Échellede douleur ; Niveaux scolaires. École Maternelle + Petite section (et TPS) Moyenne section ActivitĂ© pour travailler la lecture de phrases avec les Ă©lĂšves du 1er cycle. L'enfant doit 1,05 € Ajouter au panier. Ajouter aux favoris.
Zola Germinal PREMIERE PARTIE I, I Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomÚtres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait mÃÂȘme pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d'arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d'une jetée, au milieu de l'embrun aveuglant des ténÚbres. L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gÃÂȘnait beaucoup; et il le serrait contre ses flancs, tantÎt d'un coude, tantÎt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les laniÚres du vent d'est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tÃÂȘte vide d'ouvrier sans travail et sans gÃte, l'espoir que le froid serait moins vif aprÚs le lever du jour. Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche à deux kilomÚtres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus. D'abord, il hésita, pris de crainte; puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains. Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparut. L'homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée; tandis qu'un talus d'herbe s'élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent prÚs de lui, sans qu'il comprÃt davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l'arrÃÂȘter. C'était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d'oÃÂč se dressait la silhouette d'une cheminée d'usine; de rares lueurs sortaient des fenÃÂȘtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d'un échappement de vapeur, qu'on ne voyait point. Alors, l'homme reconnut une fosse. Il fut repris de honte à quoi bon? il n'y aurait pas de travail. Au lieu de se diriger vers les bùtiments, il se risqua enfin à gravir le terri sur lequel brûlaient les trois feux de houille, dans des corbeilles de fonte, pour éclairer et réchauffer la besogne. Les ouvriers de la coupe à terre avaient dû travailler tard, on sortait encore les débris inutiles. Maintenant, il entendait les moulineurs pousser les trains sur les tréteaux, il distinguait des ombres vivantes culbutant les berlines, prÚs de chaque feu. - Bonjour, dit-il en s'approchant d'une des corbeilles. Tournant le dos au brasier, le charretier était debout, un vieillard vÃÂȘtu d'un tricot de laine violette, coiffé d'une casquette en poil de lapin; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilité de pierre, qu'on eût vidé les six berlines montées par lui. Le manoeuvre employé au culbuteur, un gaillard roux et efflanqué, ne se pressait guÚre, pesait sur le levier d'une main endormie. Et, là -haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines réguliÚres passaient comme des coups de faux. - Bonjour, répondit le vieux. Un silence se fit. L'homme, qui se sentait regardé d'un oeil méfiant, dit son nom tout de suite. - Je me nomme Etienne Lantier, je suis machineur... Il n'y a pas de travail ici? Les flammes l'éclairaient, il devait avoir vingt et un ans, trÚs brun, joli homme, l'air fort malgré ses membres menus. Rassuré, le charretier hochait la tÃÂȘte. - Du travail pour un machineur, non, non... Il s'en est encore présenté deux hier. Il n'y a rien. Une rafale leur coupa la parole. Puis, Etienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terri - C'est une fosse, n'est-ce pas? Le vieux, cette fois, ne put répondre. Un violent accÚs de toux l'étranglait. Enfin, il cracha, et son crachat, sur le sol empourpré, laissa une tache noire. - Oui, une fosse, le Voreux... Tenez! le coron est tout prÚs. A son tour, de son bras tendu, il désignait dans la nuit le village dont le jeune homme avait deviné les toitures. Mais les six berlines étaient vides, il les suivit sans un claquement de fouet, les jambes raidies par des rhumatismes; tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourrasque, qui lui hérissait le poil. Le Voreux, à présent, sortait du rÃÂȘve. Etienne, qui s'oubliait devant le brasier à chauffer ses pauvres mains saignantes, regardait, retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar goudronné du criblage, le beffroi du puits, la vaste chambre de la machine d'extraction, la tourelle carrée de la pompe d'épuisement. Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, lui semblait avoir un air mauvais de bÃÂȘte goulue, accroupie là pour manger le monde. Tout en l'examinant, il songeait à lui, à son existence de vagabond, depuis huit jours qu'il cherchait une place; il se revoyait dans son atelier du chemin de fer, giflant son chef, chassé de Lille, chassé de partout; le samedi, il était arrivé à Marchiennes, oÃÂč l'on disait qu'il y avait du travail, aux Forges; et rien, ni aux Forges, ni chez Sonneville, il avait dû passer le dimanche caché sous les bois d'un chantier de charronnage, dont le surveillant venait de l'expulser, à deux heures de la nuit. Rien, plus un sou, pas mÃÂȘme une croûte qu'allait-il faire ainsi par les chemins, sans but, ne sachant seulement oÃÂč s'abriter contre la bise? Oui, c'était bien une fosse, les rares lanternes éclairaient le carreau, une porte brusquement ouverte lui avait permis d'entrevoir les foyers des générateurs, dans une clarté vive. Il s'expliquait jusqu'à l'échappement de la pompe, cette respiration grosse et longue, soufflant sans relùche, qui était comme l'haleine engorgée du monstre. Le manoeuvre du culbuteur, gonflant le dos, n'avait pas mÃÂȘme levé les yeux sur Etienne, et celui-ci allait ramasser son petit paquet tombé à terre, lorsqu'un accÚs de toux annonça le retour du charretier. Lentement, on le vit sortir de l'ombre, suivi du cheval jaune, qui montait six nouvelles berlines pleines. - Il y a des fabriques à Montsou? demanda le jeune homme. Le vieux cracha noir, puis répondit dans le vent - Oh! ce ne sont pas les fabriques qui manquent. Fallait voir ça, il y a trois ou quatre ans! Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, jamais on n'avait tant gagné... Et voilà qu'on se remet à se serrer le ventre. Une vraie pitié dans le pays, on renvoie le monde, les ateliers ferment les uns aprÚs les autres... Ce n'est peut-ÃÂȘtre pas la faute de l'empereur; mais pourquoi va-t-il se battre en Amérique? Sans compter que les bÃÂȘtes meurent du choléra, comme les gens. Alors, en courtes phrases, l'haleine coupée, tous deux continuÚrent à se plaindre. Etienne racontait ses courses inutiles depuis une semaine; il fallait donc crever de faim? BientÎt les routes seraient pleines de mendiants. Oui, disait le vieillard, ça finirait par mal tourner, car il n'était pas Dieu permis de jeter tant de chrétiens à la rue. - On n'a pas de la viande tous les jours. - Encore si l'on avait du pain! - C'est vrai, si l'on avait du pain seulement! Leurs voix se perdaient, des bourrasques emportaient les mots dans un hurlement mélancolique. - Tenez! reprit trÚs haut le charretier en se tournant vers le midi, Montsou est là ... Et, de sa main tendue de nouveau, il désigna dans les ténÚbres des points invisibles, à mesure qu'il les nommait. Là -bas, à Montsou, la sucrerie Fauvelle marchait encore, mais la sucrerie Hoton venait de réduire son personnel, il n'y avait guÚre que la minoterie Dutilleul et la corderie Bleuze pour les cùbles de mine, qui tinssent le coup. Puis, d'un geste large, il indiqua, au nord, toute une moitié de l'horizon les ateliers de construction Sonneville n'avaient pas reçu les deux tiers de leurs commandes habituelles; sur les trois hauts fourneaux des Forges de Marchiennes, deux seulement étaient allumés; enfin, à la verrerie Gagebois, une grÚve menaçait, car on parlait d'une réduction de salaire. - Je sais, je sais, répétait le jeune homme à chaque indication. J'en viens. - Nous autres, ça va jusqu'à présent, ajouta le charretier. Les fosses ont pourtant diminué leur extraction. Et regardez, en face, à la Victoire, il n'y a aussi que deux batteries de fours à coke qui flambent. Il cracha, il repartit derriÚre son cheval somnolent, aprÚs l'avoir attelé aux berlines vides. Maintenant, Etienne dominait le pays entier. Les ténÚbres demeuraient profondes, mais la main du vieillard les avait comme emplies de grandes misÚres, que le jeune homme, inconsciemment, sentait à cette heure autour de lui, partout, dans l'étendue sans bornes. N'était-ce pas un cri de famine que roulait le vent de mars, au travers de cette campagne nue? Les rafales s'étaient enragées, elles semblaient apporter la mort du travail, une disette qui tuerait beaucoup d'hommes. Et, les yeux errants, il s'efforçait de percer les ombres, tourmenté du désir et de la peur de voir. Tout s'anéantissait au fond de l'inconnu des nuits obscures, il n'apercevait, trÚs loin, que les hauts fourneaux et les fours à coke. Ceux-ci, des batteries de cent cheminées, plantées obliquement, alignaient des rampes de flammes rouges; tandis que les deux tours, plus à gauche, brûlaient toutes bleues en plein ciel, comme des torches géantes. C'était d'une tristesse d'incendie, il n'y avait d'autres levers d'astres, à l'horizon menaçant, que ces feux nocturnes des pays de la houille et du fer. - Vous ÃÂȘtes peut-ÃÂȘtre de la Belgique? reprit derriÚre Etienne le charretier, qui était revenu. Cette fois, il n'amenait que trois berlines. On pouvait toujours culbuter celles-là un accident arrivé à la cage d'extraction, un écrou cassé, allait arrÃÂȘter le travail pendant un grand quart d'heure. En bas du terri, un silence s'était fait, les moulineurs n'ébranlaient plus les tréteaux d'un roulement prolongé. On entendait seulement sortir de la fosse le bruit lointain d'un marteau, tapant sur de la tÎle. - Non, je suis du Midi, répondit le jeune homme. Le manoeuvre, aprÚs avoir vidé les berlines, s'était assis à terre, heureux de l'accident; et il gardait sa sauvagerie muette, il avait simplement levé de gros yeux éteints sur le charretier, comme gÃÂȘné par tant de paroles. Ce dernier, en effet, n'en disait pas si long d'habitude. Il fallait que le visage de l'inconnu lui convÃnt et qu'il fût pris d'une de ces démangeaisons de confidences, qui font parfois causer les vieilles gens tout seuls, à haute voix. - Moi, dit-il, je suis de Montsou, je m'appelle Bonnemort. - C'est un surnom? demanda Etienne étonné. Le vieux eut un ricanement d'aise, et montrant le Voreux - Oui, oui... On m'a retiré trois fois de là -dedans en morceaux, une fois avec tout le poil roussi, une autre avec de la terre jusque dans le gésier, la troisiÚme avec le ventre gonflé d'eau comme une grenouille... Alors, quand ils ont vu que je ne voulais pas crever, ils m'ont appelé Bonnemort, pour rire. Sa gaieté redoubla, un grincement de poulie mal graissée, qui finit par dégénérer en un accÚs terrible de toux. La corbeille de feu, maintenant, éclairait en plein sa grosse tÃÂȘte, aux cheveux blancs et rares, à la face plate, d'une pùleur livide, maculée de taches bleuùtres. Il était petit, le cou énorme, les mollets et les talons en dehors, avec de longs bras dont les mains carrées tombaient à ses genoux. Du reste, comme son cheval qui demeurait immobile sur les pieds, sans paraÃtre souffrir du vent, il semblait en pierre, il n'avait l'air de se douter ni du froid ni des bourrasques sifflant à ses oreilles. Quand il eut toussé, la gorge arrachée par un raclement profond, il cracha au pied de la corbeille, et la terre noircit. Etienne le regardait, regardait le sol qu'il tachait de la sorte. - Il y a longtemps, reprit-il, que vous travaillez à la mine? Bonnemort ouvrit tout grands les deux bras. - Longtemps, ah! oui!... Je n'avais pas huit ans, lorsque je suis descendu, tenez! juste dans le Voreux, et j'en ai cinquante-huit, à cette heure. Calculez un peu... J'ai tout fait là -dedans, galibot d'abord, puis herscheur, quand j'ai eu la force de rouler, puis haveur pendant dix-huit ans. Ensuite, à cause de mes sacrées jambes, ils m'ont mis de la coupe à terre, remblayeur, raccommodeur, jusqu'au moment oÃÂč il leur a fallu me sortir du fond, parce que le médecin disait que j'allais y rester. Alors, il y a cinq années de cela, ils m'ont fait charretier... Hein? c'est joli, cinquante ans de mine, dont quarante-cinq au fond! Tandis qu'il parlait, des morceaux de houille enflammés, qui, par moments, tombaient de la corbeille, allumaient sa face blÃÂȘme d'un reflet sanglant. - Ils me disent de me reposer, continua-t-il. Moi, je ne veux pas, ils me croient trop bÃÂȘte!... J'irai bien deux années, jusqu'à ma soixantaine, pour avoir la pension de cent quatre-vingts francs. Si je leur souhaitais le bonsoir aujourd'hui, ils m'accorderaient tout de suite celle de cent cinquante. Ils sont malins, les bougres!... D'ailleurs, je suis solide, à part les jambes. C'est, voyez-vous, l'eau qui m'est entrée sous la peau, à force d'ÃÂȘtre arrosé dans les tailles. Il y a des jours oÃÂč je ne peux pas remuer une patte sans crier. Une crise de toux l'interrompit encore. - Et ça vous fait tousser aussi? dit Etienne. Mais il répondit non de la tÃÂȘte, violemment. Puis, quand il put parler - Non, non, je me suis enrhumé, l'autre mois. Jamais je ne toussais, à présent je ne peux plus me débarrasser... Et le drÎle, c'est que je crache, c'est que je crache... Un raclement monta de sa gorge, il cracha noir. - Est-ce que c'est du sang? demanda Etienne, osant enfin le questionner. Lentement, Bonnemort s'essuyait la bouche d'un revers de main. - C'est du charbon... J'en ai dans la carcasse de quoi me chauffer jusqu'à la fin de mes jours. Et voilà cinq ans que je ne remets pas les pieds au fond. J'avais ça en magasin, paraÃt-il, sans mÃÂȘme m'en douter. Bah! ça conserve! Il y eut un silence, le marteau lointain battait à coups réguliers dans la fosse, le vent passait avec sa plainte, comme un cri de faim et de lassitude venu des profondeurs de la nuit. Devant les flammes qui s'effaraient, le vieux continuait plus bas, remùchant des souvenirs. Ah! bien sûr, ce n'était pas d'hier que lui et les siens tapaient à la veine! La famille travaillait pour la Compagnie des mines de Montsou, depuis la création; et cela datait de loin, il y avait déjà cent six ans. Son aïeul, Guillaume Maheu, un gamin de quinze ans alors, avait trouvé le charbon gras à Réquillart, la premiÚre fosse de la Compagnie, une vieille fosse aujourd'hui abandonnée, là -bas, prÚs de la sucrerie Fauvelle. Tout le pays le savait, à preuve que la veine découverte s'appelait la veine Guillaume, du prénom de son grand-pÚre. Il ne l'avait pas connu, un gros à ce qu'on racontait, trÚs fort, mort de vieillesse à soixante ans. Puis, son pÚre, Nicolas Maheu dit le Rouge, ùgé de quarante ans à peine, était resté dans le Voreux, que l'on fonçait en ce temps-là un éboulement, un aplatissement complet, le sang bu et les os avalés par les roches. Deux de ses oncles et ses trois frÚres, plus tard, y avaient aussi laissé leur peau. Lui, Vincent Maheu, qui en était sorti à peu prÚs entier, les jambes mal d'aplomb seulement, passait pour un malin. Quoi faire, d'ailleurs? Il fallait travailler. On faisait ça de pÚre en fils, comme on aurait fait autre chose. Son fils, Toussaint Maheu, y crevait maintenant, et ses petits-fils, et tout son monde, qui logeait en face, dans le coron. Cent six ans d'abattage, les mioches aprÚs les vieux, pour le mÃÂȘme patron hein? beaucoup de bourgeois n'auraient pas su dire si bien leur histoire! - Encore, lorsqu'on mange! murmura de nouveau Etienne. - C'est ce que je dis, tant qu'on a du pain à manger, on peut vivre. Bonnemort se tut, les yeux tournés vers le coron, oÃÂč des lueurs s'allumaient une à une. Quatre heures sonnaient au clocher de Montsou, le froid devenait plus vif. - Et elle est riche, votre Compagnie? reprit Etienne. Le vieux haussa les épaules, puis les laissa retomber, comme accablé sous un écroulement d'écus. - Ah! oui, ah! oui... Pas aussi riche peut-ÃÂȘtre que sa voisine, la Compagnie d'Anzin. Mais des millions et des millions tout de mÃÂȘme. On ne compte plus... Dix-neuf fosses, dont treize pour l'exploitation, le Voreux, la Victoire, CrÚvecoeur, Mirou, Saint-Thomas, Madeleine, Feutry-Cantel, d'autres encore, et six pour l'épuisement ou l'aérage, comme Réquillart... Dix mille ouvriers, des concessions qui s'étendent sur soixante-sept communes, une extraction de cinq mille tonnes par jour, un chemin de fer reliant toutes les fosses, et des ateliers, et des fabriques!... Ah! oui, ah! oui, il y en a, de l'argent! Un roulement de berlines, sur les tréteaux, fit dresser les oreilles du gros cheval jaune. En bas, la cage devait ÃÂȘtre réparée, les moulineurs avaient repris leur besogne. Pendant qu'il attelait sa bÃÂȘte, pour redescendre, le charretier ajouta doucement, en s'adressant à elle - Faut pas t'habituer à bavarder, fichu paresseux!... Si monsieur Hennebeau savait à quoi tu perds le temps! Etienne, songeur, regardait la nuit. Il demanda - Alors, c'est à monsieur Hennebeau, la mine? - Non, expliqua le vieux, monsieur Hennebeau n'est que le directeur général. Il est payé comme nous. D'un geste, le jeune homme montra l'immensité des ténÚbres. - A qui est-ce donc, tout ça? Mais Bonnemort resta un instant suffoqué par une nouvelle crise, d'une telle violence, qu'il ne pouvait reprendre haleine. Enfin, quand il eut craché et essuyé l'écume noire de ses lÚvres, il dit, dans le vent qui redoublait - Hein? à qui tout ça?... On n'en sait rien. A des gens. Et, de la main, il désignait dans l'ombre un point vague, un lieu ignoré et reculé, peuplé de ces gens, pour qui les Maheu tapaient à la veine depuis plus d'un siÚcle. Sa voix avait pris une sorte de peur religieuse, c'était comme s'il eût parlé d'un tabernacle inaccessible, oÃÂč se cachait le dieu repu et accroupi, auquel ils donnaient tous leur chair, et qu'ils n'avaient jamais vu. - Au moins si l'on mangeait du pain à sa suffisance! répéta pour la troisiÚme fois Etienne, sans transition apparente. - Dame, oui! si l'on mangeait toujours du pain, ça serait trop beau! Le cheval était parti, le charretier disparut à son tour, d'un pas traÃnard d'invalide. PrÚs du culbuteur, le manoeuvre n'avait point bougé, ramassé en boule, enfonçant le menton entre ses genoux, fixant sur le vide ses gros yeux éteints. Quand il eut repris son paquet, Etienne ne s'éloigna pas encore. Il sentait les rafales lui glacer le dos, pendant que sa poitrine brûlait, devant le grand feu. Peut-ÃÂȘtre, tout de mÃÂȘme, ferait-il bien de s'adresser à la fosse le vieux pouvait ne pas savoir; puis, il se résignait, il accepterait n'importe quelle besogne. OÃÂč aller et que devenir, à travers ce pays affamé par le chÎmage? Laisser derriÚre un mur sa carcasse de chien perdu? Cependant, une hésitation le troublait, une peur du Voreux, au milieu de cette plaine rase, noyée sous une nuit si épaisse. A chaque bourrasque, le vent paraissait grandir, comme s'il eût soufflé d'un horizon sans cesse élargi. Aucune aube ne blanchissait dans le ciel mort, les hauts fourneaux seuls flambaient, ainsi que les fours à coke, ensanglantant les ténÚbres, sans en éclairer l'inconnu. Et le Voreux, au fond de son trou, avec son tassement de bÃÂȘte méchante, s'écrasait davantage, respirait d'une haleine plus grosse et plus longue, l'air gÃÂȘné par sa digestion pénible de chair humaine. I, II Au milieu des champs de blé et de betteraves, le coron des Deux-Cent-Quarante dormait sous la nuit noire. On distinguait vaguement les quatre immenses corps de petites maisons adossées, des corps de caserne ou d'hÎpital, géométriques, parallÚles, que séparaient les trois larges avenues, divisées en jardins égaux. Et, sur le plateau désert, on entendait la seule plainte des rafales, dans les treillages arrachés des clÎtures. Chez les Maheu, au numéro 16 du deuxiÚme corps, rien ne bougeait. Des ténÚbres épaisses noyaient l'unique chambre du premier étage, comme écrasant de leur poids le sommeil des ÃÂȘtres que l'on sentait là , en tas, la bouche ouverte, assommés de fatigue. Malgré le froid vif du dehors, l'air alourdi avait une chaleur vivante, cet étouffement chaud des chambrées les mieux tenues, qui sentent le bétail humain. Quatre heures sonnÚrent au coucou de la salle du rez-de-chaussée, rien encore ne remua, des haleines grÃÂȘles sifflaient, accompagnées de deux ronflements sonores. Et brusquement, ce fut Catherine qui se leva. Dans sa fatigue, elle avait, par habitude, compté les quatre coups du timbre, à travers le plancher, sans trouver la force de s'éveiller complÚtement. Puis, les jambes jetées hors des couvertures, elle tùtonna, frotta enfin une allumette et alluma la chandelle. Mais elle restait assise, la tÃÂȘte si pesante, qu'elle se renversait entre les deux épaules, cédant au besoin invincible de retomber sur le traversin. Maintenant, la chandelle éclairait la chambre, carrée, à deux fenÃÂȘtres, que trois lits emplissaient. Il y avait une armoire, une table, deux chaises de vieux noyer, dont le ton fumeux tachait durement les murs, peints en jaune clair. Et rien autre, des hardes pendues à des clous, une cruche posée sur le carreau, prÚs d'une terrine rouge servant de cuvette. Dans le lit de gauche, Zacharie, l'aÃné, un garçon de vingt et un ans, était couché avec son frÚre Jeanlin, qui achevait sa onziÚme année; dans celui de droite, deux mioches, Lénore et Henri, la premiÚre de six ans, le second de quatre, dormaient aux bras l'un de l'autre; tandis que Catherine partageait le troisiÚme lit avec sa soeur Alzire, si chétive pour ses neuf ans, qu'elle ne l'aurait mÃÂȘme pas sentie prÚs d'elle, sans la bosse de la petite infirme qui lui enfonçait les cÎtes. La porte vitrée était ouverte, on apercevait le couloir du palier, l'espÚce de boyau oÃÂč le pÚre et la mÚre occupaient un quatriÚme lit, contre lequel ils avaient dû installer le berceau de la derniÚre venue, Estelle, ùgée de trois mois à peine. Cependant, Catherine fit un effort désespéré. Elle s'étirait, elle crispait ses deux mains dans ses cheveux roux, qui lui embroussaillaient le front et la nuque. Fluette pour ses quinze ans, elle ne montrait de ses membres, hors du fourreau étroit de sa chemise, que des pieds bleuis, comme tatoués de charbon, et des bras délicats, dont la blancheur de lait tranchait sur le teint blÃÂȘme du visage, déjà gùté par les continuels lavages au savon noir. Un dernier bùillement ouvrit sa bouche un peu grande, aux dents superbes dans la pùleur chlorotique des gencives; pendant que ses yeux gris pleuraient de sommeil combattu, avec une expression douloureuse et brisée, qui semblait enfler de fatigue sa nudité entiÚre. Mais un grognement arriva du palier, la voix de Maheu bégayait, empùtée - Sacré nom! il est l'heure... C'est toi qui allumes, Catherine? - Oui, pÚre... Ca vient de sonner, en bas. - DépÃÂȘche-toi donc, fainéante! Si tu avais moins dansé hier dimanche, tu nous aurais réveillés plus tÎt... En voilà une vie de paresse! Et il continua de gronder, mais le sommeil le reprit à son tour, ses reproches s'embarrassÚrent, s'éteignirent dans un nouveau ronflement. La jeune fille, en chemise, pieds nus sur le carreau, allait et venait par la chambre. Comme elle passait devant le lit d'Henri et de Lénore, elle rejeta sur eux la couverture, qui avait glissé; et ils ne s'éveillaient pas, anéantis dans le gros sommeil de l'enfance. Alzire, les yeux ouverts, s'était retournée pour prendre la place chaude de sa grande soeur, sans prononcer un mot. - Dis donc, Zacharie! et toi, Jeanlin, dis donc! répétait Catherine, debout devant les deux frÚres, qui restaient vautrés, le nez dans le traversin. Elle dut saisir le grand par l'épaule et le secouer; puis, tandis qu'il mùchait des injures, elle prit le parti de les découvrir, en arrachant le drap. Cela lui parut drÎle, elle se mit à rire, lorsqu'elle vit les deux garçons se débattre, les jambes nues. - C'est bÃÂȘte, lùche-moi! grogna Zacharie de méchante humeur, quand il se fut assis. Je n'aime pas les farces... Dire, nom de Dieu! qu'il faut se lever! Il était maigre, dégingandé, la figure longue, salie de quelques rares poils de barbe, avec les cheveux jaunes et la pùleur anémique de toute la famille. Sa chemise lui remontait au ventre, et il la baissa, non par pudeur, mais parce qu'il n'avait pas chaud. - C'est sonné en bas, répétait Catherine. Allons, houp! le pÚre se fùche. Jeanlin, qui s'était pelotonné, referma les yeux, en disant - Va te faire fiche, je dors! Elle eut un nouveau rire de bonne fille. Il était si petit, les membres grÃÂȘles, avec des articulations énormes, grossies par des scrofules, qu'elle le prit, à pleins bras. Mais il gigotait, son masque de singe blafard et crépu, troué de ses yeux verts, élargi par ses grandes oreilles, pùlissait de la rage d'ÃÂȘtre faible. Il ne dit rien, il la mordit au sein droit. - Méchant bougre! murmura-t-elle en retenant un cri et en le posant par terre. Alzire, silencieuse, le drap au menton, ne s'était pas rendormie. Elle suivait de ses yeux intelligents d'infirme sa soeur et ses deux frÚres, qui maintenant s'habillaient. Une autre querelle éclata autour de la terrine, les garçons bousculÚrent la jeune fille, parce qu'elle se lavait trop longtemps. Les chemises volaient, pendant que, gonflés encore de sommeil, ils se soulageaient sans honte, avec l'aisance tranquille d'une portée de jeunes chiens, grandis ensemble. Du reste, Catherine fut prÃÂȘte la premiÚre. Elle enfila sa culotte de mineur, passa la veste de toile, noua le béguin bleu autour de son chignon; et, dans