce Vitol, Glencore et Gunvor ainsi que Trafigura de Singapour, qui ont tous continuĂ© Ă transporter de gros volumes de brut et de produits russes, y compris du diesel, au milieu de vastes sanctions occidentales contre la Russie", indique le que les responsables de Vitol se sont engagĂ©s Ă cesser d'acheter du pĂ©trole russe d'ici la fin de l'annĂ©e, il reste encore des mois et cet engagement pourrait changer en fonction des conditions du marchĂ©. Et tandis que Trafigura s'est engagĂ© Ă cesser ses achats de pĂ©trole brut auprĂšs de l'entreprise publique russe Rosneft d'ici la mi-mai, le nĂ©gociant est toujours libre d'acheter du brut russe auprĂšs d'autres fournisseurs. Et les responsables de Glencore ont dĂ©clarĂ© qu'ils ne concluraient aucun "nouveau" accord commercial avec Moscou, mais jusqu'Ă prĂ©sent, le commerçant n'a eu aucun problĂšme Ă maintenir les accords le mĂȘme temps, l'Inde et la Chine - dont les deux Ă©conomies dĂ©pendent des combustibles fossiles Ă mesure qu'elles grandissent et mĂ»rissent - compensent Ă©galement la plupart des marchĂ©s Ă©nergĂ©tiques perdus de la Dehli a considĂ©rablement augmentĂ© ses achats de brut russe, note L'Inde n'a jamais Ă©tĂ© un gros acheteur de brut russe alors qu'elle devait importer 80 % de ses besoins. Au cours d'une annĂ©e typique, l'Inde n'importe que 2 Ă 5 % de son brut de Russie, soit Ă peu prĂšs la mĂȘme proportion que les Ătats-Unis avant d'annoncer une interdiction Ă 100 % des produits Ă©nergĂ©tiques russes. En effet, l'Inde n'a importĂ© que 12 millions de barils de brut russe en 2021, la majoritĂ© de son pĂ©trole provenant d'Irak, d'Arabie saoudite, des Ămirats arabes unis et du en mai, des informations ont fait Ă©tat d'une "augmentation significative" des livraisons de pĂ©trole russe Ă destination de l' un rapport de Bloomberg, l'Inde a dĂ©pensĂ© quelque 5,1 milliards de dollars en pĂ©trole, gaz et charbon russes au cours des trois premiers mois suivant l'invasion de Moscou, un montant qui dĂ©passe cinq fois la valeur d'il y a Ă peine un an, bien que la Chine soit de loin le plus gros acheteur de pĂ©trole vraiment une question d'argent les observateurs internationaux de l'Ă©nergie ont notĂ© que la Russie vendait du brut Ă des rabais importants."Aujourd'hui, les motivations du gouvernement indien sont Ă©conomiques et non politiques. L'Inde cherchera toujours un accord dans sa stratĂ©gie d'importation de pĂ©trole. Il est difficile de ne pas bĂ©nĂ©ficier d'une remise de 20 % sur le brut lorsque vous importez 80 Ă 85 % de votre pĂ©trole, en particulier dans la foulĂ©e de la pandĂ©mie et du ralentissement de la croissance mondiale », Samir N. Kapadia, responsable du commerce au cabinet de conseil en relations gouvernementales Vogel Group , a dĂ©clarĂ© Ă CNBC, selon dĂ©mocrates et notre prĂ©sident de la dĂ©mence, dont l'administration est dirigĂ©e par Barack Obama, vident dĂ©libĂ©rĂ©ment notre industrie des combustibles fossiles parce qu'ils savent que notre Ă©conomie suivra. Et vous ne pouvez pas accrocher des dizaines de millions d'AmĂ©ricains Ă l'aide gouvernementale sans faire chuter l' include Loi sur la rĂ©duction de l'inflation » complĂštement absurde ; si vous saigniez d'une blessure, vous ne voudriez pas que le mĂ©decin vous dise, "nous rĂ©duisons lĂ©gĂšrement la quantitĂ© de sang que vous perdez"Monday, August 15, 2022 by WellsNatural News L'Ă©conomie des Ătats-Unis saigne, en ce moment. L'inflation monte en flĂšche alors que notre gouvernement voyou imprime de l'argent par milliers de milliards, tout cela semble disparaĂźtre avant mĂȘme d'ĂȘtre utilisĂ© pour ce qu'il est censĂ© rĂ©parer ou reconstruire». Tout ce pays sera un "cadavre" qui ressemble Ă un enfer apocalyptique du tiers monde, si le "saignement" n'est pas arrĂȘtĂ©, et bientĂŽt. La loi sur la rĂ©duction de l'inflation » alloue prĂšs d'un billion de dollars pour agrandir le gouvernement fĂ©dĂ©ral dĂ©jĂ bien trop important, et tout cela aux dĂ©pens des contribuables a presque mis en faillite toute la classe moyenne, et les "mĂ©decins" de l'argent veulent prĂ©tendre qu'ils vont ralentir le saignement, alors que nous saignons toujours. Qu'est-ce que ça fait de beau? Et si un chirurgien vous disait ça Ă l'hĂŽpital, alors que vous perdez des litres de sang ; "HĂ©, bonne nouvelle patient, nous allons ralentir le saignement pour que tu meurs un peu plus lentement." Pourquoi, merci docteur. Merci beaucoup."80 milliards de dollars NBOA - "National Bleed-Out Act" fera en sorte que l'IRS puisse percevoir vos impĂŽts impayĂ©s ou vos factures mĂ©dicales sous la menace d'une arme Ă votre porte d'entrĂ©eDevine quoi? Plus de 45 milliards de dollars provenant de la fausse loi sur la rĂ©duction de l'inflation iront en fait Ă des agents de l'IRS de style swat pour collecter des impĂŽts et des factures mĂ©dicales que vous ne pouvez pas payer. Vous avez des restes de factures COVID scandaleuses qui traĂźnent?Ătiez-vous sans travail parce que vous ne receviez pas les coups toxiques, alors vous avez pris du retard sur les cartes de crĂ©dit, les prĂȘts bancaires, votre hypothĂšque, votre loyer, les impĂŽts personnels, les impĂŽts des petites entreprises, les arriĂ©rĂ©s d'impĂŽts, les anciennes collections ou les paiements de faillite ? Aucun problĂšme. L'Ă©quipe de swat de l'IRS viendra Ă votre porte armĂ©e jusqu'aux dents pour vous aider» Ă payer ces factures, ou risquez une peine de prison. C'est la Gestapo, et la police "SS" de l'IRS est sur le point de DOUBLER son personnel et son pouvoir pour gĂ©rer la dette de la milliards de dollars supplĂ©mentaires aideront les Ă©quipes de swat de l'IRS Ă gĂ©rer leur soutien opĂ©rationnel pour trouver les dĂ©biteurs et les pĂ©ons de la nouvelle AmĂ©rique communiste, en particulier tous les conservateurs et tous ceux qui ont soutenu Trump Ă tout moment, n'importe milliards de dollars supplĂ©mentaires seront allouĂ©s Ă la "modernisation des systĂšmes d'entreprise", ce qui vous aidera Ă trouver des dĂ©biteurs si vous essayez de vous cacher dans une rĂ©sidence secondaire, ou la maison d'un parent hors de l'Ătat, ou peut-ĂȘtre juste cette cabane hors rĂ©seau dont vous avez postĂ© des photos. une fois sur les rĂ©seaux sociaux. Le reste de l'argent va aux "services aux contribuables" qui vous aident Ă enregistrer tout ce que vous devez en ligne pour faciliter le travail de l'Ă©quipe de recouvrement "SS".RĂ©pondreSupprimerLes AmĂ©ricains seront pressĂ©s Ă mort par l'inflation, les escouades SS IRS lourdement armĂ©es et l'effondrement de la chaĂźne d'approvisionnement qui comprend la nourriture et l'eauLes dĂ©mocrates accusent les "fermetures de bureaux liĂ©es Ă la pandĂ©mie" qu'ils ont eux-mĂȘmes planifiĂ©es. Et depuis quand quelqu'un Ă l'IRS dĂ©croche-t-il un tĂ©lĂ©phone de toute façon ? Il n'y a pas d'humains lĂ -bas, juste des labyrinthes automatisĂ©s qui vous gardent frustrĂ©, confus et sans travail, devant plus d' blĂąment Ă©galement tous les chĂšques de relance pour leur arriĂ©rĂ©, mais ils les ont Ă©mis pour garder les gens Ă la maison, sans travailler, et combien de temps et combien de personnes faut-il pour traiter les chĂšques ? Sommes-nous de retour dans les annĂ©es 1980, ou est-ce juste le cerveau de Biden ?Il s'agit d'un plan de dix ans pour l'IRS, mais l'argent sera parti en un rien de temps, non retrouvĂ©, non comptabilisĂ© et rien d'amĂ©liorĂ©, vous pouvez parier votre dernier bloc d'or disent que l'IRS sera dĂ©sormais en mesure de "cibler stratĂ©giquement ses amĂ©liorations, annĂ©e aprĂšs annĂ©e", c'est-Ă -dire de cibler les conservateurs, les organisations Ă but non lucratif et tous ceux qui dĂ©fient les faux rĂ©cits concernant la guerre, la Russie, l'impression d'argent, les injections de caillots et l'arnaque. .PrĂ©parez-vous Ă ce que 87 000 nouveaux agents du fisc terrorisent tous les opposants politiques des dĂ©mocrates. Une Ă©norme HIKE TAX est en route, et le groupe de travail IRS SS sera prĂȘt Ă collecter sous la menace d'une arme. C'est pourquoi l'IRS a achetĂ© tant d'armes et de balles ces derniers temps, n'avez-vous pas entendu ?Ajoutez Ă vos sites Web prĂ©fĂ©rĂ©s pour obtenir des informations sur la vĂ©ritĂ© qui sont censurĂ©es par le reste des mĂ©dias pendant que vous lisez sources de cet article incluent l'ONU promeut-elle une sorte de production alimentaire dont il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu'elle rĂ©duit les rendements, augmente les prix et renverse les gouvernements ?PAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1955Par Michael ShellenbergerLa guerre des Nations Unies contre les engrais a commencĂ© au Sri LankaLe Programme des Nations Unies pour l'environnement PNUE se dĂ©crit comme "l'autoritĂ© mondiale qui dĂ©finit l'agenda environnemental... et sert de dĂ©fenseur faisant autoritĂ© pour l'environnement mondial". Par le biais de son programme Ăconomie des Ă©cosystĂšmes et de la biodiversitĂ© pour l'agriculture et l'alimentation » lancĂ© en 2014, le PNUE prĂ©conise que les nations s'Ă©loignent de l'accent qui prĂ©vaut sur la productivitĂ© par hectare ».Mais aujourd'hui, le monde traverse sa pire crise alimentaire depuis 2008. Le nombre de personnes souffrant d'insĂ©curitĂ© alimentaire aiguĂ« a augmentĂ© de 25 % depuis janvier 2022 pour atteindre 345 millions, selon le Programme alimentaire mondial des Nations unies. Pourquoi, alors, le PNUE essaie-t-il d'Ă©loigner les nations des engrais qui augmentent la production alimentaire ?Le directeur par intĂ©rim du PNUE en 2019 a dĂ©clarĂ© que la raison en Ă©tait "l'interfĂ©rence Ă long terme de l'humanitĂ© avec le bilan azotĂ© de la Terre". En octobre de cette annĂ©e-lĂ , le PNUE a organisĂ© une rĂ©union dans la capitale du Sri Lanka, Colombo, et a publiĂ© une feuille de route» pour pousser les nations Ă rĂ©duire de moitiĂ© la pollution par l' les Pays-Bas prouvent que les nations peuvent rĂ©duire de 70 % la pollution azotĂ©e du bĂ©tail tout en augmentant la production de viande. Idem pour les cultures. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1960, les Pays-Bas ont doublĂ© leurs rendements tout en utilisant la mĂȘme quantitĂ© d'engrais. Alors que les pays riches produisent des rendements supĂ©rieurs de 70 % Ă ceux des pays pauvres, ils n'utilisent que 54 % d'azote en mois aprĂšs la rĂ©union de Colombo en 2019, qui a suscitĂ© une attention mĂ©diatique importante au Sri Lanka, les Ă©lecteurs de ce pays ont Ă©lu un prĂ©sident anti-engrais, Gotabaya Rajapaksa, qui a affirmĂ©, sans preuves scientifiques, que les engrais synthĂ©tiques provoquaient des maladies rĂ©nales. En avril 2021, il a interdit les importations d' juin 2021, deux mois aprĂšs l'interdiction des engrais, le Sri Lanka a accueilli un "Dialogue sur le systĂšme alimentaire" parrainĂ© par l'ONU visant Ă influencer le programme anti-engrais plus large de l'ONU pour le monde. "Le dialogue inaugural sur le systĂšme alimentaire du Sri Lanka fait partie d'une sĂ©rie de dialogues nationaux et provinciaux menĂ©s par le ministĂšre de l'Agriculture avant le Sommet des Nations Unies sur le systĂšme alimentaire de 2021 qui doit avoir lieu Ă New York plus tard cette annĂ©e."Dans sa dĂ©claration au Sommet des Nations Unies sur le systĂšme alimentaire Ă New York en septembre, le prĂ©sident sri-lankais Rajapaksa a rĂ©pĂ©tĂ© son affirmation selon laquelle les engrais chimiques⊠ont eu des effets nĂ©fastes sur la santĂ© et l'environnement ». Il a dĂ©clarĂ© Mon gouvernement a pris la dĂ©cision audacieuse de restreindre les importations de ces substances nocives plus tĂŽt cette annĂ©e », et a reprochĂ© aux agriculteurs d'avoir rĂ©sistĂ© Ă son interdiction des engrais, affirmant que changer l'Ă©tat d'esprit des agriculteurs habituĂ©s depuis longtemps Ă utiliser des engrais chimiques s'est avĂ©rĂ© difficile ».En fait, l'interdiction des engrais provoquait un effondrement de la production agricole. AprĂšs l'interdiction des engrais, 85 % des agriculteurs sri-lankais ont subi des pertes de rĂ©colte. La production de riz a chutĂ© de 20 %, les prix ont augmentĂ© de 50 % et le pays a dĂ» importer pour 450 millions de dollars de cĂ©rĂ©ales. Ă Rajanganaya, oĂč les agriculteurs n'exploitent en moyenne qu'un hectare 2,5 acres de terre, les familles ont dĂ©clarĂ© produire la moitiĂ© de leur rĂ©colte y avait d'autres facteurs Ă l'origine de la chute du gouvernement, mais ces facteurs ont affectĂ© de nombreux autres pays et aucun n'est tombĂ©. Les fermetures de Covid nuisent au tourisme. Le gouvernement a trop empruntĂ©. Les prix du pĂ©trole ont augmentĂ©. Tous Ă©taient des facteurs et aucun n'Ă©tait dĂ©cisif. Ce qui a fait la diffĂ©rence, c'est l'interdiction des engrais par le Sri thĂ© a Ă©tĂ© le plus durement touchĂ©. Il avait gĂ©nĂ©rĂ© 1,3 milliard de dollars d'exportations par an et fourni 71 % des importations alimentaires du pays avant 2021. AprĂšs l'interdiction des engrais, la production de thĂ© a chutĂ© de 18 %, atteignant son plus bas niveau en 23 ans. L'interdiction dĂ©vastatrice du gouvernement sur les engrais a ainsi dĂ©truit la capacitĂ© du Sri Lanka Ă payer la nourriture, le carburant et le service de sa justifie son programme anti-engrais sur la mĂȘme base que le gouvernement sri-lankais des Ă©conomies de coĂ»ts. Les documents de l'ONU affirment que son objectif pour les nations de "rĂ©duire de moitiĂ© les dĂ©chets d'azote" permettrait aux nations d'Ă©conomiser "100 milliards de dollars par an". Mais le mĂȘme document promeut une Ă©conomie circulaire », qui est un euphĂ©misme utilisĂ© par les partis verts en Europe pour dĂ©signer la dĂ©croissance » Ă©conomique basĂ©e sur une production alimentaire et Ă©nergĂ©tique moins PNUE n'est pas la seule agence des Nations Unies Ă promouvoir un programme anti-engrais. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO a lancĂ© en 2018 l'initiative "Scaling Up Agroecology". Ce n'est pas une initiative de recherche, c'est une initiative de plaidoyer. Il affirme que les systĂšmes agroĂ©cologiques sont vitaux⊠pour lutter contre la pauvretĂ©, la faim et le changement climatique ». En fait, l'agroĂ©cologie, qui n'utilise pas d'engrais de synthĂšse, rĂ©duit la production alimentaire et augmente ainsi la pauvretĂ© et la le PNUE cherche Ă Ă©loigner les nations des engrais modernes grĂące au "SystĂšme international de gestion de l'azote INMS" sous couvert de science. Il appelle l'INMS un "processus de soutien scientifique" dans le cadre d'un "mĂ©canisme de coordination inter-conventions de l'azote INCOM".Que se passe-t-il? Pourquoi les Nations Unies promeuvent-elles une sorte de production alimentaire dont il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu'elle rĂ©duit les rendements, augmente les prix et renverse les gouvernements ? Et que faire pour l'arrĂȘter ? "en a assez", commence Ă empiler des conteneurs d'expĂ©dition dans les lacunes des murs frontaliersPAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1815Ăcrit par Charlotte Cuthbertson via The Epoch Times Le gouverneur de l'Arizona, Doug Ducey, a ordonnĂ© que 60 conteneurs d'expĂ©dition Ă double empilement soient placĂ©s dans les interstices des clĂŽtures frontaliĂšres prĂšs de Yuma, la zone de passage frontalier illĂ©gale la plus frĂ©quentĂ©e de l' entrepreneurs commencent Ă empiler les conteneurs d'expĂ©dition dans les interstices des clĂŽtures frontaliĂšres prĂšs de Yuma, en Arizona, le 12 aoĂ»t 2022. Avec l'aimable autorisation du bureau du gouverneur de l'ArizonaLes conteneurs seront renforcĂ©s avec du fil accordĂ©on au sommet, selon le gouverneur, qui a Ă©mis un dĂ©cret pour que les travaux commencent le 12 aoĂ»t."L'Arizona en a assez", a dĂ©clarĂ© Ducey, un rĂ©publicain, dans un communiquĂ© de presse. Nous ne pouvons plus attendre. Le manque d'urgence de l'administration Biden en matiĂšre de sĂ©curitĂ© aux frontiĂšres est un manquement Ă son devoir. Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, l'Arizona a fait tout son possible pour travailler avec Washington pour rĂ©soudre la crise Ă notre entrepreneurs ont commencĂ© Ă placer les conteneurs d'expĂ©dition le 12 aoĂ»t et prĂ©voient de combler l'Ă©cart de 1 000 pieds dans le mur frontalier le 14 aoĂ»t. Cela devrait coĂ»ter 6 millions de conteneurs d'expĂ©dition empilĂ©s atteindront environ 22 pieds de haut et seront reliĂ©s entre eux et soudĂ©s, a dĂ©clarĂ© Ducey. Le mur frontalier existant construit Ă l'Ă©poque de Trump mesure 30 pieds de agents de la patrouille frontaliĂšre du secteur de Yuma ont connu le plus grand pic d'arrestations le long de la frontiĂšre sud depuis l'entrĂ©e en fonction du prĂ©sident Joe cours de l'exercice 2022, moins trois mois encore Ă signaler, les agents frontaliers ont arrĂȘtĂ© plus de 162 700 passants illĂ©gaux, selon les donnĂ©es des douanes et de la protection des cours de l'exercice 2021, le total Ă©tait de plus de 184 500, tandis qu'au cours de l'exercice 2020, les agents de la patrouille frontaliĂšre ont apprĂ©hendĂ© un peu plus de 8 700 passants maire de Yuma, Doug Nicholls, a dĂ©clarĂ© une urgence dans sa ville le 9 dĂ©cembre 2021, en raison d'un afflux massif d'Ă©trangers cours de cet afflux, le centre de rĂ©partition local du 911 a Ă©tĂ© occupĂ© pendant des heures par des appels d'Ă©trangers illĂ©gaux demandant un transport, de la nourriture et des vĂȘtements, a dĂ©clarĂ© le shĂ©rif du comtĂ© de Yuma, Leon Wilmot, Ă Epoch a dĂ©clarĂ© que Yuma, qui compte prĂšs de 100 000 habitants, n'a pas les ressources nĂ©cessaires pour gĂ©rer les milliers de personnes qui traversent actuellement."L'afflux de migrants que le gouvernement fĂ©dĂ©ral a autorisĂ© Ă franchir la frontiĂšre a le grave potentiel d'impacter et de mettre Ă rude Ă©preuve notre communautĂ©", a dĂ©clarĂ© Nicholls le 12 aoĂ»t dans un communiquĂ© de presse. "Washington doit envoyer un message clair que ce n'est pas la façon d'immigrer dans notre pays."RĂ©pondreSupprimerLe secrĂ©taire du dĂ©partement de la SĂ©curitĂ© intĂ©rieure, Alejandro Mayorkas, a dĂ©clarĂ© Ă plusieurs reprises que la frontiĂšre est fermĂ©e ».Mur frontalier arrĂȘtĂ©Biden a interrompu toute construction de mur frontalier le jour de son entrĂ©e en fonction le 20 janvier 2021."Ce sera la politique de mon administration que plus aucun argent des contribuables amĂ©ricains ne soit dĂ©tournĂ© pour construire un mur frontalier", dĂ©clare le dĂ©cret exĂ©cutif de millions de dollars de matĂ©riaux de murs frontaliers inachevĂ©s sont restĂ©s dans les dĂ©serts de l'Arizona rapport des rĂ©publicains du SĂ©nat publiĂ© en juillet 2021 indique que l'arrĂȘt de la construction coĂ»te aux contribuables 3 millions de dollars par sĂ©nateurs qui ont produit le rapport ont estimĂ© que l'administration a dĂ©pensĂ© entre 618 et 708 millions de dollars en entrepreneurs entre le 20 janvier 2021 et le 15 juillet 2021, et qu'elle dĂ©pensera finalement jusqu'Ă 1,2 milliard de dollars de plus pour sortir des projets de mur superviseur du comtĂ© de Yuma, Jonathan Lines, a accueilli le mur du conteneur d'expĂ©dition. La sĂ©curitĂ© nationale commence par la sĂ©curitĂ© des frontiĂšres. La crise frontaliĂšre de Biden se dĂ©tĂ©riore quotidiennement tandis que la Maison Blanche est silencieuse », a-t-il dĂ©clarĂ© dans un communiquĂ© de presse. "Les communautĂ©s frontaliĂšres comme Yuma portent le fardeau d'une frontiĂšre brisĂ©e tandis que les stupĂ©fiants empoisonnent nos jeunes, le trafic d'ĂȘtres humains augmente et des quantitĂ©s massives de migrants portent sur nos organisations Ă but non lucratif."Lire la suite ici... l'heure oĂč la drogue et les armes passent la frontiĂšre par drones, au prix que sont les containers... ils risquent tout juste de se les faire voler !SupprimerLe pĂ©trole plonge, entraĂźnant une forte baisse des actions Ă©nergĂ©tiques voici ce qui a motivĂ© la vente massivePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1659Le pĂ©trole chute, le Brent glissant jusqu'Ă 7 $ par rapport aux sommets de vendredi, Ă un creux de 93 $ tandis que le WTI a vomi jusqu'Ă 5 $, tombant briĂšvement en dessous de 87 $ au niveau le plus bas depuis janvier et anĂ©antissant tout le gain post-invasion de l'Ukraine ce qui signifie que toute inflation du prix de l'essence est dĂ©sormais entiĂšrement le fait de Biden et non de Poutine.Qu'est-ce qui fait baisser le niveau d'huile ? Trois chosesPremiĂšrement, comme indiquĂ© hier soir, le ralentissement Ă©conomique de la Chine s'est aggravĂ© en juillet avec la derniĂšre sĂ©rie de chiffres Ă©conomiques tout simplement terribles, forçant la PBOC Ă rĂ©duire les taux de maniĂšre inattendue et entraĂźnant les marchĂ©s Ă la baisse bien que la façon dont un ralentissement chinois est une nouvelle pour tout le monde n'est pas claire. le ralentissement Ă©conomique s'est aggravĂ© en juillet en raison de l'aggravation de la crise immobiliĂšre et de la poursuite des blocages de coronavirus, avec une baisse inattendue des taux d'intĂ©rĂȘt qui ne changera probablement pas les choses tant que ces deux freins l'accord sur l'Iran, encore et encore, semble ĂȘtre de retour - du moins jusqu'Ă ce qu'il ne le soit plus - aprĂšs que le pays a dĂ©clarĂ© qu'il informerait l'Union europĂ©enne de sa position officielle sur un projet de texte visant Ă relancer l'accord nuclĂ©aire de 2015 d'ici Lundi soir, signalant qu'il pourrait ĂȘtre plus proche d'un accord avec les Ătats-Unis sur un accord qui pourrait rĂ©tablir ses exportations de pĂ©trole vers les marchĂ©s l'impression catastrophique de l'Empire State Mfg Index aujourd'hui, qui a connu sa deuxiĂšme plus forte baisse jamais enregistrĂ©e Ă des plus bas sur plusieurs annĂ©es, et imprimĂ©e bien en dessous de l'estimation la plus basse, a ravivĂ© les craintes qu'une rĂ©cession brutale pour les Ătats-Unis soit toujours dans les en revenir Ă la Chine, le premier importateur mondial de pĂ©trole a montrĂ© des signes de faiblesse renouvelĂ©e alors que les raffineurs chinois traitent moins de brut et que la consommation apparente chute dans un vent contraire pour les prix mondiaux. Les raffineries ont traitĂ© le moins de pĂ©trole quotidiennement le mois dernier depuis mars 2020 alors qu'une bande d'usines Ă©tait fermĂ©e pour maintenance, selon les donnĂ©es officielles de lundi. Dans le mĂȘme temps, la demande apparente de pĂ©trole a chutĂ© de 9,7 % en juillet, contre une baisse de 5,6 % en juin. La Chine a raffinĂ© 53,21 millions de tonnes de brut en juillet, le moins depuis avril, selon les donnĂ©es du Bureau national des ce temps, il y a eu une stabilitĂ© du cĂŽtĂ© de l'offre alors que la Russie a dĂ©fiĂ© les attentes d'un effondrement de la production de pĂ©trole aprĂšs son invasion de l'Ukraine. Mais Moscou devra redoubler d'efforts pour trouver de nouveaux acheteurs s'il veut Ă©viter que la production ne diminue dans les mois Ă venir. AprĂšs avoir plongĂ© immĂ©diatement aprĂšs son offensive en fĂ©vrier, la production russe a rebondi au cours des trois derniers mois alors que le raffinage domestique a explosĂ© et que les clients asiatiques sont intervenus pour prendre les livraisons Ă©vitĂ©es par les acheteurs occidentaux. Pourtant, une interdiction imminente de l'UE sur la plupart des bruts russes, ainsi qu'un ralentissement Ă©conomique croissant, porteront un coup dur aux producteurs du ce stade, la raffinerie de pĂ©trole allemande Schwedt a commencĂ© Ă traiter du brut amĂ©ricain mĂ©langĂ© Ă de l'Oural russe, selon une personne proche du dossier. AprĂšs plusieurs mois de reprise, au cours des premiĂšres semaines d'aoĂ»t, la production quotidienne moyenne de pĂ©trole et de condensat en Russie a chutĂ© de 3 % m/m Ă 1,428 million de tonnes, a rapportĂ© Kommersant, citant des personnes non identifiĂ©es connaissant bien les alors mĂȘme que les prix du pĂ©trole continuent de baisser, la demande de spot ici et maintenant continue d'augmenter et laisse entrevoir des pĂ©nuries persistantes dans le prĂ©sent, mĂȘme si les marchĂ©s sont de plus en plus convaincus que l'avenir sera bien plus moche. En consĂ©quence, le secteur de l'Ă©nergie a Ă©tĂ© assommĂ© et alors que la plupart des secteurs sont dans le rouge, l'Ă©nergie est de loin le moins performant aujourd' peur injustifiĂ©e de l'Ă©nergie nuclĂ©aire freine l'industriePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1545RĂ©digĂ© par Felicity Bradstock via sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique est maintenant devenue une prioritĂ© pour les gouvernements du monde entier alors que les prix de l'Ă©nergie montent en flĂšche, et cette nouvelle prioritĂ© a vu un regain d'intĂ©rĂȘt pour l'Ă©nergie le nuclĂ©aire connaĂźt des problĂšmes liĂ©s Ă son coĂ»t et Ă son impact sur l'environnement, les problĂšmes de sĂ»retĂ© frĂ©quemment pointĂ©s par ses dĂ©tracteurs sont largement dĂ©partement amĂ©ricain de l'Ă©nergie s'attend Ă ce que la demande de rĂ©acteurs nuclĂ©aires atteigne 1 000 milliards de dollars dans le monde, bien que tout accident nuclĂ©aire puisse faire reculer considĂ©rablement l' gouvernements soutiennent massivement l'Ă©nergie nuclĂ©aire, mais les craintes de catastrophes persistent, tout accident ayant le potentiel de faire dĂ©railler la grande rĂ©surgence nuclĂ©aire. Alors que les gouvernements soutiennent des projets nuclĂ©aires pour la premiĂšre fois depuis plusieurs dĂ©cennies, afin de renforcer leur sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique, beaucoup continuent d'avoir peur des dĂ©veloppements nuclĂ©aires pour des raisons de sĂ©curitĂ© et d'environnement. Mais les dirigeants sauront-ils convaincre l'opinion publique de la nĂ©cessitĂ© du nuclĂ©aire dans le cadre d'une transition verte ? L'Ă©nergie nuclĂ©aire a Ă©tĂ© saluĂ©e il y a des annĂ©es comme l'alternative plus propre aux combustibles fossiles qui pourrait fournir une Ă©nergie fiable aux pays du monde entier. Mais alors qu'il gagnait en popularitĂ©, avec la rĂ©alisation de plusieurs dĂ©veloppements mondiaux majeurs, trois catastrophes notables ont sapĂ© le potentiel d'un dĂ©veloppement nuclĂ©aire gĂ©nĂ©ralisĂ©. Les Ă©vĂ©nements de Three Mile Island en Pennsylvanie en 1979 ; Tchernobyl en 1986 ; et Fukushima au Japon en 2011 ont conduit Ă un abandon du dĂ©veloppement de projets nuclĂ©aires au profit, en grande partie, des combustibles avec une insĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique croissante ressentie dans le monde entier, en rĂ©ponse aux sanctions contre le pĂ©trole et le gaz russes ; une Ă©volution rapide des combustibles fossiles vers des alternatives plus vertes ; et une hausse des prix de l'Ă©nergie, plusieurs gouvernements remettent le nuclĂ©aire Ă l'ordre du jour. Avec ses capacitĂ©s de production d'Ă©nergie sans carbone, il sĂ©duit les gouvernements qui ont pris des engagements ambitieux en matiĂšre de carbone, tout en leur offrant une plus grande sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique Ă moyen terme que d'autres projets d'Ă©nergie renouvelable qui peuvent prendre plus de temps Ă se dĂ©velopper Ă l'Ă©chelle requise pour rĂ©pondre Ă la demande Ătats-Unis, l'Ă©nergie nuclĂ©aire reprĂ©sente environ 20 % de l'Ă©lectricitĂ© du pays et 50 % de son Ă©lectricitĂ© sans carbone. Et avec d'importants investissements publics et privĂ©s injectĂ©s dans la recherche et le dĂ©veloppement, les pays du monde entier espĂšrent construire des rĂ©acteurs nuclĂ©aires plus efficaces, moins coĂ»teux et plus petits que ce que nous avons traditionnellement vu. Si tout se passe bien, le DĂ©partement amĂ©ricain de l'Ă©nergie s'attend Ă ce que la demande de rĂ©acteurs nuclĂ©aires atteigne 1 000 milliards de dollars dans le selon plusieurs experts en Ă©nergie, un seul incident pourrait radicalement aggraver la perception publique dĂ©jĂ nĂ©gative de l'Ă©nergie nuclĂ©aire. Une multitude d'Ă©tudes considĂšrent l'Ă©nergie nuclĂ©aire comme la forme de production d'Ă©lectricitĂ© la plus sĂ»re, et pourtant de nombreuses personnes dans le monde qui ont vĂ©cu des catastrophes nuclĂ©aires sont toujours opposĂ©es au dĂ©veloppement de nouveaux projets nuclĂ©aires en raison du danger qui y est associĂ©. D'autres pensent que l'Ă©nergie nuclĂ©aire n'est pas aussi verte qu'on le prĂ©tend, car bien qu'elle crĂ©e de l'Ă©nergie sans carbone, il y a toujours le problĂšme de la gestion des pourquoi avons-nous si peur du nuclĂ©aire ? MalgrĂ© un manque de comprĂ©hension publique de la technologie nuclĂ©aire, ce qui signifie qu'elle peut parfois ĂȘtre confondue avec les armes nuclĂ©aires, il y avait un optimisme gĂ©nĂ©ral autour de l'Ă©nergie nuclĂ©aire lorsqu'elle est apparue pour la premiĂšre fois il y a plusieurs dĂ©cennies. Il semble que la perception publique nĂ©gative actuelle de l'Ă©nergie nuclĂ©aire dĂ©coule principalement des catastrophes nuclĂ©aires qui ont Ă©tĂ© observĂ©es dans le monde entier en temps que relativement peu de personnes soient dĂ©cĂ©dĂ©es au cours de ces incidents par rapport aux dĂ©cĂšs dans le monde rĂ©sultant d'autres opĂ©rations Ă©nergĂ©tiques, les incidents ont Ă©tĂ© largement tĂ©lĂ©visĂ©s et la peur de l'inconnu s'est rapidement propagĂ©e. Les gouvernements y ont rĂ©agi diffĂ©remment par rapport aux autres catastrophes Ă©nergĂ©tiques, principalement parce qu'on ne savait pas combien de personnes devaient ĂȘtre Ă©vacuĂ©es et quelle Ă©tait la meilleure façon de rĂ©agir Ă la catastrophe sur le terrain. Cela a rendu les gens plus paniquĂ©s que lorsque d'autres Ă©vĂ©nements se produisent, comme une explosion sur une plate-forme pĂ©troliĂšre offshore ou un incendie dans une raffinerie. La rĂ©action excessive des pouvoirs politiques face Ă un accident nuclĂ©aire a conduit Ă une mĂ©fiance gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă l'Ă©gard de la technologie nuclĂ©aire. De plus, la reprĂ©sentation des catastrophes nuclĂ©aires dans plusieurs sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es et films a exagĂ©rĂ© les dangers associĂ©s Ă l'Ă©nergie rĂ©alitĂ©, les incidents nuclĂ©aires qui ont provoquĂ© la peur ont fait relativement peu de morts. Personne n'est mort Ă cause des radiations lors des catastrophes de Three Mile Island ou de Fukushima, et moins de 50 sont morts pendant et aprĂšs Tchernobyl. Bien que cela puisse sembler beaucoup, s'il s'agit du seul incident nuclĂ©aire ayant entraĂźnĂ© des dĂ©cĂšs au cours de la durĂ©e de vie actuelle de la production d'Ă©nergie nuclĂ©aire, ce chiffre est bien infĂ©rieur Ă celui d'autres sources d'Ă©nergie, en particulier les combustibles fossiles qui continuent de crĂ©er une pollution atmosphĂ©rique que la seule façon d'amĂ©liorer la perception publique de l'Ă©nergie nuclĂ©aire est par une rééducation qui met en Ă©vidence la sĂ©curitĂ© relative de la technologie par rapport Ă d'autres opĂ©rations Ă©nergĂ©tiques. En outre, alors que le public et les organisations internationales font pression sur les gouvernements des Ătats pour qu'ils passent au vert, une meilleure commercialisation de l'Ă©nergie nuclĂ©aire pourrait contribuer Ă modifier la perception du public, car les gens commencent Ă considĂ©rer la source d'Ă©nergie sans carbone comme nĂ©cessaire pour un avenir vert. Cependant, pour l'instant, les gouvernements ressentent une pression croissante pour bien faire les choses », avec la possibilitĂ© que tout incident s'ajoute Ă la diabolisation Ă long terme de l'Ă©nergie non-dits battent la campagne. Entre ceux du 11 Septembre et celui du cocovide19 s'est interposĂ© celui du 11 Mars 2011 oĂč la faute Ă©tait Ă 100 % TEPCO qui n'avait pas montĂ© les tubes de canalisations des pompages sur vĂ©rins ! Et donc, au 'premier' tremblement de terre CRAC ! c'est cassĂ© ! ĂĂ alors !!Et quand il n'y a plus d'eau qui arrive aux rĂ©acteurs la tempĂ©rature monte rĂ©chauffement climatique ? Hahaha ! et passe Ă l'intĂ©rieur de 300 Ă 3000°C ! Et donc tout fond ! Les barres comme le cuvier !Three Mile Island en Pennsylvanie en 1979 et Tchernobyl Ukraine en 1986 n'ont pas freinĂ© le nuclĂ©aire et... pour des tuyaux cassĂ©s en fer ou pvc ils arrĂȘtent les centrales parce qu'ils manquent de vĂ©rins ?Faut pas prendre les gens pour des cons !SupprimerLe PDG de Pfizer, Albert Bourla, teste positif pour COVID-19PAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1905Ăcrit par Zachary Stieber via The Epoch Times,Le PDG de Pfizer a Ă©tĂ© testĂ© positif au COVID-19, a-t-il annoncĂ© le 15 aoĂ»t."Je voudrais vous faire savoir que j'ai Ă©tĂ© testĂ© positif pour COVID19", a Ă©crit le PDG Albert Bourla sur 60 ans, dit avoir reçu quatre doses du vaccin COVID-19 de son entreprise, qui s'est avĂ©rĂ© de plus en plus inefficace contre l'infection par le virus qui cause le COVID-19 et une maladie grave une fois qu'une personne contracte le a dĂ©clarĂ© avoir ressenti des symptĂŽmes bĂ©nins. Il n'a identifiĂ© aucun des symptĂŽmes. Il a dit qu'il "se sentait bien"."Nous sommes allĂ©s si loin dans nos efforts pour lutter contre cette maladie que je suis convaincu que j'aurai un prompt rĂ©tablissement. Je suis extrĂȘmement reconnaissant des efforts inlassables de mes collĂšgues de Pfizer qui ont travaillĂ© pour rendre les vaccins et les traitements disponibles pour moi et les gens du monde entier », a dĂ©clarĂ© PDG s'isole et a commencĂ© Ă suivre un cours de Paxlovid, la pilule COVID-19 de rĂ©gulateurs amĂ©ricains des mĂ©dicaments ont accordĂ© une autorisation d'urgence pour Paxlovid en dĂ©cembre 2021 pour les personnes ĂągĂ©es de 12 ans et plus dont le test COVID-19 est positif et qui sont considĂ©rĂ©es comme Ă haut risque de progression vers un cas rĂ©gulateurs ont depuis limitĂ© ou rĂ©voquĂ© des autorisations similaires pour de nombreux autres mĂ©dicaments, tels que les anticorps monoclonaux de Regeneron, citant des donnĂ©es qui indiquent que les traitements ne sont pas aussi efficaces, ou ne sont pas efficaces du tout, contre les nouvelles variantes de est devenu le traitement COVID-19 le plus distribuĂ© dans le pays et a Ă©tĂ© administrĂ© au prĂ©sident Joe Biden aprĂšs que le prĂ©sident a rĂ©cemment Ă©tĂ© testĂ© positif au qui a Ă©galement reçu quatre doses du vaccin de Pfizer, a connu un rebond des symptĂŽmes aprĂšs un test nĂ©gatif, ce qui est courant pour les bĂ©nĂ©ficiaires de de 100 % prĂ©cĂ©demment promuBourla fait partie des responsables qui ont prĂ©cĂ©demment promu les vaccins COVID-19 comme Ă©tant efficaces Ă 100 % contre l' avril 2021, par exemple, il a partagĂ© les rĂ©sultats d'une Ă©tude qui aurait montrĂ© que le vaccin de Pfizer Ă©tait efficace Ă 100 % pour prĂ©venir les cas de COVID-19 en Afrique du tous les vaccins COVID-19 se sont rĂ©vĂ©lĂ©s moins efficaces contre les infections et les maladies graves, car de nouvelles variantes virales sont Omicron, qui est devenu dominant aux Ătats-Unis et dans de nombreux autres pays fin 2021, les vaccins offrent peu de protection contre l'infection et une protection rĂ©duite contre les cas nouvelles donnĂ©es indiquent que les sous-variantes d'Omicron sont encore plus efficaces pour Ă©chapper Ă la protection et Moderna font partie des entreprises qui travaillent sur des injections de rappel spĂ©cifiques Ă Omicron. Ceux-ci pourraient ĂȘtre dĂ©ployĂ©s aux Ătats-Unis dĂšs Bourla, 60 ans, dit avoir reçu quatre doses du vaccin COVID-19 de son entreprise ...Pour justifier les millions de morts par piqĂ»re le pdg n'hĂ©site pas Ă dire qu'il s'est fait inoculer autre chose que du sĂ©rum phy !! HAHAHA !Supprimer"Covid est lĂ pour rester", concĂšde le CDC aprĂšs deux ans d'hystĂ©rie orwelliennePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOĂT 2022 - 1725Soumis par Fringe Finance de QTRAu dĂ©but, je voulais qu'une bonne partie de cet article soit un tour de victoire pour avoir prĂ©dit plus tĂŽt cette annĂ©e que nous verrions un pivot majeur sur la façon dont les mĂ©dias et les figures d'autoritĂ© prĂ©senteraient Covid au autres choses, le 2 janvier 2022, j'ai prĂ©dit "l'un des plus grands pivots mĂ©diatiques grand public de l'histoire en 2022, catalysĂ© par le capitalisme et le bon sens"Mais ce que je veux dire, c'est que je prĂ©dis pour 2022 que les mĂ©dias vont faire l'un des plus grands pivots sur n'importe quel sujet