ces vÃÂȘtements propres du lundi, elle avait l'air d'un petit homme, rien ne lui restait de son sexe, que le dandinement léger des hanches. - Quand le vieux rentrera, dit méchamment Zacharie, il sera content de trouver le lit défait... Tu sais, je lui raconterai que c'est toi. Le vieux, c'était le grand-pÚre, Bonnemort, qui, travaillant la nuit, se couchait au jour; de sorte que le lit ne refroidissait pas, il y avait toujours dedans quelqu'un à ronfler. Sans répondre, Catherine s'était mise à tirer la couverture et à la border. Mais, depuis un instant, des bruits s'entendaient derriÚre le mur, dans la maison voisine. Ces constructions de briques, installées économiquement par la Compagnie, étaient si minces, que les moindres souffles les traversaient. On vivait coude à coude, d'un bout à l'autre; et rien de la vie intime n'y restait caché, mÃÂȘme aux gamins. Un pas lourd avait ébranlé un escalier, puis il y eut comme une chute molle, suivie d'un soupir d'aise. - Bon! dit Catherine, Levaque descend, et voilà Bouteloup qui va retrouver la Levaque. Jeanlin ricana, les yeux d'Alzire eux-mÃÂȘmes brillÚrent. Chaque matin, ils s'égayaient ainsi du ménage à trois des voisins, un haveur qui logeait un ouvrier de la coupe à terre, ce qui donnait à la femme deux hommes, l'un de nuit, l'autre de jour. - PhilomÚne tousse, reprit Catherine aprÚs avoir tendu l'oreille. Elle parlait de l'aÃnée des Levaque, une grande fille de dix-neuf ans, la maÃtresse de Zacharie, dont elle avait deux enfants déjà , si délicate de poitrine d'ailleurs, qu'elle était cribleuse à la fosse, n'ayant jamais pu travailler au fond. - Ah, ouiche! PhilomÚne! répondit Zacharie, elle s'en moque, elle dort!... C'est cochon de dormir jusqu'à six heures! Il passait sa culotte, lorsqu'il ouvrit une fenÃÂȘtre, préoccupé d'une idée brusque. Au-dehors, dans les ténÚbres, le coron s'éveillait, des lumiÚres pointaient une à une, entre les lames des persiennes. Et ce fut encore une dispute il se penchait pour guetter s'il ne verrait pas sortir de chez les Pierron, en face, le maÃtre-porion du Voreux, qu'on accusait de coucher avec la Pierronne; tandis que sa soeur lui criait que le mari avait, depuis la veille, pris son service de jour à l'accrochage, et que bien sûr Dansaert n'avait pu coucher, cette nuit-là . L'air entrait par bouffées glaciales, tous deux s'emportaient, en soutenant chacun l'exactitude de ses renseignements, lorsque des cris et des larmes éclatÚrent. C'était, dans son berceau, Estelle que le froid contrariait. Du coup, Maheu se réveilla. Qu'avait-il donc dans les os? Voilà qu'il se rendormait comme un propre à rien. Et il jurait si fort, que les enfants, à cÎté, ne soufflaient plus. Zacharie et Jeanlin achevÚrent de se laver, avec une lenteur déjà lasse. Alzire, les yeux grands ouverts, regardait toujours. Les deux mioches, Lénore et Henri, aux bras l'un de l'autre, n'avaient pas remué, respirant du mÃÂȘme petit souffle, malgré le vacarme. - Catherine, donne-moi la chandelle! cria Maheu. Elle finissait de boutonner sa veste, elle porta la chandelle dans le cabinet, laissant ses frÚres chercher leurs vÃÂȘtements, au peu de clarté qui venait de la porte. Son pÚre sautait du lit. Mais elle ne s'arrÃÂȘta point, elle descendit en gros bas de laine, à tùtons, et alluma dans la salle une autre chandelle, pour préparer le café. Tous les sabots de la famille étaient sous le buffet. - Te tairas-tu, vermine! reprit Maheu, exaspéré des cris d'Estelle, qui continuaient. Il était petit comme le vieux Bonnemort, et il lui ressemblait en gras, la tÃÂȘte forte, la face plate et livide, sous les cheveux jaunes, coupés trÚs courts. L'enfant hurlait davantage, effrayée par ces grands bras noueux qui se balançaient au-dessus d'elle. - Laisse-la, tu sais bien qu'elle ne veut pas se taire, dit la Maheude, en s'allongeant au milieu du lit. Elle aussi venait de s'éveiller, et elle se plaignait, c'était bÃÂȘte de ne jamais faire sa nuit complÚte. Ils ne pouvaient donc partir doucement? Enfouie dans la couverture, elle ne montrait que sa figure longue, aux grands traits, d'une beauté lourde, déjà déformée à trente-neuf ans par sa vie de misÚre et les sept enfants qu'elle avait eus. Les yeux au plafond, elle parla avec lenteur, pendant que son homme s'habillait. Ni l'un ni l'autre n'entendait plus la petite qui s'étranglait à crier. - Hein? tu sais, je suis sans le sou, et nous voici à lundi seulement encore six jours à attendre la quinzaine... Il n'y a pas moyen que ça dure. A vous tous, vous apportez neuf francs. Comment veux-tu que j'arrive? Nous sommes dix à la maison. - Oh! neuf francs! se récria Maheu. Moi et Zacharie, trois ça fait six... Catherine et le pÚre, deux ça fait quatre; quatre et six, dix... Et Jeanlin, un, ça fait onze. - Oui, onze, mais il y a les dimanches et les jours de chÎmage... Jamais plus de neuf, entends-tu? Il ne répondit pas, occupé à chercher par terre sa ceinture de cuir. Puis, il dit en se relevant - Faut pas se plaindre, je suis tout de mÃÂȘme solide. Il y en a plus d'un, à quarante-deux ans, qui passe au raccommodage. - Possible, mon vieux, mais ça ne nous donne pas du pain... Qu'est-ce que je vais fiche, dis? Tu n'as rien, toi? - J'ai deux sous. - Garde-les pour boire une chope... Mon Dieu! qu'est-ce que je vais fiche? Six jours, ça n'en finit plus. Nous devons soixante francs à Maigrat, qui m'a mise à la porte avant-hier. Ca ne m'empÃÂȘchera pas de retourner le voir. Mais, s'il s'entÃÂȘte à refuser... Et la Maheude continua d'une voix morne, la tÃÂȘte immobile, fermant par instants les yeux sous la clarté triste de la chandelle. Elle disait le buffet vide, les petits demandant des tartines, le café mÃÂȘme manquant, et l'eau qui donnait des coliques, et les longues journées passées à tromper la faim avec des feuilles de choux bouillies. Peu à peu, elle avait dû hausser le ton, car le hurlement d'Estelle couvrait ses paroles. Ces cris devenaient insoutenables. Maheu parut tout d'un coup les entendre, hors de lui, et il saisit la petite dans le berceau, il la jeta sur le lit de la mÚre, en balbutiant de fureur - Tiens! prends-la, je l'écraserais. Nom de Dieu d'enfant! ça ne manque de rien, ça tÚte, et ça se plaint plus haut que les autres! Estelle s'était mise à téter, en effet. Disparue sous la couverture, calmée par la tiédeur du lit, elle n'avait plus qu'un petit bruit goulu des lÚvres. - Est-ce que les bourgeois de la Piolaine ne t'ont pas dit d'aller les voir? reprit le pÚre au bout d'un silence. La mÚre pinça la bouche, d'un air de doute découragé. - Oui, ils m'ont rencontrée, ils portent des vÃÂȘtements aux enfants pauvres... Enfin, je mÚnerai ce matin chez eux Lénore et Henri. S'ils me donnaient cent sous seulement. Le silence recommença. Maheu était prÃÂȘt. Il demeura un moment immobile, puis il conclut de sa voix sourde - Qu'est-ce que tu veux? c'est comme ça, arrange-toi pour la soupe... Ca n'avance à rien d'en causer, vaut mieux ÃÂȘtre là -bas au travail. - Bien sur, répondit la Maheude. Souffle la chandelle, je n'ai pas besoin de voir la couleur de mes idées. Il souffla la chandelle. Déjà , Zacharie et Jeanlin descendaient; il les suivit; et l'escalier de bois craquait sous leurs pieds lourds, chaussés de laine. DerriÚre eux, le cabinet et la chambre étaient retombés aux ténÚbres. Les enfants dormaient, les paupiÚres d'Alzire elle-mÃÂȘme s'étaient closes. Mais la mÚre restait maintenant les yeux ouverts dans l'obscurité, tandis que, tirant sur sa mamelle pendante de femme épuisée, Estelle ronronnait comme un petit chat. En bas, Catherine s'était d'abord occupée du feu, la cheminée de fonte, à grille centrale, flanquée de deux fours, et oÃÂč brûlait constamment un feu de houille. La Compagnie distribuait par mois, à chaque famille, huit hectolitres d'escaillage, charbon dur ramassé dans les voies. Il s'allumait difficilement, et la jeune fille qui couvrait le feu chaque soir, n'avait qu'à le secouer le matin, en ajoutant des petits morceaux de charbon tendre, triés avec soin. Puis, aprÚs avoir posé une bouillotte sur la grille, elle s'accroupit devant le buffet. C'était une salle assez vaste, tenant tout le rez-de-chaussée, peinte en vert pomme, d'une propreté flamande, avec ses dalles lavées à grande eau et semées de sable blanc. Outre le buffet de sapin verni, l'ameublement consistait en une table et des chaises du mÃÂȘme bois. Collées sur les murs, des enluminures violentes, les portraits de l'Empereur et de l'Impératrice donnés par la Compagnie, des soldats et des saints, bariolés d'or, tranchaient crûment dans la nudité claire de la piÚce; et il n'y avait d'autres ornements qu'une boÃte de carton rose sur le buffet, et que le coucou à cadran peinturluré, dont le gros tic-tac semblait remplir le vide du plafond. PrÚs de la porte de l'escalier, une autre porte conduisait à la cave. Malgré la propreté, une odeur d'oignon cuit, enfermée depuis la veille, empoisonnait l'air chaud, cet air alourdi, toujours chargé d'une ùcreté de houille. Devant le buffet ouvert, Catherine réfléchissait. Il ne restait qu'un bout de pain, du fromage blanc en suffisance, mais à peine une lichette de beurre; et il s'agissait de faire les tartines pour eux quatre. Enfin, elle se décida, coupa les tranches, en prit une qu'elle couvrit de fromage, en frotta une autre de beurre, puis les colla ensemble c'était "le briquet", la double tartine emportée chaque matin à la fosse. BientÎt, les quatre briquets furent en rang sur la table, répartis avec une sévÚre justice, depuis le gros du pÚre jusqu'au petit de Jeanlin. Catherine, qui paraissait toute à son ménage, devait pourtant rÃÂȘvasser aux histoires que Zacharie racontait sur le maÃtre-porion et la Pierronne, car elle entrebùilla la porte d'entrée et jeta un coup d'oeil dehors. Le vent soufflait toujours, des clartés plus nombreuses couraient sur les façades basses du coron, d'oÃÂč montait une vague trépidation de réveil. Déjà des portes se refermaient, des files noires d'ouvriers s'éloignaient dans la nuit. Etait-elle bÃÂȘte, de se refroidir, puisque le chargeur à l'accrochage dormait bien sûr, en attendant d'aller prendre son service, à six heures! Et elle restait, elle regardait la maison, de l'autre cÎté des jardins. La porte s'ouvrit, sa curiosité s'alluma. Mais ce ne pouvait ÃÂȘtre que la petite des Pierron, Lydie, qui partait pour la fosse. Un bruit sifflant de vapeur la fit se tourner. Elle ferma, se hùta de courir l'eau bouillait et se répandait, éteignant le feu. Il ne restait plus de café, elle dut se contenter de passer l'eau sur le marc de la veille; puis, elle sucra dans la cafetiÚre, avec de la cassonade. Justement, son pÚre et ses deux frÚres descendaient. - Fichtre! déclara Zacharie, quand il eut mis le nez dans son bol, en voilà un qui ne nous cassera pas la tÃÂȘte! Maheu haussa les épaules d'un air résigné. - Bah! c'est chaud, c'est bon tout de mÃÂȘme. Jeanlin avait ramassé les miettes des tartines et trempait une soupe. AprÚs avoir bu, Catherine acheva de vider la cafetiÚre dans les gourdes de fer-blanc. Tous quatre, debout, mal éclairés par la chandelle fumeuse, avalaient en hùte. - Y sommes-nous à la fin!! dit le pÚre. On croirait qu'on a des rentes! Mais une voix vint de l'escalier, dont ils avaient laissé la porte ouverte. C'était la Maheude qui criait - Prenez tout le pain, j'ai un peu de vermicelle pour les enfants! - Oui, oui! répondit Catherine. Elle avait recouvert le feu, en calant, sur un coin de la grille, un restant de soupe, que le grand-pÚre trouverait chaude, lorsqu'il rentrerait à six heures. Chacun prit sa paire de sabots sous le buffet, se passa la ficelle de sa gourde à l'épaule, et fourra son briquet dans son dos, entre la chemise et la veste. Et ils sortirent, les hommes devant, la fille derriÚre, soufflant la chandelle, donnant un tour de clef. La maison redevint noire. - Tiens! nous filons ensemble, dit un homme qui refermait la porte de la maison voisine. C'était Levaque, avec son fils Bébert, un gamin de douze ans, grand ami de Jeanlin. Catherine, étonnée, étouffa un rire, à l'oreille de Zacharie quoi donc? Bouteloup n'attendait mÃÂȘme plus que le mari fût parti! Maintenant, dans le coron, les lumiÚres s'éteignaient. Une derniÚre porte claqua, tout dormait de nouveau, les femmes et les petits reprenaient leur somme, au fond des lits plus larges. Et, du village éteint au Voreux qui soufflait, c'était sous les rafales un lent défilé d'ombres, le départ des charbonniers pour le travail, roulant des épaules, embarrassés de leurs bras, qu'ils croisaient sur la poitrine; tandis que, derriÚre, le briquet faisait à chacun une bosse. VÃÂȘtus de toile mince, ils grelottaient de froid, sans se hùter davantage, débandés le long de la route, avec un piétinement de troupeau. I, III Etienne, descendu enfin du terri, venait d'entrer au Voreux; et les hommes auxquels il s'adressait, demandant s'il y avait du travail, hochaient la tÃÂȘte, lui disaient tous d'attendre le maÃtre-porion. On le laissait libre, au milieu des bùtiments mal éclairés, pleins de trous noirs, inquiétants avec la complication de leurs salles et de leurs étages. AprÚs avoir monté un escalier obscur à moitié détruit, il s'était trouvé sur une passerelle branlante, puis avait traversé le hangar du criblage, plongé dans une nuit si profonde, qu'il marchait les mains en avant, pour ne pas se heurter. Devant lui, brusquement, deux yeux jaunes, énormes, trouÚrent les ténÚbres. Il était sous le beffroi, dans la salle de recette, à la bouche mÃÂȘme du puits. Un porion, le pÚre Richomme, un gros à figure de bon gendarme, barrée de moustaches grises, se dirigeait justement vers le bureau du receveur. - On n'a pas besoin d'un ouvrier ici, pour n'importe quel travail? demanda de nouveau Etienne. Richomme allait dire non; mais il se reprit et répondit comme les autres, en s'éloignant - Attendez monsieur Dansaert, le maÃtre-porion. Quatre lanternes étaient plantées là , et les réflecteurs, qui jetaient toute la lumiÚre sur le puits, éclairaient vivement les rampes de fer, les leviers des signaux et des verrous, les madriers des guides, oÃÂč glissaient les deux cages. Le reste, la vaste salle, pareille à une nef d'église, se noyait, peuplée de grandes ombres flottantes. Seule, la lampisterie flambait au fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait comme une étoile prÚs de s'éteindre. L'extraction venait d'ÃÂȘtre reprise; et, sur les dalles de fonte, c'était un tonnerre continu, les berlines de charbon roulées sans cesse, les courses des moulineurs, dont on distinguait les longues échines penchées, dans le remuement de toutes ces choses noires et bruyantes qui s'agitaient. Un instant, Etienne resta immobile, assourdi, aveuglé. Il était glacé, des courants d'air entraient de partout. Alors, il fit quelques pas, attiré par la machine, dont il voyait maintenant luire les aciers et les cuivres. Elle se trouvait en arriÚre du puits, à vingt-cinq mÚtres, dans une salle plus haute, et assise si carrément sur son massif de briques, qu'elle marchait à toute vapeur, de toute sa force de quatre cents chevaux, sans que le mouvement de sa bielle énorme, émergeant et plongeant, avec une douceur huilée, donnùt un frisson aux murs. Le machineur, debout à la barre de mise en train, écoutait les sonneries des signaux, ne quittait pas des yeux le tableau indicateur, oÃÂč le puits était figuré, avec ses étages différents, par une rainure verticale, que parcouraient des plombs pendus à des ficelles, représentant les cages. Et, à chaque départ, quand la machine se remettait en branle, les bobines, les deux immenses roues de cinq mÚtres de rayon, aux moyeux desquels les deux cùbles d'acier s'enroulaient et se déroulaient en sens contraire, tournaient d'une telle vitesse, qu'elles n'étaient plus qu'une poussiÚre grise. - Attention donc! criÚrent trois moulineurs, qui traÃnaient une échelle gigantesque. Etienne avait manqué d'ÃÂȘtre écrasé. Ses yeux s'habituaient il regardait en l'air filer les cùbles, plus de trente mÚtres de ruban d'acier, qui montaient d'une volée dans le beffroi, oÃÂč ils passaient sur les molettes, pour descendre à pic dans le puits s'attacher aux cages d'extraction. Une charpente de fer, pareille à la haute charpente d'un clocher, portait les molettes. C'était un glissement d'oiseau, sans un bruit, sans un heurt, la fuite rapide, le continuel va-et-vient d'un fil de poids énorme, qui pouvait enlever jusqu'à douze mille kilogrammes, avec une vitesse de dix mÚtres à la seconde. - Attention donc, nom de Dieu! criÚrent de nouveau les moulineurs, qui poussaient l'échelle de l'autre cÎté, pour visiter la molette de gauche. Lentement, Etienne revint à la recette. Ce vol géant sur sa tÃÂȘte l'ahurissait. Et, grelottant dans les courants d'air, il regarda la manoeuvre des cages, les oreilles cassées par le roulement des berlines. PrÚs du puits, le signal fonctionnait, un lourd marteau à levier, qu'une corde tirée du fond laissait tomber sur un billot. Un coup pour arrÃÂȘter, deux pour descendre, trois pour monter c'était sans relùche comme des coups de massue dominant le tumulte, accompagnés d'une claire sonnerie de timbre; pendant que le moulineur, dirigeant la manoeuvre, augmentait encore le tapage, en criant des ordres au machineur, dans un porte-voix. Les cages, au milieu de ce branle-bas, apparaissaient et s'enfonçaient, se vidaient et se remplissaient, sans qu'Etienne comprÃt rien à ces besognes compliquées. Il ne comprenait bien qu'une chose le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il semblait ne pas les sentir passer. DÚs quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe à la main, attendant par petits groupes d'ÃÂȘtre en nombre suffisant. Sans un bruit, d'un jaillissement doux de bÃÂȘte nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur les verrous, avec ses quatre étages contenant chacun deux berlines pleines de charbon. Des moulineurs, aux différents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres, vides ou chargées à l'avance des bois de taille. Et c'était dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers, cinq par cinq, jusqu'à quarante d'un coup, lorsqu'ils tenaient toutes les cases. Un ordre partait du porte-voix, un beuglement sourd et indistinct, pendant qu'on tirait quatre fois la corde du signal d'en bas, "sonnant à la viande", pour prévenir de ce chargement de chair humaine. Puis, aprÚs un léger sursaut, la cage plongeait silencieuse, tombait comme une pierre, ne laissait derriÚre elle que la fuite vibrante du cùble. - C'est profond? demanda Etienne à un mineur, qui attendait prÚs de lui, l'air somnolent. - Cinq cent cinquante-quatre mÚtres, répondit l'homme. Mais il y a quatre accrochages au-dessus, le premier à trois cent vingt. Tous deux se turent, les yeux sur le cùble qui remontait. Etienne reprit - Et quand ça casse? - Ah! quand ça casse... Le mineur acheva d'un geste. Son tour était arrivé, la cage avait reparu, de son mouvement aisé et sans fatigue. Il s'y accroupit avec des camarades, elle replongea, puis jaillit de nouveau au bout de quatre minutes à peine, pour engloutir une autre charge d'hommes. Pendant une demi-heure, le puits en dévora de la sorte, d'une gueule plus ou moins gloutonne, selon la profondeur de l'accrochage oÃÂč ils descendaient, mais sans un arrÃÂȘt, toujours affamé, de boyaux géants capables de digérer un peuple. Cela s'emplissait, s'emplissait encore, et les ténÚbres restaient mortes, la cage montait du vide dans le mÃÂȘme silence vorace. Etienne, à la longue, fut repris du malaise qu'il avait éprouvé déjà sur le terri. Pourquoi s'entÃÂȘter? ce maÃtre-porion le congédierait comme les autres. Une peur vague le décida brusquement il s'en alla, il ne s'arrÃÂȘta dehors que devant le bùtiment des générateurs. La porte, grande ouverte, laissait voir sept chaudiÚres à deux foyers. Au milieu de la buée blanche, dans le sifflement des fuites, un chauffeur était occupé à charger un des foyers, dont l'ardente fournaise se faisait sentir jusque sur le seuil; et le jeune homme, heureux d'avoir chaud, s'approchait, lorsqu'il rencontra une nouvelle bande de charbonniers, qui arrivait à la fosse. C'étaient les Maheu et les Levaque. Quand il aperçut, en tÃÂȘte, Catherine avec son air doux de garçon, l'idée superstitieuse lui vint de risquer une derniÚre demande. - Dites donc, camarade, on n'a pas besoin d'un ouvrier ici, pour n'importe quel travail? Elle le regarda, surprise, un peu effrayée de cette voix brusque qui sortait de l'ombre. Mais, derriÚre elle, Maheu avait entendu, et il répondit, il causa un instant. Non, on n'avait besoin de personne. Ce pauvre diable d'ouvrier, perdu sur les routes, l'intéressait. Lorsqu'il le quitta, il dit aux autres - Hein! on pourrait ÃÂȘtre comme ça... Faut pas se plaindre, tous n'ont pas du travail à crever. La bande entra et alla droit à la baraque, vaste salle grossiÚrement crépie, entourée d'armoires que fermaient des cadenas. Au centre, une cheminée de fer, une sorte de poÃÂȘle sans porte, était rouge, si bourrée de houille incandescente, que des morceaux craquaient et déboulaient sur la terre battue du sol. La salle ne se trouvait éclairée que par ce brasier, dont les reflets sanglants dansaient le long des boiseries crasseuses, jusqu'au plafond sali d'une poussiÚre noire. Comme les Maheu arrivaient, des rires éclataient dans la grosse chaleur. Une trentaine d'ouvriers étaient debout, le dos tourné à la flamme, se rÎtissant d'un air de jouissance. Avant la descente, tous venaient ainsi prendre et emporter dans la peau un bon coup de feu, pour braver l'humidité du puits. Mais, ce matin-là , on s'égayait davantage, on plaisantait la Mouquette, une herscheuse de dix-huit ans, bonne fille dont la gorge et le derriÚre énormes crevaient la veste et la culotte. Elle habitait Réquillart avec son pÚre, le vieux Mouque, palefrenier, et Mouquet son frÚre, moulineur; seulement, les heures de travail n'étant pas les mÃÂȘmes, elle se rendait seule à la fosse; et, au milieu des blés en été, contre un mur en hiver, elle se donnait du plaisir, en compagnie de son amoureux de la semaine. Toute la mine y passait, une vraie tournée de camarades, sans autre conséquence. Un jour qu'on lui reprochait un cloutier de Marchiennes, elle avait failli crever de colÚre, criant qu'elle se respectait trop, qu'elle se couperait un bras, si quelqu'un pouvait se flatter de l'avoir vue avec un autre qu'un charbonnier. - Ce n'est donc plus le grand Chaval? disait un mineur en ricanant. T'as pris ce petiot-là ? Mais lui faudrait une échelle!... Je vous ai aperçus derriÚre Réquillart. A preuve qu'il est monté sur une borne. - AprÚs? répondait la Mouquette en belle humeur. Qu'est-ce que ça te fiche? On ne t'a pas appelé pour que tu pousses. Et cette grossiÚreté bonne enfant redoublait les éclats des hommes, qui enflaient leurs épaules, à demi cuites par le poÃÂȘle; tandis que, secouée elle-mÃÂȘme de rires, elle promenait au milieu d'eux l'indécence de son costume, d'un comique troublant, avec ses bosses de chair, exagérées jusqu'à l'infirmité. Mais la gaieté tomba, Mouquette racontait à Maheu que Fleurance, la grande Fleurance, ne viendrait plus on l'avait trouvée, la veille, raide sur son lit, les uns disaient d'un décrochement du coeur, les autres d'un litre de geniÚvre bu trop vite. Et Maheu se désespérait encore de la malchance, voilà qu'il perdait une de ses herscheuses, sans pouvoir la remplacer immédiatement! Il travaillait au marchandage, ils étaient quatre haveurs associés dans sa taille, lui, Zacharie, Levaque et Chaval. S'ils n'avaient plus que Catherine pour rouler, la besogne allait souffrir. Tout d'un coup, il cria - Tiens! et cet homme qui cherchait de l'ouvrage! Justement, Dansaert passait devant la baraque. Maheu lui conta l'histoire, demanda l'autorisation d'embaucher l'homme; et il insistait sur le désir que témoignait la Compagnie de substituer aux herscheuses des garçons, comme à Anzin. Le maÃtre-porion eut d'abord un sourire, car le projet d'exclure les femmes du fond répugnait d'ordinaire aux mineurs, qui s'inquiétaient du placement de leurs filles, peu touchés de la question de moralité et d'hygiÚne. Enfin, aprÚs avoir hésité, il permit, mais en se réservant de faire ratifier sa décision par M. Négrel, l'ingénieur. - Ah bien! déclara Zacharie, il est loin, l'homme, s'il court toujours! - Non, dit Catherine, je l'ai vu s'arrÃÂȘter aux chaudiÚres. - Va donc, fainéante! cria Maheu. La jeune fille s'élança, pendant qu'un flot de mineurs montaient au puits, cédant le feu à d'autres. Jeanlin, sans attendre son pÚre, alla lui aussi prendre sa lampe, avec Bébert, gros garçon naïf, et Lydie, chétive fillette de dix ans. Partie devant eux, la Mouquette s'exclamait dans l'escalier noir, en les traitant de sales mioches et en menaçant de les gifler, s'ils la pinçaient. Etienne, dans le bùtiment aux chaudiÚres, causait en effet avec le chauffeur, qui chargeait les foyers de charbon. Il éprouvait un grand froid, à l'idée de la nuit oÃÂč il lui fallait rentrer. Pourtant, il se décidait à partir, lorsqu'il sentit une main se poser sur son épaule. - Venez, dit Catherine, il y a quelque chose pour vous. D'abord, il ne comprit pas. Puis, il eut un élan de joie, il serra énergiquement les mains de la jeune fille. - Merci, camarade... Ah! vous ÃÂȘtes un bon bougre, par exemple! Elle se mit à rire, en le regardant dans la rouge lueur des foyers, qui les éclairaient. Cela l'amusait, qu'il la prÃt pour un garçon, fluette encore, son chignon caché sous le béguin. Lui, riait aussi de contentement; et ils restÚrent un instant tous deux à se rire à la face, les joues allumées. Maheu, dans la baraque, accroupi devant sa caisse, retirait ses sabots et ses gros bas de laine. Lorsque Etienne fut là , on régla tout en quatre paroles trente sous par jour, un travail fatigant, mais qu'il apprendrait vite. Le haveur lui conseilla de garder ses souliers, et il lui prÃÂȘta une vieille barrette, un chapeau de cuir destiné à garantir le crùne, précaution que le pÚre et les enfants dédaignaient. Les outils furent sortis de la caisse, oÃÂč se trouvait justement la pelle de Fleurance. Puis, quand Maheu y eut enfermé leurs sabots, leurs bas, ainsi que le paquet d'Etienne, il s'impatienta brusquement. - Que fait-il donc, cette rosse de Chaval? Encore quelque fille culbutée sur un tas de pierres!... Nous sommes en retard d'une demi-heure, aujourd'hui. Zacharie et Levaque se rÎtissaient tranquillement les épaules. Le premier finit par dire - C'est Chaval que tu attends?... Il est arrivé avant nous, il est descendu tout de suite. - Comment! tu sais ça et tu ne m'en dis rien!... Allons! allons! dépÃÂȘchons. Catherine, qui chauffait ses mains, dut suivre la bande. Etienne la laissa passer, monta derriÚre elle. De nouveau, il voyageait dans un dédale d'escaliers et de couloirs obscurs, oÃÂč les pieds nus faisaient un bruit mou de vieux chaussons. Mais la lampisterie flamboya, une piÚce vitrée, emplie de rùteliers qui alignaient par étages des centaines de lampes Davy, visitées, lavées de la veille, allumées comme des cierges au fond d'une chapelle ardente. Au guichet, chaque ouvrier prenait la sienne, poinçonnée à son chiffre; puis, il l'examinait, la fermait lui-mÃÂȘme; pendant que le marqueur, assis à une table, inscrivait sur le registre l'heure de la descente. Il fallut que Maheu intervÃnt pour la lampe de son nouveau herscheur. Et il y avait encore une précaution, les ouvriers défilaient devant un vérificateur, qui s'assurait si toutes les lampes étaient bien fermées. - Fichtre! il ne fait pas chaud ici, murmura Catherine grelottante. Etienne se contenta de hocher la tÃÂȘte. Il se retrouvait devant le puits, au milieu de la vaste salle, balayée de courants d'air. Certes, il se croyait brave, et pourtant une émotion désagréable le serrait à la gorge, dans le tonnerre des berlines, les coups sourds des signaux, le beuglement étouffé du porte-voix, en face du vol continu de ces cùbles, déroulés et enroulés à toute vapeur par les bobines de la machine. Les cages montaient, descendaient avec leur glissement de bÃÂȘte de nuit, engouffraient toujours des hommes, que la gueule du trou semblait boire. C'était son tour maintenant, il avait trÚs froid, il gardait un silence nerveux, qui faisait ricaner Zacharie et Levaque; car tous deux désapprouvaient l'embauchage de cet inconnu, Levaque surtout, blessé de n'avoir pas été consulté. Aussi Catherine fut-elle heureuse d'entendre son pÚre expliquer les choses au jeune homme. - Regardez, au-dessus de la cage, il y a un parachute, des crampons de fer qui s'enfoncent dans les guides, en cas de rupture. Ca fonctionne, oh! pas toujours... Oui, le puits est divisé en trois compartiments, fermés par des planches, du haut en bas au milieu les cages, à gauche le goyot des échelles... Mais il s'interrompit pour gronder, sans se permettre de trop hausser la voix - Qu'est-ce que nous fichons là , nom de Dieu! Est-il permis de nous faire geler de la sorte! Le porion Richomme, qui allait descendre lui aussi, sa lampe à feu libre fixée par un clou dans le cuir de sa barrette, l'entendit se plaindre. - Méfie-toi, gare aux oreilles! murmura-t-il paternellement, en vieux mineur resté bon pour les camarades. Faut bien que les manoeuvres se fassent... Tiens! nous y, sommes, embarque avec ton monde. La cage, en effet, garnie de bandes de tÎle et d'un grillage à petites mailles, les attendait, d'aplomb sur les verrous. Maheu, Zacharie, Levaque, Catherine se glissÚrent dans une berline du fond; et, comme ils devaient y tenir cinq, Etienne y entra à son tour; mais les bonnes places étaient prises, il lui fallut se tasser prÚs de la jeune fille, dont un coude lui labourait le ventre. Sa lampe l'embarrassait, on lui conseilla de l'accrocher à une boutonniÚre de sa veste. Il n'entendit pas, la garda maladroitement à la main. L'embarquement continuait, dessus et dessous, un enfournement confus de bétail. On ne pouvait donc partir, que se passait-il? Il lui semblait s'impatienter depuis de longues minutes. Enfin, une secousse l'ébranla, et tout sombra; les objets autour de lui s'envolÚrent, tandis qu'il éprouvait un vertige anxieux de chute, qui lui tirait les entrailles. Cela dura tant qu'il fut au jour, franchissant les deux étages des recettes, au milieu de la fuite tournoyante des charpentes. Puis, tombé dans le noir de la fosse, il resta étourdi, n'ayant plus la perception nette de ses sensations. - Nous voilà partis, dit paisiblement Maheu. Tous étaient à l'aise. Lui, par moments, se demandait s'il descendait ou s'il montait. Il y avait comme des immobilités, quand la cage filait droit, sans toucher aux guides; et de brusques trépidations se produisaient ensuite, une sorte de dansement dans les madriers, qui lui donnait la peur d'une catastrophe. Du reste, il ne pouvait distinguer les parois du puits, derriÚre le grillage oÃÂč il collait sa face. Les lampes éclairaient mal le tassement des corps, à ses pieds. Seule, la lampe à feu libre du porion, dans la berline voisine, brillait comme un phare. - Celui-ci a quatre mÚtres de diamÚtre, continuait Maheu, pour l'instruire. Le cuvelage aurait bon besoin d'ÃÂȘtre refait, car l'eau filtre de tous cÎtés... Tenez! nous arrivons au niveau, entendez-vous? Etienne se demandait justement quel était ce bruit d'averse. Quelques grosses gouttes avaient d'abord sonné sur le toit de la cage, comme au début d'une ondée; et, maintenant, la pluie augmentait, ruisselait, se changeait en un véritable déluge. Sans doute, la toiture était trouée, car un filet d'eau, coulant sur son épaule, le trempait jusqu'à la chair. Le froid devenait glacial, on enfonçait dans une humidité noire, lorsqu'on traversa un rapide éblouissement, la vision d'une caverne oÃÂč des hommes s'agitaient, à la lueur d'un éclair. Déjà , on retombait au néant. Maheu disait - C'est le premier accrochage. Nous sommes à trois cent vingt mÚtres. Regardez la vitesse. Levant sa lampe, il éclaira un madrier des guides, qui filait ainsi qu'un rail sous un train lancé à toute vapeur; et, au-delà , on ne voyait toujours rien. Trois autres accrochages passÚrent, dans un envolement de clartés. La pluie assourdissante battait les ténÚbres. - Comme c'est profond! murmura Etienne. Cette chute devait durer depuis des heures. Il souffrait de la fausse position qu'il avait prise, n'osant bouger, torturé surtout par le coude de Catherine. Elle ne prononçait pas un mot, il la sentait seulement contre lui, qui le réchauffait. Lorsque la cage, enfin, s'arrÃÂȘta au fond, à cinq cent cinquante-quatre mÚtres, il s'étonna d'apprendre que la descente avait duré juste une minute. Mais le bruit des verrous qui se fixaient, la sensation sous lui de cette solidité, l'égaya brusquement; et ce fut en plaisantant qu'il tutoya Catherine. - Qu'as-tu sous la peau, à ÃÂȘtre chaud comme ça?... J'ai ton coude dans le ventre, bien sûr. Alors, elle éclata aussi. Etait-il bÃÂȘte, de la prendre encore pour un garçon! Il avait donc les yeux bouchés? - C'est dans l'oeil que tu l'as, mon coude, répondit-elle, au milieu d'une tempÃÂȘte de rires, que le jeune homme, surpris, ne s'expliqua point. La cage se vidait, les ouvriers traversÚrent la salle de l'accrochage, une salle taillée dans le roc, voûtée en maçonnerie, et que trois grosses lampes à feu libre éclairaient. Sur les dalles de fonte, les chargeurs roulaient violemment des berlines pleines. Une odeur de cave suintait des murs, une fraÃcheur salpÃÂȘtrée oÃÂč passaient des souffles chauds, venus de l'écurie voisine. Quatre galeries s'ouvraient là , béantes. - Par ici, dit Maheu à Etienne. Vous n'y ÃÂȘtes pas, nous avons à faire deux bons kilomÚtres. Les ouvriers se séparaient, se perdaient par groupes, au fond de ces trous noirs. Une quinzaine venaient de s'engager dans celui de gauche; et Etienne marchait le dernier, derriÚre Maheu, que précédaient Catherine, Zacharie et Levaque. C'était une belle galerie de roulage, à travers banc, et d'un roc si solide, qu'elle avait eu besoin seulement d'ÃÂȘtre muraillée en partie. Un par un, ils allaient, ils allaient toujours, sans une parole, avec les petites flammes des lampes. Le jeune homme butait à chaque pas, s'embarrassait les pieds dans les rails. Depuis un instant, un bruit sourd l'inquiétait, le bruit lointain d'un orage dont la violence semblait croÃtre et venir des entrailles de la terre. Etait-ce le tonnerre d'un éboulement, écrasant sur leurs tÃÂȘtes la masse énorme qui les séparait du jour? Une clarté perça la nuit, il sentit trembler le roc; et, lorsqu'il se fut rangé le long du mur, comme les camarades, il vit passer contre sa face un gros cheval blanc, attelé à un train de berlines. Sur la premiÚre, tenant les guides, Bébert était assis; tandis que Jeanlin, les poings appuyés au bord de la derniÚre, courait pieds nus. On se remit en marche. Plus loin, un carrefour se présenta, deux nouvelles galeries s'ouvraient, et la bande s'y divisa encore, les ouvriers se répartissaient peu à peu dans tous les chantiers de la mine. Maintenant, la galerie de roulage était boisée, des étais de chÃÂȘne soutenaient le toit, faisaient à la roche ébouleuse une chemise de charpente, derriÚre laquelle on apercevait les lames des schistes, étincelants de mica, et la masse grossiÚre des grÚs, ternes et rugueux. Des trains de berlines pleines ou vides passaient continuellement, se croisaient, avec leur tonnerre emporté dans l'ombre par des bÃÂȘtes vagues, au trot de fantÎme. Sur la double voie d'un garage, un long serpent noir dormait, un train arrÃÂȘté, dont le cheval s'ébroua, si noyé de nuit, que sa croupe confuse était comme un bloc tombé de la voûte. Des portes d'aérage battaient, se refermaient lentement. Et, à mesure qu'on avançait, la galerie devenait plus étroite, plus basse, inégale de toit, forçant les échines à se plier sans cesse. Etienne, rudement, se heurta la tÃÂȘte. Sans la barrette de cuir, il avait le crùne fendu. Pourtant, il suivait avec attention, devant lui, les moindres gestes de Maheu, dont la silhouette sombre se détachait sur la lueur des lampes. Pas un des ouvriers ne se cognait, ils devaient connaÃtre chaque bosse, noeud des bois ou renflement de la roche. Le jeune homme souffrait aussi du sol glissant, qui se trempait de plus en plus. Par moments, il traversait de véritables mares, que le gùchis boueux des pieds révélait seul. Mais ce qui l'étonnait surtout, c'étaient les brusques changements de température. En bas du puits, il faisait trÚs frais, et dans la galerie de roulage, par oÃÂč passait tout l'air de la mine, soufflait un vent glacé, dont la violence tournait à la tempÃÂȘte, entre les muraillements étroits. Ensuite, à mesure qu'on s'enfonçait dans les autres voies, qui recevaient seulement leur part disputée d'aérage, le vent tombait, la chaleur croissait, une chaleur suffocante, d'une pesanteur de plomb. Maheu n'avait plus ouvert la bouche. Il prit à droite une nouvelle galerie, en disant simplement à Etienne, sans se tourner - La veine Guillaume. C'était la veine oÃÂč se trouvait leur taille. DÚs les premiÚres enjambées, Etienne se meurtrit de la tÃÂȘte et des coudes. Le toit en pente descendait si bas que, sur des longueurs de vingt et trente mÚtres, il devait marcher cassé en deux. L'eau arrivait aux chevilles. On fit ainsi deux cents mÚtres; et, tout d'un coup, il vit disparaÃtre Levaque, Zacharie et Catherine, qui semblaient s'ÃÂȘtre envolés par une fissure mince, ouverte devant lui. - Il faut monter, reprit Maheu. Pendez votre lampe à une boutonniÚre, et accrochez-vous aux bois. Lui-mÃÂȘme disparut. Etienne dut le suivre. Cette cheminée, laissée dans la veine, était réservée aux mineurs et desservait toutes les voies secondaires. Elle avait l'épaisseur de la couche de charbon, à peine soixante centimÚtres. Heureusement, le jeune homme était mince, car, maladroit encore, il s'y hissait avec une dépense inutile de muscles, aplatissant les épaules et les hanches, avançant à la force des poignets, cramponné aux bois. Quinze mÚtres plus haut, on rencontra la premiÚre voie secondaire; mais il fallut continuer, la taille de Maheu et consorts était la sixiÚme voie, dans l'enfer, ainsi qu'ils disaient; et, de quinze mÚtres en quinze mÚtres, les voies se superposaient, la montée n'en finissait plus, à travers cette fente qui raclait le dos et la poitrine. Etienne rùlait, comme si le poids des roches lui eût broyé les membres, les mains arrachées, les jambes meurtries, manquant d'air surtout, au point de sentir le sang lui crever la peau. Vaguement, dans une voie, il aperçut deux bÃÂȘtes accroupies, une petite, une grosse, qui poussaient des berlines c'étaient Lydie et la Mouquette, déjà au travail. Et il lui restait à grimper la hauteur de deux tailles! La sueur l'aveuglait, il désespérait de rattraper les autres, dont il entendait les membres agiles frÎler le roc d'un long glissement. - Courage, ça y est! dit la voix de Catherine. Mais, comme il arrivait en effet, une autre voix cria du fond de la taille - Eh bien! quoi donc? est-ce qu'on se fout du monde...? J'ai deux kilomÚtres à faire de Montsou, et je suis là le premier! C'était Chaval, un grand maigre de vingt-cinq ans, osseux, les traits forts, qui se fùchait d'avoir attendu. Lorsqu'il aperçut Etienne, il demanda, avec une surprise de mépris - Qu'est-ce que c'est que ça? Et, Maheu lui ayant conté l'histoire, il ajouta entre les dents - Alors, les garçons mangent le pain des filles! Les deux hommes échangÚrent un regard, allumé d'une de ces haines d'instinct qui flambent subitement. Etienne avait senti l'injure, sans comprendre encore. Un silence régna, tous se mettaient au travail. C'étaient enfin les veines peu à peu emplies, les tailles en activité, à chaque étage, au bout de chaque voie. Le puits dévorateur avait avalé sa ration quotidienne d'hommes, prÚs de sept cents ouvriers, qui besognaient à cette heure dans cette fourmiliÚre géante, trouant la terre de toutes parts, la criblant ainsi qu'un vieux bois piqué des vers. Et, au milieu du silence lourd, de l'écrasement des couches profondes, on aurait pu, l'oreille collée à la roche, entendre le branle de ces insectes humains en marche, depuis le vol du cùble qui montait et descendait la cage d'extraction, jusqu'à la morsure des outils entamant la houille, au fond des chantiers d'abattage. Etienne, en se tournant, se trouva de nouveau serré contre Catherine. Mais, cette fois, il devina les rondeurs naissantes de la gorge, il comprit tout d'un coup cette tiédeur qui l'avait pénétré. - Tu es donc une fille? murmura-t-il, stupéfait. Elle répondit de son air gai, sans rougeur - Mais oui... Vrai! tu y as mis le temps! I, IV Les quatre haveurs venaient de s'allonger les uns au-dessus des autres, sur toute la montée du front de taille. Séparés par les planches à crochets qui retenaient le charbon abattu, ils occupaient chacun quatre mÚtres environ de la veine; et cette veine était si mince, épaisse à peine en cet endroit de cinquante centimÚtres, qu'ils se trouvaient là comme aplatis entre le toit et le mur, se traÃnant des genoux et des coudes, ne pouvant se retourner sans se meurtrir les épaules. Ils devaient, pour attaquer la houille, rester couchés sur le flanc, le cou tordu, les bras levés et brandissant de biais la rivelaine, le pic à manche court. En bas, il y avait d'abord Zacharie; Levaque et Chaval s'étageaient au-dessus; et, tout en haut enfin, était Maheu. Chacun havait le lit de schiste, qu'il creusait à coups de rivelaine; puis, il pratiquait deux entailles verticales dans la couche, et il détachait le bloc, en enfonçant un coin de fer, à la partie supérieure. La houille était grasse, le bloc se brisait, roulait en morceaux le long du ventre et des cuisses. Quand ces morceaux, retenus par la planche, s'étaient amassés sous eux, les haveurs disparaissaient, murés dans l'étroite fente. C'était Maheu qui souffrait le plus. En haut, la température montait jusqu'à trente-cinq degrés, l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel. Il avait dû, pour voir clair, fixer sa lampe à un clou, prÚs de sa tÃÂȘte; et cette lampe, qui chauffait son crùne, achevait de lui brûler le sang. Mais son supplice s'aggravait surtout de l'humidité. La roche, au-dessus de lui, à quelques centimÚtres de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entÃÂȘté, toujours à la mÃÂȘme place. Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relùche. Au bout d'un quart d'heure, il était trempé, couvert de sueur lui-mÃÂȘme, fumant d'une chaude buée de lessive. Ce matin-là , une goutte, s'acharnant dans son oeil, le faisait jurer. Il ne voulait pas lùcher son havage, il donnait de grands coups, qui le secouaient violemment entre les deux roches, ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre, sous la menace d'un aplatissement complet. Pas une parole n'était échangée. Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains. Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort. Et il semblait que les ténÚbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussiÚres volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. Les mÚches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeùtres. On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait, montait ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, oÃÂč la suie de dix hivers aurait amassé une nuit profonde. Des formes spectrales s'y agitaient, les lueurs perdues laissaient entrevoir une rondeur de hanche, un bras noueux, une tÃÂȘte violente, barbouillée comme pour un crime. Parfois, en se détachant, luisaient des blocs de houille, des pans et des arÃÂȘtes, brusquement allumés d'un reflet de cristal. Puis, tout retombait au noir, les rivelaines tapaient à grands coups sourds, il n'y avait plus que le halÚtement des poitrines, le grognement de gÃÂȘne et de fatigue, sous la pesanteur de l'air et la pluie des sources. Zacharie, les bras mous d'une noce de la veille, lùcha vite la besogne en prétextant la nécessité de boiser, ce qui lui permettait de s'oublier à siffler doucement, les yeux vagues dans l'ombre. DerriÚre les haveurs, prÚs de trois mÚtres de la veine restaient vides, sans qu'ils eussent encore pris la précaution de soutenir la roche, insoucieux du danger et avares de leur temps. - Eh! l'aristo! cria le jeune homme à Etienne, passe-moi des bois. Etienne, qui apprenait de Catherine à manoeuvrer sa pelle, dut monter des bois dans la taille. Il y en avait de la veille une petite provision. Chaque matin, d'habitude, on les descendait tout coupés sur la mesure de la couche. - DépÃÂȘche-toi donc, sacrée flemme! reprit Zacharie, en voyant le nouveau herscheur se hisser gauchement au milieu du charbon, les bras embarrassés de quatre morceaux de chÃÂȘne. Il faisait, avec son pic une entaille dans le toit, puis une autre dans le mur; et il y calait les deux bouts du bois, qui étayait ainsi la roche. L'aprÚs-midi, les ouvriers de la coupe à terre prenaient les déblais laissés au fond de la galerie par les haveurs, et remblayaient les tranchées exploitées de la veine, oÃÂč ils noyaient les bois, en ne ménageant que la voie inférieure et la voie supérieure, pour le roulage. Maheu cessa de geindre. Enfin, il avait détaché son bloc. Il essuya sur sa manche son visage ruisselant, il s'inquiéta de ce que Zacharie était monté faire derriÚre lui. - Laisse donc ça, dit-il. Nous verrons aprÚs déjeuner... Vaut mieux abattre, si nous voulons avoir notre compte de berlines. - C'est que, répondit le jeune homme, ça baisse. Regarde, il y a une gerçure. J'ai peur que ça n'éboule. Mais le pÚre haussa les épaules. Ah! ouiche! ébouler! Et puis, ce ne serait pas la premiÚre fois, on s'en tirerait tout de mÃÂȘme. Il finit par se fùcher, il renvoya son fils au front de taille. Tous, du reste, se détiraient. Levaque, resté sur le dos, jurait en examinant son pouce gauche, que la chute d'un grÚs venait d'écorcher au sang. Chaval, furieusement, enlevait sa chemise, se mettait le torse nu, pour avoir moins chaud. Ils étaient déjà noirs de charbon, enduits d'une poussiÚre fine que la sueur délayait, faisait couler en ruisseaux et en mares. Et Maheu recommença le premier à taper, plus bas, la tÃÂȘte au ras de la roche. Maintenant, la goutte lui tombait sur le front, si obstinée, qu'il croyait la sentir lui percer d'un trou les os du crùne. - Il ne faut pas faire attention, expliquait Catherine à Etienne. Ils gueulent toujours. Et elle reprit sa leçon, en fille obligeante. Chaque berline chargée arrivait au jour telle qu'elle partait de la taille, marquée d'un jeton spécial pour que le receveur pût la mettre au compte du chantier. Aussi devait-on avoir grand soin de l'emplir et de ne prendre que le charbon propre autrement, elle était refusée à la recette. Le jeune homme, dont les yeux s'habituaient à l'obscurité, la regardait, blanche encore, avec son teint de chlorose; et il n'aurait pu dire son ùge, il lui donnait douze ans, tellement elle lui semblait frÃÂȘle. Pourtant, il la sentait plus vieille, d'une liberté de garçon, d'une effronterie naïve, qui le gÃÂȘnait un peu elle ne lui plaisait pas, il trouvait trop gamine sa tÃÂȘte blafarde de Pierrot, serrée aux tempes par le béguin. Mais ce qui l'étonnait, c'était la force de cette enfant, une force nerveuse oÃÂč il entrait beaucoup d'adresse. Elle emplissait sa berline plus vite que lui, à petits coups de pelle réguliers et rapides; elle la poussait ensuite jusqu'au plan incliné, d'une seule poussée lente, sans accrocs, passant à l'aise sous les roches basses. Lui, se massacrait, déraillait, restait en détresse. A la vérité, ce n'était point un chemin commode. Il y avait une soixantaine de mÚtres, de la taille au plan incliné; et la voie, que les mineurs de la coupe à terre n'avaient pas encore élargie, était un véritable boyau, de toit trÚs inégal, renflé de continuelles bosses à certaines places, la berline chargée passait tout juste, le herscheur devait s'aplatir, pousser sur les genoux, pour ne pas se fendre la tÃÂȘte. D'ailleurs, les bois pliaient et cassaient déjà . On les voyait, rompus au milieu, en longues déchirures pùles, ainsi que des béquilles trop faibles. Il fallait prendre garde de s'écorcher à ces cassures; et, sous le lent écrasement qui faisait éclater des rondins de chÃÂȘne gros comme la cuisse, on se coulait à plat ventre, avec la sourde inquiétude d'entendre brusquement craquer son dos. - Encore! dit Catherine en riant. La berline d'Etienne venait de dérailler, au passage le plus difficile. Il n'arrivait point à rouler droit, sur ces rails qui se faussaient dans la terre humide; et il jurait, il s'emportait, se battait rageusement avec les roues, qu'il ne pouvait, malgré des efforts exagérés, remettre en place. - Attends donc, reprit la jeune fille. Si tu te fùches, jamais ça ne marchera. Adroitement, elle s'était glissée, avait enfoncé à reculons le derriÚre sous la berline; et, d'une pesée des reins, elle la soulevait et la replaçait. Le poids était de sept cents kilogrammes. Lui, surpris, honteux, bégayait des excuses. Il fallut qu'elle lui montrùt à écarter les jambes, à s'arc-bouter les pieds contre les bois, des deux cÎtés de la galerie, pour se donner des points d'appui solides. Le corps devait ÃÂȘtre penché, les bras raidis, de façon à pousser de tous les muscles, des épaules et des hanches. Pendant un voyage, il la suivit, la regarda filer, la croupe tendue, les poings si bas, qu'elle semblait trotter à quatre pattes, ainsi qu'une de ces bÃÂȘtes naines qui travaillent dans les cirques. Elle suait, haletait, craquait des jointures, mais sans une plainte, avec l'indifférence de l'habitude, comme si la commune misÚre était pour tous de vivre ainsi ployé. Et il ne parvenait pas à en faire autant, ses souliers le gÃÂȘnaient, son corps se brisait, à marcher de la sorte, la tÃÂȘte basse. Au bout de quelques minutes, cette position devenait un supplice, une angoisse intolérable, si pénible, qu'il se mettait un instant à genoux, pour se redresser et respirer. Puis, au plan incliné, c'était une corvée nouvelle. Elle lui apprit à emballer vivement sa berline. En haut et en bas de ce plan, qui desservait toutes les tailles, d'un accrochage à un autre, se trouvait un galibot, le freineur en haut, le receveur en bas. Ces vauriens de douze à quinze ans se criaient des mots abominables; et, pour les avertir, il fallait en hurler de plus violents. Alors, dÚs qu'il y avait une berline vide à remonter, le receveur donnait le signal, la herscheuse emballait sa berline pleine, dont le poids faisait monter l'autre, quand le freineur desserrait son frein. En bas, dans la galerie du fond, se formaient les trains que les chevaux roulaient jusqu'au puits. - Ohé! sacrées rosses! criait Catherine dans le plan, entiÚrement boisé, long d'une centaine de mÚtres, qui résonnait comme un porte-voix gigantesque. Les galibots devaient se reposer, car ils ne répondaient ni l'un ni l'autre. A tous les étages, le