qu'ils aient jamais fait, sur Covid. Ăa ne devrait pas ĂȘtre un problĂšme », vous direz-vous. "AprĂšs tout, les mĂ©dias suivent la vĂ©ritĂ©, alors qu'y a-t-il de si difficile Ă faire pivoter une histoire ?"Soyons rĂ©alistes. Nous savons tous que les mĂ©dias - des deux cĂŽtĂ©s de l'allĂ©e - dĂ©testent se corriger, dĂ©testent pivoter et dĂ©testent faire autre chose que doubler les rĂ©cits dont ils sont nourris, qu'ils soient ou non objectivement 2022, je vais faire une prĂ©diction audacieuse. Les mĂ©dias, et peut-ĂȘtre mĂȘme les politiciens, vont commencer Ă se rendre compte que les rĂ©cits qu'ils ont poussĂ©s concernant Covid, les confinements, les vaccinations et notre Ă©conomie ne sont plus acceptĂ©s au pied de la lettre par leurs j'aimerais aller Ă fond avec Barry Horowitz et passer cet article Ă me fĂ©liciter, mais il y a malheureusement quelques leçons laides de toute la dĂ©bĂącle que je pense qu'il est plus important de Barry Horowitz sur son hĂ©ritage WWF, ce qu'il fait ces jours-ci et plusSi vous n'avez pas entendu parler cette semaine, le CDC a abandonnĂ© les exigences de quarantaine et de distanciation sociale pour les personnes qui sont entrĂ©es en "contact Ă©troit avec une personne infectĂ©e".Le Globe and Mail a rapportĂ© Les changements, qui surviennent plus de 2 ans et demi aprĂšs le dĂ©but de la pandĂ©mie, sont motivĂ©s par la reconnaissance qu'environ 95 % des AmĂ©ricains de 16 ans et plus ont acquis un certain niveau d'immunitĂ©, soit de ĂȘtre vaccinĂ© ou infectĂ©, ont dĂ©clarĂ© des responsables de l' Massetti, une Ă©pidĂ©miologiste du CDC est venue tout de suite et l'a dit la semaine derniĂšre Nous savons que Covid-19 est lĂ pour rester. Les niveaux Ă©levĂ©s d'immunitĂ© de la population dus Ă la vaccination et Ă une infection antĂ©rieure, et les nombreux outils dont nous disposons pour protĂ©ger les gens contre les maladies graves et la mort, nous ont mis dans une position dirais que le pivot est d'environ deux ans et demi trop tard, mais Ă vrai dire, c'est plutĂŽt 12 Ă 18 mois trop tard. AprĂšs tout, j'Ă©tais l'une des voix originales qui ont sonnĂ© l'alarme Ă propos de Covid de janvier 2020 jusqu'au dĂ©but de l'Ă©tĂ© 2020, alors que personne d'autre n'y prĂȘtait attention. Mes principales raisons d'ĂȘtre alarmiste Ă ce sujet, au dĂ©but, Ă©taient Je ne fais tout simplement pas confiance Ă tout ce que la Chine nous ditNous n'avions aucune donnĂ©e provenant de n'importe oĂč ailleurs dans le monde sur le virusIl y avait des images surprenantes de mĂ©dias sociaux ostensiblement en provenance de Chine, semblant montrer des randos quotidiens s'effondrant dans la rue, les autoritĂ©s soudant des gens Ă l'intĂ©rieur de leurs appartements et le gouvernement remplissant des tunnels de conduite avec de la terre â entre autres mesures totalement rationnellesPourquoi la Chine est toujours obsĂ©dĂ©e par tout dĂ©sinfecter Examen de la technologie MITLe monde entier n'a pas compris le fait que Covid Ă©tait mĂȘme une nouvelle jusqu'en mars 2020, prĂšs de 2 mois aprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©tiquetĂ© comme un alarmiste pour avoir chantĂ© sans cesse Ă ce sujet et alertĂ© mes abonnĂ©s Twitter que je prenais des prĂ©cautions en cas de au dĂ©but de l'Ă©tĂ© 2020, j'ai fait un livestream Periscope Ă peu prĂšs au mĂȘme moment oĂč le marchĂ© battait son plein et Bill Ackman proclamait l'enfer arrive» Ă la tĂ©lĂ©vision nationale. Le livestream s'appelait quelque chose comme "Ătre un contrarien pendant le temps d'un coronavirus" et il se concentrait sur les actions que j'aimerais acheter Ă l'Ă©poque - Ă savoir, je me souviens avoir mentionnĂ© les finances et certains produits de base de premier ordre. Je n'ai aucune idĂ©e de l'endroit oĂč le livestream est allĂ© - je pense qu'il a disparu dans les annales de l'histoire maintenant que Periscope a disparu. Cette photo d'un me barbu plus gros buvant de la vodka est tout ce que j'ai pu rĂ©cupĂ©rer - voir sur site -RĂ©pondreSupprimerQuoi qu'il en soit, c'est Ă peu prĂšs Ă cette Ă©poque que nous avons commencĂ© Ă obtenir des donnĂ©es de CorĂ©e du Sud et d'Italie qui ont permis de mieux comprendre Ă quel point le virus Ă©tait vraiment mortel ou non.AprĂšs l'Ă©tĂ© 2020 et aprĂšs que la Fed a mis en place le QE-go-fuck-yourself-we-do-whatever-we-want, je me suis lancĂ© dans une frĂ©nĂ©sie d'achat d'actions et j'ai plaisantĂ© en disant que ce serait une course Ă 4 000 entre le SPX et le prix de l' repris ma routine d'entraĂźnement normale de jiu jitsu, j'ai menĂ© la vie quotidienne sans masque et, Ă toutes fins pratiques, j'ai mis le stress mental du virus loin derriĂšre moi. C'est au cours de ces 6 Ă 12 mois que le grand public a finalement commencĂ© Ă rattraper ceux d'entre nous qui faisaient leurs propres devoirs sur le virus en janvier comme le troupeau dirigĂ© par le gouvernement a tendance Ă le faire, tout le monde a rĂ©agi de maniĂšre excessive de maniĂšre manifestement inefficace et trop zĂ©lĂ©e, et nous avons largement dĂ©passĂ© la marque pour faire face Ă Covid, et la rĂ©alitĂ© objective de ce que le virus signifiait pour nous dans nos vies quotidiennes, de toute façon d'aujourd'hui est gratuit car je pense que son contenu est trop important pour ĂȘtre placĂ© derriĂšre un mur payant. Si vous souhaitez soutenir mon travail et en avoir les moyens, je serais humble si vous deveniez un abonnĂ© gratuit ou payant Abonnez-vous maintenantTout au long de 2021, les effets Ă©conomiques dĂ©plaisants des fermetures commencent Ă faire surface, non seulement avec les propriĂ©taires de petites entreprises qui ont Ă©tĂ© contraints de fermer leurs portes, mais aussi avec les grandes villes et municipalitĂ©s des Ătats-Unis qui se transforment en pays du tiers Ătats-Unis sont devenus un champ de distorsion de la rĂ©alitĂ©, oĂč le pays s'est complĂštement arrĂȘtĂ©, mais la Fed a imprimĂ© des billions de dollars pour essayer de masquer ce qui Ă©tait devenu le cadavre de notre l'Ă©conomie amĂ©ricaine connaĂźt la plus forte contraction depuis des dĂ©cennies - BBC NewsCette stratĂ©gie gĂ©niale fait partie des raisons pour lesquelles nous regardons le baril d'un IPC Ă prĂšs de deux voir sur site -Plus nous avancions en 2021, plus la rhĂ©torique s'intensifiait, malgrĂ© le fait que les vaccins Ă©taient en route. D'autres confinements et restrictions de voyage ont Ă©tĂ© imposĂ©s, bien que les prĂ©cĂ©dents se soient avĂ©rĂ©s totalement inefficaces. Une campagne de propagande de style soviĂ©tique a Ă©tĂ© lancĂ©e pour faire vacciner tout le vous devez prĂ©senter une preuve de vaccination Ă San Francisco Ă partir de vendrediCeux qui n'ont pas obĂ©i ont Ă©tĂ© dĂ©pouillĂ©s de leurs droits quotidiens normaux - certains ont mĂȘme Ă©tĂ© licenciĂ©s de leur pas non plus qu'aprĂšs la distribution finale des vaccins, aprĂšs les avoir attendus environ 12 mois et entendu dire Ă quel point ils seraient miraculeux sans arrĂȘt, ce n'est qu'Ă ce moment-lĂ que la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a dĂ©clarĂ© Ă la tĂ©lĂ©vision nationale qu'elle se sentait un "destin imminent" Ă propos du virus."Lorsque j'ai commencĂ© au CDC il y a environ deux mois, je vous ai fait une promesse je vous dirais la vĂ©ritĂ© mĂȘme si ce n'Ă©tait pas la nouvelle que nous voulions entendre. C'est maintenant l'un de ces moments oĂč je dois partager la vĂ©ritĂ©, et je dois espĂ©rer et croire que vous Ă©couterez. Je vais faire une pause ici, je vais perdre le script et je vais rĂ©flĂ©chir au sentiment rĂ©current que j'ai d'une catastrophe imminente », a dĂ©clarĂ© nouvelles variantes comme Delta et Omicron ont ensuite Ă©tĂ© colportĂ©es par les mĂ©dias grand public comme des raisons de continuer Ă faire confiance Ă la science ».Le public et les mĂ©dias sont devenus accros Ă l'hystĂ©rie voir sur site -Pendant ce temps, la mĂȘme science» qui informait les automates libĂ©raux comme Rachel Maddow et Joe Biden qu'ils n'attraperaient pas Covid s'ils Ă©taient vaccinĂ©s sources ici et ici, a Ă©tĂ© forcĂ©e de revenir sur ces affirmations. - voir sur site -Alors que 2021 se transformait en 2022, j'ai exhortĂ© mes lecteurs Ă envisager, si cela leur convenait, ainsi qu'aux membres de leur famille, l'idĂ©e de profiter d'une saison des fĂȘtes de grands espoirs pour les vacances en 2021, j'avais l'impression que les choses revenaient inĂ©vitablement Ă la normale alors que les vĂ©ritĂ©s objectives et la raison concernant Covid s'enfonçaient plus profondĂ©ment avec quiconque avait quelques cellules cĂ©rĂ©brales Ă Ă peu prĂšs Ă la mĂȘme Ă©poque que l'inventeur de l'ARNm, le Dr Robert Malone, et le Dr Peter McCullough ont tous deux suivi le podcast Joe Rogan Experience et ont proposĂ© des points de vue iconoclastes indispensables sur le l'approche de 2022, j'Ă©tais convaincu que les mĂ©dias allaient ĂȘtre obligĂ©s de modifier leur rĂ©cit sur Covid. En janvier, j'ai Ă©galement Ă©crit que je pensais que les propriĂ©taires d'entreprise supprimeraient les mandats de vaccins et de masques, car le capitalisme et le bon sens dicteraient la voie la plus pragmatique. J'ai Ă©crit il y a huit mois, en janvier Comme j'y ai fait allusion plus tĂŽt, je pense qu'un pivot de masse se produit non seulement dans les mĂ©dias grand public, mais parmi les entitĂ©s gouvernementales chargĂ©es de superviser la rĂ©ponse de Covid. En bref, les pouvoirs en place comprennent que les citoyens de ce pays ont perdu patience avec leurs conneries et, avec les Ă©lections de mi-mandat qui approchent, c'est probablement la seule fois au cours des 2 derniĂšres annĂ©es que quiconque au gouvernement fait passer les prĂ©occupations des gens leurs propres changement narratif fera plusieurs choses. PremiĂšrement, aprĂšs le passage de cette onde omicron, elle devrait, espĂ©rons-le, susciter une discussion sur l'immunitĂ© naturelle qui est en retard d'environ 18 mois. Mis Ă part les mandats de vaccination, Omicron, compte tenu de sa nature extrĂȘmement infectieuse et de ses effets bĂ©nins, pourrait finir par agir comme le vaccin de la nature pour presque tout le monde de toute façon. Les gens commenceront Ă comprendre ce concept et Ă insister davantage sur la science» pour expliquer pourquoi elle a commodĂ©ment ignorĂ© le sujet de l'immunitĂ© naturelle - qui s'est avĂ©rĂ©e plus robuste que la vaccination - jusqu'Ă deuxiĂšme chose que ce changement narratif va faire est de permettre un Ă©lan et un soutien mĂ©diatique Ă l'idĂ©e d'assouplir certains mandats et de commencer Ă ramener certains endroits qui ont des protocoles Covid stricts vers la normale. Un tel assouplissement des protocoles Covid permettra alors aux propriĂ©taires d'entreprises locales ceux qui n'ont pas Ă©tĂ© complĂštement rĂ©duits en poussiĂšre par Target, Wal-Mart ou Amazon au cours des 18 derniers mois d'assouplir les restrictions qu'ils pourraient avoir en place. C'est lĂ que le capitalisme et le bon sens prendront le alors que 2022 commençait Ă se dĂ©rouler, c'est exactement ce qui s'est passĂ©. En fait, dans ma ville natale de Philadelphie, cela s'est produit presque immĂ©diatement lorsque la ville a tentĂ© - pour la deuxiĂšme fois - d'imposer des mandats de masque et que les propriĂ©taires d'entreprise se sont regroupĂ©s, ont poursuivi la ville, puis ont essentiellement dit aux responsables d'aller se faire d'autres termes, les gens en ont finalement eu fois qu'il est devenu clair que la population Ă©tait de plus en plus dĂ©goĂ»tĂ©e par la façon dont le virus Ă©tait gĂ©rĂ© par ceux qui tiraient les ficelles, le CDC a cĂ©dĂ© et a finalement admis cette semaine que le virus est lĂ pour rester et que l'immunitĂ© naturelle - et l'immunitĂ© en gĂ©nĂ©ral - avait Ă©tĂ© atteint comme par voir sur site -Ă certains Ă©gards, il est poĂ©tique que le CDC nous dise ce que nous savons dĂ©jĂ . AprĂšs tout, ils sont "responsables", n'est-ce pas ?Je crois honnĂȘtement qu'ils ne changeraient pas leur position officielle si le public ne l'avait pas dĂ©jĂ changĂ© pour eux. Il est devenu de plus en plus clair que les citoyens ne sont tout simplement pas intĂ©ressĂ©s Ă ĂȘtre mandatĂ©s pour prendre des prĂ©cautions dont ils ne veulent plus. Ceux qui le souhaitent ou en ont besoin sont plus que bienvenus et sont encouragĂ©s Ă le faire. Sinon, tout le monde ne semble pas intĂ©ressĂ© Ă ĂȘtre suppléé dans le cadre d'une guerre qu'ils sont complĂštement apathiques Ă y a quelques grandes leçons Ă tirer de premiĂšre leçon est que le peuple a vraiment le pouvoir. Ă certains Ă©gards, on a l'impression que le pays a pris la dĂ©cision du gouvernement pour eux. Philadelphie est un excellent exemple. L'idĂ©e des mandats provoquait quotidiennement plus de combats et de troubles civils qu'elle n'en prĂ©venait. Les propriĂ©taires d'entreprise - pas seulement les restaurateurs et les propriĂ©taires de petites entreprises, mais aussi les PDG de compagnies aĂ©riennes et les dirigeants de grandes entreprises - ont Ă©tĂ© contrariĂ©s par la façon dont les faux mandats affectaient nĂ©gativement leurs entreprises. Il est devenu Ă©vident que la fin ne justifiait dĂ©finitivement pas les deuxiĂšme leçon est Ă©galement trĂšs intĂ©ressante Ă retenir, en particulier Ă la lumiĂšre des cĂąpres Ă la Rube Goldberg que les chirurgiens des fusĂ©es de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale sont actuellement en train d'exĂ©cuter le gouvernement est gĂ©nĂ©ralement en retard, dĂ©passe gĂ©nĂ©ralement la cible, puis ne se corrige pas et ne se rĂ©aligne pas en n'a pris Covid au sĂ©rieux en dĂ©cembre 2019 ou janvier 2020, date Ă laquelle j'ai commencĂ© Ă lire Ă ce sujet. Les signes Ă©taient lĂ il Ă©tait mentionnĂ© sur le terminal Bloomberg tous les jours et c'Ă©tait mĂȘme sur le crawl de Fox News tous les jours. Ce n'Ă©tait pas encore un gros titre, mais l'information Ă©tait lĂ que la Chine signalait des cas d'un nouveau coronavirus Ă Wuhan. Croyez-moi, je le sais, parce que j'ai passĂ© un mois entier Ă faire des blagues sur le thĂšme de Busta Rhymes "Wuhan, vous avez tous sous contrĂŽle" avant de rĂ©aliser que le monde est peut-ĂȘtre intervenu dans une vraie merde. Voici l'exposition A - voir sur site -Notre gouvernement, dirigĂ© par le prĂ©sident Trump Ă l'Ă©poque, n'a pas agi assez rapidement. Lorsqu'ils ont pris des mesures, je les ai fĂ©licitĂ©s d'avoir instituĂ© une interdiction de voyager et d'avoir lancĂ© le bal sur les vaccinations, tandis que beaucoup Ă gauche sont revenus Ă des jeux sur le thĂšme de la politique identitaire pour savoir s'il Ă©tait ou non raciste de dire qu'un virus Ă©tait originaire de Chine. La stratĂ©gie de Nancy Pelosi Ă l'Ă©poque semblait ĂȘtre de s'entourer d'autant de Chinois que possible. Allez voir sur site -La lĂ©gende sous la photo, de fĂ©vrier 2020, se lit comme suit La prĂ©sidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a visitĂ© le quartier chinois de San Francisco lundi pour envoyer un message. Elle a dit qu'il n'y avait aucune raison pour que les touristes ou les habitants restent Ă l'Ă©cart de la rĂ©gion par crainte des problĂšmes de rĂ©ponse mal pensĂ©e et horriblement chronomĂ©trĂ©e Ă Covid s'apparente Ă la rĂ©ponse actuelle de la Fed Ă l'inflation. J'ai notĂ© Ă plusieurs reprises que je pense que la Fed a augmentĂ© tellement, si rapidement, que nous allons ĂȘtre aveuglĂ©s par les consĂ©quences sur les marchĂ©s du crĂ©dit au cours des deux prochains derniĂšre leçon que nous pouvons tirer de cette volte-face Ă 180 degrĂ©s du CDC est qu'il est normal de poser des questions - encore plus lorsque le rĂ©cit est dictĂ© par des entitĂ©s unilatĂ©rales ou une pensĂ©e de groupe le gouvernement fait les choses correctement et parfois il se trompe - mais s'il y a une chose que nous aurions dĂ» apprendre au cours des deux derniĂšres annĂ©es, c'est que le dialogue plus franc et la mĂ©thode socratique concernant notre rĂ©ponse au virus nous ont peut-ĂȘtre fait du lieu de cela, un peu comme avec l'Ă©conomie, l'accent est mis sur la microgestion, le contrĂŽle et le silence de ceux qui soulĂšvent des questions sur le rĂ©cit officiel. Et Ă quoi cela a-t-il servi ? PrĂ©cisĂ©ment rien, Ă part servir Ă rendre la folie des jours passĂ©s encore plus perceptible maintenant que le CDC a relĂąchĂ© son rĂ©cit de Covid - comme tout autre rĂ©cit dont nous sommes nourris de force - est comme le marchĂ© libre. Finalement, avec le temps, la majoritĂ© arrivera toujours Ă la solution la plus pragmatique la plus largement acceptĂ©e. Que cette solution provienne d'un mandat gouvernemental, d'un soulĂšvement populaire ou de n'importe oĂč entre les deux est sans objet. Tout ce qui compte, c'est que nous arrivions finalement Ă proximitĂ© des meilleures rĂ©cent changement de directive du CDC est exactement cela. Un petit groupe de personnes sera horrifiĂ© par la dĂ©cision et se demandera comment l'agence pourrait jamais changer de cap - mais la majoritĂ© des libres penseurs la verront pour ce qu'elle est vraiment un retour Ă la raison attendu depuis longtemps et POURRIS ! TOUS !Aucun journaliste n'a expliquĂ© calmement qu'un virus VOIR DICTIONNAIRE ! c'est UNE POUSSIĂRE ! et non un microbe ! qui lui est vivant et transporte des poussiĂšres sont inoffensives, sauf les poussiĂšre radioactives. Oui mais lĂ est venue s'ajouter LA poussiĂšre poison enveloppĂ© fabriquĂ©e en laboratoires. Mais, comme une poussiĂšre ne fait pas le tour du monde... lĂ , il fallait la prĂ©senter dans son Ă©crin dorĂ© d'une seringue en or ! WhoĂąw ! Si t'es piquĂ© tu l'as ! Et si tu l'as t'es mort !SupprimerLes documents de Pfizer et les donnĂ©es du monde rĂ©el montrent tous deux que les piqĂ»res de covid provoquent dĂ©jĂ un dĂ©peuplement de masseLundi 15 aoĂ»t 2022 par Ethan HuffNatural News Des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes supplĂ©mentaires dans le monde meurent chaque semaine par rapport aux niveaux prĂ©-pandĂ©miques. Et toutes les preuves disponibles indiquent que les vaccins» contre le coronavirus de Wuhan Covid-19 sont le dĂ©cĂšs excessifs, comme ils les appellent, continuent