roulage s'arrÃÂȘta. Une voix grÃÂȘle de fillette finit par dire - Y en a un sur la Mouquette, bien sûr! Des rires énormes grondÚrent, les herscheuses de toute la veine se tenaient le ventre. - Qui est-ce? demanda Etienne à Catherine. Cette derniÚre lui nomma la petite Lydie, une galopine qui en savait plus long et qui poussait sa berline aussi raide qu'une femme, malgré ses bras de poupée. Quant à la Mouquette, elle était bien capable d'ÃÂȘtre avec les deux galibots à la fois. Mais la voix du receveur monta, criant d'emballer. Sans doute, un porion passait en bas. Le roulage reprit aux neuf étages, on n'entendit plus que les appels réguliers des galibots et que l'ébrouement des herscheuses arrivant au plan, fumantes comme des juments trop chargées. C'était le coup de la bestialité qui soufflait dans la fosse, le désir subit du mùle, lorsqu'un mineur rencontrait une de ces filles à quatre pattes, les reins en l'air, crevant de ses hanches sa culotte de garçon. Et, à chaque voyage, Etienne retrouvait au fond l'étouffement de la taille, la cadence sourde et brisée des rivelaines, les grands soupirs douloureux des haveurs s'obstinant à leur besogne. Tous les quatre s'étaient mis nus, confondus dans la houille, trempés d'une boue noire jusqu'au béguin. Un moment, il avait fallu dégager Maheu qui rùlait, Îter les planches pour faire glisser le charbon sur la voie. Zacharie et Levaque s'emportaient contre la veine, qui devenait dure, disaient-ils, ce qui allait rendre les conditions de leur marchandage désastreuses. Chaval se tournait, restait un instant sur le dos, à injurier Etienne, dont la présence, décidément, l'exaspérait. - EspÚce de couleuvre! ça n'a pas la force d'une fille!... Et veux-tu remplir ta berline! Hein? c'est pour ménager tes bras... Nom de Dieu! je te retiens les dix sous, si tu nous en fais refuser une! Le jeune homme évitait de répondre, trop heureux jusque-là d'avoir trouvé ce travail de bagne, acceptant la brutale hiérarchie du manoeuvre et du maÃtre ouvrier. Mais il n'allait plus, les pieds en sang, les membres tordus de crampes atroces, le tronc serré dans une ceinture de fer. Heureusement, il était dix heures, le chantier se décida à déjeuner. Maheu avait une montre qu'il ne regarda mÃÂȘme pas. Au fond de cette nuit sans astres, jamais il ne se trompait de cinq minutes. Tous remirent leur chemise et leur veste. Puis, descendus de la taille, ils s'accroupirent, les coudes aux flancs, les fesses sur leurs talons, dans cette posture si habituelle aux mineurs, qu'ils la gardent mÃÂȘme hors de la mine, sans éprouver le besoin d'un pavé ou d'une poutre pour s'asseoir. Et chacun, ayant sorti son briquet, mordait gravement à l'épaisse tranche, en lùchant de rares paroles sur le travail de la matinée. Catherine, demeurée debout, finit par rejoindre Etienne, qui s'était allongé plus loin, en travers des rails, le dos contre les bois. Il y avait là une place à peu prÚs sÚche. - Tu ne manges pas? demanda-t-elle, la bouche pleine, son briquet à la main. Puis, elle se rappela ce garçon errant dans la nuit, sans un sou, sans un morceau de pain peut-ÃÂȘtre. - Veux-tu partager avec moi? Et, comme il refusait, en jurant qu'il n'avait pas faim, la voix tremblante du déchirement de son estomac, elle continua gaiement - Ah! si tu es dégoûté!... Mais, tiens! je n'ai mordu que de ce cÎté-ci, je vais te donner celui-là . Déjà , elle avait rompu les tartines en deux. Le jeune homme, prenant sa moitié, se retint pour ne pas la dévorer d'un coup; et il posait les bras sur ses cuisses, afin qu'elle n'en vÃt point le frémissement. De son air tranquille de bon camarade, elle venait de se coucher prÚs de lui, à plat ventre, le menton dans une main, mangeant de l'autre avec lenteur. Leurs lampes, entre eux, les éclairaient. Catherine le regarda un moment en silence. Elle devait le trouver joli, avec son visage fin et ses moustaches noires. Vaguement, elle souriait de plaisir. - Alors, tu es machineur, et on t'a renvoyé de ton chemin de fer... Pourquoi? - Parce que j'avais giflé mon chef. Elle demeura stupéfaite, bouleversée dans ses idées héréditaires de subordination, d'obéissance passive. - Je dois dire que j'avais bu, continua-t-il, et quand je bois, cela me rend fou, je me mangerais et je mangerais les autres... Oui, je ne peux pas avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un homme... Ensuite, je suis malade pendant deux jours. - Il ne faut pas boire, dit-elle sérieusement. - Ah! n'aie pas peur, je me connais! Et il hochait la tÃÂȘte, il avait une haine de l'eau-de-vie, la haine du dernier enfant d'une race d'ivrognes, qui souffrait dans sa chair de toute cette ascendance trempée et détraquée d'alcool, au point que la moindre goutte en était devenue pour lui un poison. - C'est à cause de maman que ça m'ennuie d'avoir été mis à la rue, dit-il aprÚs avoir avalé une bouchée. Maman n'est pas heureuse, et je lui envoyais de temps à autre une piÚce de cent sous. - OÃÂč est-elle donc, ta mÚre? - A Paris... Blanchisseuse, rue de la Goutte-d'Or. Il y eut un silence. Quand il pensait à ces choses, un vacillement pùlissait ses yeux noirs, la courte angoisse de la lésion dont il couvait l'inconnu, dans sa belle santé de jeunesse. Un instant, il resta les regards noyés au fond des ténÚbres de la mine; et, à cette profondeur, sous le poids et l'étouffement de la terre, il revoyait son enfance, sa mÚre jolie encore et vaillante, lùchée par son pÚre, puis reprise aprÚs s'ÃÂȘtre mariée à un autre, vivant entre les deux hommes qui la mangeaient, roulant avec eux au ruisseau, dans le vin, dans l'ordure. C'était là -bas, il se rappelait la rue, des détails lui revenaient le linge sale au milieu de la boutique, et des ivresses qui empuantissaient la maison, et des gifles à casser les mùchoires. - Maintenant, reprit-il d'une voix lente, ce n'est pas avec trente sous que je pourrai lui faire, des cadeaux... Elle va crever de misÚre, c'est sûr. Il eut un haussement d'épaules désespéré, il mordit de nouveau dans sa tartine. - Veux-tu boire? demanda Catherine qui débouchait sa gourde. Oh! c'est du café, ça ne te fera pas de mal... On étouffe, quand on avale comme ça. Mais il refusa c'était bien assez de lui avoir pris la moitié de son pain. Pourtant, elle insistait d'un air de bon coeur, elle finit par dire - Eh bien! je bois avant toi, puisque tu es si poli... Seulement, tu ne peux plus refuser à présent, ce serait vilain. Et elle lui tendit sa gourde. Elle s'était relevée sur les genoux, il la voyait tout prÚs de lui, éclairée par les deux lampes. Pourquoi donc l'avait-il trouvée laide? Maintenant qu'elle était noire, la face poudrée de charbon fin, elle lui semblait d'un charme singulier. Dans ce visage envahi d'ombre, les dents de la bouche trop grande éclataient de blancheur, les yeux s'élargissaient, luisaient avec un reflet verdùtre, pareils à des yeux de chatte. Une mÚche des cheveux roux, qui s'était échappée du béguin, lui chatouillait l'oreille et la faisait rire. Elle ne paraissait plus si jeune, elle pouvait bien avoir quatorze ans tout de mÃÂȘme. - Pour te faire plaisir, dit-il, en buvant et en lui rendant la gourde. Elle avala une seconde gorgée, le força à en prendre une aussi, voulant partager, disait-elle; et ce goulot mince, qui allait d'une bouche à l'autre, les amusait. Lui, brusquement, s'était demandé s'il ne devait pas la saisir dans ses bras, pour la baiser sur les lÚvres. Elle avait de grosses lÚvres d'un rose pùle, avivées par le charbon, qui le tourmentaient d'une envie croissante. Mais il n'osait pas, intimidé devant elle, n'ayant eu à Lille que des filles, et de l'espÚce la plus basse, ignorant comment on devait s'y prendre avec une ouvriÚre encore dans sa famille. - Tu dois avoir quatorze ans alors? demanda-t-il, aprÚs s'ÃÂȘtre remis à son pain. Elle s'étonna, se fùcha presque. - Comment! quatorze! mais j'en ai quinze!... C'est vrai, je ne suis pas grosse. Les filles, chez nous, ne poussent guÚre vite. Il continua à la questionner, elle disait tout, sans effronterie ni honte. Du reste, elle n'ignorait rien de l'homme ni de la femme, bien qu'il la sentÃt vierge de corps, et vierge enfant, retardée dans la maturité de son sexe par le milieu de mauvais air et de fatigue oÃÂč elle vivait. Quand il revint sur la Mouquette, pour l'embarrasser, elle conta des histoires épouvantables, la voix paisible, trÚs égayée. Ah! celle-là en faisait de belles! Et, comme il désirait savoir si elle-mÃÂȘme n'avait pas d'amoureux, elle répondit en plaisantant qu'elle ne voulait pas contrarier sa mÚre, mais que cela arriverait forcément un jour. Ses épaules s'étaient courbées, elle grelottait un peu dans le froid de ses vÃÂȘtements trempés de sueur, la mine résignée et douce, prÃÂȘte à subir les choses et les hommes. - C'est qu'on en trouve, des amoureux, quand on vit tous ensemble, n'est-ce pas? - Bien sûr. - Et puis, ça ne fait du mal à personne... On ne dit rien au curé. - Oh! le curé, je m'en fiche!... Mais il y a l'Homme noir. - Comment, l'Homme noir? - Le vieux mineur qui revient dans la fosse et qui tord le cou aux vilaines filles. Il la regardait, craignant qu'elle ne se moquùt de lui. - Tu crois à ces bÃÂȘtises, tu ne sais donc rien? - Si fait, moi, je sais lire et écrire... Ca rend service chez nous, car du temps de papa et de maman, on n'apprenait pas. Elle était décidément trÚs gentille. Quand elle aurait fini sa tartine, il la prendrait et la baiserait sur ses grosses lÚvres roses. C'était une résolution de timide, une pensée de violence qui étranglait sa voix. Ces vÃÂȘtements de garçon, cette veste et cette culotte sur cette chair de fille, l'excitaient et le gÃÂȘnaient. Lui, avait avalé sa derniÚre bouchée. Il but à la gourde, la lui rendit pour qu'elle la vidùt. Maintenant, le moment d'agir était venu, et il jetait un coup d'oeil inquiet vers les mineurs, au fond, lorsqu'une ombre boucha la galerie. Depuis un instant, Chaval, debout, les regardait de loin. Il s'avança, s'assura que Maheu ne pouvait le voir; et, comme Catherine était restée à terre, sur son séant, il l'empoigna par les épaules, lui renversa la tÃÂȘte, lui écrasa la bouche sous un baiser brutal, tranquillement, en affectant de ne pas se préoccuper d'Etienne. Il y avait, dans ce baiser, une prise de possession, une sorte de décision jalouse. Cependant, la jeune fille s'était révoltée. - Laisse-moi, entends-tu! Il lui maintenait la tÃÂȘte, il la regardait au fond des yeux. Ses moustaches et sa barbiche rouges flambaient dans son visage noir, au grand nez en bec d'aigle. Et il la lùcha enfin, et il s'en alla, sans dire un mot. Un frisson avait glacé Etienne. C'était stupide d'avoir attendu. Certes, non, à présent, il ne l'embrasserait pas, car elle croirait peut-ÃÂȘtre qu'il voulait faire comme l'autre. Dans sa vanité blessée, il éprouvait un véritable désespoir. - Pourquoi as-tu menti? dit-il à voix basse. C'est ton amoureux. - Mais non, je te jure! cria-t-elle. Il n'y a pas ça entre nous. Des fois, il veut rire... MÃÂȘme qu'il n'est pas d'ici, voilà six mois qu'il est arrivé du Pas-de-Calais. Tous deux s'étaient levés, on allait se remettre au travail. Quand elle le vit si froid, elle parut chagrine. Sans doute, elle le trouvait plus joli que l'autre, elle l'aurait préféré peut-ÃÂȘtre. L'idée d'une amabilité, d'une consolation la tracassait; et, comme le jeune homme, étonné, examinait sa lampe qui brûlait bleue, avec une large collerette pale, elle tenta au moins de le distraire. - Viens, que je te montre quelque chose, murmura-t-elle d'un air de bonne amitié. Lorsqu'elle l'eut mené au fond de la taille, elle lui fit remarquer une crevasse, dans la houille. Un léger bouillonnement s'en échappait, un petit bruit, pareil à un sifflement d'oiseau. - Mets ta main, tu sens le vent... C'est du grisou. Il resta surpris. Ce n'était que ça, cette terrible chose qui faisait tout sauter? Elle riait, elle disait qu'il y en avait beaucoup ce jour-là , pour que la flamme des lampes fût si bleue. - Quand vous aurez fini de bavarder, fainéants! cria la rude voix de Maheu. Catherine et Etienne se hùtÚrent de remplir leurs berlines et les poussÚrent au plan incliné, l'échine raidie, rampant sous le toit bossué de la voie. DÚs le second voyage, la sueur les inondait et leurs os craquaient de nouveau. Dans la taille, le travail des haveurs avait repris. Souvent, ils abrégeaient le déjeuner, pour ne pas se refroidir; et leurs briquets, mangés aussi loin du soleil, avec une voracité muette, leur chargeaient de plomb l'estomac. Allongés sur le flanc, ils tapaient plus fort, ils n'avaient que l'idée fixe de compléter un gros nombre de berlines. Tout disparaissait dans cette rage du gain disputé si rudement. Ils cessaient de sentir l'eau qui ruisselait et enflait leurs membres, les crampes des attitudes forcées, l'étouffement des ténÚbres, oÃÂč ils blÃÂȘmissaient ainsi que des plantes mises en cave. Pourtant, à mesure que la journée s'avançait, l'air s'empoisonnait davantage, se chauffait de la fumée des lampes, de la pestilence des haleines, de l'asphyxie du grisou, gÃÂȘnant sur les yeux comme des toiles d'araignée, et que devait seul balayer l'aérage de la nuit. Eux, au fond de leur trou de taupe, sous le poids de la terre, n'ayant plus de souffle dans leurs poitrines embrasées, tapaient toujours. I, V Maheu, sans regarder à sa montre laissée dans sa veste, s'arrÃÂȘta et dit - BientÎt une heure... Zacharie, est-ce fait? Le jeune homme boisait depuis un instant. Au milieu de sa besogne, il était resté sur le dos, les yeux vagues, rÃÂȘvassant aux parties de crosse qu'il avait faites la veille. Il s'éveilla, il répondit - Oui, ça suffira, on verra demain. Et il retourna prendre sa place à la taille. Levaque et Chaval, eux aussi, lùchaient la rivelaine. Il y eut un repos. Tous s'essuyaient le visage sur leurs bras nus, en regardant la roche du toit, dont les masses schisteuses se fendillaient. Ils ne causaient guÚre que de leur travail. - Encore une chance, murmura Chaval, d'ÃÂȘtre tombé sur des terres qui déboulent!... Ils n'ont pas tenu compte de ça, dans le marchandage. - Des filous! grogna Levaque. Ils ne cherchent qu'à nous foutre dedans. Zacharie se mit à rire. Il se fichait du travail et du reste, mais ça l'amusait d'entendre empoigner la Compagnie. De son air placide, Maheu expliqua que la nature des terrains changeait tous les vingt mÚtres. Il fallait ÃÂȘtre juste, on ne pouvait rien prévoir. Puis, les deux autres continuant à déblatérer contre les chefs, il devint inquiet, il regarda autour de lui. - Chut! en voilà assez! - Tu as raison, dit Levaque, qui baissa également la voix. C'est malsain. Une obsession des mouchards les hantait, mÃÂȘme à cette profondeur, comme si la houille des actionnaires, encore dans la veine, avait eu des oreilles. - N'empÃÂȘche, ajouta trÚs haut Chaval d'un air de défi, que si ce cochon de Dansaert me parle sur le ton de l'autre jour, je lui colle une brique dans le ventre... Je ne l'empÃÂȘche pas, moi, de se payer les blondes qui ont la peau fine. Cette fois, Zacharie éclata. Les amours du maÃtre-porion et de la Pierronne étaient la continuelle plaisanterie de la fosse. Catherine elle-mÃÂȘme, appuyée sur sa pelle, en bas de la taille, se tint les cÎtes et mit d'une phrase Etienne au courant; tandis que Maheu se fùchait, pris d'une peur qu'il ne cachait plus. - Hein? tu vas te taire!... Attends d'ÃÂȘtre tout seul, si tu veux qu'il t'arrive du mal. Il parlait encore, lorsqu'un bruit de pas vint de la galerie supérieure. Presque aussitÎt, l'ingénieur de la fosse, le petit Négrel, comme les ouvriers le nommaient entre eux, parut en haut de la taille, accompagné de Dansaert, le maÃtre-porion. - Quand je le disais! murmura Maheu. Il y en a toujours là , qui sortent de la terre. Paul Négrel, neveu de M. Hennebeau, était un garçon de vingt-six ans, mince et joli, avec des cheveux frisés et des moustaches brunes. Son nez pointu, ses yeux vifs, lui donnaient un air de furet aimable, d'une intelligence sceptique, qui se changeait en une autorité cassante, dans ses rapports avec les ouvriers. Il était vÃÂȘtu comme eux, barbouillé comme eux de charbon; et, pour les réduire au respect, il montrait un courage à se casser les os, passant par les endroits les plus difficiles, toujours le premier sous les éboulements et dans les coups de grisou. - Nous y sommes, n'est-ce pas? Dansaert, demanda-t-il. Le maÃtre-porion, un Belge à face épaisse, au gros nez sensuel, répondit avec une politesse exagérée - Oui, monsieur Négrel... Voici l'homme qu'on a embauché ce matin. Tous deux s'étaient laissés glisser au milieu de la taille. On fit monter Etienne. L'ingénieur leva sa lampe, le regarda, sans le questionner. - C'est bon, dit-il enfin. Je n'aime guÚre qu'on ramasse des inconnus sur les routes... Surtout, ne recommencez pas. Et il n'écouta point les explications qu'on lui donnait, les nécessités du travail, le désir de remplacer les femmes par des garçons, pour le roulage. Il s'était mis à étudier le toit, pendant que les haveurs reprenaient leurs rivelaines. Tout d'un coup, il s'écria - Dites donc, Maheu, est-ce que vous vous fichez du monde!... Vous allez tous y rester, nom d'un chien! - Oh! c'est solide, répondit tranquillement l'ouvrier. - Comment! solide!... Mais la roche tasse déjà , et vous plantez des bois à plus de deux mÚtres, d'un air de regret! Ah! vous ÃÂȘtes bien tous les mÃÂȘmes, vous vous laisseriez aplatir le crùne, plutÎt que de lùcher la veine, pour mettre au boisage le temps voulu!... Je vous prie de m'étayer ça sur-le-champ. Doublez les bois, entendez-vous! Et, devant le mauvais vouloir des mineurs qui discutaient, en disant qu'ils étaient bons juges de leur sécurité, il s'emporta. - Allons donc! quand vous aurez la tÃÂȘte broyée, est-ce que c'est vous qui en supporterez les conséquences? Pas du tout! ce sera la Compagnie, qui devra vous faire des pensions, à vous ou à vos femmes... Je vous répÚte qu'on vous connaÃt pour avoir deux berlines de plus le soir, vous donneriez vos peaux. Maheu, malgré la colÚre dont il était peu à peu gagné, dit encore posément - Si l'on nous payait assez, nous boiserions mieux. L'ingénieur haussa les épaules, sans répondre. Il avait achevé de descendre le long de la taille, il conclut seulement d'en bas - Il vous reste une heure, mettez-vous tous à la besogne; et je vous avertis que le chantier a trois francs d'amende. Un sourd grognement des haveurs accueillit ces paroles. La force de la hiérarchie les retenait seule, cette hiérarchie militaire qui, du galibot au maÃtre-porion, les courbait les uns sous les autres. Chaval et Levaque pourtant eurent un geste furieux, tandis que Maheu les modérait du regard et que Zacharie haussait gouailleusement les épaules. Mais Etienne était peut-ÃÂȘtre le plus frémissant. Depuis qu'il se trouvait au fond de cet enfer, une révolte lente le soulevait. Il regarda Catherine résignée, l'échine basse. Etait-ce possible qu'on se tuùt à une si dure besogne dans ces ténÚbres mortelles, et qu'on n'y gagnùt mÃÂȘme pas les quelques sous du pain quotidien? Cependant Négrel s'en allait avec Dansaert, qui s'était contenté d'approuver d'un mouvement continu de la tÃÂȘte. Et leurs voix, de nouveau, s'élevÚrent ils venaient de s'arrÃÂȘter encore, ils examinaient le boisage de la galerie, dont les haveurs avaient l'entretien sur une longueur de dix mÚtres, en arriÚre de la taille. - Quand je vous dis qu'ils se fichent du monde! criait l'ingénieur. Et vous, nom d'un chien! vous ne surveillez donc pas? - Mais si, mais si, balbutiait le maÃtre-porion. On est las de leur répéter les choses. Négrel appela violemment - Maheu! Maheu! Tous descendirent. Il continuait - Voyez ça, est-ce que ça tient?... C'est bùti comme quatre sous. Voilà un chapeau que les moutons ne portent déjà plus, tellement on l'a posé à la hùte... Pardi! je comprends que le raccommodage nous coûte si cher. N'est-ce pas? Pourvu que ça dure tant que vous en avez la responsabilité! Et puis tout casse, et la Compagnie est forcée d'avoir une armée de raccommodeurs... Regardez un peu là -bas, c'est un vrai massacre. Chaval voulut parler, mais il le fit taire. - Non, je sais ce que vous allez dire encore. Qu'on vous paie davantage, hein? Eh bien! je vous préviens que vous forcerez la Direction à faire une chose oui, on vous paiera le boisage à part, et l'on réduira proportionnellement le prix de la berline. Nous verrons si vous y gagnerez... En attendant, reboisez-moi ça tout de suite. Je passerai demain. Et, dans le saisissement causé par sa menace, il s'éloigna. Dansaert, si humble devant lui, resta en arriÚre quelques secondes, pour dire brutalement aux ouvriers - Vous me faites empoigner, vous autres... Ce n'est pas trois francs d'amende que je vous flanquerai, moi! Prenez garde! Alors, quand il fut parti, Maheu éclata à son tour. - Nom de Dieu! ce qui n'est pas juste n'est pas juste. Moi, j'aime qu'on soit calme, parce que c'est la seule façon de s'entendre; mais, à la fin, ils vous rendraient enragés... Avez-vous entendu? La berline baissée, et le boisage à part! encore une façon de nous payer moins!... Nom de Dieu de nom de Dieu! Il cherchait quelqu'un sur qui tomber, lorsqu'il aperçut Catherine et Etienne, les bras ballants. - Voulez-vous bien me donner des bois! Est-ce que ça vous regarde?... Je vas vous allonger mon pied quelque part. Etienne alla se charger, sans rancune de cette rudesse, si furieux lui-mÃÂȘme contre les chefs, qu'il trouvait les mineurs trop bons enfants. Du reste, Levaque et Chaval s'étaient soulagés en gros mots. Tous, mÃÂȘme Zacharie, boisaient rageusement. Pendant prÚs d'une demi-heure, on n'entendit que le craquement des bois, calés à coups de masse. Ils n'ouvraient plus la bouche, ils soufflaient, s'exaspéraient contre la roche, qu'ils auraient bousculée et remontée d'un renfoncement d'épaules, s'ils l'avaient pu. - En voilà assez! dit enfin Maheu, brisé de colÚre et de fatigue. Une heure et demie... Ah! une propre journée, nous n'aurons pas cinquante sous!... Je m'en vais, ça me dégoûte. Bien qu'il y eût encore une demi-heure de travail, il se rhabilla. Les autres l'imitÚrent. La vue seule de la taille les jetait hors d'eux. Comme la herscheuse s'était remise au roulage, ils l'appelÚrent en s'irritant de son zÚle si le charbon avait des pieds, il sortirait tout seul. Et les six, leurs outils sous le bras, partirent, ayant à refaire les deux kilomÚtres, retournant au puits par la route du matin. Dans la cheminée, Catherine et Etienne s'attardÚrent, tandis que les haveurs glissaient jusqu'en bas. C'était une rencontre, la petite Lydie, arrÃÂȘtée au milieu d'une voie pour les laisser passer, et qui leur racontait une disparition de la Mouquette, prise d'un tel saignement de nez, que depuis une heure elle était allée se tremper la figure quelque part, on ne savait pas oÃÂč. Puis, quand ils la quittÚrent, l'enfant poussa de nouveau sa berline, éreintée, boueuse, raidissant ses bras et ses jambes d'insecte, pareille à une maigre fourmi noire en lutte contre un fardeau trop lourd. Eux, dévalaient sur le dos, aplatissaient leurs épaules, de peur de s'arracher la peau du front; et ils filaient si raide, le long de la roche polie par tous les derriÚres des chantiers, qu'ils devaient, de temps à autre, se retenir aux bois, pour que leurs fesses ne prissent pas feu, disaient-ils en plaisantant. En bas, ils se trouvÚrent seuls. Des étoiles rouges disparaissaient au loin, à un coude de la galerie. Leur gaieté tomba, ils se mirent en marche d'un pas lourd de fatigue, elle devant, lui derriÚre. Les lampes charbonnaient, il la voyait à peine, noyée d'une sorte de brouillard fumeux; et l'idée qu'elle était une fille lui causait un malaise, parce qu'il se sentait bÃÂȘte de ne pas l'embrasser, et que le souvenir de l'autre l'en empÃÂȘchait. Assurément, elle lui avait menti l'autre était son amant, ils couchaient ensemble sur tous les tas d'escaillage, car elle avait déjà le déhanchement d'une gueuse. Sans raison, il la boudait, comme si elle l'eût trompé. Elle pourtant, à chaque minute, se tournait, l'avertissait d'un obstacle, semblait l'inviter à ÃÂȘtre aimable. On était si perdu, on aurait si bien pu rire en bons amis! Enfin, ils débouchÚrent dans la galerie de roulage, ce fut pour lui un soulagement à l'indécision dont il souffrait; tandis qu'elle, une derniÚre fois, eut un regard attristé, le regret d'un bonheur qu'ils ne retrouveraient plus. Maintenant, autour d'eux, la vie souterraine grondait, avec le continuel passage des porions, le va-et-vient des trains, emportés au trot des chevaux. Sans cesse, des lampes étoilaient la nuit. Ils devaient s'effacer contre la roche, laisser la voie à des ombres d'hommes et de bÃÂȘtes, dont ils recevaient l'haleine au visage. Jeanlin, courant pieds nus derriÚre son train, leur cria une méchanceté qu'ils n'entendirent pas, dans le tonnerre des roues. Ils allaient toujours, elle silencieuse à présent, lui ne reconnaissant pas les carrefours ni les rues du matin, s'imaginant qu'elle le perdait de plus en plus sous la terre; et ce dont il souffrait surtout, c'était du froid, un froid grandissant qui l'avait pris au sortir de la taille, et qui le faisait grelotter davantage, à mesure qu'il se rapprochait du puits. Entre les muraillements étroits, la colonne d'air soufflait de nouveau en tempÃÂȘte. Ils désespéraient d'arriver jamais, lorsque, brusquement, ils se trouvÚrent dans la salle de l'accrochage. Chaval leur jeta un regard oblique, la bouche froncée de méfiance. Les autres étaient là , en sueur, dans le courant glacé, muets comme lui, ravalant des grondements de colÚre. Ils arrivaient trop tÎt, on refusait de les remonter avant une demi-heure, d'autant plus qu'on faisait des manoeuvres compliquées, pour la descente d'un cheval. Les chargeurs emballaient encore des berlines, avec un bruit assourdissant de ferrailles remuées, et les cages s'envolaient, disparaissaient dans la pluie battante qui tombait du trou noir. En bas, le bougnou, un puisard de dix mÚtres, empli de ce ruissellement, exhalait lui aussi son humidité vaseuse. Des hommes tournaient sans cesse autour du puits, tiraient les cordes des signaux, pesaient sur les bras des leviers, au milieu de cette poussiÚre d'eau dont leurs vÃÂȘtements se trempaient. La clarté rougeùtre des trois lampes à feu libre, découpant de grandes ombres mouvantes, donnait à cette salle souterraine un air de caverne scélérate, quelque forge de bandits, voisine d'un torrent. Maheu tenta un dernier effort. Il s'approcha de Pierron, qui avait pris son service à six heures. - Voyons, tu peux bien nous laisser monter. Mais le chargeur, un beau garçon, aux membres forts et au visage doux, refusa d'un geste effrayé. - Impossible, demande au porion... On me mettrait à l'amende. De nouveaux grondements furent étouffés. Catherine se pencha, dit à l'oreille d'Etienne - Viens donc voir l'écurie. C'est là qu'il fait bon! Et ils durent s'échapper sans ÃÂȘtre vus, car il était défendu d'y aller. Elle se trouvait à gauche, au bout d'une courte galerie. Longue de vingt-cinq mÚtres, haute de quatre, taillée dans le roc et voûtée en briques, elle pouvait contenir vingt chevaux. Il y faisait bon en effet, une bonne chaleur de bÃÂȘtes vivantes, une bonne odeur de litiÚre fraÃche, tenue proprement. L'unique lampe avait une lueur calme de veilleuse. Des chevaux au repos tournaient la tÃÂȘte, avec leurs gros yeux d'enfants, puis se remettaient à leur avoine, sans hùte, en travailleurs gras et bien portants, aimés de tout le monde. Mais, comme Catherine lisait à voix haute les noms, sur les plaques de zinc, au-dessus des mangeoires, elle eut un léger cri, en voyant un corps se dresser brusquement devant elle. C'était la Mouquette, effarée, qui sortait d'un tas de paille, oÃÂč elle dormait. Le lundi, lorsqu'elle était trop lasse des farces du dimanche, elle se donnait un violent coup de poing sur le nez, quittait sa taille sous le prétexte d'aller chercher de l'eau, et venait s'enfouir là , avec les bÃÂȘtes, dans la litiÚre chaude. Son pÚre, d'une grande faiblesse pour elle, la tolérait, au risque d'avoir des ennuis. Justement, le pÚre Mouque entra, court, chauve, ravagé, mais resté gros quand mÃÂȘme, ce qui était rare chez un ancien mineur de cinquante ans. Depuis qu'on en avait fait un palefrenier, il chiquait à un tel point, que ses gencives saignaient dans sa bouche noire. En apercevant les deux autres avec sa fille, il se fùcha. - Qu'est-ce que vous fichez là , tous? Allons, houp! bougresses qui m'amenez un homme ici!... C'est propre de venir faire vos saletés dans ma paille. Mouquette trouvait ça drÎle, se tenait le ventre. Mais Etienne, gÃÂȘné, s'en alla, tandis que Catherine lui souriait. Comme tous trois retournaient à l'accrochage, Bébert et Jeanlin y arrivaient aussi, avec un train de berlines. Il y eut un arrÃÂȘt pour la manoeuvre des cages, et la jeune fille s'approcha de leur cheval, le caressa de la main, en parlant de lui à son compagnon. C'était Bataille, le doyen de la mine, un cheval blanc qui avait dix ans de fond. Depuis dix ans, il vivait dans ce trou, occupant le mÃÂȘme coin de l'écurie, faisant la mÃÂȘme tùche le long des galeries noires, sans avoir jamais revu le jour. TrÚs gras, le poil luisant, l'air bonhomme, il semblait y couler une existence de sage, à l'abri des malheurs de là -haut. Du reste, dans les ténÚbres, il était devenu d'une grande malignité. La voie oÃÂč il travaillait avait fini par lui ÃÂȘtre si familiÚre, qu'il poussait de la tÃÂȘte les portes d'aérage, et qu'il se baissait, afin de ne pas se cogner, aux endroits trop bas. Sans doute aussi il comptait ses tours, car lorsqu'il avait fait le nombre réglementaire de voyages, il refusait d'en recommencer un autre, on devait le reconduire à sa mangeoire. Maintenant, l'ùge venait, ses yeux de chat se voilaient parfois d'une mélancolie. Peut-ÃÂȘtre revoyait-il vaguement, au fond de ses rÃÂȘvasseries obscures, le moulin oÃÂč il était né, prÚs de Marchiennes, un moulin planté sur le bord de la Scarpe, entouré de larges verdures, toujours éventé par le vent. Quelque chose brûlait en l'air, une lampe énorme, dont le souvenir exact échappait à sa mémoire de bÃÂȘte. Et il restait la tÃÂȘte basse, tremblant sur ses vieux pieds, faisant d'inutiles efforts pour se rappeler le soleil. Cependant, les manoeuvres continuaient dans le puits, le marteau des signaux avait tapé quatre coups, on descendait le cheval; et c'était toujours une émotion, car il arrivait parfois que la bÃÂȘte, saisie d'une telle épouvante, débarquait morte. En haut, lié dans un filet, il se débattait éperdument; puis, dÚs qu'il sentait le sol manquer sous lui, il restait comme pétrifié, il disparaissait sans un frémissement de la peau, l'oeil agrandi et fixe. Celui-ci étant trop gros pour passer entre les guides, on avait dû, en l'accrochant au-dessous de la cage, lui rabattre et lui attacher la tÃÂȘte sur le flanc. La descente dura prÚs de trois minutes, on ralentissait la machine par précaution. Aussi, en bas, l'émotion grandissait-elle. Quoi donc? Est-ce qu'on allait le laisser en route, pendu dans le noir? Enfin, il parut, avec son immobilité de pierre, son oeil fixe, dilaté de terreur. C'était un cheval bai, de trois ans à peine, nommé Trompette. - Attention! criait le pÚre Mouque, chargé de le recevoir. Amenez-le, ne le détachez pas encore. BientÎt, Trompette fut couché sur les dalles de fonte, comme une masse. Il ne bougeait toujours pas, il semblait dans le cauchemar de ce trou obscur, infini, de cette salle profonde, retentissante de vacarme. On commençait à le délier, lorsque Bataille, dételé depuis un instant, s'approcha, allongea le cou pour flairer ce compagnon, qui tombait ainsi de la terre. Les ouvriers élargirent le cercle en plaisantant. Eh bien! quelle bonne odeur lui trouvait-il? Mais Bataille s'animait, sourd aux moqueries. Il lui trouvait sans doute la bonne odeur du grand air, l'odeur oubliée du soleil dans les herbes. Et il éclata tout à coup d'un hennissement sonore, d'une musique d'allégresse, oÃÂč il semblait y avoir l'attendrissement d'un sanglot. C'était la bienvenue, la joie de ces choses anciennes dont une bouffée lui arrivait, la mélancolie de ce prisonnier de plus qui ne remonterait que mort. - Ah! cet animal de Bataille! criaient les ouvriers égayés par ces farces de leur favori. Le voilà qui causé avec le camarade. Trompette, délié, ne bougeait toujours pas. Il demeurait sur le flanc, comme s'il eût continué à sentir le filet l'étreindre, garrotté par la peur. Enfin, on le mit debout d'un coup de fouet, étourdi, les membres secoués d'un grand frisson. Et le pÚre Mouque emmena les deux bÃÂȘtes qui fraternisaient. - Voyons, y sommes-nous, à présent? demanda Maheu. Il fallait débarrasser les cages, et du reste dix minutes manquaient encore pour l'heure de la remonte. Peu à peu, les chantiers se vidaient, des mineurs revenaient de toutes les galeries. Il y avait déjà là une cinquantaine d'hommes, mouillés et grelottants, sous les fluxions de poitrine qui soufflaient de partout. Pierron, malgré son visage doucereux, gifla sa fille Lydie, parce qu'elle avait quitté la taille avant l'heure. Zacharie pinçait sournoisement la Mouquette, histoire de se réchauffer. Mais le mécontentement grandissait, Chaval et Levaque racontaient la menace de l'ingénieur, la berline baissée de prix, le boisage payé à part; et des exclamations accueillaient ce projet, une rébellion germait dans ce coin étroit, à prÚs de six cents mÚtres sous la terre. BientÎt, les voix ne se continrent plus, ces hommes souillés de charbon, glacés par l'attente, accusÚrent la Compagnie de tuer au fond une moitié de ses ouvriers, et de faire crever l'autre moitié de faim. Etienne écoutait, frémissant. - DépÃÂȘchons! dépÃÂȘchons! répétait aux chargeurs le porion Richomme. Il hùtait la manoeuvre pour la remonte, ne voulant point sévir, faisant semblant de ne pas entendre. Cependant, les murmures devenaient tels, qu'il fut forcé de s'en mÃÂȘler. DerriÚre lui, on criait que ça ne durerait pas toujours et qu'un beau matin la boutique sauterait. - Toi qui es raisonnable, dit-il à Maheu, fais-les donc taire. Quand on n'est pas les plus forts, on doit ÃÂȘtre les plus sages. Mais Maheu, qui se calmait et finissait par s'inquiéter, n'eut point à intervenir. Soudain, les voix tombÚrent Négrel et Dansaert, revenant de leur inspection, débouchaient d'une galerie, en sueur aussi tous les deux. L'habitude de la discipline fit ranger les hommes, tandis que l'ingénieur traversait le groupe, sans une parole. Il se mit dans une berline, le maÃtre-porion dans une autre; on tira cinq fois le signal, sonnant à la grosse viande, comme on disait pour les chefs; et la cage fila en l'air, au milieu d'un silence morne. I, VI Dans la cage qui le remontait, tassé avec quatre autres, Etienne résolut de reprendre sa course affamée, le long des routes. Autant valait-il crever tout de suite que de redescendre au fond de cet enfer, pour n'y pas mÃÂȘme gagner son pain. Catherine, enfournée au-dessus de lui, n'était plus là , contre son flanc, d'une bonne chaleur engourdissante. Et il aimait mieux ne pas songer à des bÃÂȘtises, et s'éloigner; car, avec son instruction plus large, il ne se sentait point la résignation de ce troupeau, il finirait par étrangler quelque chef. Brusquement, il fut aveuglé. La remonte venait d'ÃÂȘtre si rapide, qu'il restait ahuri du grand jour, les paupiÚres battantes dans cette clarté dont il s'était déshabitué déjà . Ce n'en fut pas moins un soulagement pour lui, de sentir la cage retomber sur les verrous. Un moulineur ouvrait la porte, le flot des ouvriers sautait des berlines. - Dis donc, Mouquet, murmura Zacharie à l'oreille du moulineur, filons-nous au Volcan, ce soir? Le Volcan était un café-concert de Montsou. Mouquet cligna l'oeil gauche, avec un rire silencieux qui lui fendait les mùchoires. Petit et gros comme son pÚre, il avait le nez effronté d'un gaillard qui mangeait tout, sans nul souci du lendemain. Justement, la Mouquette sortait à son tour, et il lui allongea une claque formidable sur les reins, par tendresse fraternelle. Etienne reconnaissait à peine la haute nef de la recette, qu'il avait vue inquiétante, dans les lueurs louches des lanternes. Ce n'était que nu et sale. Un jour terreux entrait par les fenÃÂȘtres poussiéreuses. Seule, la machine luisait, là -bas, avec ses cuivres; les cùbles d'acier, enduits de graisse, filaient comme des rubans trempés d'encre; et les molettes en haut, l'énorme charpente qui les supportait, les cages, les berlines, tout ce métal prodigué assombrissait la salle de leur gris dur de vieilles ferrailles. Sans relùche, le grondement des roues ébranlait les dalles de fonte; tandis que, de la houille ainsi promenée, montait une fine poudre de charbon, qui poudrait à noir le sol, les murs, jusqu'aux solives du beffroi. Mais Chaval, ayant donné un coup d'oeil au tableau des jetons, dans le petit bureau vitré du receveur, revint furieux. Il avait constaté qu'on leur refusait deux berlines, l'une parce qu'elle ne contenait pas la quantité réglementaire, l'autre parce que la houille en était malpropre. - La journée est complÚte, cria-t-il. Encore vingt sous de moins!... Aussi est-ce qu'on devrait prendre des fainéants, qui se servent de leurs bras comme un cochon de sa queue! Et son regard oblique, dirigé sur Etienne, complétait sa pensée. Celui-ci fut tenté de répondre à coups de poing. Puis, il se demanda à quoi bon, puisqu'il partait. Cela le décidait absolument. - On ne peut pas bien faire le premier jour, dit Maheu pour mettre la paix. Demain, il fera mieux. Tous n'en restaient pas moins aigris, agités d'un besoin de querelle. Comme ils passaient à la lampisterie rendre leurs lampes, Levaque s'empoigna avec le lampiste, qu'il accusait de mal nettoyer la sienne. Ils ne se détendirent un peu que dans la baraque, oÃÂč le feu brûlait toujours. MÃÂȘme on avait dû trop le charger, car le poÃÂȘle était rouge, la vaste piÚce sans fenÃÂȘtre semblait en flammes, tellement les reflets du brasier saignaient sur les murs. Et ce furent des grognements de joie, tous les dos se rÎtissaient à distance, fumaient ainsi que des soupes. Quand les reins brûlaient, on se cuisait le ventre. La Mouquette, tranquillement, avait rabattu sa culotte pour sécher sa chemise. Des garçons blaguaient, on éclata de rire, parce qu'elle leur montra tout à coup son derriÚre, ce qui était chez elle l'extrÃÂȘme expression du dédain. - Je m'en vais, dit Chaval qui avait serré ses outils dans sa caisse. Personne ne bougea. Seule, Mouquette se hùta, s'échappa derriÚre lui, sous le prétexte qu'ils rentraient l'un et l'autre à Montsou. Mais on continuait de plaisanter, on savait qu'il ne voulait plus d'elle. Catherine, cependant, préoccupée, venait de parler bas à son pÚre. Celui-ci s'étonna, puis il approuva d'un hochement de tÃÂȘte; et, appelant Etienne pour lui rendre son paquet - Ecoutez donc, murmura-t-il, si vous n'avez pas le sou, vous aurez le temps de crever avant la quinzaine... Voulez-vous que je tùche de vous trouver du crédit quelque part? Le jeune homme resta un instant embarrassé. Justement, il allait réclamer ses trente sous et partir. Mais une honte le retint devant la jeune fille. Elle le regardait fixement, peut-ÃÂȘtre croirait-elle qu'il boudait le travail. - Vous savez, je ne vous promets rien, continua Maheu. Nous en serons quittes pour un refus. Alors, Etienne ne dit pas non. On refuserait. Du reste, ça ne l'engageait point, il pourrait toujours s'éloigner, aprÚs avoir mangé un morceau. Puis, il fut mécontent de n'avoir pas dit non, en voyant la joie de Catherine, un joli rire, un regard d'amitié, heureuse de lui ÃÂȘtre venue en aide. A quoi bon tout cela? Quand ils eurent repris leurs sabots et fermé leurs cases, les Maheu quittÚrent la baraque, à la queue des camarades qui s'en allaient un à un, dÚs qu'ils s'étaient réchauffés. Etienne les suivit, Levaque et son gamin se mirent de la bande. Mais, comme ils traversaient le criblage, une scÚne violente les arrÃÂȘta. C'était dans un vaste hangar, aux poutres noires de poussiÚre envolée, aux grandes persiennes d'oÃÂč soufflait un continuel courant d'air. Les berlines de houille arrivaient directement de la recette, étaient versées ensuite par des culbuteurs sur les trémies, de longues glissiÚres de tÎle; et, à droite et à gauche de ces derniÚres, les cribleuses, montées sur des gradins, armées de la pelle et du rùteau, ramassaient les pierres, poussaient le charbon propre, qui tombait ensuite par des entonnoirs dans les wagons de la voie ferrée, établie sous le hangar. PhilomÚne Levaque se trouvait là , mince et pùle, d'une figure moutonniÚre de fille crachant le sang. La tÃÂȘte protégée d'un lambeau de laine bleue, les mains et les bras noirs jusqu'aux coudes, elle triait au-dessous d'une vieille sorciÚre, la mÚre de la Pierronne, la Brûlé ainsi qu'on la nommait, terrible avec ses yeux de chat-huant et sa bouche serrée comme la bourse d'un avare. Elles s'empoignaient toutes les deux, la jeune accusant la vieille de lui ratisser ses pierres, à ce point qu'elle n'en faisait pas un panier en dix minutes. On les payait au panier, c'étaient des querelles sans cesse renaissantes. Les chignons volaient, les mains restaient marquées en noir sur les faces rouges. - Fous-lui donc un renfoncement! cria d'en haut Zacharie à sa maÃtresse. Toutes les cribleuses éclatÚrent. Mais la Brûlé se jeta hargneusement sur le jeune homme. - Dis donc, saleté! tu ferais mieux de reconnaÃtre les deux gosses dont tu l'as emplie!... S'il est permis, une bringue de dix-huit ans, qui ne tient pas debout! Maheu dut empÃÂȘcher son fils de descendre, pour voir un peu, disait-il, la couleur de sa peau, à cette carcasse. Un surveillant accourait, les rùteaux se remirent à fouiller le charbon. On n'apercevait plus, du haut en bas des trémies, que les dos ronds des femmes, acharnées à se disputer les pierres. Dehors, le vent s'était brusquement calmé, un froid humide tombait du ciel gris. Les charbonniers gonflÚrent les épaules, croisÚrent les bras et partirent, débandés, avec un roulis des reins qui faisait saillir leurs gros os, sous la toile mince des vÃÂȘtements. Au grand jour, ils passaient comme une bande de nÚgres culbutes dans de la vase. Quelques-uns n'avaient pas fini leur briquet; et ce reste de pain, rapporté entre la chemise et la veste, les rendait bossus. - Tiens! voilà Bouteloup, dit Zacharie en ricanant. Levaque, sans s'arrÃÂȘter, échangea deux phrases avec son logeur, gros garçon brun de trente-cinq ans, l'air placide et honnÃÂȘte. - Ca y est, la soupe, Louis? - Je crois. - Alors, la femme est gentille, aujourd'hui? - Oui, gentille, je crois. D'autres mineurs de la coupe à terre arrivaient, des bandes nouvelles qui, une à une, s'engouffraient dans la fosse. C'était la descente de trois heures, encore des hommes que le puits mangeait, et dont les équipes allaient remplacer les marchandages des haveurs, au fond des voies. Jamais la mine ne chÎmait, il y avait nuit et jour des insectes humains fouissant la roche, à six cents mÚtres sous les champs de betteraves. Cependant, les gamins marchaient les premiers. Jeanlin confiait à Bébert un plan compliqué, pour avoir à crédit quatre sous de tabac; tandis que Lydie, respectueusement, venait à distance. Catherine suivait avec Zacharie et Etienne. Aucun ne parlait. Et ce fut seulement devant le cabaret de l'Avantage, que Maheu et Levaque les rejoignirent. - Nous y sommes, dit le premier à Etienne. Voulez-vous entrer? On se sépara. Catherine était restée un instant immobile, regardant une derniÚre fois le jeune homme de ses grands yeux, d'une limpidité verdùtre d'eau de source, et dont le visage noir creusait encore le cristal. Elle sourit, elle disparut avec les autres, sur le chemin montant qui conduisait au coron. Le cabaret se trouvait entre le village et la fosse, au croisement des deux routes. C'était une maison de briques à deux étages, blanchie du haut en bas à la chaux, égayée autour des fenÃÂȘtres d'une large bordure bleu ciel. Sur une enseigne carrée, clouée au-dessus de la porte, on lisait en lettres jaunes A l'Avantage, débit tenu par Rasseneur. DerriÚre, s'allongeait un jeu de quilles, clos d'une haie vive. Et la Compagnie, qui avait tout fait pour acheter ce lopin, enclavé dans ses vastes terres, était désolée de ce cabaret, poussé en plein champ, ouvert à la sortie mÃÂȘme du Voreux. - Entrez, répéta Maheu à Etienne. La salle, petite, avait une nudité claire, avec ses murs blancs, ses trois tables et sa douzaine de chaises, son comptoir de sapin, grand comme un buffet de cuisine. Une dizaine de chopes au plus étaient là , trois bouteilles de liqueur, une carafe, une petite caisse de zinc à robinet d'étain, pour la biÚre; et rien autre, pas une image, pas une tablette, pas un jeu. Dans la cheminée de fonte, vernie et luisante, brûlait doucement une pùtée de houille. Sur les dalles, une fine couche de sable blanc buvait l'humidité continuelle de ce pays trempé d'eau. - Une chope, commanda Maheu à une grosse fille blonde, la fille d'une voisine qui parfois gardait la salle. Rasseneur est là ? La fille tourna le robinet, en répondant que le patron allait revenir. Lentement, d'un seul trait, le mineur vida la moitié de la chope, pour balayer les poussiÚres qui lui obstruaient la gorge. Il n'offrit rien à son compagnon. Un seul consommateur, un autre mineur mouillé et barbouillé, était assis devant une table et buvait sa biÚre en silence, d'un air de profonde méditation. Un troisiÚme entra, fut servi sur un geste, paya et s'en alla, sans avoir dit un mot. Mais un gros homme de trente-huit ans, rasé, la figure ronde, parut avec un sourire débonnaire. C'était Rasseneur, un ancien haveur que la Compagnie avait congédié depuis trois ans, à la suite d'une grÚve. TrÚs bon ouvrier, il parlait bien, se mettait à la tÃÂȘte de toutes les réclamations, avait fini par ÃÂȘtre le chef des mécontents. Sa femme tenait déjà un débit, ainsi que beaucoup de femmes de mineurs; et, quand il fut jeté sur le pavé, il resta cabaretier lui-mÃÂȘme, trouva de l'argent, planta son cabaret en face du Voreux, comme une provocation à la Compagnie. Maintenant, sa maison prospérait, il devenait un centre, il s'enrichissait des colÚres qu'il avait peu à peu soufflées au coeur de ses anciens camarades. - C'est ce garçon que j'ai embauché ce matin, expliqua Maheu tout de suite. As-tu une de tes deux chambres libre, et veux-tu lui faire crédit d'une quinzaine? La face large de Rasseneur exprima subitement une grande défiance. Il examina d'un coup d'oeil Etienne et répondit, sans se donner la peine de témoigner un regret - Mes deux chambres sont prises. Pas possible. Le jeune homme s'attendait à ce refus; et il en souffrit pourtant, il s'étonna du brusque ennui qu'il éprouvait à s'éloigner. N'importe, il s'en irait, quand il aurait ses trente sous. Le mineur qui buvait à une table était parti. D'autres, un à un, entraient toujours se décrasser la gorge, puis se remettaient en marche du mÃÂȘme pas déhanché. C'était un simple lavage, sans joie ni passion, le muet contentement d'un besoin. - Alors, il n'y a rien? demanda d'un ton particulier Rasseneur à Maheu, qui achevait sa biÚre à petits coups. Celui-ci tourna la tÃÂȘte et vit qu'Etienne seul était là . - Il y a qu'on s'est chamaillé encore... Oui, pour le boisage. Il conta l'affaire. La face du cabaretier avait rougi, une émotion sanguine la gonflait, lui sortait en flammes de la peau et des yeux. Enfin, il éclata. - Ah bien! s'ils s'avisent de baisser les prix, ils sont fichus. Etienne le gÃÂȘnait. Cependant, il continua, en lui lançant des regards obliques. Et il avait des réticences, des sous-entendus, il parlait du directeur, M. Hennebeau, de sa femme, de son neveu le petit Négrel, sans les nommer, répétant que ça ne pouvait pas continuer ainsi, que ça devait casser un de ces quatre matins. La misÚre était trop grande, il cita les usines qui fermaient, les ouvriers qui s'en allaient. Depuis un mois, il donnait plus de six livres de pain par jour. On lui avait dit, la veille, que M. Deneulin, le propriétaire d'une fosse voisine, ne savait comment tenir le coup. Du reste, il venait de recevoir une lettre de Lille, pleine de détails inquiétants. - Tu sais, murmura-t-il, ça vient de cette personne que tu as vue ici un soir. Mais il fut interrompu. Sa femme entrait à son tour, une grande femme maigre et ardente, le nez long, les pommettes violacées. Elle était en politique beaucoup plus radicale que son mari. - La lettre de Pluchart, dit-elle. Ah! s'il était le maÃtre, celui-là , ça ne tarderait pas à mieux aller! Etienne écoutait depuis un instant, comprenait, se passionnait, à ces idées de misÚre et de revanche. Ce nom, jeté brusquement, le fit tressaillir. Il dit tout haut, comme malgré lui - Je le connais, Pluchart. On le regardait, il dut ajouter - Oui, je suis machineur, il a été mon contremaÃtre, à Lille... Un homme capable, j'ai causé souvent avec lui. Rasseneur l'examinait de nouveau; et il y eut, sur son visage, un changement rapide, une sympathie soudaine. Enfin, il dit à sa femme - C'est Maheu qui m'amÚne Monsieur, un herscheur à lui, pour voir s'il n'y a pas une chambre en haut, et si nous ne pourrions pas faire crédit d'une quinzaine. Alors, l'affaire fut conclue en quatre paroles. Il y avait une chambre, le locataire était parti le matin. Et le cabaretier, trÚs excité, se livra davantage, tout en répétant qu'il demandait seulement le possible aux patrons, sans exiger, comme tant d'autres, des choses trop dures à obtenir. Sa femme haussait les épaules, voulait son droit, absolument. - Bonsoir, interrompit Maheu. Tout ça n'empÃÂȘchera pas qu'on descende, et tant qu'on descendra, il y aura du monde qui en crÚvera... Regarde, te voilà gaillard, depuis trois ans que tu en es sorti. - Oui, je me suis beaucoup refait, déclara Rasseneur complaisamment. Etienne alla jusqu'à la porte, remerciant le mineur qui partait; mais celui-ci hochait la tÃÂȘte, sans ajouter un mot, et le jeune homme le regarda monter péniblement le chemin du coron. Mme Rasseneur, en train de servir des clients, venait de le prier d'attendre une minute, pour qu'elle le conduisÃt à sa chambre, oÃÂč il se débarbouillerait. Devait-il rester? Une hésitation l'avait repris, un malaise qui lui faisait regretter la liberté des grandes routes, la faim au soleil, soufferte avec la joie d'ÃÂȘtre son maÃtre. Il lui semblait qu'il avait vécu là des années, depuis son arrivée sur le terri, au milieu des bourrasques, jusqu'aux heures passées sous la terre, à plat ventre dans les galeries noires. Et il lui répugnait de recommencer, c'était injuste et trop dur, son orgueil d'homme se révoltait, à l'idée d'ÃÂȘtre une bÃÂȘte qu'on aveugle et qu'on écrase. Pendant qu'Etienne se débattait ainsi, ses yeux, qui erraient sur la plaine immense, peu à peu l'aperçurent. Il s'étonna, il ne s'était