de grimper dans presque tous les pays industrialisĂ©s qui ont poussĂ© les coups sur leurs populations. Cela se passe au Royaume-Uni, en Europe nordique et en AmĂ©rique du Nord â tous les endroits oĂč la vaccination de masse de l'opĂ©ration Warp Speed ââââa eu chiffres deviennent un peu poilus en fonction des ensembles de donnĂ©es que vous utilisez, car les gouvernements ont fait des heures supplĂ©mentaires pour essayer de dissimuler la vĂ©ritĂ©. Une enquĂȘte plus approfondie sur les donnĂ©es, cependant, et cela commence Ă se personnes non vaccinĂ©es, quant Ă elles, restent en vie et, dans la plupart des cas, prospĂšrent tandis que leurs homologues "entiĂšrement vaccinĂ©s" continuent de dĂ©velopper le VAIDS SIDA induit par le vaccin ou de mourir du "syndrome de la mort subite de l'adulte", Ă©galement connu sous le nom de SADS."Chaque mois depuis le dĂ©but de 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinĂ©s et doublement vaccinĂ©s ont Ă©tĂ© plus susceptibles de mourir que les 18-39 ans non vaccinĂ©s", rapporte ExposĂ© News."Les 18 Ă 39 ans triplement vaccinĂ©s ont cependant eu un taux de mortalitĂ© qui s'est aggravĂ© d'un mois Ă l'autre aprĂšs la campagne de rappel de masse qui a eu lieu au Royaume-Uni en dĂ©cembre 2021."RĂ©pondreSupprimerPartout, des bĂ©bĂ©s meurent Ă cause des retombĂ©es des injections de covidUne autre tendance qui se produit partout dans le monde dans les pays les plus touchĂ©s est un excĂšs de dĂ©cĂšs de nouveau-nĂ©s. Pour la deuxiĂšme fois en sept mois en mars, les nouveau-nĂ©s morts ont atteint des niveaux critiques, selon les nombre stupĂ©fiant de 4,6 dĂ©cĂšs nĂ©onatals pour 1 000 naissances vivantes a Ă©tĂ© enregistrĂ© en mars, soit une augmentation de 119 % au-delĂ des niveaux attendus. En septembre 2021, un pic encore plus important de 5,1 dĂ©cĂšs nĂ©onatals pour 1 000 naissances vivantes a Ă©tĂ© Health Scotland PHS a lancĂ© une enquĂȘte qui a passĂ© la plupart du temps sous le radar. Sa conclusion ? Les bĂ©bĂ©s meurent Ă cause de facteurs au-delĂ de la variation alĂ©atoire » â les injections n'ont pas Ă©tĂ© Allemagne, Ă TaĂŻwan et ailleurs, les taux de natalitĂ© ont Ă©galement diminuĂ©, soit parce que les femmes complĂštement piquĂ©es ne peuvent pas tomber enceintes, soit parce que les bĂ©bĂ©s meurent peu de temps aprĂšs leur s'avĂšre que les soi-disant documents de Pfizer traitent de cela, mentionnant profondĂ©ment dans les donnĂ©es que plus de 90% des femmes enceintes piquĂ©es par le covid finissent par perdre leurs bĂ©bĂ©s. En relation Pfizer a rĂ©cemment Ă©tĂ© surpris en train de mentir au sujet d'Ă©vĂ©nements indĂ©sirables liĂ©s au jab.Soit dit en passant, sans une ordonnance du tribunal, ces rĂ©vĂ©lations critiques et d'autres dans les documents de Pfizer n'auraient jamais vu le systĂšme de notification des Ă©vĂ©nements indĂ©sirables des vaccins VAERS des Centers for Disease Control and Prevention CDC des Ătats-Unis montre en outre que les fausses couches par injection post-covid sont au moins 1 517% plus Ă©levĂ©es que les fausses couches post-vaccin contre la avril dernier, quelque 4 113 bĂ©bĂ©s Ă naĂźtre sont dĂ©cĂ©dĂ©s, Ă notre connaissance, en raison de complications associĂ©es aux vaccins contre la grippe Fauci. Parmi ceux-ci, 3 209 ont Ă©tĂ© spĂ©cifiquement attribuĂ©s Ă l'injection d'ARNm ARN messager de Pfizer."Le CDC a admis que seulement 1 Ă 10% des effets indĂ©sirables sont en fait signalĂ©s au VAERS, donc le vrai chiffre pourrait ĂȘtre bien pire", explique ExposĂ© News."Mais pour mettre ces chiffres en perspective, il n'y a eu que 2 239 dĂ©cĂšs fĆtaux signalĂ©s au VAERS au cours des 30 annĂ©es prĂ©cĂ©dant l'autorisation d'utilisation d'urgence des injections de Covid-19 en dĂ©cembre 2020."Pendant ce temps, les rĂ©gulateurs de la mĂ©decine continuent de colporter le mensonge selon lequel, sur la base des Ă©tudes animales», il n'y a aucun effet nocif direct ou indirect sur la grossesse causĂ© par les injections de virus nous avons le cancer de l'ovaire, dont les taux augmentent considĂ©rablement en raison de l'opĂ©ration Warp Speed."Imaginez le triple piqĂ»re suffisant qui a abusĂ© du non piquĂ© ces deux derniĂšres annĂ©es en lisant maintenant cet article", a Ă©crit un commentateur. "Parlez de devoir manger une humble tarte."Les derniĂšres nouvelles sur les injections de virus chinois peuvent ĂȘtre trouvĂ©es sur sources de cet article incluent AVEC ECOWATT AIDEZ LA FRANCE Ă ĂVITER LES COUPURES CET HIVER par PAOLO GAROSCIO 16/08/2022 Le prix de l'Ă©nergie a augmentĂ© de plus de 30% sur un an en juin ne fait aucun doute que lâHiver 2022-2023, sur le front de lâĂ©nergie, sera compliquĂ© en France comme ailleurs en Europe. Baisse de la production nuclĂ©aire, guerre en Ukraine, tensions gĂ©nĂ©ralisĂ©es sur le rĂ©seau⊠le risque de coupures dâĂ©lectricitĂ© est rĂ©el. Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă la patte pour les Ă©viter le plus mĂ©tĂ©o de lâĂ©nergie » et des alertes en cas de pic de consommationLes entreprises ont dĂ©jĂ annoncĂ© des mesures pour limiter leur consommation Ă©nergĂ©tique durant la pĂ©riode hivernale 2022-2023. Des mesures simples qui auraient pu ĂȘtre mises en place depuis longtemps pour lutter contre le rĂ©chauffement climatique, mais qui nâauront Ă©tĂ© adoptĂ©es quâĂ cause du risque de coupure et dâexplosion de la les mĂ©nages aussi peuvent contribuer. Si couper le wifi », comme lâa demandĂ© le gouvernement, nâaura strictement aucun effet sur la consommation de la France, reporter une lessive ou baisser le chauffage peut effectivement aider. Surtout lors des pics de consommation attendus par il reste la question, pour les particuliers, de savoir quand ces pics sont craints. Pour ce faire, il y a la mĂ©tĂ©o de lâĂ©nergie » dâEcowatt, un service gratuit de alerte mail et SMS envoyĂ©e par EcowattLâespoir de RTE, et du gouvernement, est que grĂące Ă quelques gestes de la part des mĂ©nages il sera possible dâĂ©viter les coupures dâĂ©lectricitĂ©. La situation nâest dâailleurs que temporaire puisque la production nuclĂ©aire est au plus bas au plus mauvais moment, mais quâelle remontera dĂšs que les rĂ©acteurs seront relancĂ©s. Ainsi, il y a de fortes chances que ces craintes de pĂ©nuries ne soient pas dâactualitĂ© en attendant, les mĂ©nages peuvent sâinscrire sur Ecowatt. Ce dernier va leur envoyer, via mail et via SMS, une alerte dĂšs lors que RTE craint un pic de consommation et donc des coupures. En avril 2022, ce service aura permis de rĂ©duire, entre particuliers et entreprises, de 800 MĂ©gawatts la consommation au moment du pic du 4 avril, et ce alors que lâalerte nâĂ©tait que orange », soit le niveau 3 sur service fonctionne, de fait, et devient stratĂ©gique cette annĂ©e 2022. Mais il reste purement facultatif et, surtout, sur la base du Il ne fait aucun doute que lâHiver 2022-2023, sur le front de lâĂ©nergie, sera compliquĂ© en France comme ailleurs en Europe. Baisse de la production nuclĂ©aire, guerre en Ukraine, tensions gĂ©nĂ©ralisĂ©es sur le rĂ©seau⊠le risque de coupures dâĂ©lectricitĂ© est rĂ©el. Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă la patte pour les Ă©viter le plus possible. ...DĂšs le premier paragraphe le bourbier est lancĂ© avec la 'guerre en Ukraine' ! Mais qu'est-ce qu'elle vient foutre dans le domaine de l'Ă©nergie ? L'Allemagne qui reçoit du gaz de Russie apparemment seul pays au monde qui aurait du gaz peut en refiler Ă la France, mais non, il se contente de terminer son speech sur 'Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă la patte pour les Ă©viter le plus possible.' !Ăviter ??! Ăviter quoi ??! La guerre en Ukraine ? ON S'EN FOUT ! Toutes mes excuses pour les rĂ©gions Est de l'Ukraine qui ont Ă©tĂ© bombardĂ© tous les jours durant 8 ans HUIT !! SANS que la France, l'Angleterre, Allemagne, Espagne, etc n'en parlent ni n'interviennent !! ĂĂ alors !Et tout ces gros cons de chefs dâĂtats de merde qui ont refusĂ© de dĂ©fendre des civils assassinĂ©s par les nazis s'offusquent, s'Ă©tonnent et critiquent, insultent le valeureux Poutine qui vient les sauver !Comprenons que dans ce cas, vu la merde qu'il y a autour de lui, le bon Vladimir refuse tout net de vendre du pĂ©trole et du gaz Ă ces chiens merdeux qui aboient en serrant les fesses !Et donc, si cet hiver l'Europe de l'Ouest a froid et meurt congelĂ©e dans les -10 ou -20°C ce ne sera pas la faute au chef dâĂtat de Russie mais bel et bien Ă ceux de l'Ouest qui ont leurs apparts surchauffĂ©s ! sont des assassins de leurs Peuples transis !SupprimerAVEC LA CRISE ĂNERGĂTIQUE, SAUDI ARAMCO GAGNE 500 MILLIONS PAR JOUR par PAOLO GAROSCIO 16/08/2022 Saudi Aramco a confirmĂ© le dividende de 18 milliards de dollars pour le deuxiĂšme trimestre un super-profiteur de crise que les pays europĂ©ens ne pourront pas taxer, bien quâen France le gouvernement nâait pas cette volontĂ©, contrairement Ă dâautres pays europĂ©ens. Saudi Aramco, la plus grosse compagnie pĂ©troliĂšre du monde, a vu ses gains exploser au deuxiĂšme trimestre 2022. Mais le prix du brut nâa cessĂ© de chuter depuisâŠSaudi Aramco PrĂšs de 50 milliards de bĂ©nĂ©fices en trois moisLa publication des rĂ©sultats de Saudi Aramco, dĂ©tenue par lâArabie Saoudite, cheffe de file du Cartel de lâor noir, lâOPEP, confirme une nouvelle fois que les compagnies pĂ©troliĂšres profitent largement de la crise Ă©nergĂ©tique et des tensions sur le pĂ©trole qui ont explosĂ© avec la fin de la pandĂ©mie et la guerre de la Russie contre lâUkraine. Au deuxiĂšme trimestre 2022, le bĂ©nĂ©fice du groupe a atteint 48,39 milliards de dollars en trois mois, dĂ©passant les attentes. Câest plus dâun tiers de la capitalisation de TotalEnergies 132,20 milliards de dollars au 15 aoĂ»t 2022 et, surtout, plus de 500 millions de dollars par sa production de prĂšs de 10 millions de barils de pĂ©trole par jour, Saudi Aramco nâa pas encore atteint sa capacitĂ© de production maximale qui est de 13 millions. La marge de progression est donc majeure, mais le pĂ©trolier ne devrait pas lâatteindre plus lâoffre sur le marchĂ© est Ă©levĂ©e, plus le prix du baril baisse, ce qui ne ferait pas les affaires de lâentreprise et de ses actionnaires, Arabie Saoudite en premier dividende record pour le deuxiĂšme trimestre 2022Les actionnaires, et en particulier lâArabie Saoudite qui dĂ©tient encore 98 % de lâentreprise seulement 2 % de Saudi Aramco ont Ă©tĂ© listĂ©s sur la Bourse de Riad en 2019, vont toucher gros. Les rĂ©sultats du deuxiĂšme trimestre 2022 vont permettre au pĂ©trolier de confirmer son dividende de 18 milliards de dollars pour le seul deuxiĂšme pĂ©trole chute en Bourse depuis juin 2022Mais cette aubaine financiĂšre pourrait sâarrĂȘter rapidement si Saudi Aramco, comme TotalEnergies et les autres compagnies pĂ©troliĂšres, ont enregistrĂ© des bĂ©nĂ©fices record, câest grĂące au pic de prix du brut en Bourse. Ă la suite du dĂ©but de la guerre, le pĂ©trole sâĂ©changeait Ă plus de 110 voire 120 dollars le craintes concernant la demande chinoise et mĂȘme mondiale ont nĂ©anmoins inversĂ© la tendance tout le mois de juillet 2022, le cours du brut a Ă©tĂ© en baisse, passant de plus de 110 dollars Ă moins de 100 pour le Brent, le pĂ©trole de la Mer du Nord. Les marchĂ©s ne semblent pas voir dâamĂ©lioration sur ce front Ă court le 16 aoĂ»t 2022 avant lâouverture de la Bourse de Paris, le Brent affichait moins de 95 dollars le baril, soit le niveau prĂ©-guerre en Ukraine. Le WTI, le pĂ©trole amĂ©ricain, suit la mĂȘme tendance, chutant Ă moins de 90 dollars le baril 88,92 dollars. y est ! maintenant c'est au tour de l'Arabie Saoudite de passer pour des escrocs, des truands, bref des assassins de petites vieilles en profitant de la raretĂ© du pĂ©trole pour s'enrichir !! ĂĂ alors !!Imaginez que seuls les cafĂ©iers de Colombie puissent fournir de l'Arabica et donc, la Colombie traitĂ©e de salope, de putain de sa race parce qu'elle a du cafĂ© et se remplit les poches du pognon qu'on doit lui filer !!'Y a plus de pĂ©trole !' HAHAHAHA ! abiotique. VoilĂ Ă quoi çà tient ! Et demain ils diront "Y A PLUS D'AIIIIIIIR !" Et donc le Peuple Ă©coutant les cons qui dirigent s'inquiĂ©tera ! de toute façon quand on voit le nombre de cons qui portent un masque et se font fileter les fosses nasales et se font inoculer profond 4 ou 5 fois ! HAHAHAHA !....SupprimerLes pluies de mousson inondent Vegas, tandis que le nord-ouest du Pacifique se prĂ©pare pour le dĂŽme de chaleurPAR TYLER DURDENMARDI 16 AOĂT 2022 - 0530Le temps sauvage dans la partie ouest des Ătats-Unis a dĂ©clenchĂ© l'une des pires saisons de mousson Ă Las Vegas depuis une dĂ©cennie, tandis que la Californie et certaines parties du nord-ouest du Pacifique se prĂ©parent Ă un dĂŽme chauffant qui pourrait pousser les rĂ©seaux Ă©lectriques au la fin de la semaine derniĂšre, des orages intenses ont inondĂ© certaines parties du sud du Nevada, y compris Vegas. Des vidĂ©os sur les rĂ©seaux sociaux montrent des eaux de crue se dĂ©versant dans au moins un casino tandis que des parkings se transformaient en riviĂšres. Cela survient deux semaines aprĂšs qu'une autre tempĂȘte a fait des ravages sur Sin responsables du comtĂ© de Clark rapportent que la derniĂšre sĂ©rie de tempĂȘtes dans la rĂ©gion mĂ©tropolitaine de Vegas a entraĂźnĂ© la saison de mousson la plus humide depuis une dĂ©cennie. Outre les inondations, c'est une bonne nouvelle pour la rĂ©gion qui souffre d'une extrĂȘme sĂ©cheresse."Cela en fait la saison de mousson la plus humide depuis dix ans", a tweetĂ© le National Weather ce temps, une chaleur quasi record est attendue cette semaine dans la vallĂ©e centrale de Californie et dans certaines parties du nord-ouest du Pacifique alors qu'un dĂŽme de chaleur se construit dans la rĂ©gion, aggravant la zone frappĂ©e par la sĂ©cheresse et poussant les rĂ©seaux Ă©lectriques Ă des niveaux vallĂ©e centrale de Californie pourrait enregistrer des tempĂ©ratures aussi Ă©levĂ©es que 109 degrĂ©s Fahrenheit. Une autre poche de chaleur brĂ»lera l'ouest de voir carte sur site -Bob Oravec, un prĂ©visionniste principal de la branche du Weather Prediction Center, a dĂ©clarĂ© que Sacramento pourrait atteindre 105 Fahrenheit en milieu de semaine, et Redding pourrait enregistrer 109 Fahrenheit."Ce sera bien au-dessus de la moyenne", a dĂ©clarĂ© Oravec. "La chaleur finira Ă©galement par se propager aux plaines du nord-ouest et du nord."Un dĂŽme de chaleur persistant au-dessus de la Californie pourrait stresser les rĂ©seaux Ă©lectriques. La demande devrait culminer lundi Ă environ 43,8 gigawatts et pourrait mĂȘme atteindre 45,2 gigawatts d'ici le milieu de la semaine, a dĂ©clarĂ© l'opĂ©rateur de rĂ©seau California Independent System prĂ©vision de l'augmentation de la demande de refroidissement, les prix de l'Ă©lectricitĂ© aux heures de pointe du hub SP15 du sud de la Californie ont grimpĂ© de 29 % pour atteindre 149,70 $ le mĂ©gawatt lundi, le plus Ă©levĂ© depuis prĂšs d'un voir graph sur site -Gary Ackerman, un consultant indĂ©pendant en Ă©nergie qui a fondĂ© le Western Power Trading Forum, a dĂ©clarĂ© Ă Bloomberg que les pĂ©nuries d'alimentation Ă©lectrique sont peu probables Ă ce la North American Electric Reliability Corporation, un organisme de rĂ©glementation qui gĂšre la stabilitĂ© du rĂ©seau, a rĂ©cemment averti avant l'Ă©tĂ© que l'approvisionnement en Ă©lectricitĂ© de l'ouest des Ătats-Unis pourrait ĂȘtre submergĂ© par une demande croissante en raison de la chaleur extrĂȘme. Nous pourrions ajouter que les efforts de dĂ©carbonisation des rĂ©seaux ont aggravĂ© les l'herbe va pousser en plein dĂ©sert ! De quoi ils se plaignent ?SupprimerLes infirmiĂšres dĂ©crivent les protocoles de traitement brutaux » du COVID-19PAR TYLER DURDENMARDI 16 AOĂT 2022 - 0145Ăcrit par Matt McGregor via The Epoch TimesLes infirmiĂšres qui ont Ă©tĂ© tĂ©moins des protocoles de traitement brutaux » des hĂŽpitaux COVID-19 tuent des patients brossent un tableau sombre de ce qui se passe dans les systĂšmes de santĂ© financĂ©s par les Ătats et le gouvernement fĂ©dĂ©ral. Ils sont horribles et ils sont tous en phase », a dĂ©clarĂ© Ă Epoch Times Staci Kay, une infirmiĂšre praticienne des Physicians for Freedom de Caroline du Nord qui a quittĂ© le systĂšme hospitalier pour dĂ©marrer son propre cabinet privĂ© de traitement prĂ©coce. Ils ne prendront pas en compte les protocoles en dehors de ce qui leur est donnĂ© par le CDC Centers for Disease Control and Prevention et le NIH National Institute of Health. Et personne ne demande par la dissonance cognitive au milieu d'une sĂ©rie de drapeaux rouges, Kay a dĂ©clarĂ© que le personnel hospitalier ignore les traitements manifestement problĂ©matiques qui ont mal fonctionnĂ© dans les essais cliniques, tels que le remdesivir, et les protocoles tels que l'isolement du patient, juste pour adhĂ©rer au canon fĂ©dĂ©ral."J'ai vu des gens mourir avec leur famille en regardant via iPad sur Facetime", a dĂ©clarĂ© Kay. "C'Ă©tait brutal."En tant qu'ancienne infirmiĂšre en soins intensifs, Kay a dĂ©clarĂ© qu'elle avait vu sa part de tragĂ©die, mais la façon dont elle a vu les patients COVID ĂȘtre traitĂ©s "m'a fait me rĂ©veiller au milieu de la nuit dans une sueur froide avec des douleurs Ă la poitrine"."Je dĂ©testais mon travail", a dĂ©clarĂ© Kay. Je dĂ©testais aller travailler. J'Ă©tais stressĂ© d'une maniĂšre que je n'avais jamais Ă©tĂ© auparavant de toute ma les familles isolĂ©es Ă©tait particuliĂšrement difficile, a-t-elle dit, car les gens ne pouvaient pas venir dire au revoir Ă leurs proches."Nous pouvons faire mieux"Kay cherchait d'autres options lorsqu'elle a trouvĂ© un protocole d'hospitalisation conçu par le Dr Paul Marik, membre fondateur de Front Line COVID-19 Critical Care Alliance, qui prĂ©tendait avoir un taux de rĂ©ussite de 94 %.Cependant, aprĂšs que Kay l'ait prĂ©sentĂ© au chef du service des soins intensifs pulmonaires, elle a Ă©tĂ© licenciĂ©e et le mĂ©decin s'est vantĂ© que l'hĂŽpital avait un taux de survie de 66% Ă l' lui ai dit" J'ai l'impression