pas figuré l'horizon de la sorte, lorsque le vieux Bonnemort le lui avait indiqué du geste, au fond des ténÚbres. Devant lui, il retrouvait bien le Voreux, dans un pli de terrain, avec ses bùtiments de bois et de briques, le criblage goudronné, le beffroi couvert d'ardoises, la salle de la machine et la haute cheminée d'un rouge pùle, tout cela tassé, l'air mauvais. Mais, autour des bùtiments, le carreau s'étendait, et il ne se l'imaginait pas si large, changé en un lac d'encre par les vagues montantes du stock de charbon, hérissé des hauts chevalets qui portaient les rails des passerelles, encombré dans un coin de la provision des bois, pareille à la moisson d'une forÃÂȘt fauchée. Vers la droite, le terri barrait la vue, colossal comme une barricade de géants, déjà couvert d'herbe dans sa partie ancienne, consumé à l'autre bout par un feu intérieur qui brûlait depuis un an, avec une fumée épaisse, en laissant à la surface, au milieu du gris blafard des schistes et des grÚs, de longues traÃnées de rouille sanglante. Puis, les champs se déroulaient, des champs sans fin de blé et de betteraves, nus à cette époque de l'année, des marais aux végétations dures, coupés de quelques saules rabougris, des prairies lointaines, que séparaient des files maigres de peupliers. TrÚs loin, de petites taches blanches indiquaient des villes, Marchiennes au nord, Montsou au midi; tandis que la forÃÂȘt de Vandame, à l'est, bordait l'horizon de la ligne violùtre de ses arbres dépouillés. Et, sous le ciel livide, dans le jour bas de cet aprÚs-midi d'hiver, il semblait que tout le noir du Voreux, toute la poussiÚre volante de la houille se fût abattue sur la plaine, poudrant les arbres, sablant les routes, ensemençant la terre. Etienne regardait, et ce qui le surprenait surtout, c'était un canal, la riviÚre de la Scarpe canalisée, qu'il n'avait pas vu dans la nuit. Du Voreux à Marchiennes, ce canal allait droit, un ruban d'argent mat de deux lieues, une avenue bordée de grands arbres, élevée au-dessus des bas terrains, filant à l'infini avec la perspective de ses berges vertes, de son eau pùle oÃÂč glissait l'arriÚre vermillonné des péniches. PrÚs de la fosse, il y avait un embarcadÚre, des bateaux amarrés, que les berlines des passerelles emplissaient directement. Ensuite, le canal faisait un coude, coupait de biais les marais; et toute l'ùme de cette plaine rase paraissait ÃÂȘtre là , dans cette eau géométrique qui la traversait comme une grande route, charriant la houille et le fer. Les regards d'Etienne remontaient du canal au coron, bùti sur le plateau, et dont il distinguait seulement les tuiles rouges. Puis, ils revenaient vers le Voreux, s'arrÃÂȘtaient, en bas de la pente argileuse, à deux énormes tas de briques, fabriquées et cuites sur place. Un embranchement du chemin de fer de la Compagnie passait derriÚre une palissade, desservant la fosse. On devait descendre les derniers mineurs de la coupe à terre. Seul, un wagon que poussaient des hommes jetait un cri aigu. Ce n'était plus l'inconnu des ténÚbres, les tonnerres inexplicables, les flamboiements d'astres ignorés. Au loin, les hauts fourneaux et les fours à coke avaient pùli avec l'aube. Il ne restait là , sans un arrÃÂȘt, que l'échappement de la pompe, soufflant toujours de la mÃÂȘme haleine grosse et longue, l'haleine d'un ogre dont il distinguait la buée grise maintenant, et que rien ne pouvait repaÃtre. Alors, Etienne, brusquement, se décida. Peut-ÃÂȘtre avait-il cru revoir les yeux clairs de Catherine, là -haut, à l'entrée du coron. Peut-ÃÂȘtre était-ce plutÎt un vent de révolte, qui venait du Voreux. Il ne savait pas, il voulait redescendre dans la mine pour souffrir et se battre, il songeait violemment à ces gens dont parlait Bonnemort, à ce dieu repu et accroupi, auquel dix mille affamés donnaient leur chair, sans le connaÃtre. DEUXIEME PARTIE II, I La propriété des Grégoire, la Piolaine, se trouvait à deux kilomÚtres de Montsou, vers l'est, sur la route de Joiselle. C'était une grande maison carrée, sans style, bùtie au commencement du siÚcle dernier. Des vastes terres qui en dépendaient d'abord, il ne restait qu'une trentaine d'hectares, clos de murs, d'un facile entretien. On citait surtout le verger et le potager, célÚbres par leurs fruits et leurs légumes, les plus beaux du pays. D'ailleurs, le parc manquait, un petit bois en tenait lieu. L'avenue de vieux tilleuls, une voûte de feuillage de trois cents mÚtres, plantée de la grille au perron, était une des curiosités de cette plaine rase, oÃÂč l'on comptait les grands arbres, de Marchiennes à Beaugnies. Ce matin-là , les Grégoire s'étaient levés à huit heures. D'habitude, ils ne bougeaient guÚre qu'une heure plus tard, dormant beaucoup, avec passion; mais la tempÃÂȘte de la nuit les avait énervés. Et, pendant que son mari était allé voir tout de suite si le vent n'avait pas fait de dégùts, Mme Grégoire venait de descendre à la cuisine, en pantoufles et en peignoir de flanelle. Courte, grasse, ùgée déjà de cinquante-huit ans, elle gardait une grosse figure poupine et étonnée, sous la blancheur éclatante de ses cheveux. - Mélanie, dit-elle à la cuisiniÚre, si vous faisiez la brioche ce matin, puisque la pùte est prÃÂȘte. Mademoiselle ne se lÚvera pas avant une demi-heure, et elle en mangerait avec son chocolat... Hein! ce serait une surprise. La cuisiniÚre, vieille femme maigre qui les servait depuis trente ans, se mit à rire. - Ca, c'est vrai, la surprise serait fameuse... Mon fourneau est allumé, le four doit ÃÂȘtre chaud; et puis, Honorine va m'aider un peu. Honorine, une fille d'une vingtaine d'années, recueillie enfant et élevée à la maison, servait maintenant de femme de chambre. Pour tout personnel, outre ces deux femmes, il n'y avait que le cocher, Francis, chargé des gros ouvrages. Un jardinier et une jardiniÚre s'occupaient des légumes, des fruits, des fleurs et de la basse-cour. Et, comme le service était patriarcal, d'une douceur familiÚre, ce petit monde vivait en bonne amitié. Mme Grégoire, qui avait médité dans son lit la surprise de la brioche, resta pour voir mettre la pùte au four. La cuisine était immense, et on la devinait la piÚce importante, à sa propreté extrÃÂȘme, à l'arsenal des casseroles, des ustensiles, des pots qui l'emplissaient. Cela sentait bon la bonne nourriture. Des provisions débordaient des rùteliers et des armoires. - Et qu'elle soit bien dorée, n'est-ce pas? recommanda Mme Grégoire en passant dans la salle à manger. Malgré le calorifÚre qui chauffait toute la maison, un feu de houille égayait cette salle. Du reste, il n'y avait aucun luxe la grande table, les chaises, un buffet d'acajou; et, seuls, deux fauteuils profonds trahissaient l'amour du bien-ÃÂȘtre, les longues digestions heureuses. On n'allait jamais au salon, on demeurait là , en famille. Justement, M. Grégoire rentrait, vÃÂȘtu d'un gros veston de futaine, rose lui aussi pour ses soixante ans, avec de grands traits honnÃÂȘtes et bons, dans la neige de ses cheveux bouclés. Il avait vu le cocher et le jardinier aucun dégùt important, rien qu'un tuyau de cheminée abattu. Chaque matin, il aimait à donner un coup d'oeil à la Piolaine, qui n'était pas assez grande pour lui causer des soucis, et dont il tirait tous les bonheurs du propriétaire. - Et Cécile? demanda-t-il, elle ne se lÚve donc pas, aujourd'hui? - Je n'y comprends rien, répondit sa femme. Il me semblait l'avoir entendue remuer. Le couvert était mis, trois bols sur la nappe blanche. On envoya Honorine voir ce que devenait Mademoiselle. Mais elle redescendit aussitÎt, retenant des rires, étouffant sa voix, comme si elle eût parlé en haut, dans la chambre. - Oh! si monsieur et madame voyaient mademoiselle!... Elle dort, oh! elle dort, ainsi qu'un Jésus... On n'a pas idée de ça, c'est un plaisir à la regarder. Le pÚre et la mÚre échangeaient des regards attendris. Il dit en souriant - Viens-tu voir? - Cette pauvre mignonne! murmura-t-elle. J'y vais. Et ils montÚrent ensemble. La chambre était la seule luxueuse de la maison, tendue de soie bleue, garnie de meubles laqués, blancs à filets bleus, un caprice d'enfant gùtée satisfait par les parents. Dans les blancheurs vagues du lit, sous le demi-jour qui tombait de l'écartement d'un rideau, la jeune fille dormait, une joue appuyée sur son bras nu. Elle n'était pas jolie, trop saine, trop bien portante, mûre à dix-huit ans; mais elle avait une chair superbe, une fraÃcheur de lait, avec ses cheveux chùtains, sa face ronde au petit nez volontaire, noyé entre les joues. La couverture avait glissé, et elle respirait si doucement, que son haleine ne soulevait mÃÂȘme pas sa gorge déjà lourde. - Ce maudit vent l'aura empÃÂȘchée de fermer les yeux, dit la mÚre doucement. Le pÚre, d'un geste, lui imposa silence. Tous les deux se penchaient, regardaient avec adoration, dans sa nudité de vierge, cette fille si longtemps désirée, qu'ils avaient eue sur le tard, lorsqu'ils ne l'espéraient plus. Ils la voyaient parfaite, point trop grasse, jamais assez bien nourrie. Et elle dormait toujours, sans les sentir prÚs d'elle, leur visage contre le sien. Pourtant, une onde légÚre troubla sa face immobile. Ils tremblÚrent qu'elle ne s'éveillùt, ils s'en allÚrent sur la pointe des pieds. - Chut! dit M. Grégoire à la porte. Si elle n'a pas dormi, il faut la laisser dormir. - Tant qu'elle voudra, la mignonne, appuya Mme Grégoire. Nous attendrons. Ils descendirent, s'installÚrent dans les fauteuils de la salle à manger; tandis que les bonnes, riant du gros sommeil de Mademoiselle, tenaient sans grogner le chocolat sur le fourneau. Lui, avait pris un journal; elle, tricotait un grand couvre-pieds de laine. Il faisait trÚs chaud, pas un bruit ne venait de la maison muette. La fortune des Grégoire, quarante mille francs de rentes environ, était tout entiÚre dans une action des mines de Montsou. Ils en racontaient avec complaisance l'origine, qui partait de la création mÃÂȘme de la Compagnie. Vers le commencement du dernier siÚcle, un coup de folie s'était déclaré, de Lille à Valenciennes, pour la recherche de la houille. Les succÚs des concessionnaires qui devaient plus tard former la Compagnie d'Anzin, avaient exalté toutes les tÃÂȘtes. Dans chaque commune, on sondait le sol; et les sociétés se créaient, et les concessions poussaient en une nuit. Mais, parmi les entÃÂȘtés de l'époque, le baron Desrumaux avait certainement laissé la mémoire de l'intelligence la plus héroïque. Pendant quarante années, il s'était débattu sans faiblir, au milieu de continuels obstacles premiÚres recherches infructueuses, fosses nouvelles abandonnées au bout de longs mois de travail, éboulements qui comblaient les trous, inondations subites qui noyaient les ouvriers, centaines de mille francs jetés dans la terre; puis, les tracas de l'administration, les paniques des actionnaires, la lutte avec les seigneurs terriens, résolus à ne pas reconnaÃtre les concessions royales, si l'on refusait de traiter d'abord avec eux. Il venait enfin de fonder la société Desrumaux, Fauquenoix et Cie, pour exploiter la concession de Montsou, et les fosses commençaient à donner de faibles bénéfices, lorsque deux concessions voisines, celle de Cougny, appartenant au comte de Cougny, et celle de Joiselle, appartenant à la société Cornille et Jenard, avaient failli l'écraser sous le terrible assaut de leur concurrence. Heureusement, le 25 août 1760, un traité intervenait entre les trois concessions et les réunissait en une seule. La Compagnie des mines de Montsou était créée, telle qu'elle existe encore aujourd'hui. Pour la répartition, on avait divisé, d'aprÚs l'étalon de la monnaie du temps, la propriété totale en vingt-quatre sous, dont chacun se subdivisait en douze deniers, ce qui faisait deux cent quatre-vingt-huit deniers; et, comme le denier était de dix mille francs, le capital représentait une somme de prÚs de trois millions. Desrumeaux, agonisant, mais vainqueur, avait eu, dans le partage, six sous et trois deniers. En ces années-là le baron possédait la Piolaine, d'oÃÂč dépendaient trois cents hectares, et il avait à son service, comme régisseur, Honoré Grégoire, un garçon de la Picardie, l'arriÚre-grand-pÚre de Léon Grégoire, pÚre de Cécile. Lors du traité de Montsou, Honoré, qui cachait dans un bas une cinquantaine de mille francs d'économies, céda en tremblant à la foi inébranlable de son maÃtre. Il sortit dix mille livres de beaux écus, il prit un denier, avec la terreur de voler ses enfants de cette somme. Son fils EugÚne toucha en effet des dividendes fort minces; et, comme il s'était mis bourgeois et qu'il avait eu la sottise de manger les quarante autres mille francs de l'héritage paternel dans une association désastreuse, il vécut assez chichement. Mais les intérÃÂȘts du denier montaient peu à peu, la fortune commença avec Félicien, qui put réaliser un rÃÂȘve dont son grand-pÚre, l'ancien régisseur, avait bercé son enfance l'achat de la Piolaine démembrée, qu'il eut comme bien national, pour une somme dérisoire. Cependant, les années qui suivirent furent mauvaises, il fallut attendre le dénouement des catastrophes révolutionnaires, puis la chute sanglante de Napoléon. Et ce fut Léon Grégoire qui bénéficia, dans une progression stupéfiante, du placement timide et inquiet de son bisaïeul. Ces dix pauvres mille francs grossissaient, s'élargissaient, avec la prospérité de la Compagnie. DÚs 1820, ils rapportaient cent pour cent, dix mille francs. En 1844, ils en produisaient vingt mille; en 1850, quarante. Il y avait deux ans enfin, le dividende était monté au chiffre prodigieux de cinquante mille francs la valeur du denier, coté à la Bourse de Lille un million, avait centuplé en un siÚcle. M. Grégoire, auquel on conseillait de vendre, lorsque ce cours d'un million fut atteint, s'y était refusé, de son air souriant et paterne. Six mois plus tard, une crise industrielle éclatait, le denier retombait à six cent mille francs. Mais il souriait toujours, il ne regrettait rien, car les Grégoire avaient maintenant une foi obstinée en leur mine. Ca remonterait, Dieu n'était pas si solide. Puis, à cette croyance religieuse, se mÃÂȘlait une profonde gratitude pour une valeur, qui, depuis un siÚcle, nourrissait la famille à ne rien faire. C'était comme une divinité à eux, que leur égoïsme entourait d'un culte, la bienfaitrice du foyer, les berçant dans leur grand lit de paresse, les engraissant à leur table gourmande. De pÚre en fils, cela durait pourquoi risquer de mécontenter le sort, en doutant de lui? Et il y avait, au fond de leur fidélité, une terreur superstitieuse, la crainte que le million du denier ne se fût brusquement fondu, s'ils l'avaient réalisé et mis dans un tiroir. Ils le voyaient plus à l'abri dans la terre, d'oÃÂč un peuple de mineurs, des générations d'affamés l'extrayaient pour eux, un peu chaque jour, selon leurs besoins. Du reste, les bonheurs pleuvaient sur cette maison. M. Grégoire, trÚs jeune, avait épousé la fille d'un pharmacien de Marchiennes, une demoiselle laide, sans un sou, qu'il adorait et qui lui avait tout rendu, en félicité. Elle s'était enfermée dans son ménage, extasiée devant son mari, n'ayant d'autre volonté que la sienne; jamais des goûts différents ne les séparaient, un mÃÂȘme idéal de bien-ÃÂȘtre confondait leurs désirs; et ils vivaient ainsi depuis quarante ans, de tendresse et de petits soins réciproques. C'était une existence réglée, les quarante mille francs mangés sans bruit, les économies dépensées pour Cécile, dont la naissance tardive avait un instant bouleversé le budget. Aujourd'hui encore, ils contentaient chacun de ses caprices un second cheval, deux autres voitures, des toilettes venues de Paris. Mais ils goûtaient là une joie de plus, ils ne trouvaient rien de trop beau pour leur fille, avec une telle horreur personnelle de l'étalage, qu'ils avaient gardé les modes de leur jeunesse. Toute dépense qui ne profitait pas leur semblait stupide. Brusquement, la porte s'ouvrit, et une voix forte cria - Eh bien! quoi donc, on déjeune sans moi! C'était Cécile, au saut du lit, les yeux gonflés de sommeil. Elle avait simplement relevé ses cheveux et passé un peignoir de laine blanche. - Mais non, dit la mÚre, tu vois qu'on t'attendait... Hein? ce vent a dû t'empÃÂȘcher de dormir, pauvre mignonne!! La jeune fille la regarda, trÚs surprise. - Il a fait du vent?... Je n'en sais rien, je n'ai pas bougé de la nuit. Alors, cela leur sembla drÎle, tous les trois se mirent à rire; et les bonnes, qui apportaient le déjeuner, éclatÚrent aussi, tellement l'idée que Mademoiselle avait dormi d'un trait ses douze heures, égayait la maison. La vue de la brioche acheva d'épanouir les visages. - Comment! elle est donc cuite? répétait Cécile. En voilà une attrape qu'on me fait!... C'est ça qui va ÃÂȘtre bon, tout chaud, dans le chocolat! Ils s'attablaient enfin, le chocolat fumait dans les bols, on ne parla longtemps que de la brioche. Mélanie et Honorine restaient, donnaient les détails sur la cuisson, les regardaient se bourrer, les lÚvres grasses, en disant que c'était un plaisir de faire un gùteau, quand on voyait les maÃtres le manger si volontiers. Mais les chiens aboyÚrent violemment on crut qu'ils annonçaient la maÃtresse de piano, qui venait de Marchiennes le lundi et le vendredi. Il venait aussi un professeur de littérature. Toute l'instruction de la jeune fille s'était ainsi faite à la Piolaine, dans une ignorance heureuse, dans des caprices d'enfant, jetant le livre par la fenÃÂȘtre, dÚs qu'une question l'ennuyait. - C'est M. Deneulin, dit Honorine en rentrant. DerriÚre elle, Deneulin, un cousin de M. Grégoire, parut sans façon, le verbe haut, le geste vif, avec une allure d'ancien officier de cavalerie. Bien qu'il eût dépassé la cinquantaine, ses cheveux coupés ras et ses grosses moustaches étaient d'un noir d'encre. - Oui, c'est moi, bonjour... Ne vous dérangez donc pas! Il s'était assis, pendant que la famille s'exclamait. Elle finit par se remettre à son chocolat. - Est-ce que tu as quelque chose à me dire? demanda M. Grégoire. - Non, rien du tout, se hùta de répondre Deneulin. Je suis sorti
Apprivoiserla douleur chronique avec l'ACT - Guide de pratique en 10 modules de FrĂ©dĂ©rick Dionne - Collection Les ateliers du praticien - Livraison gratuite Ă  0,01€ dĂšs 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ 
La prise en charge de la douleur chronique peut ĂȘtre une source de confusion pour le patient et le mĂ©decin. Parce que de nombreux mĂ©dicaments sont maintenant disponibles pour traiter la douleur chronique, il est gĂ©nĂ©ralement une perspective ahurissante pour eux de trouver le plus bĂ©nĂ©fique. Certains patients croient que le meilleur moyen de traiter la douleur est de passer directement aux mĂ©dicaments opioĂŻdes, et certains ne prendraient jamais d’opioĂŻdes, peu importe l’intensitĂ© de leur douleur. Pour les mĂ©decins, un systĂšme Ă©tait nĂ©cessaire pour tirer le maximum de soulagement de la douleur des analgĂ©siques rĂ©soudre ce problĂšme, l’Organisation mondiale de la santĂ© a dĂ©veloppĂ© l’échelle de la douleur. Ceci est une approche systĂ©matique pour les mĂ©dicaments contre la douleur, leur administration et le soulagement de la douleur. Il implique d’augmenter lentement la quantitĂ© de mĂ©dicaments utilisĂ©s, et il se termine par les opioĂŻdes les plus forts disponibles. En faisant travailler un patient sur l’échelle de la douleur, les mĂ©decins et les patients peuvent trouver le meilleur cocktail qui contrĂŽle la douleur avec le moins d’opioĂŻdes AnalgĂ©siques non-opioĂŻdes2 AnalgĂ©siques adjuvants3 Faibles opioĂŻdes4 Puissants opioĂŻdes5 Grimper Ă  l’échelle AnalgĂ©siques non-opioĂŻdes Les analgĂ©siques non-opioĂŻdes sont gĂ©nĂ©ralement les mĂ©dicaments trouvĂ©s sur le comptoir. Par exemple, les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens, tels que Advil et Aleve, doivent ĂȘtre utilisĂ©s en premier lorsque l’on tente de traiter la douleur d’un patient. Les analgĂ©siques non opioĂŻdes, tels que l’ibuprofĂšne Ă  forte dose, constituent Ă©galement une premiĂšre Ă©tape importante dans l’échelle de la douleur. Certains patients ont un grand soulagement de la douleur avec ces mĂ©dicaments, mais certains ne ressentent aucun effet. Des mĂ©dicaments anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens puissants sont Ă©galement disponibles sur ordonnance, tels que Celebrex et Voltaren, et font Ă©galement partie de cet Ă©chelon. Ils peuvent parfois traiter la douleur alors que d’autres ne le font pas. L’aspirine et l’acĂ©taminophĂšne ne doivent pas non plus ĂȘtre ignorĂ©s, car ils peuvent aider certains patients souffrant de douleurs lĂ©gĂšres. AnalgĂ©siques adjuvants Les analgĂ©siques adjuvants sont les nouveaux membres de la famille de l’échelle antidouleur. Ce sont des mĂ©dicaments qui sont traditionnellement utilisĂ©s pour d’autres conditions, en particulier la dĂ©pression et les convulsions. Bien que l’utilisation de ces mĂ©dicaments pour la douleur soit un concept nouveau, les chercheurs ont testĂ© leur efficacitĂ© en tant qu’analgĂ©siques pendant une longue pĂ©riode. Par exemple, les antidĂ©presseurs tricycliques, tels que l’amitriptyline, ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s pendant des dĂ©cennies pour leur utilisation contre la douleur chronique. Les nouveaux mĂ©dicaments de dĂ©pression sont Ă©galement utilisĂ©s pour soulager la douleur. En fait, Cymbalta est le premier mĂ©dicament approuvĂ© pour le traitement de la douleur chronique. Les mĂ©dicaments anti-Ă©pileptiques sont utiles, en particulier pour la douleur liĂ©e aux nerfs. La capacitĂ© de la gabapentine Ă  traiter la neuropathie pĂ©riphĂ©rique a Ă©tĂ© bien documentĂ©e, mais les mĂ©dicaments rĂ©cents dans cette catĂ©gorie, tels que Lyrica, sont encore plus efficaces en tant que traitements. Lorsque ces mĂ©dicaments sont associĂ©s Ă  un analgĂ©sique non opioĂŻde, ils peuvent souvent contrĂŽler la manifestation de la douleur chronique. Faibles opioĂŻdes Les opioĂŻdes faibles sont des mĂ©dicaments qui contiennent une petite quantitĂ© de mĂ©dicaments narcotiques, mais ils sont gĂ©nĂ©ralement combinĂ©s pharmacologiquement avec un analgĂ©sique non opioĂŻde. Les mĂ©dicaments de ce sous-groupe comprennent la codĂ©ine, le Darvocet, la dihydrocodĂ©ine et le Tramadol. Ces mĂ©dicaments sont gĂ©nĂ©ralement prescrits pour la douleur lĂ©gĂšre, mais quand ils sont combinĂ©s avec les analgĂ©siques non-opioĂŻdes et adjuvants, ils soulagent souvent complĂštement la douleur. Les opioĂŻdes les plus faibles ont moins de risques d’effets secondaires, tels que la nausĂ©e, la constipation et la sĂ©dation. Ils ont Ă©galement moins de risque de dĂ©pendance, ce qui les rend attrayants comme traitement pour les maladies chroniques. C’est l’effet combinĂ© de ce mĂ©dicament avec les deux catĂ©gories prĂ©cĂ©dentes qui forme un cocktail qui est trĂšs efficace contre la douleur modĂ©rĂ©e Ă  sĂ©vĂšre. Puissants opioĂŻdes Les opioĂŻdes forts sont utilisĂ©s lorsque les mĂ©dicaments antĂ©rieurs ne parviennent pas Ă  contrĂŽler la douleur. Ces mĂ©dicaments comprennent la morphine, l’hydrocodone, l’oxycodone et le fentanyl, entre autres. Lors de la prescription de ces mĂ©dicaments, l’opioĂŻde le plus faible est remplacĂ© par le plus fort, et le non-opioĂŻde et l’adjuvant restent en place. Cela permet au prescripteur d’utiliser le moins possible d’opioĂŻde fort. Bien sĂ»r, l’utilisation d’opioĂŻdes forts a des effets secondaires. De nombreux patients rapportent ressentir des nausĂ©es et la sĂ©dation est souvent sĂ©vĂšre. En outre, la constipation est une prĂ©occupation importante, car les opioĂŻdes Ă  forte dose peuvent ralentir le tractus gastro-intestinal. Ceci est gĂ©nĂ©ralement adressĂ© avec adoucisseurs de selles et laxatifs. La possibilitĂ© de dĂ©pendance est plus grande avec ces mĂ©dicaments, mĂȘme si elle est moins probable lorsqu’ils sont pris comme prescrit. Grimper Ă  l’échelle L’échelle de la douleur est utilisĂ©e de maniĂšre systĂ©matique pour obtenir le meilleur soulagement possible de la douleur avec les mĂ©dicaments les moins puissants. Tous les patients souffrant de douleur sont initialement commencĂ©s avec des non-opioĂŻdes. En fait, ils peuvent ĂȘtre automĂ©dication avec eux sur le comptoir, mais les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens de force de prescription devraient encore ĂȘtre tentĂ©s pour l’efficacitĂ©. Si elles ne fonctionnent pas, un adjuvant est ajoutĂ©. De nombreux adjuvants sont spĂ©cifiques Ă  la douleur nerveuse, et ils peuvent ne pas ĂȘtre utiles pour d’autres conditions. De plus, certains adjuvants entraĂźnent des effets secondaires graves, ils doivent donc ĂȘtre utilisĂ©s avec prĂ©caution. L’étape suivante consiste Ă  ajouter un opiacĂ© faible au cocktail actuel. Certains chercheurs s’interrogent sur l’utilitĂ© de cette Ă©tape car de nombreux opiacĂ©s faibles sont inefficaces et comportent le risque de certaines toxicitĂ©s. Cependant, leur faible risque de dĂ©pendance en fait une alternative viable avant d’utiliser des opiacĂ©s plus forts. La derniĂšre Ă©tape consiste Ă  utiliser des opiacĂ©s forts, en commençant par de trĂšs petites doses. Le dosage est ensuite augmentĂ© jusqu’à ce que la douleur soit contrĂŽlĂ©e ou que les effets secondaires soient intolĂ©rables. Ce mĂ©dicament est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© Ă  cĂŽtĂ© de l’adjuvant et non-opioĂŻde pour attaquer la douleur sous autant d’angles que possible. No votes yet. Please wait...