que nous pouvons faire mieux ", mais j'ai Ă©tĂ© trĂšs rapidement fermĂ©", a dĂ©clarĂ© Kay. "Je suis devenu trĂšs en colĂšre parce que je regarde des gens mourir et je savais que nous aurions pu faire mieux."C'Ă©tait comme si des gens autrefois intelligents avaient subi un lavage de cerveau, "et puis tout simplement stupides", a dĂ©clarĂ© Kay, manquant de moyens mentaux pour discerner le vrai du a conduit Kay Ă commencer Ă traiter les patients en ambulatoire pour empĂȘcher leur admission dans le systĂšme hospitalier, qui est maintenant son travail Ă temps plein aprĂšs avoir Ă©tĂ© licenciĂ©e pour ne pas s'ĂȘtre soumise Ă ce qu'elle a dĂ©crit comme des exigences de test illogiques pour ceux qui n'Ă©taient pas son entreprise de tĂ©lĂ©mĂ©decine, Kay a dĂ©clarĂ© qu'elle voyait plusieurs cas de personnes souffrant de blessures causĂ©es par le vaccin COVID-19."J'ai Ă©galement vu des choses du cĂŽtĂ© des patients hospitalisĂ©s, que je soupçonnais ĂȘtre des blessures causĂ©es par des vaccins qui n'ont pas Ă©tĂ© reconnues par nos mĂ©decins", a dĂ©clarĂ© Kay. "J'ai vu des saignements cĂ©rĂ©braux, des convulsions venues de nulle part, un cancer qui s'est propagĂ© comme une traĂźnĂ©e de poudre, des accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux ischĂ©miques, et j'ai vu une personne mourir horriblement d'une myocardite."Du cĂŽtĂ© des patients externes, elle a dĂ©clarĂ© avoir vu des conditions rĂ©sultant du vaccin COVID-19 telles que le brouillard cĂ©rĂ©bral, le dĂ©clin cognitif, les douleurs articulaires, les dysfonctionnements gastro-intestinaux et la neuropathie, qui est un engourdissement et des picotements dans les mains, les pieds et les extrĂ©mitĂ©s."L'ancienne Ă©cole devient la nouvelle Ă©cole"L'entreprise de Kay, Sophelina Counseling, fournit de la tĂ©lĂ©mĂ©decine, des soins d'urgence mobiles et des thĂ©rapies IV mobiles. Il est indĂ©pendant du contrĂŽle des entreprises, du gouvernement fĂ©dĂ©ral et de l'Ătat, ce qui, selon elle, est une solution Ă un systĂšme de santĂ© paralysĂ© par des exigences oppressives."Tant qu'il y aura un contrĂŽle des entreprises sur la mĂ©decine, qu'il s'agisse de l'assurance-maladie ou des compagnies d'assurance privĂ©es, vous aurez toujours des prestataires qui seront forcĂ©s, sous pression et contraints de faire des choses qu'ils ne feraient pas normalement", a-t-elle dĂ©clarĂ©. "Les mĂ©decins n'ont plus le traitement qu'ils avaient auparavant."En raison de ce contrĂŽle de l'entreprise, Kay a dĂ©clarĂ© que la liste des cases qu'ils doivent vĂ©rifier prend du temps pour le patient lui-mĂȘme."S'Ă©loigner de cette structure d'entreprise va changer la donne", a-t-elle a plaidĂ© pour le retour Ă la vieille Ă©cole», qui est le modĂšle de soins primaires directs, dans lequel le patient paie des frais mensuels ou annuels pour avoir accĂšs au fournisseur sans l'interfĂ©rence d'une compagnie d'assurance traditionnelle qui exige trop de des cerceaux Ă franchir, des maux de tĂȘte et des cases Ă mentionne un modĂšle de soins de santĂ© appelĂ© GoldCare, conçu par le Dr Simone Gold, fondatrice de Americaâs Frontline qui a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă deux mois de prison pour son implication prĂ©sumĂ©e dans la violation du Capitole le 6 janvier, a créé GoldCare en tant qu'association privĂ©e PMA.Parce qu'une grande partie de ce que font les compagnies d'assurance tourne autour de poursuites potentielles, pour ĂȘtre membre de la PMA, il faut signer une clause, acceptant qu'elles ne poursuivront pas."Ce que cela fait pour nous, c'est que nous n'avons pas besoin de commander des tests ou des consultations inutiles juste pour couvrir notre back-end, car c'est l'essentiel de ce que fait la mĂ©decine d'entreprise", a-t-elle consĂ©quence, a dĂ©clarĂ© Kay, le patient et le mĂ©decin sont plus heureux car le processus de traitement n'a pas Ă©tĂ© alourdi par des exigences d'assurance Kay, ce modĂšle - une Ă©vocation d'une Ă©poque plus simple dans les soins mĂ©dicaux lorsque les mĂ©decins Ă©taient plus connectĂ©s avec leurs patients - est essentiel."L'ancienne Ă©cole va devoir devenir la nouvelle Ă©cole", a dĂ©clarĂ© NIH et le CDC n'ont pas rĂ©pondu Ă la demande de commentaires d'Epoch Times sur les protocoles de traitement du le systĂšmeAprĂšs avoir pris du saumon, des Ćufs et du miel contre paiement, une infirmiĂšre de l'Ătat de Washington qui a souhaitĂ© rester anonyme partage la vision plus traditionnelle de Kay pour l'avenir des soins de a dĂ©clarĂ© Ă Epoch Times que les gens doivent boycotter leur assurance maladie »."Je pense que les personnes qui n'ont pas besoin d'une intervention chirurgicale pour sauver leur vie ne devraient pas aller Ă l'hĂŽpital", a dĂ©clarĂ© l'infirmiĂšre. "Je pense que les gens ont besoin de trouver des mĂ©decins privĂ©s qui paient et ne paient que pour ce qu'ils doivent faire."Le gouvernement fĂ©dĂ©ral doit ĂȘtre retirĂ© de l'Ă©quation des soins de santĂ©, a-t-elle ajoutĂ©."Je ne pense surtout pas qu'aucun enfant ne devrait aller chez ces praticiens qui acceptent le financement de l'Ătat ou les remboursements de Medicare et Medicaid", a dĂ©clarĂ© l' a demandĂ© l'anonymat parce que, en plus d'ĂȘtre non vaccinĂ©e, dans l'Ătat de Washington et de l'Oregon, elle a dĂ©clarĂ© que le gouvernement avait permis au public de dĂ©poser des plaintes anonymes, "dĂ©pourvues de preuves", contre les travailleurs de la santĂ© qui promeuvent des traitements qui s'Ă©cartent de les protocoles que l'infirmiĂšre ait Ă©tĂ© licenciĂ©e pour non-respect du mandat du vaccin, elle a lancĂ© sa propre entreprise de soins privĂ©s qui propose des anticorps monoclonaux, des infusions de L-lysine et de vitamine C, une thĂ©rapie par la lumiĂšre rouge infrarouge et des nĂ©buliseurs comme traitements selon les besoins et lorsqu'ils sont Suppression gĂ©nĂ©ralisĂ©e des donnĂ©es »Avec son entreprise nouvellement lancĂ©e, elle a effectuĂ© les premiĂšres interventions qu'elle a dit que les hĂŽpitaux devraient faire, "mais refusent de le faire parce qu'ils disent qu'il n'y a aucune preuve pour cela".L'infirmiĂšre travaille avec un rĂ©seau croissant de mĂ©decins et de fournisseurs qui fonctionnent comme une sociĂ©tĂ© parallĂšle totale» existant dans l'ombre Ă cĂŽtĂ© du systĂšme de santĂ© tordu», a-t-elle la suite ici... ok, nous savons que les infirmiĂšres comme les mĂ©decins, pharmaciens, kinĂ©s ou dentistes ne sont pas des scientifiques. Oui mais, ne prenons pas les gens pour des cons ! Elles et ils ont toutes et tous l'Internet et peuvent suivre depuis bientĂŽt 3 ans les blogs et films des scientifiques qui s'expriment dans le monde entier ! Donc Elles et ils SONT AU COURANT !AaaaaarrĂȘtons de tourner 110 ans autour du pot !Elles et ils savent que leurs masques-Ă -la-con dits 'chirurgicaux' ne sont PAS des anti microbes ou anti virus. Et pourtant en portent !! Elles et ils savent qu'un virus est une poussiĂšre et que cette poussiĂšre n'est pas dans l'air et que personne donc ne peut contaminer quelqu'un. Elles et ils savent que leurs seringues sont LĂTALES ! Mais elles et ils piquent, piquent, piquent, tuent, tuent, tuent !Supprimer
Léchelle des visages de Bieri est une échelle d'auto-évaluation comportementale de la douleur qui s'utilise chez les enfants de plus de quatre ans. 2. Objectifs Mesurer l'intensité de
ï»ż1. DĂ©finition La douleur est dĂ©finie comme une expĂ©rience sensorielle et Ă©motionnelle dĂ©sagrĂ©able, liĂ©e Ă une lĂ©sion tissulaire existante ou potentielle, ou dĂ©crite en termes Ă©voquant une telle lĂ©sion » International Association for the Study of Pain. L'Ă©chelle des visages de Bieri est une Ă©chelle d'auto-Ă©valuation comportementale de la douleur qui s'utilise chez les enfants de plus de quatre ans. 2. Objectifs Mesurer l'intensitĂ© de la douleur d'un enfant de plus de 4 ans PrĂ©venir la douleur Instaurer un traitement mĂ©dicamenteux ou non-mĂ©dicamenteux Surveiller l'efficacitĂ© d'un traitement mĂ©dicamenteux ou non-mĂ©dicamenteux 3. MatĂ©riel nĂ©cessaire Echelle des visages de Bieri rĂ©visĂ©e ReprĂ©sente 6 visages du visage dĂ©tendu au visage grimaçant de douleur L'enfant sĂ©lection le visage correspondant le mieux Ă l'intensitĂ© de sa douleur S'utilise chez l'enfant de plus de 4 ans Score de 0 Ă 10 Score > 4/15 nĂ©cessite une thĂ©rapeutique antalgique efficace 4. ProcĂ©dure RĂ©alisation Expliquer les consignes Ă l'enfant Montrer l'Ă©chelle des visages Ces visages montrent combien on peut avoir mal » Montrer le visage de gauche Ce visage montre quelquâun qui nâa pas mal du tout » Montrer les visages un Ă un de gauche Ă droite Ces visages montrent quelquâun qui a de plus en plus mal » Montrer le visage de droite Ce visage montre quelquâun qui a trĂšs trĂšs mal » Demander Ă l'enfant de sĂ©lectionner un visage Montre-moi le visage qui montre combien tu as mal en ce moment » InterprĂ©tation du rĂ©sultat Les scores sont de gauche Ă droite 0, 2, 4, 6, 8, 10 0 pas mal du tout 10 trĂšs trĂšs mal IntensitĂ© de 2/10 douleur lĂ©gĂšre IntensitĂ© de 4/10 douleur modĂ©rĂ©e IntensitĂ© de 6/10 douleur intense IntensitĂ© de 8/10 douleur trĂšs intense Seuil thĂ©rapeutique 4/10 Finalisation Notifications dans le dossier de suivi du patient Date et heure de l'Ă©valuation de la douleur Valeur de l'intensitĂ© de la douleur en fonction de l'outil d'Ă©valuation RĂ©actions du patient et collaboration 5. Complications - Incidents - Accidents Mesure erronĂ©e mauvaise comprĂ©hension de l'outil, mauvaise utilisation de l'outil Outil inadaptĂ© au patient 6. Surveillance Outil de mesure adaptĂ© au patient Outil de mesure adaptĂ© Ă la douleur Surveillance de l'Ă©volution de la douleur Soulagement de la douleur
Priseen charge de la douleur Ă domicile. Article publiĂ© le 27-03-2019. Les infirmier(e)s Ă domicile sont souvent les premiers professionnels de santĂ© Ă devoir gĂ©rer la douleur de leurs patients au quotidien Et ce nâest pas toujours simple ! libheros vous livre des conseils pour Ă©valuer la douleur et vous donne aussi quelques outils pour une meilleure prise
AffinerImagesPhotosIllustrationsVectorielsVidĂ©osToutEssentialsDes images de tous les joursSignatureContenu exclusifAfficher les vidĂ©os de Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurParcourez 91 illustrations et vectoriels libres de droits disponibles de Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleur ou lancez une nouvelle recherche pour dĂ©couvrir plus dâimages et vectoriels dâ cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de douleur Ă©chelle de notes tableau - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDouleur Ă©chelle de notes tableauillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de carte dâĂ©chelle de douleur horizontal - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCarte dâĂ©chelle de douleur horizontalillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de graphique d'effort ou illustration d'Ă©chelle de douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurGraphique d'effort ou illustration d'Ă©chelle de douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de conception dâillustration vectorielle Ă lâĂ©chelle de la douleur comparative. ache mĂštre - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurConception dâillustration vectorielle Ă lâĂ©chelle de la douleur...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de tableau des visages-douleur Ă©chelle. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurTableau des visages-douleur cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur ou tableau de compteur de mal dans les icĂŽnes de visage plat vecteur isolĂ© sur le blanc. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurĂchelle de douleur ou tableau de compteur de mal dans les icĂŽnes...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurĂchelle horizontale de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diffĂ©rentes mĂ©thodes dâĂ©pilation. rasoir, crĂšme dĂ©pilatoire, Ă©plilateur, cire et laser. types dâĂ©pilation avec des actions de chronologie [converti] - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiffĂ©rentes mĂ©thodes dâĂ©pilation. Rasoir, crĂšme dĂ©pilatoire, Ă©plilillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de mĂ©thode utile dâĂ©chelle de douleur dâĂ©valuer la conception de diagramme mĂ©dical - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurMĂ©thode utile dâĂ©chelle de douleur dâĂ©valuer la conception de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de indicateur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurIndicateurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurĂchelle horizontale de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de barre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. outil mĂ©dical d'Ă©valuation. la courbe horizontale indique les Ă©tapes de la douleur et Ă©value la souffrance. vecteur illustration clipart - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurBarre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. 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Retour dâinformation sous forme dâĂ©motions. illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de le diagramme de lâĂ©chelle de la douleur mesure la douleur dâun patient - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurle diagramme de lâĂ©chelle de la douleur mesure la douleur dâun...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur horizontale plate de vecteur. couleur du vert aux symboles rouges de douleur de cercle avec le nombre isolĂ© sur le blanc. cinq gradation forment aucune douleur Ă l'Ă©lĂ©ment indicible de conception d'interface ui pour l'essai mĂ©dical - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurĂchelle de douleur horizontale plate de vecteur. Couleur du vert...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de compteur dâĂ©chelle de douleur. mesure de sourire et dâĂ©motion triste, aucune douleur et lâensemble de la pire Ă©chellede de douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCompteur dâĂ©chelle de douleur. 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EnrĂšgle gĂ©nĂ©rale, cependant, si vous ressentez rĂ©guliĂšrement de la douleur ou de lâinconfort â par exemple, vous Ă©valuez votre niveau de douleur de 2 Ă 4 pendant quelques jours consĂ©cutifs â Ă partir dâun sinus pilonidal suspectĂ©, câest une bonne idĂ©e de consulter votre mĂ©decin. La visite de votre mĂ©decin vous permettra dâobtenir un diagnostic prĂ©cis et dâentamer
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May 3, 2022 0 minutes Ă la diffĂ©rence de lâhypertension ou du diabĂšte, aucune You're reading a preview, sign up to read your free monthRelated InterestsPainMedical SpecialtiesClinical MedicineEpidemiologyMedicineMore from Top SantĂ© FranceTop SantĂ© France2 min readChemistry6 Soins Contre Les Coups De SoleilPourquoi le soleil brĂ»le-t-il mĂȘme sâil ne chauffe pas toujours fort ? Ils ne reprĂ©sentent que 5 % des ultraviolets UV et pourtant, ce sont les UVB qui, sans protection et/ou au-delĂ dâune durĂ©e dâexposition raisonnable, vont induire les SantĂ© France1 min read3 Questions ĂâŠLe coma est un Ă©tat oĂč le patient ne peut plus interagir avec le monde extĂ©rieur, mĂȘme si on le stimule. Parmi les causes, il y a lâarrĂȘt cardiaque, qui prive dâoxygĂšne et dâafflux sanguin la matiĂšre grise du cerveau, oĂč siĂšgent nos cent milliards deTop SantĂ© France6 min readHUILES ESSENTIELLES Les 7 Erreurs Ă Ne Pas CommettreUne huile non bio peut se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre un concentrĂ© de pesticides ! La zone de production peut aussi donner Ă lâhuile des propriĂ©tĂ©s plus ou moins marquĂ©es. Les huiles essentielles, câest un peu comme le vin le terroir et lâaltitude comptent, indRelatedSkip carouselcarousel previouscarousel nextDocteur Docteur BlaguesAuthor Billy GomesMenus d'automne pour la gastriteAuthor CĂ©dric MenardComment soulager la douleurAuthor GisĂšle FrenetteVitamine B15 - Acide Pangamique Un MĂ©dicament de Pouvoir SupprimĂ©? RemĂ©de pour Cancer - DĂ©toxification de Corps. Aide pour la douleur NĂ©vralgique et la Maladie Cardiaque?Author Marcus D. AdamsRĂ©gime de l'arthrite En Français/Arthritis Diet In FrenchAuthor Charlie MasonFace Ă la douleurAuthor Roberto BadenasLe secret des cellules immunitaires - ThĂ©orie bouleversant l'Immunologie The secrecy of immune cells - Theory upsetting ImmunologyAuthor Nas E. BoutamminaLes bienfaits de l'hypnose dans le traitement de la douleurAuthor Lahouria DarrazLes Huiles Essentielles Pour Votre SantĂ© Et Votre BeautĂ© Partie 1Author Lyudmila AnanievaTout savoir sur l'acnĂ© Causes, remĂšdes et Don HATOJ'ai guĂ©ri du Sibo en deux mois et demiAuthor Emma WashitoTout Ne Sera Pas Comme Vous Le PensiezAuthor Ann-Christine Broberg PillerLe de la diĂ©tĂ©tique de la maladie de CrohnAuthor CĂ©dric MenardQuelle alimentation pour la diarrhĂ©e ?Author CĂ©dric MenardL'Ăąme Ă vif 22Author Corinne De VaillyMon petit frĂšre a la maladie de HirschsprungAuthor Eric SchnadigSommaire Et Guide DâĂtude â La Fin Des Maladies Cardiaques Le RĂ©gime Alimentaire Eat To Live Pour PrĂ©venir Et Corriger Les Maladies Cardiaques MĂ©mento InclusAuthor Lee TangComment j'ai vaincu le syndrome des jambes sans reposAuthor Mathieu HuebnerRĂ©gime de l'arthrite & Nutrition Ă base de plantes En françaisAuthor Charlie MasonNettoyage de CĂŽlon Pour Perdre du PoidsAuthor Kenneth Brown
Uneétude sur l'utilisation d'une « échelle de la grimace » pour évaluer la douleur chez le chat a été publiée dans la revue Nature , le 13 décembre. Dans cette espÚce, la prise en charge de la
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Lobjectif de ces recommandations est d'aider à la prise en charge des patients douloureux chroniques, en favorisant la réalisation d'une évalution initiale rigoureuse pour permettre ensuite un suivi comparatif au cours du temps. Divers outils d'évaluation de la douleur sont proposés pour aider à la prise en charge optimale des patients.