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Le systĂšme allemand de passeport pour les vaccins restreint les libertĂ©s en fonction des niveaux de code couleur et du statut de rappel du vaccinLundi 15 aoĂ»t 2022 par Lance D JohnsonNatural News AprĂšs avoir imposĂ© de multiples expĂ©riences mĂ©dicales sur la population et blessĂ© et tuĂ© un certain pourcentage de la population, le ministre allemand de la SantĂ©, Karl Lauterbach, annonce un nouveau systĂšme de passeport vaccinal Ă  code couleur qui restreint les libertĂ©s individuelles en fonction du l'Ă©tat de l'amplificateur ». Les personnes qui n'ont pas Ă©tĂ© "fraĂźchement vaccinĂ©es" au cours des trois derniers mois sont soumises Ă  des restrictions dans toute la sociĂ©tĂ© allemande. Chaque fois qu'une personne se conforme Ă  un nouveau coup de rappel, elle rĂ©cupĂšre ses libertĂ©s». Ce nouveau systĂšme est dĂ©ployĂ© dans le cadre de la loi sur la protection contre les infections» tyrannie des passeports vaccinaux s'intensifie en Allemagne alors que des citoyens bien conditionnĂ©s deviennent de vĂ©ritables esclavesLa nouvelle application de passeport vaccinal est surnommĂ©e Corona-Warn-App CWA. Il attribue une couleur spĂ©cifique aux personnes qui se sont conformĂ©es Ă  la derniĂšre sĂ©rie de coups de rappel. Les personnes qui n'affichent pas cette couleur sur leur application seront menacĂ©es de mandats de masque, d'exigences de test et d'isolement, entre autres actes discriminatoires restrictifs que le gouvernement allemand concocte Ă  tout qui ne sont pas fraĂźchement boostĂ©s » avec des inoculations COVID se voient attribuer une couleur en fonction de leur statut de vaccination indigne. Le systĂšme de passeport pour les vaccins de style PCC attribue plusieurs niveaux de droits » en fonction de la conformitĂ© d'une personne Ă  la dictature mĂ©dicale actuelle. Les esclaves citoyens qui ont survĂ©cu Ă  plusieurs sĂ©ries de coups COVID doivent toujours porter des masques, doivent toujours montrer la preuve d'un test COVID nĂ©gatif et prendre d'autres ordres du gouvernement s'ils n'ont pas Ă©tĂ© fraĂźchement vaccinĂ©s» au cours des trois derniers mois. Dans certains cas, l'application accepte un test COVID nĂ©gatif Ă  la place d'un rappel rĂ©cent, accordant la couleur dont une personne a besoin pour renoncer aux mandats de masque et aux ordonnances d'isolement. Le Berliner Zeitung a dĂ©clarĂ© que la nouvelle application de passeport pour les vaccins "accorderait des droits diffĂ©rents Ă  l'avenir" en fonction des derniĂšres "orientations de santĂ© publique".RĂ©pondreSupprimerEn relation le taux de natalitĂ© en Allemagne chute de maniĂšre improbable de 11% au premier trimestre 2022.Les passeports de vaccination sont le terrain d'essai pour dĂ©noncer sa foi et dĂ©clarer l'obĂ©issance aux mauvaises et fausses autoritĂ©sLa mise Ă  jour de l'application allemande est similaire au systĂšme de passeport de vaccin Ă  code couleur de la Chine. Un feu vert permet aux citoyens-esclaves de se dĂ©placer librement. Le code jaune leur refuse l'accĂšs Ă  la sociĂ©tĂ©, ordonnant au citoyen esclave de rester chez lui pendant sept jours. Le code rouge est Ă©mis pour enfermer les citoyens esclaves pendant deux semaines Ă  la fois. Lauterbach a dĂ©clarĂ© que l'Allemagne modifierait les rĂšgles et fermerait l'exemption de masque si trop de personnes fraĂźchement vaccinĂ©es "profitent" de la couleur qui leur est piqĂ»res COVID n'ont jamais Ă©tĂ© des vaccinations, pour commencer. Les individus sans discernement apprennent Ă  leurs dĂ©pens ce qui se passe rĂ©ellement dans le monde. Les piqĂ»res COVID dĂ©truisent le systĂšme immunitaire et provoquent une inflammation des systĂšmes d'organes vitaux du corps. Ils sont utilisĂ©s comme outil de tromperie pour dĂ©truire la santĂ© humaine et asservir les populations. C'est du contrĂŽle mental. Il s'agit de tester l'intĂ©gritĂ© et la foi des gens. Les applications de passeport pour les vaccins ne sont que le terrain d'essai d'un contrĂŽle psychologique et d'une oppression spirituelle pays commencent Ă  dĂ©ployer des identifiants numĂ©riques et des dispositifs de surveillance tels que des bracelets et des bracelets de cheville. Ce systĂšme totalitaire va finalement exiger le respect de croyances encore plus sinistres et contrĂŽlantes, ce qui nĂ©cessitera davantage d'obĂ©issance corporelle, de surveillance biologique, de cotes de crĂ©dit social et d'agenouillement perpĂ©tuel devant de fausses autoritĂ©s dĂ©moniaques. En fin de compte, ce systĂšme consiste Ă  dĂ©noncer sa foi et Ă  consacrer sa vie Ă  un gouvernement mondial trompeur et abusif. C'est un systĂšme impie de terreur psychologique et d'obĂ©issance au meurtre de sources comprennent me rappelle de cette phrase dite par Claude Pieplu au dessin animĂ© 'Les shadocks' "La maladie est malade !"Comme quoi on ne s'est jamais demandĂ© auparavant si elle pouvait ĂȘtre en bonne santĂ© !SupprimerLe CDC plaide l'ignorance du lien entre les piqĂ»res COVID et l'inflammation cardiaqueLundi 15 aoĂ»t 2022 par Ethan HuffNatural News ImmĂ©diatement aprĂšs le lancement de l'opĂ©ration Warp Speed ​​à la fin de 2020, les taux de myocardite, de pĂ©ricardite et d'autres formes d'inflammation cardiaque ont commencĂ© Ă  monter en flĂšche. Mais selon les Centers for Disease Control and Prevention CDC, il n'y a aucun lien connu entre ces conditions de santĂ© et les "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan COVID-19.En rĂ©ponse Ă  une demande de la Freedom of Information Act FOIA demandant des rapports du CDC sur le risque post-injection d'inflammation cardiaque, la sociĂ©tĂ© privĂ©e se faisant passer pour une agence de santĂ© publique a plaidĂ© l'ignorance Ă  ce sujet, affirmant qu'elle n'avait aucune idĂ©e que les vaccins contre la grippe Fauci pourrait endommager le cƓur du CDC qui a rĂ©pondu Ă  la demande de la FOIA a dĂ©clarĂ© qu'elle s'appuyait sur les donnĂ©es du systĂšme gouvernemental de notification des Ă©vĂ©nements indĂ©sirables liĂ©s aux vaccins VAERS, qui est cogĂ©rĂ© par le CDC et la Food and Drug Administration FDA. Ils ont utilisĂ© le systĂšme de signalement passif pour examiner les blessures liĂ©es au coup signalĂ©es entre le 2 avril 2021 et le 2 octobre 2021. Le Centre national des maladies infectieuses zoonotiques Ă©mergentes a effectuĂ© une recherche dans nos dossiers qui n'a rĂ©vĂ©lĂ© aucun document relatif Ă  votre demande », a dĂ©clarĂ© Roger Andoh, un responsable des dossiers du CDC, Ă  Epoch Times, ajoutant qu' une association entre la myocardite et l'ARNm COVID -19 la vaccination n'Ă©tait pas connue Ă  ce chef du CDC nie le lien entre les injections de COVID et l'inflammation cardiaqueLes autoritĂ©s israĂ©liennes et l'armĂ©e amĂ©ricaine ont Ă©tĂ© les premiĂšres Ă  rendre compte publiquement des injections de COVID provoquant une inflammation cardiaque. Ils l'ont fait en avril 2021, bien avant que le CDC ne prenne mĂȘme la peine de reconnaĂźtre un tel Walensky, la directrice du CDC dont le mari a rĂ©coltĂ© des millions de subventions» gouvernementales corrompues, a affirmĂ© qu'aprĂšs avoir examinĂ© la question, aucun signal de sĂ©curitĂ© n'a Ă©tĂ© trouvĂ© reliant les coups Ă  la myocardite ou Ă  la a fallu attendre fin juin de cette annĂ©e pour que le CDC admette enfin que les donnĂ©es disponibles "suggĂšrent en fait une association avec la vaccination". Au moment oĂč aoĂ»t est arrivĂ©, le CDC a en fait commencĂ© Ă  utiliser le mot dommage» pour dĂ©crire la savons pertinemment que Walensky et le reste de son espĂšce au CDC ont menti au public amĂ©ricain tout ce temps. Ils savaient depuis le dĂ©but que les tirs Ă©taient mortels, mais ils ont jouĂ© les idiots Ă  ce sujet."Soit la main droite ne sait pas ce que fait la main gauche au CDC, soit les responsables fĂ©dĂ©raux de la santĂ© diffusent des informations erronĂ©es sur ce qu'ils savaient sur la myocardite aprĂšs les vaccins ARNm COVID et quand ils l'ont su", a dĂ©clarĂ© Barbara Loe Fisher, co-fondateur et prĂ©sident du Centre national d'information sur les vaccins NVIC.Selon Fisher, l'affirmation du CDC selon laquelle il ne connaissait aucun lien de ce type entre les injections et l'inflammation cardiaque "est manifestement fausse".Le sĂ©nateur Ron Johnson R-Wisc. A abordĂ© directement la rĂ©ponse FOIA du CDC, expliquant qu'elle "soulĂšve encore plus de questions sur l'honnĂȘtetĂ©, la transparence et l'utilisation, ou l'absence de celle-ci, de ses systĂšmes de surveillance de la sĂ©curitĂ©, tels que VAERS, pour dĂ©tecter les effets indĂ©sirables du vaccin COVID-19."J'ai envoyĂ© deux lettres au CDC concernant l'incapacitĂ© de l'agence Ă  trouver des documents dĂ©montrant son utilisation des systĂšmes de surveillance des vaccins", a-t-il ajoutĂ© dans un communiquĂ©. "À ce jour, le CDC n'a pas rĂ©pondu Ă  mes lettres."Une porte-parole du CDC a dĂ©clarĂ© au Times dans un e-mail que tout cela n'Ă©tait qu'un gros oopsie, et que le CDC n'avait qu'Ă  publier une "correction" Ă  ce sujet et tout ira soi-disant correction ne fera absolument rien pour annuler toutes les blessures et tous les dĂ©cĂšs qui se sont produits, mais c'est ainsi que les choses sont presque toujours traitĂ©es lorsque le gouvernement commet des crimes contre l' derniĂšre couverture mĂ©diatique sur les injections de virus chinois et les dommages prolifiques qu'elles causent Ă  la santĂ© humaine peut ĂȘtre trouvĂ©e sur sources de cet article incluent 2 drogue la plus dangereuse au monde n'est PAS la cocaĂŻne, l'hĂ©roĂŻne ou le crystal meth, mais plutĂŽt une drogue couramment prescrite par les mĂ©decins qui reçoivent de somptueuses primes pour l'avoir August 15, 2022 by WellsNatural News Cinquante fois plus forte que l'hĂ©roĂŻne pure, cette drogue a tuĂ© plus de 100 000 AmĂ©ricains l'annĂ©e derniĂšre, mĂȘme lorsqu'elle Ă©tait prise conformĂ©ment aux prescriptions de leur mĂ©decin charlatan qui vendait de la drogue. Ce factoĂŻde est selon le CDC. Cette drogue s'appelle le fentanyl, et c'est la drogue la plus dangereuse distribuĂ©e par les mĂ©decins agréés et par les trafiquants de drogue dans les rues d'AmĂ©rique. Le fentanyl est la vĂ©ritable pandĂ©mie en AmĂ©rique, pas le sur les rĂ©seaux sociaux, le fentanyl tue chaque annĂ©e plus de personnes que toute autre drogue, lĂ©gale ou illĂ©galeAutre forme de rĂ©ductionnisme dĂ©mographique, la drogue la plus dangereuse au monde est disponible presque partout. Vous avez mal ? Les mĂ©decins le distribuent. Vous voulez vous sentir bien ? Les trafiquants de drogue dans la rue le distribuent. Vous avez de l'argent ? Les adolescents et les jeunes adultes le trouvent sur les rĂ©seaux sociaux. Une dose lĂ©tale n'est que de 2 milligrammes. Cette quantitĂ© est souvent vendue en capsules dans la rue, par des personnes ayant des ordonnances qu'elles continuent Ă  renouveler inutilement. Dites simplement au mĂ©decin que vous avez mal et le tour est jouĂ©, vous ĂȘtes un trafiquant de drogue annĂ©e, cela s'aggrave de façon exponentielle. Une seule poignĂ©e peut tuer des centaines de personnes, et elle traverse la frontiĂšre sud des États-Unis plus rapidement qu'un camion rempli de synthĂ©tique n'a ni goĂ»t ni odeur. Les mĂ©decins l'utilisent pour les patients atteints de cancer afin de les endormir dans la mort. Les mĂ©decins prĂ©tendent que c'est un mĂ©dicament de dernier recours, mais ils le distribuent ensuite pour tout, de l'amygdalite aux maux de dos invĂ©rifiables. Les mĂ©decins laissent les patients remplir le mĂ©dicament jusqu'Ă  8 fois sans nouvelle visite au bureau. Saint-Louis est l'Ă©picentre de la pandĂ©mie amĂ©ricaine de fentanyl, et la vidĂ©o intĂ©grĂ©e au bas de cet article dĂ©taille l'horrible plupart des gens qui achĂštent de la drogue dans la rue reçoivent du fentanyl sans mĂȘme le savoir. Cela conduit Ă  des surdoses plus qu'autre chose. Les laboratoires en Chine proposent aux trafiquants de drogue de venir visiter et de voir comment c'est fait. Est-ce que ça se passe aussi aux USA ?RĂ©pondreSupprimerTout le monde peut commander du fentanyl sur les applications de mĂ©dias sociaux et les applications tĂ©lĂ©phoniques cryptĂ©esIl existe toute une liste de faux mĂ©dicaments sur ordonnance qui circulent Ă  travers le pays. Certaines personnes pensent qu'ils sont rĂ©els. Ils pensent qu'ils achĂštent le produit pharmaceutique prescrit par un mĂ©decin Ă  quelqu'un d'autre, alors qu'en rĂ©alitĂ©, un scientifique voyou ou un scientifique en herbe pensez Ă  Jesse de Breaking Bad ici le prĂ©pare dans son sous-sol ou son camping-car, puis le met dans des capsules et l'appelant quelque chose qui semble avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  entendu parler de quelques-uns d'entre eux percocet, xanax alias barres ou "benzos", adderall a-train ou "addy", ecstasy MDMA ou mollies, hydrocodone 357's et oxycodone 30's, 40's, 80's ou 'fait'. Parfois, le fentanyl est mĂ©langĂ© Ă  de la cocaĂŻne libre dans le crack et appelĂ© bleu ou applejack, ou cuit avec de l'hĂ©roĂŻne birria, ou concoctĂ© en laboratoire avec du crystal meth amp, bump ou 'crank', puis sniffĂ©, fumĂ©, avalĂ© ou injectĂ©. Certaines personnes les appellent 8 boules » ou boulets de canon ». Certains sont coupĂ©s mĂ©langĂ©s avec des laxatifs pour bĂ©bĂ©s et mĂȘme des non-consommables chargĂ©s de produits de ces concoctions contiennent de l'antigel ou un insecticide pour des effets hallucinatoires supplĂ©mentaires et une dĂ©pendance plus profonde. Plus la descente » est mauvaise, plus le toxicomane a besoin d'une autre solution. Big pharma le sait aussi. Les mĂ©decins qui les vendent comme ordonnances le savent mĂ©decins reçoivent des primes de dĂźner raffinĂ©es et des spiffs » d'argent pour des discours lors de congrĂšs de mĂ©decins/santĂ© sur l'efficacitĂ© du fentanyl contre la douleurCertains mĂ©decins auraient reçu plus de 10 000 $ juste pour imposer du fentanyl Ă  leurs patients. Des millions de dollars sont distribuĂ©s aux mĂ©decins de l'État pour l'Ă©linguer. Avez-vous des douleurs de quelque nature que ce soit ? Mal aux dents ? Maux de tĂȘte chroniques ? Mal au dos ou au cou ? Genoux blessĂ©s ? Les mĂ©decins amĂ©ricains ont du fentanyl pour vous, la drogue la plus dangereuse de la planĂšte qui peut vous tuer si vous ne prenez que 2 milligrammes. Achetez-le auprĂšs d'un ami, d'un parent ou d'un collĂšgue Ă  qui on l'a prescrit pour la douleur, et vous pourriez simplement ĂȘtre contaminĂ© par du fentanyl. Demandez simplement aux gens de Saint-Louis qui meurent en masse aprĂšs avoir pris du fentanyl sur ordonnance ». Regardez ce court documentaire et vous serez choquĂ© par la VRAIE PANDÉMIE qui se passe en AmĂ©rique - voir clip sur site -RĂ©pondreSupprimerRĂ©glez votre frĂ©quence frauduleuse sur pour obtenir la vĂ©ritĂ© sur la sĂ©curitĂ© nationale et les nouvelles sur le trafic de drogue qui sont censurĂ©es par le reste des mĂ©dias pendant que vous lisez for this article include États-Unis existeront-ils aprĂšs novembre ?De Paul Craig aoĂ»t 2022Le nazi en tant que procureur gĂ©nĂ©ral des États-Unis a dĂ©clarĂ© qu'il allait faire desceller le mandat qu'il a utilisĂ© pour justifier l'invasion agressive du domicile du prĂ©sident Trump par un FBI armĂ© et politisĂ©, piĂ©geant essentiellement des artistes pour le parti dĂ©mocrate question Ă  laquelle le procureur gĂ©nĂ©ral nazi ne rĂ©pond pas, et la question que les prĂ©posĂ©s Ă©vitent soigneusement de poser, est pourquoi le mandat contenant la cause probable de l'invasion sans prĂ©cĂ©dent de la maison d'un prĂ©sident amĂ©ricain a-t-il Ă©tĂ© scellĂ© en premier lieu ?Il ne fait aucun doute que l'explication officielle sera un mensonge, que les prĂ©stituĂ©s rĂ©pĂ©teront sans cesse dans leur tentative de transformer le mensonge en vĂ©ritĂ© par la rĂ©pĂ©tition, tout comme ils l'ont fait avec les armes de destruction massive de Saddam Hussein », l'utilisation d'armes chimiques par Assad, " À l' point de vue sur la situation est qu'il n'y a pas de cause probable. Voici un scĂ©nario qui peut se dĂ©rouler. Le FBI a emportĂ© quelques cartons de documents auxquels ils avaient prĂ©alablement accĂšs mais sans intĂ©rĂȘt. Une fois qu'ils auront dĂ©cidĂ© de la nature du coup montĂ© de Trump, ils insĂ©reront le document qu'ils utiliseront pour incriminer Trump dans l'une des cases. Ensuite, ils insĂ©reront dans le mandat la cause probable» qui justifie l'invasion de quoi tu dis. Le magistrat fĂ©dĂ©ral qui a fourni le mandat n'accepterait jamais un coup montĂ©. Comment savez-vous ? Le magistrat est le mĂȘme qui, apparemment sur ordre, a laissĂ© partir le pĂ©dophile Epstein la premiĂšre fois qu'il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Tout comme les dĂ©mocrates avides de pouvoir rĂ©volutionnaire ont armĂ© les agences de sĂ©curitĂ© amĂ©ricaines et les mĂ©dias pour en faire des armĂ©es contre leurs adversaires politiques, ils ont Ă©galement armĂ© les tribunaux en nommant des juges. Tout comme le FBI tentait de piĂ©ger le prĂ©sident Trump avec le Russiagate et avec un Jan. 6 insurrection », tout comme les procureurs gĂ©nĂ©raux du MJ, les procureurs et les juges fĂ©dĂ©raux. Le systĂšme judiciaire amĂ©ricain est aussi corrompu que partie Ă©veillĂ©e de la population, les AmĂ©ricains suffisamment intelligents pour pouvoir penser indĂ©pendamment de ce que CNN, NPR, NBC, le NYTimes et le reste des presstitutes leur collent Ă  la tĂȘte, sont furieux contre les anti-amĂ©ricanismes remparts de Biden. Pour n'en citer que quelques-uns l'ouverture des frontiĂšres inondant le pays d'immigrants envahisseurs et les charges sociales, la criminalitĂ© et le vote illĂ©gal qui y sont associĂ©s ; poursuites politiques des opposants ; conflit gratuit avec la Russie, la Chine et l'Iran ; la diabolisation des AmĂ©ricains blancs en tant que racistes ; les confinements illĂ©gaux et les mandats de vaccination ; le feu vert donnĂ© Ă  la perversion sexuelle ; l'imposition d'une formation Ă  la sensibilitĂ© et de la thĂ©orie critique de la race aux enfants blancs dans les Ă©coles publiques et aux membres blancs de l'armĂ©e et de la fonction publique et l'imposition de quotas sur leur promotion. Le rĂ©gime corrompu de Biden a fait tout ce qu'il pouvait pour dĂ©truire l'Ă©galitĂ© de traitement. Au lieu d'une sociĂ©tĂ© d'opportunitĂ©s, l'AmĂ©rique a maintenant une sociĂ©tĂ© de privilĂšges spĂ©ciaux pour les minoritĂ©s opprimĂ©es».Les gens en ont finalement eu assez et les sondages le montrent. Wipeout attend les dĂ©mocrates anti-amĂ©ricains corrompus en novembre, et les dĂ©mocrates avec leurs armĂ©es du FBI, de la CIA, de la NSA, du DOJ et des mĂ©dias ne vont pas le laisser doit ĂȘtre faussement inculpĂ© et Ă©liminĂ©. C'est Ă©vident depuis six ans - le Russiagate, la porte de mise en accusation, l'insurrection du 6 janvier, et maintenant le dernier en date de l'invasion par la Gestapo du domicile du prĂ©sident Trump, que les mĂ©dias donneront bientĂŽt un sommes confrontĂ©s Ă  des dĂ©mocrates dĂ©sespĂ©rĂ©s. Les crimes commis par Hillary, les responsables du ministĂšre de la Justice, le FBI, la CIA et les comitĂ©s du CongrĂšs dĂ©mocrate ne constituent rien de moins qu'une haute trahison contre les États-Unis. Les preuves sont si abondantes que mĂȘme les rĂ©publicains mauviettes ne pourraient Ă©viter de les utiliser et de rĂ©tablir l'intĂ©gritĂ© du gouvernement amĂ©ricain et la rue de la loi aux le montage prĂ©vu de Trump Ă©choue, le rĂ©gime de Biden dĂ©couvrira un complot de suprĂ©matie blanche par les Trump Deplorables» pour voler les Ă©lections de novembre, nĂ©cessitant une prise en charge fĂ©dĂ©rale des Ă©lections pour empĂȘcher son vol par les suprĂ©matistes blancs. De cette façon, les dĂ©mocrates voleront Ă  nouveau l'Ă©lection, et la persĂ©cution de leurs ennemis politiques aura le ton de l'Ă©limination des chemises brunes par Hitler et de l'Ă©limination des bolcheviks par dĂ©mocrates, assis sur leur armĂ©e de procureurs fĂ©dĂ©raux, d'espions et de tueurs Ă  gages du FBI, de la CIA et de la NSA, et d'un ministĂšre de propagande efficace se faisant passer pour un mĂ©dia, ne se sont pas approchĂ©s si prĂšs du pouvoir total qu'ils vont reculer et subir le consĂ©quences de leurs nombreux crimes. La question est le parti rĂ©publicain faible et intimidĂ© de Mitch McConnell et John Durham peut-il faire quelque chose Ă  ce sujet ?Pour que la libertĂ©, un gouvernement responsable et l'État de droit survivent aux États-Unis, le peuple amĂ©ricain devra-t-il prendre les armes contre Washington, tout comme les Russes du Donbass ont dĂ» le faire contre Kiev ?Si les dĂ©mocrates peuvent ĂȘtre empĂȘchĂ©s de voler Ă  nouveau les Ă©lections de novembre, peut-ĂȘtre que davantage de rĂ©publicains avec une colonne vertĂ©brale peuvent entrer en fonction, des gens comme Devin Nunes, Jim Jordan, Marjorie Taylor Greene, le gouverneur du Dakota du Sud Kristi Noem et le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Le gouverneur DeSantis a dĂ©clarĂ© catĂ©goriquement qu'il ne permettrait pas aux procureurs Ă©veillĂ©s de dĂ©fendre les criminels contre la justice, comme c'est la pratique dans de nombreuses juridictions dĂ©mocrates. DeSantis comprend que la politique des dĂ©mocrates de normalisation de la criminalitĂ©, de la perversion sexuelle et de l'ouverture des frontiĂšres signifie la mort de l' que cela ait pris une Ă©ternitĂ©, finalement de nombreux AmĂ©ricains en sont Ă©galement venus Ă  cette rĂ©alisation. Si les AmĂ©ricains sensibles qui restent peuvent refuser d'ĂȘtre placĂ©s dans une position dĂ©fensive par les ennemis dĂ©mocrates et mĂ©diatiques de l'AmĂ©rique, des gens bien plus dangereux que les Russes, les Chinois et les Iraniens, et devenir agressifs comme Antifa et BLM, la rĂ©publique a une chance d'ĂȘtre c'est adieu l' la majoritĂ© 330 millions d'AmĂ©ricains qui reprĂ©sente l'AmĂ©rique et non un nano groupuscule de 'dirigeants' qui refuse la nous trompons pas, seul un chef d’État peut passer la dictature rĂ©publique en DĂ©mocratie. Et, jusque lĂ , je n'ai entendu aucun chef d’État proposer la DĂ©mocratie !SupprimerAnonymat sur les rĂ©seaux sociaux le faux dĂ©batL’anonymat sur la toile n’étant majoritairement qu’une ArlĂ©sienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux dĂ©bat. le 15 aoĂ»t 2022Par Yannick Chatelain. Pour moi l’anonymat pratiquĂ© sur les rĂ©seaux sociaux est une rĂ©gression » dĂ©clarait Emmanuel de Wasqueriel, sur France Inter, prĂ©cisant qu’une dĂ©mocratie, c’est avancer Ă  visage dĂ©couvert
 » et plutĂŽt que de restreindre la libertĂ© d’expression sur les rĂ©seaux sociaux, il faudrait obliger Ă  la suppression de l’anonymat » ajoutant ainsi sa voix Ă  un faux dĂ©bat rĂ©guliĂšrement relancĂ© la fin de l’usage du rappel, cette thĂ©matique avait resurgi en octobre 2020 portĂ©e par des Ă©lus de premier plan dont Xavier Bertrand et ValĂ©rie PĂ©cresse suite au tragique assassinat du professeur Samuel fin des pseudos la porte ouverte Ă  l’autocensurePour que ce genre de faux dĂ©bat prenne fin, encore faudrait-il que ceux qui s’expriment sur le sujet intĂšgrent une bonne fois pour toutes que l’anonymat sur les rĂ©seaux sociaux n’existe pas, Ă  moins de faire partie de l’élite hacker et de disposer de compĂ©tence technologique hors norme rendant le traçage de l’émetteur particuliĂšrement complexe, voire libertĂ© d’expression a des limites et elle est d’ores et dĂ©jĂ  encadrĂ©e en France par la loi. Dans la rĂ©alitĂ© du net, si une plainte est dĂ©posĂ©e derriĂšre un pseudonyme, les forces de l’ordre disposent de tous les moyens nĂ©cessaires pour remonter Ă  la source. Il serait d’ailleurs Ă  ce titre plus juste de parler de PseudoAnonyme que de pseudonyme et de vulgariser cette appellation. Ce faux dĂ©bat serait alors peut-ĂȘtre dĂ©finitivement qui militent pour la levĂ©e de ce PseudoAnonymat le font peut-ĂȘtre par ignorance technologique. S’ils se pensent de bonne foi, il ne peut dĂšs lors leur en ĂȘtre tenu rigueur. Ils pourront alors Ă©ventuellement repenser leur position antĂ©rieure. A contrario si tel n’est pas le cas, si ce combat est menĂ© en connaissance, alors il s’agit d’un argument fallacieux utilisĂ© de façon dĂ©libĂ©rĂ©e pour justifier l’interventionnisme de l’État et un encadrement potentiellement outrancier de la libertĂ© d’expression en postulant la mĂ©connaissance technologique d’une partie de la fin de ce PseudoAnonymat serait la porte ouverte Ă  l’autocensure. Le mal serait, in fine, bien pire que le bien supposĂ© apportĂ© Ă  notre dĂ©mocratie. La fin de ce PseudoAnonymat porterait insidieusement un coup fatal Ă  la libre expression de chacun
Que dire alors et qu’écrire ? Hormis exprimer des platitudes insipides s’inscrivant dans telle ou telle pensĂ©e dominante pour ne surtout pas prendre le risque de tomber dans ce qui peut rapidement se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre une effroyable machine Ă  broyer des PseudoAnonyme est avant tout une protection de l’usager et de sa libre expressionComme Ă©voquĂ© prĂ©cĂ©demment, l’anonymat sur Internet est parfaitement relatif lorsque les autoritĂ©s compĂ©tentes sont mandatĂ©es par les autoritĂ©s judiciaires pour remonter Ă  l’émetteur. Ces derniĂšres disposent des outils et des savoir-faire et elles le contrario un usager lambda contrariĂ© par un propos, une idĂ©e, et souhaitant en dĂ©coudre aura beaucoup plus de difficultĂ© Ă  remonter Ă  la source pour rĂ©gler ses lors que le propos ne tombe pas sous le coup de la loi, l’usage de pseudonymes – contrairement Ă  ce qu’avance l’historien Emmanuel de Wasqueriel et d’autres qui partagent son avis – c’est avant tout la garantie pour chacun d’exercer son droit Ă  une libre parole sans crainte de reprĂ©sailles disproportionnĂ©es, sans avoir Ă  redouter – si le propos ne convient pas Ă  d’autres usagers – que la machine Ă  dĂ©truire ne s’ faut garder Ă  l’esprit que sans le garde-fou d’un PseudoAnonymat, pour un propos qui dĂ©plait sans contrevenir Ă  la loi, tout usager s’exposerait Ă  devenir la cible des formes de harcĂšlement les plus courantes recensĂ©es par le blog du hacker, Ă  savoir L’usurpation d’identitĂ©Le Doxing Documents TracingLe Swatting canular tĂ©lĂ©phoniqueDiscours haineux / diffamation / trollingRevenge poLe cyberstalking la traque sur Internet Remember Justine SaccoLe lynchage en ligne peut toucher tout le monde. Nul n’est Ă  l’abri de voir sa vie ruinĂ©e pour quelques mots trĂšs maladroits comme le rĂ©vĂšle le cas de Justine Sacco dont j’avais fait l’ 2013 et cette professionnelle de la communication avait eu la bien mauvaise idĂ©e de tweeter Ă  ses 170 abonnĂ©es RĂ©pondreSupprimer Going to Africa. Hope I don’t get AIDS. Just kidding. I’m white ! »Il y avait deux façons d’interprĂ©ter ce tweet ambigu soit une dĂ©nonciation d’une prise en charge du Sida non Ă©quitable en Afrique du Sud selon sa couleur de peau, soit un racisme des plus arrogants. Le rĂ©seau aura interprĂ©tĂ© le tweet de la jeune femme comme un tweet raciste. Il aura alors suffi de onze heures de vol pour que la jeune femme voie sa vie ruinĂ©e, la toile Ă©tant remplie de justiciers auto-proclamĂ©s qui se font ainsi des bourreaux plus cruels que les cibles qu’ils clouent au pilori de l’ qu’il en aurait Ă©tĂ© de mĂȘme du destin de cette jeune femme si elle avait tweetĂ© sous un pseudonyme ? Ce tweet aurait tout simplement pu ĂȘtre signalĂ© par les utilisateurs en ayant eu une lecture raciste