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie dâun nouveau ... Voir le deal Fais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultats AuteurMessage°o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 1504 Witch's Brew a eu quelques problĂšmes techniques avec son ordi et a predu tous ses fichiers, dont l'histoire du concours. Par consĂ©quent c'est Alex Qui se voit ĂȘtre le grand gagnant du concours du mois d'aoĂ»t avec son histoire La lune sanglante_________________Merci Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2143 Cette histoire, je vais lâĂ©crire Ă la premiĂšre personne, comme toute les histoires que jâai Ă©crites, sauf que cette fois-ci, jâen suis lâhĂ©roĂŻne, et que les faits seront mes souvenirs. Je ne vais pas essayer de cacher ce qui me semblera honteux, non, je prĂ©senterai le cas dans toute sa complexitĂ©, et mon personnage dans tous ses dĂ©fauts, comme jâaurais prĂ©sentĂ© nâimporte quel autre personnage dâhistoire de fiction. Cette histoire est rĂ©elle, mais je vais lâĂ©crire comme sâil sâagissait dâune fiction, câest comme ça que je sais mieux le faire. Etourdie, je sortis de la voiture. JâĂ©tais toute chancelante, et le soleil tapait dur sur mon crĂąne. Je haĂŻssais dĂ©jĂ ce camping. Mes parents ouvrirent le coffre, tout excitĂ©s. Je ne comprenais pas vraiment leur engouement, la chaleur allait nous rendre la vie difficile, et je ne ferais pas plus de chose sur cette cĂŽte infernale que chez moi, dans ma chambre. Je transpirais dĂ©jĂ . Mon pĂšre passa Ă cĂŽtĂ© de moi, portant la tente sur ses Ă©paules, et derriĂšre moi, ma mĂšre me demanda de porter une des deux valises. Elle avait dĂ©cidĂ© de rĂ©duire au maximum le nombre dâaffaires, mĂȘme si elle vous dira on a dĂ©cidĂ© », mais bon, ce nâest pas ce qui me dĂ©range le plus, je nâavais besoin que de quelques affaires, et surtout de quoi Ă©crire. Je pris donc la valise dans ma main gauche, car je suis gauchĂšre, et aprĂšs que ma mĂšre eut fermĂ© la voiture, nous rejoignĂźmes mon pĂšre Ă lâaccueil. Je nâĂ©tais habillĂ©e que dâun pantalon court beige, et dâun dĂ©bardeur blanc. JâĂ©tais chaussĂ©e de sandales qui, dĂšs que je posai le pied sur le sable, laissĂšrent un libre contact entre mes pieds et les grains brĂ»lants. Je secouai les pieds, avec un petit air agacĂ©, et je continuais ma route, remontant mes lunettes qui glissaient sur lâarrĂȘte de mon nâĂ©tais pas du genre Ă laisser voir mes Ă©motions. En fait, jâĂ©tais carrĂ©ment froide et distante. Je nâallais jamais vers les gens, et jâespĂ©rais que cela ne viennent pas vers moi. Cela me mettait dans des positions inconfortables, oĂč je ne savais que rĂ©pondre, et je prĂ©fĂ©rais souvent dans ce cas garder un air neutre et un silence parfois vexant. Au moins, on ne venait, aprĂšs cette tentative vaine de briser la glace, plus mâembĂȘter. AprĂšs dix mĂštres dans le sable brĂ»lant, jâarrivai enfin, avec ma mĂšre Ă lâaccueil, oĂč mon pĂšre venait de rĂ©gler les derniers dĂ©tails, et nous suivĂźmes un petit chemin de pierre, tellement chaudes que je craignais quâelles ne fassent fondre la semelle de mes chaussures qui souffraient dĂ©jĂ le martyr. Le petit chemin allait tout droit, avant de contourner le dernier coin de verdure. DerriĂšre, nous je pus avoir avec une mauvaise humeur de la taille de la joie de mes parents, le emplacements de tente Ă©taient situĂ©s en cercle, autour de petit coin oĂč on pouvait faire un feu. Ce nâĂ©tait pas lâidĂ©al pour oublier la ville, car ce rangement me faisait penser aux quartiers dâune grande ville. Super, la dĂ©tente ! Plus loin, je voyais la plage, avec des nombreux adolescents qui sâamusaient, tandis que les parents prĂ©fĂ©raient faire bronzette. Le parfait stĂ©rĂ©otype des vacances Ă la plage, en demi-heure qui suivit fut entiĂšrement consacrĂ©e Ă la mise en place de la tente, et de son ameublement. Ce ne fut pas une tache aisĂ©e, et je crus bien subir une insolation, avant de tomber dans les pommes. Cependant, je gardais mon masque de neutralitĂ©, devenu si habituel pour mes parents, qui mâadressaient la parole, passant par-dessus mon dĂ©sintĂ©rĂȘt feint ou rĂ©el. Au bout de cette demi-heure, je mâassis sur le sable, sans montrer plus dâĂ©motion. En fait, je nâen ressentais pas tant que ça, mais câest comme ça que jâĂ©tais heureuse ». Je pris alors dans la valise mon matĂ©riel pour Ă©crire, et je continuais une histoire que jâavais commencĂ© lâavant-veille. Je nâavais pas Ă©cris deux lignes que mon pĂšre sâexclama quâon avait oubliĂ© la trousse de toilette. Je proposai dây aller, de toute façon, je nâavais pas beaucoup dâinspiration pour le moment. Il accepta, et je me mis en marche de la direction de la voiture, prenant les clĂ©s Ă ma trousse de toilette Ă©tait inutilement grosse, enfin, si jâen croyais mes parents, mais je savais quâils se servaient de la place inoccupĂ©e » pour mettre des cigarettes. Je nâĂ©tais pas censĂ© le savoir, mais mĂȘme si je nâĂ©tais supĂ©rieurement intelligente, je pouvais me vanter dâavoir un rĂ©el sens de lâobservation. Peut-ĂȘtre que le fait que je reste stoĂŻque Ă tout y aidait. Je commençais donc Ă traĂźner la valise. Mes parents nâavaient quand mĂȘme pas beaucoup de jugeote, ils pouvaient se douter quâavec un tel poids, jâallais deviner quâelle ne contenait pas que du dĂ©o, cette trousseâŠ-Je peux peut-ĂȘtre tâaider ?Un adolescent, peau mate, plutĂŽt grand pour son Ăąge que je devinais sur son visage, venait de mâaccoster. Comme Ă mon habitude, complĂštement froide, je lui souriais Ă peine, et je continuais mon chemin seule, et lâignorant superbement. Devant cette attitude, certaine personne ne faisait rien, comprenant que jâĂ©tais comme ça, et que ce nâĂ©tait pas contre eux, et sâen allait tranquillement, dâautres prenaient la mouche, je pouvais aussi comprendre ceux la, mais ceux que je savais que je ne pourrais jamais saquer, câest ceux qui sâexclamait tu pourrais rĂ©pondre, au moins ! » juste pour me faire passer pour la salope de service, et ne pas perdre la face devant leur petit orgueil. -La parole, ça existe, tu sais !CâĂ©tait lâautre qui venait de me crier ça. Encore un autre. Bon, tout ça, encore, jâavais lâhabitude, ce nâĂ©tait pas une journĂ©e particuliĂšrement mauvaise, exceptĂ© le fait de ce lieu de vacances, que je trouvais fort insipide Ă mon goĂ»t, mais bref, si on me fichait la paixâŠMalheureusement, lorsque jâarrivai Ă la tente et dĂ©posai la trousse, ma mĂšre en sortit en maillot de bain, et me dit ;-On va Ă la plage, Elisabeth, tu devrais venir. Pose la trousse, met ton maillot, je te lâai posĂ© sur ton lit, et rejoins nous. DĂ©cidĂ©ment, je ne pourrais pas Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Lorsque je sortis de la tente, mon bloc-notes Ă la main, tous les regards se dirigĂšrent vers moi. Je voyais les filles en bikinis qui semblaient avoir pour but de cacher le minimum de chose concernant leur anatomie regarder mon maillot une piĂšce couleur bleu foncĂ©e comme si il sâagissait dâune bombe. Je passais au travers de tout ce joli monde, ignorant les garçons en short de bain. Je savais que leurs regards Ă©taient posĂ©s sur moi, mais je ne savais pas ce quâils exprimaient, et je ne voulais pas le savoir. Je me trouvai enfin un endroit tranquille oĂč je mâassis pour Ă©crire. Je dĂ©bouchai mon stylo, et me replongeait dans mon histoire. CâĂ©tait une histoire assez noire. Jâavais créés les personnages avec un maximum de complexitĂ©, pour pouvoir menĂ© lâintrigue oĂč je le voudrais. Tout un petit monde qui avait bien du mal Ă se comprendre, et qui se dĂ©chirait pour si peu. Le genre dâhistoire que jâadore Ă©crire, qui ne peuvent pas avoir une happy-end » sans possĂ©der un esprit particuliĂšrement dĂ©rangĂ©. Jâavais dĂ©jĂ Ă©cris le premier paragraphe, la psychologie du personnage principal, un jeune garçon solitaire et homosexuel qui nâarrivait pas Ă se tirer de ses sombres pensĂ©es. Je commençai Ă Ă©crire son histoire quand des bruits, non loin de moi, me firent relever la tĂȘte Ă contrecĆur. Un petit groupe dâadolescents, qui devaient avoir environ tous mon Ăąge, venait dâentre dans lâeau. Ils riaient bien fort, et je remarquais, au centre du groupe, un type plutĂŽt grand, que toutes les filles semblaient aduler, et que je mĂ©prisai aussitĂŽt. Câest comme ça. Les mecs trop grands, aux cheveux trop blonds, aux yeux trop bleus, avec un corps trop musclĂ©, et beaucoup trop cool », jâavais envie de les massacrer Ă la pelle. Oh, non, certes, jâĂ©tais bien indiffĂ©rente Ă beaucoup de chose, froide, et tout ce qui va avec, mais je suis quand une fille normale, au fond, mĂȘme si ma façon de penser diverge des autres. Tout ça pour dire que moi aussi il peut arriver quâun garçon me plaise, mais je prĂ©fĂ©rais les mecs moins tape-Ă -lâĆil ». Nos regards se croisĂšrent soudain, il me sourit. Ce genre de sourire prĂ©tentieux, Ă la encore une » qui me donnait envie de vomir quasi-instantanĂ©ment. Quelle horreur, ce genre de mec⊠Mais une fille attira son attention, et ils commencĂšrent tous Ă rire bruyamment. Je remarquais dans le tas le mec qui mâavait demandĂ© si je voulais de lâaide pour la trousse de toilette du matin, et un autre type, plus menu, blond aussi, toujours collĂ© avec une brune. Ne montrant rien de mon irritation suprĂȘme, je me levais, et allais mâasseoir sur mon lit, dans la tente, pour Ă©crire tranquillement. En dĂ©but dâaprĂšs midi, jâavais bien avancĂ© lâhistoire. Jâavais mis en place les personnages principaux, Tom, le jeune garçon, Anita, son amie, qui voulait sortir avec lui, mais qui ne savait pas quâil Ă©tait homosexuel, Franck, un mec plutĂŽt mignon et intelligent qui ne laissait pas Tom indiffĂ©rent, mais qui Ă©tait un gros psychopathe. Bref, une histoire qui ne pouvait pas se finir en happy-end », plutĂŽt en fin assez triste que je commençais un peu Ă apercevoir. Enfin, les Ă©vĂšnements principaux, que je notais sur une autre, page, je nâavais pas dâidĂ©e pour le lieu. Câest au moment oĂč je dĂ©cidais dâailleurs dans quels lieux se passeront les diffĂ©rents Ă©vĂšnements de lâhistoire que lâentrĂ©e de la tente sâouvrit, et quâune adolescente entra. Elle avait un air sympathique, pas trop intĂ©ressĂ©, pas plus quâil ne fallait, et elle avait un petit sourire qui disait clairement je viens en paix ». Elle Ă©tait plutĂŽt petite, noire de peau, avait des cheveux bouclĂ©s, et portait un T-shirt ou Ă©tait marquĂ© en gros jâaime les filles ». Ce rapport avec le hĂ©ros de mon histoire attira tout de suite ma sympathie. Il Ă©tait bizarre de constater que je me mettais tellement Ă lâĂ©cart, que je finissais par apprĂ©cier plus mes personnages que les personnes rĂ©elles. -Il va y avoir une petite sortie en bateau, dans une demi-heure, dit-elle. On pensait invitait tout le monde, enfin, tout ceux qui ont notre Ăąge, pour faire connaissance. Pour toute rĂ©ponse, je hochais la tĂȘte. Une autre personne, je nâaurais rien fait, mais elle attirait ma sympathie. Elle se leva, avec un petit sourire, et sâen alla. Moi, je remis mes lunettes bien en place sur mon nez, et je me remis Ă Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Vingt-huit minutes plus tard, jâavais rejoint le petit groupe qui se formait au niveau du bateau. On Ă©tait une petite dizaine, mais le bateau Ă©tait assez grand pour pouvoir tous nous accueillir. Trente-deux minutes plus tard, nous y Ă©tions montĂ©s, et le bateau dĂ©marra, et commença Ă sâĂ©loigner de la plage. Tout le monde profitait du moment, mĂȘme moi, mais Ă une façon diffĂ©rente. La plupart des autres riaient entre eux, ou prenait le soleil. Moi jâĂ©tais assise sur le bord, Ă regarder lâeau dĂ©filer, le vent faisant voler mes cheveux. Ca me donnait lâimpression dâĂȘtre libre pour une fois. Du coin de lâĆil, je vis lâautre blond de ce matin, Mark, Ă ce que jâavais entendu, enlever son T-shirt, et le tenant dans une main, le plongea dans lâeau, lui-mĂȘme se couchant bien en arriĂšre pour profiter du soleil, et nâhĂ©sitant pas Ă montrer Ă lâassistance ses pectoraux dĂ©veloppĂ©s et ses abdos. Quel frimeur⊠Soudain, il y eut un accrochage, et je tombai Ă lâeau. Quand je ressortis, le bateau avait continuĂ© un peu sa route. Il Ă©tait maintenant Ă lâarrĂȘt, Ă dix mĂštres de moi. Je me mettais Ă nager dans sa direction, et je remarquais lâabsence de deux autres personnes Ă son bord. Une dâelle remonta un peu avec moi, et je remontai moi-mĂȘme quelques instants plus tard, ignorant la main tendue de Mark. -OĂč est Franck ? OĂč est Franck ?CâĂ©tait la brune avec qui le blond, Franck, donc, Ă©tait collĂ© ce matin. Tout le monde se mit Ă chercher dans les alentours, quand il ressortit enfin de lâeau, en hurlant. On put tous apercevoir son bras gauche, tranchĂ© au niveau du poignet. Il avait du tomber Ă lâarriĂšre du bateau. Encore heureux que lâhĂ©lice ne lui ai pris que sa mainâŠLe conducteur du bateau, alors que tous les passagers se mettaient Ă hurler, sauta Ă lâeau pour remonter lâinfortunĂ©. Ce ne fut pas sans mal, mais aidĂ© par quelques garçons il y arrivĂšrent assez vite, avant que lâhĂ©morragie, accentuĂ©e par lâeau, ne fasse trop de dĂ©gĂąts. Le blessĂ© fut placĂ© au centre du bateau, qui le conducteur fit redĂ©marrer, avant que je ne pose ma main sur son Ă©paule. -Il faut retrouver sa main. Si la coupure est nette, les mĂ©decins pourraient peut-ĂȘtre recoudre. Jâavais parlĂ© dâune voix forte, pour couvrir le moteur, et calme. TrĂšs calme. Tout le monde me regarda. Je pouvais, dans certains regards, voire lâhorreur. Je savais ce que mes paroles pouvaient susciter, cependant, elles Ă©taient justes. -Elle a raison. CâĂ©tait la voix de Mark, qui Ă lâĂ©tonnement de tous, et Ă mon grand dam, venait de sâexprimer. Jâaurais prĂ©fĂ©rĂ© que personne ne prenne mon parti, que ce soit ce crĂ©tin, que je ne connaissais mĂȘme pas, qui prenne ma dĂ©fense. Il passa prĂšs de moi et sauta Ă lâeau. Je ne vis sur lui nulle trace de lâancien T-shirt, mais je nây fis pas attention. Il y eut un moment de suspens, oĂč jâaperçus la jeune fille qui Ă©tait venue dans ma tente ce matin, et un jeune garçon, brun et menu, qui semblaient ĂȘtre les plus calmes, enfin, tout est relatif. Je regardais le mec discrĂštement. Oui, câĂ©tait dĂ©jĂ plus mon type, mon bon, on ne va pas trop sâattarder non remonta Ă bord une minute plus tard, alors que le conducteur faisait ce quâil pouvait pour enrayer lâhĂ©morragie. Il avait la main de par hasard, souffla-t-il. AprĂšs, tout se passa trĂšs vite. Mark prit le relais, en vaillant hĂ©ros caricaturĂ© de la veuve et de lâorphelin, pour empĂȘcher le sang de trop sâĂ©couler de la plaie, et le bateau rentra vite Ă quai, le conducteur passant un message radio pour quâon appelle une ambulance qui arrive dix minutes aprĂšs notre arrivĂ© Ă bon port. Franck sâĂ©tait alors Ă©vanoui, mais le mĂ©decin du camping avait limitĂ© les dĂ©gĂąts. Nous, les adolescents, Ă©tions restĂ© Ă part, Ă environ cinq mĂštres. Beaucoup me regardaient, certains Ă©taient suspicieux, dâautres Ă©tonnĂ©s, et une trĂšs petite minoritĂ© impressionnĂ©e. Personnellement, je gardais le dos droit, totalement maĂźtre de mes attitudes et Ă©motions. Et lâambulance eut emportĂ© Franck, nous nous dirigeĂąmes vers le camping. Jâaccueilli, totalement neutre, les compliments sur ma prĂ©sence dâesprit de la part du conducteur du bateau, mais je failli tuer quelquâun lorsque Mark me fit le mĂȘme compliment. Ce type a des tonnes de filles Ă ses pieds, pourquoi moi ? Il aime peut-ĂȘtre la difficultĂ©âŠEh ben il va ĂȘtre servi, me dis-je, lui jetant un regard oĂč la haine ne transpirait presque Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 La nouvelle de lâaccident fit le tour du camping en un temps Ă©clair, tandis que jâĂ©tais tranquillement dans ma tente en train dâĂ©crire. Mes parents nâĂ©taient pas lĂ , mais je remarquai que la trousse de toilette avait mal Ă©tait replacĂ©e, et je devinai quâils Ă©taient allĂ©s fumer discrĂštement. Mon histoire avançait jâavais tout les personnages, tout les Ă©vĂšnements principaux, ainsi que les lieux. Hasard, je prĂ©voyais de mettre la derniĂšre partie dans un camping. Je remarquais tout de suite le cĂŽtĂ© dramatique que cela procurera Ă lâhistoire. En fin dâaprĂšs-midi, mes parents Ă©taient passĂ©s par la tente. Ils avaient Ă©videmment entendu parler de lâaccident, et ils me demandĂšrent, dâun ton un tantinet inquiet, si jâallais bien. Ils connaissaient la rĂ©ponse ils me connaissaient, Ă force, mĂȘme si jâavais du mal Ă lâadmettre, mais je rĂ©pondis tout de mĂȘme un oui » totalement neutre. RassurĂ©s, ils sâen allĂšrent. Je posai alors mes affaires dâĂ©criture, et je faisais une petite sieste. Je fus rĂ©veillĂ© une heure plus tard par quelquâun qui sâĂ©tait introduit dans ma tente. Je reconnaissais le type qui mâavait proposĂ© son aide, ce matin, et je me demandai ce quâil voulait. Je remarquai, maintenant quâil Ă©tait aussi prĂšs, quâil Ă©tait un peu plus grand que moi, et assez musclĂ©. Il sâavança vers moi, et ce fut Ă ce moment que je commençai Ă mâinquiĂ©ter je vis enfin son regard, un peu fou, carrĂ©ment mĂ©chant. -Alors, la sorciĂšre, on se repose ?On avait visiblement racontĂ© beaucoup de chose sur moi, pendant que je me reposais. Et ce nâĂ©tait pas du goĂ»t de tout le monde. Je devinai que ça devait avoir un rapport avec la sortie de ce midi âquoi dâautre ?- , peut-ĂȘtre mâaccusait-on dâavoir provoquĂ© lâaccident ? Vu le sorciĂšre », cela Ă©tait plausible⊠-Bon, quâest-ce ce que tu veux ? fit le garçon en sâapprochant mĂ©chamment. Pourquoi es-tu venu ici ? Tu sais, tu es jolie, quand mĂȘmeâŠAlors, il sâavança encore de deux pas, et me prit par les Ă©paules, avant de susurrer Ă mon oreille -Tu veux baiser ?Je lui envoyĂ© alors un coup de genoux dans lâentrejambe, avant de lâenvoyer valser avec une bonne droite. Il tombait au sol, et se releva, lâair fou. Tout en gardant un calme plus extĂ©rieur quâintĂ©rieur, je soulevais mon matelas, et prenait le couteau qui se trouvait dessus. Au cas oĂč⊠Mais soudain, il y eut un cri, et quelquâun rentra dans la tente, pris le garçon, avant de le sortir de lĂ . Je dĂ©couvris un adolescent aux cheveux corbeaux, qui devait ĂȘtre ce matin sur le bateau. Dâallure fine, il Ă©tait plutĂŽt grand, et, je dois lâavouer, avait un joli visage qui finissait dans un menton pointu. Je revins Ă la rĂ©alitĂ© au moment oĂč les deux garçons touchaient le sable. Je fus tentĂ©e dâaller me battre, mais sortir avec un couteau le ferait mal, surtout que des adultes couraient dĂ©jĂ par lĂ . Je cachai alors le couteau sous mon matelas, et je tournai la a Ă©tĂ© une dure journĂ©e, aujourdâhui. On raconte beaucoup de choses sur toi. Mais bon, ce ne sont que des saloperies attisĂ©es par la curiositĂ©. Jolie entrĂ©e en sais, Max, celui qui est venu tâaider tout Ă lâheure, est assez sympa, et il a prit ta dĂ©fense. Oh, les autres lâont juste mis un peu plus Ă lâĂ©cart, mais bon. Je pense que ça lui ferait plaisir que tu ailles le voir. Cette fille Ă©tait, comme certaines autres personnes, de celles que jâarrivais Ă bien aimer. MĂȘme si je ne faisais rien pour le montrer, leur compagnie ne mâĂ©tait pas dĂ©sagrĂ©able. Un peu comme lorsque jâĂ©crivais. -Dâaccord, rĂ©pondis-je, avec en tĂȘte le souvenir du certain Max. -Au fait, reprit-elle. Je mâappelle sourit, et se leva. Lentement, je la suivis, ayant prĂ©alablement Ă©teint la lampe. Nous passĂąmes prĂšs de plusieurs groupes de jeunes plus ou moins soĂ»ls, qui criaient et chantaient prĂšs du feu, mais Hannah mâentraĂźna plus loin, vers la petite forĂȘt. Max sây tenait assis, et je nâeus pas besoin de lumiĂšre supplĂ©mentaire pour voir ses bleus. MalgrĂ© ces derniers, je le trouvai assez mignon. La soirĂ©e fut calme. On parlait, discutait, mais rien de plus, mais jâapprĂ©ciais tout de mĂȘme. Une entente Ă©tait passĂ©e directe entre nous trois, et on se contentait des silences, parfois, profitant juste du lien nouveau qui nous unissait. Je restais fidĂšle Ă moi-mĂȘme, bien sĂ»r ! Aucun sourire ne vint illuminer mon visage. Mais Ă la fin dâune soirĂ©e, ce nâest pas Ă mon sourire quâon voit si je me suis amusĂ©e, non, câest Ă mon vu le sourire dâHannah quand nous nous sĂ©parĂąmes, elle avait aimĂ© ce quâelle y avait lu. Alors, jâaperçus Mark qui, au loin, mâobservait, avec un visage Ă©tonnamment soucieux par rapport Ă dâhabitude. Je prĂ©fĂ©rais me reporter sur mon agresseur et le sien. La nuit Ă©tait maintenant tombĂ©e, et je nâavais pour seul Ă©clairage la lampe de poche pendue au plafond, et le feu de camp, qui se situait Ă une dizaine de mĂštres de mon emplacement. Jâessayais dâĂ©crire, mais mes pensĂ©es dĂ©rivaient, et je nâarrivais Ă avoir que quelques bribes de lâhistoire, que je notais tout de mĂȘme consciencieusement. Une nouvelle fois, jâentendis quelquâun rentrer dans ma tente, et je relevais la tĂȘte, un tantinet plus nerveuse que les deux fois prĂ©cĂ©dentes. CâĂ©tait la jeune fille de ce matin. Toujours le mĂȘme sourire, le mĂȘme regard⊠et surtout le mĂȘme T-shirt ! Je faillis sourire en remarquant ce dĂ©tail, mais je nâen fis rien. Elle sâassit sur le lit de mes parents, comme la premiĂšre fois, et entama la discussion, comme la premiĂšre Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 Le lendemain, je passai la journĂ©e dans ma tente. Jâeus Ă peine le temps de commencer Ă Ă©crire le matin, que Mac me rejoignit, et que nous commençùmes Ă discuter. Il Ă©tait assez timide, et nâarrĂȘtait pas de se tordre les mains, ce qui mâamusait quelque peu. La discussion fut agrĂ©able, et un peu plus meublĂ©e que celle de la veille. Nous discutions de tout et de rien, dans le vrai sens du terme. Ca lui plaisait, Ă moi aussi, et on le savourait chacun Ă sa maniĂšre. Il me quitta le midi, pour aller manger, et je rejoignit, moi, mes parents, avec lesquels je passai le repas. Jâeus le droit aux sempiternels questions sur si je mâamusais, je mâĂ©tais fait des amis, et tout le reste de la part de mon pĂšre, et je me contentais de manger tranquillement, feignant dâĂȘtre trop affamĂ©e pour lui rĂ©pondre. AprĂšs le repas, mon pĂšre, ma mĂšre et moi retournĂąmes Ă la tente. -Ouah, jâai bien mangĂ©, moi ! sâexclama mon pĂšre, sâĂ©talant pas la mĂȘme occasion sur son lit deux places qui se referma sur lui au niveau de la sĂ©paration. Ma mĂšre eut un petit cri de souris, et tentant de le libĂ©rer de sa prison de mousse, donna un coup de pied dans la trousse de toilette, libĂ©rant par contre ainsi les cigarettes. La pauvre femme ne savait plus oĂč donner de la tĂȘte. Avec un petit sourire en coin, un sincĂšre, que jâavais quand jâĂ©tais vraiment amusĂ©e par quelque chose âce qui Ă©tait plutĂŽt rare- je replaçais les cigarettes dans la trousse, et aidai ma mĂšre Ă libĂ©rer mon pĂšre en lui glissant Ă lâoreille -On dira que je nâai rien vuâŠUn peu plus tard, une fois mon pĂšre et ma mĂšre sortis, Hannah et Max arrivĂšrent. Max semblait de plus en plus timide, mais je le trouvais quand mĂȘme assez mignon, et Hannah, tout sourire, Ă©tait vĂȘtue dâune petite robe rouge. Je fus un peu déçue quâelle ait remplacĂ© le T-shirt par cette robe. -Il y a un truc dâaccro branche, cette aprĂšm. Ca te dit ?-Ouais, pourquoi pas⊠rĂ©pondis-je, pas trĂšs enthousiaste. En attendant lâheure dite, nous restĂąmes dans la tente, et nous commençùmes une partie de carte. Au bout dâun certain nombre de manches âjâavais arrĂȘtĂ© de les compterâŠ- nous nous rendĂźmes compte quâil Ă©tait temps dây aller, et nous nous dirigeĂąmes vers le lieu de rendez-vous. Quand nous fĂ»mes empaquetĂ©s avec tout ce qui Ă©tait censĂ© nous sauvĂ© la vie, nous partĂźmes sur le parcours, non loin du camping, qui dĂ©cidĂ©ment, Ă©tait plein de rĂ©serve. Je remarquai, une dizaine de mĂštres devant nous, le mec dâhier. Lui aussi prĂ©sentait de nombreuses traces des coups que Max lui avait portĂ©s. Cependant, Ă sa vue, je ralentis un peu lâallure. Le dĂ©but du parcours se passa tranquillement. On avançait tous Ă notre rythme, sur les diffĂ©rents niveaux de lâinstallation. Du coin de lâĆil, je ne pouvais mâempĂȘcher de surveiller le type qui mâavait brutalisĂ© hier, encore sur la terre ferme, Ă cause dâun problĂšme de chaussure, ou de je-ne-sais-quoi. Jâavançais en compagnie dâHannah et de Max. On sâentraidait en silence, se hissant mutuellement, se faisant la courte Ă©chelle et toute la panoplie de la survie Ă vingt mĂštres de hauteur. Je commençais Ă regretter dâĂȘtre venue, et je fis la remarqua Ă voix haute, entre mes dents, mais que tout le monde entendit. Dans leurs regards, je vis que Max et Hannah pensaient la mĂȘme chose. Soudain, il y eut un claquement sec, et je vis, dans le coin de lâĆil qui lui Ă©tait rĂ©servĂ©, le type qui venait de faire ses premiers pas sur le parcours chuter, sa corde de sĂ©curitĂ© cassĂ©e. Jâentendis de nombreux cris, et tous suivirent la chute de cinq mĂštres du type. Je commençais Ă vouloir descendre, me demandant si je ne serais pas la suivante, quand mon regard en croisa un que je commençais Ă croiser trop de fois ces derniers temps celui de Mark. Un regard calme et posĂ©, quâon ne lui connaissait je ne sais pas pourquoi, mais un frisson me parcouru lâĂ©chine. JâĂ©tais devenue la bĂȘte noire du camping. On me mettait tout sur le dos. Enfin, surtout les adolescents. Les adultes avaient plutĂŽt pitiĂ© ils connaissaient bien le systĂšme des enfants Ă mettre sur le dos dâune personne diffĂ©rente tout ce qui arrive de bizarre. Ce fut la raison principale qui me poussa Ă rester durant les quatre jours qui suivirent lâaccident de lâaccro branche Ă rester cloĂźtrer dans ma tente, Ă Ă©crire. Jâavais rĂ©guliĂšrement la visite dâHannah ou de Max, ou des deux. Je me rapprochais dâeux de plus en plus, jusquâĂ un point que je trouvais trop avancĂ©. CâĂ©tait le point oĂč jâĂ©tais presque devenue la meilleure amie. OĂč jâĂ©tais censĂ©e divulguer mes secrets, et tout ce qui me tracassait. Et cela me dĂ©plaisait fortement. Et encore, ce nâĂ©tait que du cĂŽtĂ© dâHannah. Max sâĂ©tait aussi rapprochĂ©, mais de façon plus subtile. Jâavais lâimpression quâil Ă©tait amoureux. Oui, je les aimais bien, jâapprĂ©ciais leur prĂ©sence, oui max Ă©tait mignon, mais je ne voulais pas mâengager dans quoi que ce soit. En plus, ce nâĂ©tait quâun sĂ©jour au camping, et on ne se verrait plus aprĂšs. Pas le lieu idĂ©al pour sâattacher trop aux gens. Câest pourquoi, je mis un frein Ă leur prĂ©sence, ce quâils remarquĂšrent aussitĂŽt. Le cinquiĂšme jour fut tendu, puis arriva le jour de la fĂȘte du Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le soleil Ă©tait sur le point de se coucher, et tout le monde aidait Ă prĂ©parer le feu de joie qui ferait la nourriture et la lumiĂšre de tous le soir. Je me baladais, de bien mĂ©chante humeur entre les seulement jâavais Ă©tĂ© forcĂ©e Ă sortir ce soir lĂ , et ainsi Ă dĂ©laisser mon histoire, qui en Ă©tait Ă son dernier chapitre, mais en plus, je devais faire des efforts faramineux pour rĂ©ussir Ă Ă©viter Hannah et Max, ce qui me mettait dans un Ă©tat de tel stress que je nâarrivais pas Ă penser Ă mon histoire qui se trouvait dans la poche arriĂšre de mon pantalon. Rageant. Soudain, plus loin, je vis mes parents en train de boire et de discuter avec un type avec lequel ils semblaient fort bien sâentendre dans la beuverie. Fort bien ! BourrĂ©s, ils mâoublieront. Ainsi, je me prĂ©cipitai vers ma tente, oĂč je serais en sĂ©curitĂ© pour justement lĂ que Max et Hannah mâattendaient. Je freinais un maximum ma course folle, mais je perdis lâĂ©quilibre, et je dus faire de tels mouvements pour Ă©viter la chute quâun aveugle mâaurait repĂ©rĂ© aux dĂ©placements dâair que jâais provoquĂ©. En deux secondes, jâavais mes deux amis sur moi. JusquâĂ la tombĂ©e du soleil, je rĂ©sistai Ă la tentation, et je les supportais, en y montrant, il est vrai, fort peu de bonnes volontĂ©. Mais câest lâintention qui compte ! Quoi que dans ce cas de figure, lâintention nâĂ©tait pas trĂšs claire⊠Quoi quâil en soit, au moment oĂč le feu de joie sâembrasait, Hannah me demanda si jâallais je ne vais pas bien. Non, je ne veux pas dâaide, continuai-je rapidement, en la voyant ouvrir la bouche. Je ne veux plus vous voir, en autant de tact quâun zĂ©ro Ă©crit en rouge et en gros sur une feuille dâinterro, mais au diable la sensiblerie ! -Jâen ai marre, jâai toujours Ă©tĂ© toute seule, et je ne suis pas prĂȘte Ă ĂȘtre avec du monde, mĂȘme des gens aussi bien que vous. Surtout en camping, dans dix jours, on se voit plus. Alors vous aurez ouvert quelque chose en moi, mais vous nâen profiterez pas. Sur ce, je mâen allais en courant, ressentant de la culpabilitĂ© Ă cause du ton, et de la tristesse pour je ne reviendrais pas sur ma nuit Ă©tait maintenant bien tombĂ©e, et jâĂ©tais prĂšs dâun des nombreux feu qui avait poussĂ© depuis que le soleil avait disparu, et la tempĂ©rature tombĂ©e. CâĂ©tait Ă la lueur des flammes que je continuais Ă Ă©crire ma tragĂ©die. Anita avait Ă©tĂ© tuĂ©e par Franck, qui pour consoler Tom, lâavait emmenĂ© dans un joli camping. Romantique Ă souhait !...Mais lĂ , jâĂ©tais bloquĂ©e. Le camping, mais quoi dâautre ? Les vacances allaient tournĂ© au cauchemar, câest clair, mais je ne savais trouver les ingrĂ©dients de ce cauchemar. Je ne voulais pas trop en faire, et en faire tout de mĂȘme un minimum. Quâallais faire Franck ? Tuer ? Non, trop gros. Alors quoi ?Ca faisait dix minutes que jâĂ©tais lĂ , stylo levĂ©, en train de rĂ©flĂ©chir, quand une des⊠jeunes filles âterme auquel se limitera mon langage- qui ne semblait pas ce rassasier lâautre⊠jeune homme âhum, hum !- se prĂ©nommant⊠bref, ça nâa pas dâimportance, vint sâasseoir Ă mes lors, jâeus des envies de lui faire subir des tortures de mon invention, peut-ĂȘtre limitĂ©e, mais sortant droit de ma petite tĂȘte. Des trucs horribles, dĂ©passant lâimagination. Son imaginationâŠEt si Mark voulait se joindre Ă la fĂȘte, ce serait encore plus ! Elle sâassit face Ă moi, rejetant en arriĂšre ses longs cheveux blonds. Parfaite caricature dâune de ses pou⊠publicitaires travaillant dans une pub de soin de je ne sais quelle partie du corps. Jâaurais bien voulu lui enfoncer mon stylo dans la gorge, mais ça aurait risquĂ© de tacher mon histoire. -Alors la sorciĂšre, on sâĂ©clate ?Je tâĂ©clate la tĂȘte Ă coup de pierres. -Tu veux peut-ĂȘtre de lâaide pour⊠tenir ton stylo en lâair ? Et elle partit dâun rire veux surtout de lâaide pour te tenir. -Peut-ĂȘtre que tu vas le lancer un sort avec ton papier maudit ?Tu ne mĂ©rites mĂȘme pas de le toucherâŠ-CONNASSE !Sans mâen rendre compte, jâavais sautĂ© sur mes pieds. Des regards se tournĂšrent vers moi, dont des regards appartenant au fan club de lâautre frimeur de mes-deux-que-je-nâai-pas. Mais les regards se tournĂšrent vers le sol, en mĂȘme temps quâune odeur de brĂ»lĂ© montait Ă mes baissais les yeux sur la criniĂšre enflammĂ©e de lâautre pouf. Et Ă la vue des regards quâon me lança, je me mis Ă courir. Sans sentir un autre regard dans mon dos. Un regard que jâaurais Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Bon, il faut me comprendre ! Je ne suis pas surhumaine, aprĂšs tout⊠Et il mâarrive que certains Ă©vĂšnements me touchent plus que dâautres, et ce qui sâĂ©tait passĂ© durant la soirĂ©e mâavait mis les nerfs Ă vifs, voilĂ toutâŠLe point positif, câest que, du point oĂč je mâĂ©tais, en haut dâune falaise, avec vue imprenable sur la mer et sur le camping, jâavais tout inventĂ©, et tout compris en mĂȘme temps. Lâillumination. Tom et Franck sont tranquillement en vacances. Que fais Franck ? Il nargue Tom tout en commentant certaines exactions ni vue, ni connues. En effet, qui mieux que Tom peut dĂ©voiler Franck ? Alors pour dĂ©concentrer Tom, le psychopathe du groupe fait style dâenlever son T-shirt, dĂ©voilant ainsi son corps Ă Tom. Ainsi, Franck peut lĂącher son T-shirt dans lâeau qui ira bloquer lâhĂ©lice du bateau, faisant ainsi tomber tout le monde dans lâ quâun des passagers peut avoir la main tranchĂ©e ? Câest ainsi que jâavais dĂ©voilĂ© avait toutes les attitudes de Franck, le seul bug, câĂ©tait je nâĂ©tais pas Tom. Soudain, des bras entourĂšrent mon corps. -Alors, on se cache pour mieux me retrouver ? Quelle gentille attentionâŠJâarrĂȘtais alors carrĂ©ment de voix de Mark, mais avec en plus toute la folie quâune voix humain pouvait exprimer. La peur me prit au plus profonde mon ĂȘtre, me faisant frissonner. -Et des frissons de plaisir, en plus ! Tu dĂ©passes mes plus, il croyait que jâavais envie de je sais que sous ta carapace, il y a quelquâun⊠JâĂ©tais comme toi, avant, puis aprĂšs quelques⊠évĂšnements, je me suis un peu libĂ©rĂ©. Je peux te libĂ©rer, fais moi confianceâŠOh, et en plus, il me proposait de tuer je ne sais quel sale type !Câest Ă ce moment que la colĂšre prit place sur la espĂšce de petit enculĂ© Ă©tait encore plus vaniteux quâun aille au Diable !Je baissai alors la tĂȘte, et la remontai dâun coup sec. En plein dans le nez. Il poussa une petite exclamation, et tomba en arriĂšre, mâagrippant au passage. Je tombai alors avec lui, lĂąchant mon carnet dâhistoire. -Non !...Mais je ne pus en dire plus, et il mâenfonça la tĂȘte dans le vainement de bouger la tĂȘte, alors que lui me lâenfonçais encore plus profondĂ©ment dans le sable, et câest ainsi que jâentendis un craquement Ă©touffĂ©. Mon nez venait de casser. De plus, je commençais sĂ©rieusement Ă manquer dâ me concentrai alors sur dâautres choses. Mes mains. Un caillou. mains lĂąchĂšrent soudain ma tĂȘte, et je me relevais. Je frottai mon nez, enlevant le sable collĂ© Ă mon sang, et courus sans rĂ©flĂ©chir vers mon carnet dâhistoire que je ramassai. Puis, me retournant, jâaperçus Mark qui se relevait, le nez et lâarcade sourciliĂšre en sang. Alors je me mis Ă nâavais jamais courus comme ça, et jâatteignais rapidement le camping. Tout le monde Ă©tait rĂ©uni en son centre, et je ne croisai personne. A lâapproche de ma tente, je lĂąchai mon carnet dâhistoire, que je retrouverai plus tard, et je mâengouffrai dans ma tente. Je soulevai mon matelas, mais il nây avait pas le couteau. Je me souviens du regard de Mark, et je me couteau sâenfonça dans mon abdomen, et jâeus le souffle coupĂ©. EntraĂźnĂ©e par le poids de Mark, je tombai en arriĂšre. Il Ă©tait maintenant au dessus de moi, et avait lĂąchĂ© le couteau, le laissant dans mon ventre. Je gĂ©mis de douleur, ce qui lui provoqua un grand sourire. Lentement, il se pencha vers moi, et il posa ses lĂšvres sur les Enflure. Je vais te au moment oĂč jâeus cette pensĂ©e que ma main droite toucha la trousse de toilette. Le dĂ©o, et, surprise, le briquet mal mâemparais alors des deux dans ma main, chose plutĂŽt difficile, et jâattendis quâil se relĂšve. Jâavais un goĂ»t de sang dans ma bouche, qui couvrait son Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le temps ma parut long, mais quand il se releva, jâeus enfin un plus grand de toute ma plus carnassier. Je levai alors le dĂ©o, appuyai sur le bouton, en actionnant le briquet que jâavais changĂ© de main, et dirigĂ© le jet vers sa cria de douleur, alors que ses cheveux, et le reste de la tente prenait feu. Il se releva en arriĂšre, se tenant le visage Ă deux main, et, aveuglĂ© par la douleur, tomba sur la lit de mon pĂšre qui se referma, une nouvelle fois. Personnellement, je me relevai en vitesse, et sortis de la tente en courant. -Au feu ! Au feu ! Les vacanciers avaient repĂ©rĂ©s les flammes, et couraient dans ma direction. SauvĂ©e. -Mon carnetâŠ. Soufflais-je Ă ma mĂšre, qui venait dâarriver Ă mon chevet. Je perdis connaissance avec pour derniĂšre vision la lune rougie par le feu, comme si elle Ă©tĂ© couverte de lune fois-ci, je pose le stylo pour de bon, et je ferme les yeux. Jâai racontĂ© lâhistoire, mon histoire, comme je lâavais vĂ©cue. Oh, oui, elle est Ă©crite comme une fiction, mais ça la rend plus vivante, non ? Maintenant, je suis Ă lâhĂŽpital du coin, chambre 204. Mon Ă©tat est trĂšs bon, et je dois quitter les lieux le lendemain. Oh, je ne suis pas déçue de partir, mais je dois avouer quâun sĂ©jour Ă lâhĂŽpital vaut toutes les vacances au camping !... Je nâai pas revu Hannah et max, mĂȘme si je leur ai laissĂ© un petit mot, leur expliquant ma dĂ©cision sur laquelle je ne suis pas revenue. Mon histoire se termine ainsi, avec rien dâautre quâune cicatrice, ma mĂ©moire, et ce texte pour prouver quâelle est rĂ©elle. Je range le carnet dans le tiroir, et je regarde les cadeaux qui se trouvent sur ma table de chevet, et je mâarrĂȘte avec un sourire sur une carte dâanniversaire arrivĂ©e lĂ par erreur, destinĂ©e Ă une certaine Laureline. Jâaime bien ce prĂ©nom. Je le prĂ©fĂšre en tout cas Ă Elisabeth, mais bon. Mon regard se perd dans le ciel que je voie par la fenĂȘtre, et jâimagine le vent qui court dans mes cheveux. VoilĂ quelque chose que jâaime sans concession. Je ferme les mâendors, avec un sourire dâ Ju' !! =D Contenu sponsorisĂ©Sujet Re [Concours AoĂ»t] [Concours AoĂ»t] Page 1 sur 1 Sujets similaires» [Concours Aout]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultatsSauter vers
Causes La douleur physique a deux sources. La douleur nociceptive désigne la douleur transmise par les nerfs et dont l'objectif est de renseigner sur les dommages subis par une partie du corps.Cette douleur est généralement ressentie comme un endolorissement ou une pression. Les douleurs provoquées par le cancer sont généralement de cet ordre.
Cet article approfondit lâanalyse du concept de fonction de mesurage continue, introduite dans lâarticle 5a, qui utilise lâexemple dâune Ă©chelle analogique de douleur. Il sâagit de prĂ©ciser lâincertitude thĂ©orique qui sâattache Ă lâinterprĂ©tation des mesures lues sur lâĂ©chelle de mesure et dâen tirer les consĂ©quences du point de vue psychologique. 1. Comparaison inter-individuelle ConsidĂ©rons tout dâabord le graphique ci-dessous qui reprĂ©sente la fonction de mesurage de Paul et la fonction de mesurage de Julie pour zoomer sur lâimage, cliquer dessus ; on se place dans la situation oĂč ces fonctions seraient connues. Tous deux, lors dâune mesure, indiquent sur lâĂ©chelle une valeur dâenviron 7 cm. Qui des deux a le plus de douleur ? Sauf quand leur douleur est nulle ou maximale, lorsque Paul et Julie indiquent lâintensitĂ© de leur douleur par une mĂȘme mesure, la douleur de Julie est plus grande que la douleur de Paul ce qui, en termes courants, signifie que Julie est plus rĂ©sistante Ă la douleur que Paul. Ainsi, si on admet que les fonctions de mesurage sont propres aux personnes et que ces fonctions ne sont pas identifiĂ©es, on ne peut pas utiliser les mesures pour comparer les quantitĂ©s mesurĂ©es chez les diffĂ©rentes personnes chacun est son propre instrument de mesure et on ignore comment passer dâun instrument Ă un autre. 2. Comparaison intra-individuelle Concentrons-nous Ă prĂ©sent sur le mesurage de la douleur de Paul par sa fonction reprĂ©sentĂ©e ci-dessous et envisageons quatre Ă©tats de sa douleur, q1 Fq4 â Fq3. En dâautres termes, la fonction de mesurage ne conserve pas lâunitĂ© de changement de la douleur, ou encore, la mesure nâest pas mĂ©trique mais seulement ordinale. Calculer une diffĂ©rence entre plusieurs mesures pour quantifier le changement de la douleur, câest-Ă -dire connaĂźtre la quantitĂ© de changement de douleur, est une chose vaine cf. Bachelard, 1938/1983. Les hauteurs lues sur lâĂ©chelle de douleur indiquent seulement le sens positif ou nĂ©gatif du changement de la douleur. DâoĂč la question suivante que faut-il pour que la diffĂ©rence entre deux mesures ait une signification quantitative, câest-Ă -dire quâon puisse rĂ©fĂ©rer Ă une unitĂ© de douleur ? En dâautres termes, que faut-il pour que le taux dâaccroissement dy/dq soit une constante positive ? Il faut et il suffit que la fonction de mesurage soit une fonction affine, câest-Ă -dire du type Fq = aq + b, avec a > 0. En effet, quels que soient q1 et q2 distincts, [Fq2 â Fq1]/q2 â q1 = a Fq2 â Fq1 = aq2 â aq1 pour tout q Fq = aq + b. Les mesures obtenues par une fonction de mesurage affine conservent les intervalles de quantitĂ©s de la grandeur mesurĂ©e, câest pourquoi on les appelle des mesures dâintervalle cf. 40a. Enfin, les mesures sont-elles additives ? Autrement dit, quels que soient q1 et q2, a-t-on Fq1 + Fq2 = Fq1 + q2 ? Si F est linĂ©aire, ie., Fq = aq, ce qui correspond Ă ce quâon appelle une Ă©chelle de ratio, F est additive pour tous q1 et q2, Fq1 + q2 = aq1 + q2 = aq1 + aq2 = Fq1 + Fq2. Par exemple, les mesures de tempĂ©rature effectuĂ©es Ă lâaide dâun thermomĂštre en degrĂ©s Celsius ne sont pas additives parce que b, dans lâĂ©quation de la fonction affine de mesurage, nâest pas nul quand on lit 0°, la tempĂ©rature nâest pas nulle. Si F est additive et continue, elle est linĂ©aire preuve que mâa expliquĂ©e Julien Labetaa. 3. ConsĂ©quences Si, lorsquâon demande Ă quelquâun dâindiquer lâintensitĂ© de sa douleur en utilisant une Ă©chelle de douleur, on veut interprĂ©ter ses rĂ©ponses comme des mesures, il faut admettre que toute rĂ©ponse dĂ©pend de la quantitĂ© de douleur instantanĂ©e via une fonction de mesurage, dont on ignore la nature. Si on veut considĂ©rer que la mesure effectuĂ©e est quantitative, il faut admettre que cette fonction est affine Ă©chelle dâintervalle ou linĂ©aire Ă©chelle de ratio. Toutes ces suppositions sont invraisemblables si on admet que la personne rĂ©pond non pas machinalement mais selon ce quâelle veut, quand bien mĂȘme sa volontĂ© nous demeure inaccessible. Au lieu de fonder son interprĂ©tation de la rĂ©ponse sur des arguments psychomĂ©triques ou mĂ©trologiques dont la plausibilitĂ© est douteuse, le psychologue peut plutĂŽt considĂ©rer cette rĂ©ponse comme un acte de langage, qui implique lâintentionnalitĂ© des interlocuteurs plongĂ©s dans un champ de significations possibles. Si, par exemple, la personne Ă©nonce â7 cmâ hier et â6 cmâ aujourdâhui, il est possible quâelle dise âjâai un peu moins mal aujourdâhui quâhierâ dans le langage du clinicien qui la fait sâexprimer par dĂ©placements du curseur de lâĂ©chelle. La sagesse philosophique de Bachelard 1938/1983 peut ĂȘtre utile au psychologue Mesurer exactement un objet fuyant ou indĂ©terminĂ©, mesurer exactement un objet fixe et bien dĂ©terminĂ© avec un instrument grossier, voilĂ deux types dâoccupations vaines que rejette de prime abord la discipline scientifique. p. 213 RĂ©fĂ©rence Bachelard, G. 1983. La formation de lâesprit scientifique. Paris Vrin. PremiĂšre Ă©dition en 1938
aligne ciL -dessous reprĂ©sente une Ă©chelle dâintensitĂ© des douleurs. Ă lâaide de votre souris, faites glisser le curseur jusquâĂ l'emplacement qui corresponde le mieux aux douleurs que vous ressentez actuellement. pas de douleur douleur maximale imaginable Dans cette fenĂȘtre, vous pouvez constater Ă quelle valeur correspond l'endroit oĂč vous avez cliquĂ©: Voici comment votre
Echelles douleur une structure spĂ©cialisĂ©e en douleur chronique Au-delĂ de sa reconnaissance et quelle que soit son expression clinique, la prise en charge de la douleur repose en premier lieu sur son Ă©valuation permettant dâidentifier les facteurs somatiques, psychologiques et sociaux participant Ă lâexpĂ©rience douloureuse. Au-delĂ de lâĂ©coute, cette Ă©valuation passe par lâutilisation dâĂ©chelles et de questionnaires validĂ©s. Les Ă©chelles dâĂ©valuation de la douleur sont des outils pour aider Ă identifier, Ă quantifier, Ă qualifier ou Ă dĂ©crire la douleur. On distingue deux modes dâĂ©valuation lâauto-Ă©valuation, Ă©valuation par le patient, lâadulte ou lâenfant Ă partir de 4-6 ans Ăąge scolaire, capables de communiquer sur lâintensitĂ© ou les caractĂ©ristiques de la douleur ; lâhĂ©tĂ©ro-Ă©valuation, Ă©valuation par les soignants de la douleur des adultes non communiquant personnes ĂągĂ©es, patients de rĂ©animation, polyhandicapĂ©s⊠ou des enfants de moins de 4 ans. LâĂ©valuation de la douleur doit privilĂ©gier lâauto-Ă©valuation chaque fois quâelle est possible. Son interprĂ©tation ne peut-ĂȘtre quâintra-individuelle et jamais inter-individuelle. LâĂ©valuation de la douleur doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e et faire lâobjet dâune traçabilitĂ© dans le dossier patient. Il existe deux types dâĂ©chelles dâĂ©valuation les Ă©chelles unidimensionnelles permettant une estimation globale et ne mesurant quâune seule dimension de la douleur intensitĂ© les Ă©chelles pluridimensionnelles, apprĂ©ciant quantitativement et qualitativement diffĂ©rents aspects de la douleur. OUTILS DâHETERO-EVALUATION EVALUATION DE LA DOULEUR CHEZ LE PATIENT SOUFFRANT DE DEMENCE, AGE OU MAL-COMMUNIQUANT Version mobile Echelles douleur Au-delĂ de sa reconnaissance et quelle que soit son expression clinique, la prise en charge de la douleur repose en premier lieu sur son Ă©valuation permettant dâidentifier les facteurs somatiques, psychologiques et sociaux participant Ă lâexpĂ©rience de lâĂ©coute, cette Ă©valuation passe par lâutilisation dâĂ©chelles et de questionnaires Ă©chelles dâĂ©valuation de la douleur sont des outils pour aider Ă identifier, Ă quantifier, Ă qualifier ou Ă dĂ©crire la distingue deux modes dâĂ©valuation lâauto-Ă©valuation, Ă©valuation par le patient, lâadulte ou lâenfant Ă partir de 4-6 ans Ăąge scolaire, capables de communiquer sur lâintensitĂ© ou les caractĂ©ristiques de la douleur ;lâhĂ©tĂ©ro-Ă©valuation, Ă©valuation par les soignants de la douleur des adultes non communiquant personnes ĂągĂ©es, patients de rĂ©animation, polyhandicapĂ©s⊠ou des enfants de moins de 4 de la douleur doit privilĂ©gier lâauto-Ă©valuation chaque fois quâelle est possible. Son interprĂ©tation ne peut-ĂȘtre quâintra-individuelle et jamais de la douleur doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e et faire lâobjet dâune traçabilitĂ© dans le dossier existe deux types dâĂ©chelles dâĂ©valuation les Ă©chelles unidimensionnelles permettant une estimation globale et ne mesurant quâune seule dimension de la douleur intensitĂ©les Ă©chelles pluridimensionnelles, apprĂ©ciant quantitativement et qualitativement diffĂ©rents aspects de la douleur. OUTILS DâHETERO-EVALUATION EVALUATION DE LA DOULEUR CHEZ LE PATIENT SOUFFRANT DE DEMENCE, AGE OU MAL-COMMUNIQUANT
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ReconnaĂźtreet traiter la douleur. La dĂ©mence nâest pas une maladie qui provoque des douleurs physiques. Mais les personnes concernĂ©es peuvent avoir des douleurs qui ont dâautres causes. Pour les dĂ©celer, les soignants doivent ĂȘtre particuliĂšrement attentifs Ă certains signes. Car les personnes atteintes de dĂ©mence sont souvent
Description Ăchelle graduĂ©e pour identifier lâintensitĂ© de la douleur. Type dâoutil Outil visuel Ă quoi sert-il Certains enfants Ă©prouvent de la difficultĂ© Ă exprimer leur inconfort physique. Ainsi, plusieurs parents doivent aller par dĂ©duction pour faire un diagnostic de maladie/blessure. Avec ce support visuel, nous pouvons dĂ©velopper lâhabiletĂ© Ă nommer lâinconfort pour vĂ©rifier si celui-ci provient dâune douleur physique. tirĂ© du site Quand lâutiliser Lâoutil est enseignĂ© en prĂ©vention, avant lâapparition dâune douleur. Par la suite, il pourra ĂȘtre utilisĂ© pour Ă©valuer le niveau douleur ou pour voir si un mĂ©dicament soulage suffisamment celle-ci, et ce, Ă la maison ou lors des rendez-vous mĂ©dicaux. Comment enseigner son utilisation Imprimer lâoutil. Au quotidien, pointer la reprĂ©sentation aucune douleur » et nommer ce quâelle signifie en utilisant un vocabulaire connu de lâenfant pas de bobo, je nâai pas mal, aucune douleurâŠ. Faire la mĂȘme chose pour le visage de douleur intense nommer selon un vocabulaire connu trĂšs mal, outch! GROS bobo, etc. Pratiquer lâutilisation de lâoutil dans diffĂ©rents et multiples contextes, lors de blessures ou accrochages mineurs, quand un membre de la famille se blesse, en visionnant un film ou lors de blessures ou douleurs plus vives.
lintensité de la douleur (sur une échelle de 1 à 10, par exemple), la durée et la fréquence de la douleur, ce qui modifie, aggrave ou diminue la douleur (par exemple une bonne nuit de sommeil, le fait de te lever, une certaine position, etc.). Les traitements alternatifs de la douleur
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Until recently, Karen utilized her nursing education and management skills as the Manager of the Prostate & Uro-Oncology Clinical Trial Unit led by Dr. Neil Fleshner. During this period, she was actively involved in the oversight of research team members and their clinical trial patients in addition to grant-writing and participation on multiple clinical research committees. She currently supports the physician assistant and/or nurse-led ADT Injection Clinic for Toronto Urology Associates, acts as a senior consultant for the Uro-oncology Clinical Research team at The Princess Margaret and sits on ad hoc Nurse Consultancy Boards for pharmaceutical companies involved in delivering and developing prostate cancer therapies. Karen has co-authored over 35 peer-reviewed publications and has been an invited presenter numerous times, focusing primarily on quality of life issues experienced by men undergoing prostate cancer therapy. Karen is an avid reader, a music and cat lover and mother of three grown daughters.
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