 des plaintes dĂ©posĂ©es
 et la jeune femme aurait alors, Ă©ventuellement, eu Ă  en rĂ©pondre Ă  la justice de son pays qui aurait alors tout Ă©tat de cause elle ne serait pas devenue une cible Ă  abattre ni la victime d’un massacre en bande de lĂąches organisĂ©s. Un massacre intĂ©grant des tweets, eux, sans la moindre ambiguĂŻtĂ© et passibles de conclure ce faux dĂ©bat de l’anonymatAu temps de la cancel culture, les rĂ©seaux et les hommes Ă©tant ce qu’ils sont, parfois moins sophistiquĂ©s que les machines qu’ils inventent et utilisent, le PseudoAnonymat est indispensable pour permettre Ă  chacun de pouvoir s’exprimer librement sur la toile sans risquer des reprĂ©sailles qui peuvent se rĂ©vĂ©ler totalement PseudoAnonymat – s’il est nĂ©cessaire de le réécrire – n’empĂȘchant nullement la justice, la vraie – pas celle d’une meute – de faire son travail s’il y a lieu. S’exprimer librement est un droit constitutionnel reconnu Ă  tout citoyen français. Dans son article 10, la DĂ©claration des droits de l’Homme et du citoyen ne prĂ©cise-t-elle pas Nul ne doit ĂȘtre inquiĂ©tĂ© pour ses opinions, mĂȘme religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public Ă©tabli par la Loi. »Dans son article 11, cette mĂȘme dĂ©claration n’insiste-t-elle pas La libre communication des pensĂ©es et des opinions est un des droits les plus prĂ©cieux de l’homme tout citoyen peut donc parler, Ă©crire, imprimer librement, sauf Ă  rĂ©pondre de l’abus de cette libertĂ© dans les cas dĂ©terminĂ©s par la loi. »L’anonymat sur la toile n’étant majoritairement qu’une ArlĂ©sienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux Parler de libertĂ© n’a de sens qu’à condition que ce soit la libertĂ© de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre. » George OrwellArticle publiĂ© initialement le 19 janvier 2021 Emmanuel de Wasqueriel, " il faudrait obliger Ă  la suppression de l’anonymat » " ...Si aujourd'hui vous avez encore la libertĂ© de parler, de critiquer les religions, la politiques et l'escroquerie 'cocovide19', demain... si s'affiche votre nom et votre adresse et pourquoi pas votre photo de CI, vous risquez la mort de quitter votre appartement car, si vous ne connaissez pas les gens de la rue eux ils vous connaissent !Touchez pas c'est collector !samedi 22 juin 2013 Le lynchage en ligne peut toucher tout le monde. Nul n’est Ă  l’abri de voir sa vie ruinĂ©e pour quelques mots trĂšs maladroits comme le rĂ©vĂšle le cas de Justine Sacco dont j’avais fait l’analyse. ...HAHAHAHA ! Vous parlez de ministres ? de chefs d’États ? Eux ils parlent de leur nom, sont photographiĂ©s, filmĂ©s mais eux... ils ont 50 000 gardes du corps ! Eux ! Eux c'est pas Vous !Supprimer"Ils peuvent faire de la surveillance audio, vidĂ©o et physique sur vous 24H/365J par an" Rex Lee sur les applications intrusivesPAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 0125Dans cet Ă©pisode spĂ©cial, Tiffany Meier d'Epoch Times s'est entretenue avec Rex M. Lee, conseiller en cybersĂ©curitĂ© chez My Smart Privacy. Il aide Ă  faire la lumiĂšre sur les cyberattaques de la Chine contre l'AmĂ©rique, comment elles nous affectent dans notre vie quotidienne et ce qui peut ĂȘtre fait pour les note que les pays adversaires peuvent entrer par le biais d'applications invasives Vous devez considĂ©rer une application comme un malware lĂ©gal. Et c'est la meilleure façon de dĂ©crire les applications aujourd'hui. Une application, qu'il s'agisse d'une application de mĂ©dias sociaux dĂ©veloppĂ©e par Bytedance, telle que TikTok, Facebook ou Instagram, n'importe laquelle de ces applications, ce sont essentiellement des logiciels malveillants lĂ©gaux qui permettent au dĂ©veloppeur de surveiller, de suivre et d'exploiter les donnĂ©es de l'utilisateur final Ă  des fins financiĂšres. gagnez 24 heures sur 24, 365 jours par an."Une seule application intrusive permet au dĂ©veloppeur de collecter plus de 5 000 points de donnĂ©es hautement confidentiels associĂ©s aux informations personnelles, commerciales, mĂ©dicales, juridiques et d'emploi de l'utilisateur final, car la surveillance et l'exploration de donnĂ©es effectuĂ©es par ces sociĂ©tĂ©s sont aveugles, ce qui signifie qu'ils ne collectent pas seulement des informations sur les consommateurs, ils collectent toutes les informations de l'utilisateur final, y compris les messages texte, les e-mails, les piĂšces jointes, les Ă©vĂ©nements du calendrier, etc. », a-t-il Ă  savoir Ă  quel point ils sont envahissants, Lee a dĂ©clarĂ©RĂ©pondreSupprimer"Ce qu'une application fera, c'est qu'elle s'interconnectera avec tout le matĂ©riel de l'appareil et les capteurs de l'appareil, tels que la camĂ©ra et le microphone, ainsi que des capteurs, tels que l'accĂ©lĂ©romĂštre. Ainsi, ils peuvent effectuer une surveillance audio, vidĂ©o et physique sur vous 24 heures sur 24, 365 jours par an, tout en collectant ces 5 000 points de donnĂ©es hautement confidentiels sur l'utilisateur final. Ce qu'ils font, c'est qu'ils emballent cela et qu'ils le monĂ©tisent. Mais aussi, comme nous le voyons dans les nouvelles, ces entreprises technologiques sont alignĂ©es sur les gouvernements. Ainsi, les informations se retrouvent souvent entre les mains du a Ă©galement rencontrĂ© Greg Copley, prĂ©sident de l'International Strategic Studies Association et auteur de "The New Total War". Il Ă©voque le rĂ©cent buzz suscitĂ© par le voyage de la prĂ©sidente de la Chambre Nancy Pelosi Ă  TaĂŻwan et ce que cela signifie pour ce mois de novembre, Ă  la fois en ce qui concerne nos Ă©lections de mi-mandat et le dirigeant chinois Xi Jinping Ă  la recherche d'un troisiĂšme mandat sans a dit Nous avons maintenant une meilleure idĂ©e de la maniĂšre dont l'ArmĂ©e populaire de libĂ©ration [APL] mĂšnerait une guerre contre TaĂŻwan, si cela devait arriver. Et s'ils ont en fait permis au secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral Xi de les faire entrer en guerre sur la question de Taiwan, le Japon a clairement indiquĂ©, et il a rĂ©pĂ©tĂ© cette dĂ©claration lors de la visite de la prĂ©sidente Pelosi, que le Japon soutiendrait Taiwan en cas d'attaque militaire par la RĂ©publique populaire de Chine. Certes, les États-Unis y seront entraĂźnĂ©s d'une maniĂšre ou d'une autre. Oui, cela impliquerait des risques Ă©levĂ©s et le potentiel de nombreuses victimes. Mais cela impliquerait Ă©galement des risques plus Ă©levĂ©s pour la RĂ©publique populaire de Chine, non seulement dans le conflit direct entre l'APL et les forces armĂ©es de la RĂ©publique de Chine et les forces armĂ©es amĂ©ricaines et les forces d'autodĂ©fense japonaises, mais il existe Ă©galement d'autres forces qui se fiancerait automatiquement."Cela inclurait probablement l'Australie, mais cela inclurait certainement l'Inde, et le facteur indien est un facteur dont PĂ©kin ne souhaite pas discuter ouvertement. MĂȘme dans la posture actuelle du jeu de guerre contre TaĂŻwan, l'APL a commencĂ© Ă  dĂ©placer des forces supplĂ©mentaires vers le plateau tibĂ©tain pour ĂȘtre prĂȘtes Ă  une rĂ©ponse indienne lĂ -bas. La rĂ©ponse indienne serait massive. L'Inde a une capacitĂ© de force similaire Ă  bien des Ă©gards Ă  la RĂ©publique populaire de Chine, et pourrait dĂ©placer l'intĂ©gralitĂ© de ses forces contre la RPC, Ă  la fois sur le plateau tibĂ©tain et dans le contexte eurasien, mais aussi dans l'ocĂ©an Indien dans un contexte naval, " il l'interview complĂšte ci-dessous- voir clip sur site nĂ©gociants en matiĂšres premiĂšres aident Ă  financer la guerre brutale de la Russie en Ukraine voici commentlundi 15 aoĂ»t 2022par JD HeyesNatural News Les sanctions occidentales contre la Russie Ă  la suite de son invasion de l'Ukraine fin fĂ©vrier n'ont absolument rien fait d'autre que nuire aux Ă©conomies occidentales et, en fait, les pays occidentaux financent essentiellement la guerre brutale en cours Ă  Moscou, selon un rapport publiĂ© cette rapporte que "malgrĂ© une plĂ©thore de sanctions et de boycotts, la Russie a rĂ©ussi Ă  exporter prĂšs d'un milliard de dollars de combustibles fossiles par jour depuis son invasion de l'Ukraine", grĂące aux nĂ©gociants en matiĂšres premiĂšres de pays comme la Suisse, Singapour et DubaĂŻ, oĂč ils servent d'intermĂ©diaires pour les pays qui s'arrachent du brut russe fortement mĂȘme que Joe Biden et les dĂ©mocrates idiots ont renversĂ© l'indĂ©pendance Ă©nergĂ©tique des États-Unis obtenue par le vrai prĂ©sident, Donald Trump, la grande majoritĂ© du monde continue d'alimenter leurs Ă©conomies avec des combustibles fossiles bon marchĂ© et abondants, et avec un "dommage" nĂ©gligeable pour la tant que tel, le vaste secteur Ă©nergĂ©tique de la Russie est en plein essor tandis que les pays d'Europe qui ont sanctionnĂ© l'Ă©nergie russe envisagent de manquer d'approvisionnement pendant l'hiver qui approche Ă  grands pas et trĂšs froid, grĂące Ă©galement en grande partie Ă  une dĂ©pendance excessive et insensĂ©e Ă  l'Ă©nergie "verte" inefficace qui ne peut pas remplacer les combustibles fossiles cours des 100 premiers jours de la guerre, la Russie a rĂ©ussi Ă  rĂ©colter prĂšs de 100 milliards de dollars de ventes de pĂ©trole et, en fait, la hausse des prix du brut et du carburant provoquĂ©e par l'Occident "a permis aux revenus pĂ©troliers et gaziers russes d'augmenter mĂȘme aprĂšs que les sanctions ont forcĂ© les volumes d'exportation Ă  chuter », rapporte fin de compte, il n'y a pas de pĂ©nurie d'acheteurs volontaires faisant la queue pour l'Oural russe bon marchĂ©, ni d'intermĂ©diaires les mettant en relation avec des sociĂ©tĂ©s Ă©nergĂ©tiques russes", poursuit le rapport du site."Se cachent dans les coulisses les gĂ©ants suisses du nĂ©goce Vitol, Glencore et Gunvor ainsi que Trafigura de Singapour, qui ont tous continuĂ© Ă  transporter de gros volumes de brut et de produits russes, y compris du diesel, au milieu de vastes sanctions occidentales contre la Russie", indique le que les responsables de Vitol se sont engagĂ©s Ă  cesser d'acheter du pĂ©trole russe d'ici la fin de l'annĂ©e, il reste encore des mois et cet engagement pourrait changer en fonction des conditions du marchĂ©. Et tandis que Trafigura s'est engagĂ© Ă  cesser ses achats de pĂ©trole brut auprĂšs de l'entreprise publique russe Rosneft d'ici la mi-mai, le nĂ©gociant est toujours libre d'acheter du brut russe auprĂšs d'autres fournisseurs. Et les responsables de Glencore ont dĂ©clarĂ© qu'ils ne concluraient aucun "nouveau" accord commercial avec Moscou, mais jusqu'Ă  prĂ©sent, le commerçant n'a eu aucun problĂšme Ă  maintenir les accords le mĂȘme temps, l'Inde et la Chine - dont les deux Ă©conomies dĂ©pendent des combustibles fossiles Ă  mesure qu'elles grandissent et mĂ»rissent - compensent Ă©galement la plupart des marchĂ©s Ă©nergĂ©tiques perdus de la Dehli a considĂ©rablement augmentĂ© ses achats de brut russe, note L'Inde n'a jamais Ă©tĂ© un gros acheteur de brut russe alors qu'elle devait importer 80 % de ses besoins. Au cours d'une annĂ©e typique, l'Inde n'importe que 2 Ă  5 % de son brut de Russie, soit Ă  peu prĂšs la mĂȘme proportion que les États-Unis avant d'annoncer une interdiction Ă  100 % des produits Ă©nergĂ©tiques russes. En effet, l'Inde n'a importĂ© que 12 millions de barils de brut russe en 2021, la majoritĂ© de son pĂ©trole provenant d'Irak, d'Arabie saoudite, des Émirats arabes unis et du en mai, des informations ont fait Ă©tat d'une "augmentation significative" des livraisons de pĂ©trole russe Ă  destination de l' un rapport de Bloomberg, l'Inde a dĂ©pensĂ© quelque 5,1 milliards de dollars en pĂ©trole, gaz et charbon russes au cours des trois premiers mois suivant l'invasion de Moscou, un montant qui dĂ©passe cinq fois la valeur d'il y a Ă  peine un an, bien que la Chine soit de loin le plus gros acheteur de pĂ©trole vraiment une question d'argent les observateurs internationaux de l'Ă©nergie ont notĂ© que la Russie vendait du brut Ă  des rabais importants."Aujourd'hui, les motivations du gouvernement indien sont Ă©conomiques et non politiques. L'Inde cherchera toujours un accord dans sa stratĂ©gie d'importation de pĂ©trole. Il est difficile de ne pas bĂ©nĂ©ficier d'une remise de 20 % sur le brut lorsque vous importez 80 Ă  85 % de votre pĂ©trole, en particulier dans la foulĂ©e de la pandĂ©mie et du ralentissement de la croissance mondiale », Samir N. Kapadia, responsable du commerce au cabinet de conseil en relations gouvernementales Vogel Group , a dĂ©clarĂ© Ă  CNBC, selon dĂ©mocrates et notre prĂ©sident de la dĂ©mence, dont l'administration est dirigĂ©e par Barack Obama, vident dĂ©libĂ©rĂ©ment notre industrie des combustibles fossiles parce qu'ils savent que notre Ă©conomie suivra. Et vous ne pouvez pas accrocher des dizaines de millions d'AmĂ©ricains Ă  l'aide gouvernementale sans faire chuter l' include Loi sur la rĂ©duction de l'inflation » complĂštement absurde ; si vous saigniez d'une blessure, vous ne voudriez pas que le mĂ©decin vous dise, "nous rĂ©duisons lĂ©gĂšrement la quantitĂ© de sang que vous perdez"Monday, August 15, 2022 by WellsNatural News L'Ă©conomie des États-Unis saigne, en ce moment. L'inflation monte en flĂšche alors que notre gouvernement voyou imprime de l'argent par milliers de milliards, tout cela semble disparaĂźtre avant mĂȘme d'ĂȘtre utilisĂ© pour ce qu'il est censĂ© rĂ©parer ou reconstruire». Tout ce pays sera un "cadavre" qui ressemble Ă  un enfer apocalyptique du tiers monde, si le "saignement" n'est pas arrĂȘtĂ©, et bientĂŽt. La loi sur la rĂ©duction de l'inflation » alloue prĂšs d'un billion de dollars pour agrandir le gouvernement fĂ©dĂ©ral dĂ©jĂ  bien trop important, et tout cela aux dĂ©pens des contribuables a presque mis en faillite toute la classe moyenne, et les "mĂ©decins" de l'argent veulent prĂ©tendre qu'ils vont ralentir le saignement, alors que nous saignons toujours. Qu'est-ce que ça fait de beau? Et si un chirurgien vous disait ça Ă  l'hĂŽpital, alors que vous perdez des litres de sang ; "HĂ©, bonne nouvelle patient, nous allons ralentir le saignement pour que tu meurs un peu plus lentement." Pourquoi, merci docteur. Merci beaucoup."80 milliards de dollars NBOA - "National Bleed-Out Act" fera en sorte que l'IRS puisse percevoir vos impĂŽts impayĂ©s ou vos factures mĂ©dicales sous la menace d'une arme Ă  votre porte d'entrĂ©eDevine quoi? Plus de 45 milliards de dollars provenant de la fausse loi sur la rĂ©duction de l'inflation iront en fait Ă  des agents de l'IRS de style swat pour collecter des impĂŽts et des factures mĂ©dicales que vous ne pouvez pas payer. Vous avez des restes de factures COVID scandaleuses qui traĂźnent?Étiez-vous sans travail parce que vous ne receviez pas les coups toxiques, alors vous avez pris du retard sur les cartes de crĂ©dit, les prĂȘts bancaires, votre hypothĂšque, votre loyer, les impĂŽts personnels, les impĂŽts des petites entreprises, les arriĂ©rĂ©s d'impĂŽts, les anciennes collections ou les paiements de faillite ? Aucun problĂšme. L'Ă©quipe de swat de l'IRS viendra Ă  votre porte armĂ©e jusqu'aux dents pour vous aider» Ă  payer ces factures, ou risquez une peine de prison. C'est la Gestapo, et la police "SS" de l'IRS est sur le point de DOUBLER son personnel et son pouvoir pour gĂ©rer la dette de la milliards de dollars supplĂ©mentaires aideront les Ă©quipes de swat de l'IRS Ă  gĂ©rer leur soutien opĂ©rationnel pour trouver les dĂ©biteurs et les pĂ©ons de la nouvelle AmĂ©rique communiste, en particulier tous les conservateurs et tous ceux qui ont soutenu Trump Ă  tout moment, n'importe milliards de dollars supplĂ©mentaires seront allouĂ©s Ă  la "modernisation des systĂšmes d'entreprise", ce qui vous aidera Ă  trouver des dĂ©biteurs si vous essayez de vous cacher dans une rĂ©sidence secondaire, ou la maison d'un parent hors de l'État, ou peut-ĂȘtre juste cette cabane hors rĂ©seau dont vous avez postĂ© des photos. une fois sur les rĂ©seaux sociaux. Le reste de l'argent va aux "services aux contribuables" qui vous aident Ă  enregistrer tout ce que vous devez en ligne pour faciliter le travail de l'Ă©quipe de recouvrement "SS".RĂ©pondreSupprimerLes AmĂ©ricains seront pressĂ©s Ă  mort par l'inflation, les escouades SS IRS lourdement armĂ©es et l'effondrement de la chaĂźne d'approvisionnement qui comprend la nourriture et l'eauLes dĂ©mocrates accusent les "fermetures de bureaux liĂ©es Ă  la pandĂ©mie" qu'ils ont eux-mĂȘmes planifiĂ©es. Et depuis quand quelqu'un Ă  l'IRS dĂ©croche-t-il un tĂ©lĂ©phone de toute façon ? Il n'y a pas d'humains lĂ -bas, juste des labyrinthes automatisĂ©s qui vous gardent frustrĂ©, confus et sans travail, devant plus d' blĂąment Ă©galement tous les chĂšques de relance pour leur arriĂ©rĂ©, mais ils les ont Ă©mis pour garder les gens Ă  la maison, sans travailler, et combien de temps et combien de personnes faut-il pour traiter les chĂšques ? Sommes-nous de retour dans les annĂ©es 1980, ou est-ce juste le cerveau de Biden ?Il s'agit d'un plan de dix ans pour l'IRS, mais l'argent sera parti en un rien de temps, non retrouvĂ©, non comptabilisĂ© et rien d'amĂ©liorĂ©, vous pouvez parier votre dernier bloc d'or disent que l'IRS sera dĂ©sormais en mesure de "cibler stratĂ©giquement ses amĂ©liorations, annĂ©e aprĂšs annĂ©e", c'est-Ă -dire de cibler les conservateurs, les organisations Ă  but non lucratif et tous ceux qui dĂ©fient les faux rĂ©cits concernant la guerre, la Russie, l'impression d'argent, les injections de caillots et l'arnaque. .PrĂ©parez-vous Ă  ce que 87 000 nouveaux agents du fisc terrorisent tous les opposants politiques des dĂ©mocrates. Une Ă©norme HIKE TAX est en route, et le groupe de travail IRS SS sera prĂȘt Ă  collecter sous la menace d'une arme. C'est pourquoi l'IRS a achetĂ© tant d'armes et de balles ces derniers temps, n'avez-vous pas entendu ?Ajoutez Ă  vos sites Web prĂ©fĂ©rĂ©s pour obtenir des informations sur la vĂ©ritĂ© qui sont censurĂ©es par le reste des mĂ©dias pendant que vous lisez sources de cet article incluent l'ONU promeut-elle une sorte de production alimentaire dont il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu'elle rĂ©duit les rendements, augmente les prix et renverse les gouvernements ?PAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1955Par Michael ShellenbergerLa guerre des Nations Unies contre les engrais a commencĂ© au Sri LankaLe Programme des Nations Unies pour l'environnement PNUE se dĂ©crit comme "l'autoritĂ© mondiale qui dĂ©finit l'agenda environnemental... et sert de dĂ©fenseur faisant autoritĂ© pour l'environnement mondial". Par le biais de son programme Économie des Ă©cosystĂšmes et de la biodiversitĂ© pour l'agriculture et l'alimentation » lancĂ© en 2014, le PNUE prĂ©conise que les nations s'Ă©loignent de l'accent qui prĂ©vaut sur la productivitĂ© par hectare ».Mais aujourd'hui, le monde traverse sa pire crise alimentaire depuis 2008. Le nombre de personnes souffrant d'insĂ©curitĂ© alimentaire aiguĂ« a augmentĂ© de 25 % depuis janvier 2022 pour atteindre 345 millions, selon le Programme alimentaire mondial des Nations unies. Pourquoi, alors, le PNUE essaie-t-il d'Ă©loigner les nations des engrais qui augmentent la production alimentaire ?Le directeur par intĂ©rim du PNUE en 2019 a dĂ©clarĂ© que la raison en Ă©tait "l'interfĂ©rence Ă  long terme de l'humanitĂ© avec le bilan azotĂ© de la Terre". En octobre de cette annĂ©e-lĂ , le PNUE a organisĂ© une rĂ©union dans la capitale du Sri Lanka, Colombo, et a publiĂ© une feuille de route» pour pousser les nations Ă  rĂ©duire de moitiĂ© la pollution par l' les Pays-Bas prouvent que les nations peuvent rĂ©duire de 70 % la pollution azotĂ©e du bĂ©tail tout en augmentant la production de viande. Idem pour les cultures. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1960, les Pays-Bas ont doublĂ© leurs rendements tout en utilisant la mĂȘme quantitĂ© d'engrais. Alors que les pays riches produisent des rendements supĂ©rieurs de 70 % Ă  ceux des pays pauvres, ils n'utilisent que 54 % d'azote en mois aprĂšs la rĂ©union de Colombo en 2019, qui a suscitĂ© une attention mĂ©diatique importante au Sri Lanka, les Ă©lecteurs de ce pays ont Ă©lu un prĂ©sident anti-engrais, Gotabaya Rajapaksa, qui a affirmĂ©, sans preuves scientifiques, que les engrais synthĂ©tiques provoquaient des maladies rĂ©nales. En avril 2021, il a interdit les importations d' juin 2021, deux mois aprĂšs l'interdiction des engrais, le Sri Lanka a accueilli un "Dialogue sur le systĂšme alimentaire" parrainĂ© par l'ONU visant Ă  influencer le programme anti-engrais plus large de l'ONU pour le monde. "Le dialogue inaugural sur le systĂšme alimentaire du Sri Lanka fait partie d'une sĂ©rie de dialogues nationaux et provinciaux menĂ©s par le ministĂšre de l'Agriculture avant le Sommet des Nations Unies sur le systĂšme alimentaire de 2021 qui doit avoir lieu Ă  New York plus tard cette annĂ©e."Dans sa dĂ©claration au Sommet des Nations Unies sur le systĂšme alimentaire Ă  New York en septembre, le prĂ©sident sri-lankais Rajapaksa a rĂ©pĂ©tĂ© son affirmation selon laquelle les engrais chimiques
 ont eu des effets nĂ©fastes sur la santĂ© et l'environnement ». Il a dĂ©clarĂ© Mon gouvernement a pris la dĂ©cision audacieuse de restreindre les importations de ces substances nocives plus tĂŽt cette annĂ©e », et a reprochĂ© aux agriculteurs d'avoir rĂ©sistĂ© Ă  son interdiction des engrais, affirmant que changer l'Ă©tat d'esprit des agriculteurs habituĂ©s depuis longtemps Ă  utiliser des engrais chimiques s'est avĂ©rĂ© difficile ».En fait, l'interdiction des engrais provoquait un effondrement de la production agricole. AprĂšs l'interdiction des engrais, 85 % des agriculteurs sri-lankais ont subi des pertes de rĂ©colte. La production de riz a chutĂ© de 20 %, les prix ont augmentĂ© de 50 % et le pays a dĂ» importer pour 450 millions de dollars de cĂ©rĂ©ales. À Rajanganaya, oĂč les agriculteurs n'exploitent en moyenne qu'un hectare 2,5 acres de terre, les familles ont dĂ©clarĂ© produire la moitiĂ© de leur rĂ©colte y avait d'autres facteurs Ă  l'origine de la chute du gouvernement, mais ces facteurs ont affectĂ© de nombreux autres pays et aucun n'est tombĂ©. Les fermetures de Covid nuisent au tourisme. Le gouvernement a trop empruntĂ©. Les prix du pĂ©trole ont augmentĂ©. Tous Ă©taient des facteurs et aucun n'Ă©tait dĂ©cisif. Ce qui a fait la diffĂ©rence, c'est l'interdiction des engrais par le Sri thĂ© a Ă©tĂ© le plus durement touchĂ©. Il avait gĂ©nĂ©rĂ© 1,3 milliard de dollars d'exportations par an et fourni 71 % des importations alimentaires du pays avant 2021. AprĂšs l'interdiction des engrais, la production de thĂ© a chutĂ© de 18 %, atteignant son plus bas niveau en 23 ans. L'interdiction dĂ©vastatrice du gouvernement sur les engrais a ainsi dĂ©truit la capacitĂ© du Sri Lanka Ă  payer la nourriture, le carburant et le service de sa justifie son programme anti-engrais sur la mĂȘme base que le gouvernement sri-lankais des Ă©conomies de coĂ»ts. Les documents de l'ONU affirment que son objectif pour les nations de "rĂ©duire de moitiĂ© les dĂ©chets d'azote" permettrait aux nations d'Ă©conomiser "100 milliards de dollars par an". Mais le mĂȘme document promeut une Ă©conomie circulaire », qui est un euphĂ©misme utilisĂ© par les partis verts en Europe pour dĂ©signer la dĂ©croissance » Ă©conomique basĂ©e sur une production alimentaire et Ă©nergĂ©tique moins PNUE n'est pas la seule agence des Nations Unies Ă  promouvoir un programme anti-engrais. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO a lancĂ© en 2018 l'initiative "Scaling Up Agroecology". Ce n'est pas une initiative de recherche, c'est une initiative de plaidoyer. Il affirme que les systĂšmes agroĂ©cologiques sont vitaux
 pour lutter contre la pauvretĂ©, la faim et le changement climatique ». En fait, l'agroĂ©cologie, qui n'utilise pas d'engrais de synthĂšse, rĂ©duit la production alimentaire et augmente ainsi la pauvretĂ© et la le PNUE cherche Ă  Ă©loigner les nations des engrais modernes grĂące au "SystĂšme international de gestion de l'azote INMS" sous couvert de science. Il appelle l'INMS un "processus de soutien scientifique" dans le cadre d'un "mĂ©canisme de coordination inter-conventions de l'azote INCOM".Que se passe-t-il? Pourquoi les Nations Unies promeuvent-elles une sorte de production alimentaire dont il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu'elle rĂ©duit les rendements, augmente les prix et renverse les gouvernements ? Et que faire pour l'arrĂȘter ? "en a assez", commence Ă  empiler des conteneurs d'expĂ©dition dans les lacunes des murs frontaliersPAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1815Écrit par Charlotte Cuthbertson via The Epoch Times Le gouverneur de l'Arizona, Doug Ducey, a ordonnĂ© que 60 conteneurs d'expĂ©dition Ă  double empilement soient placĂ©s dans les interstices des clĂŽtures frontaliĂšres prĂšs de Yuma, la zone de passage frontalier illĂ©gale la plus frĂ©quentĂ©e de l' entrepreneurs commencent Ă  empiler les conteneurs d'expĂ©dition dans les interstices des clĂŽtures frontaliĂšres prĂšs de Yuma, en Arizona, le 12 aoĂ»t 2022. Avec l'aimable autorisation du bureau du gouverneur de l'ArizonaLes conteneurs seront renforcĂ©s avec du fil accordĂ©on au sommet, selon le gouverneur, qui a Ă©mis un dĂ©cret pour que les travaux commencent le 12 aoĂ»t."L'Arizona en a assez", a dĂ©clarĂ© Ducey, un rĂ©publicain, dans un communiquĂ© de presse. Nous ne pouvons plus attendre. Le manque d'urgence de l'administration Biden en matiĂšre de sĂ©curitĂ© aux frontiĂšres est un manquement Ă  son devoir. Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, l'Arizona a fait tout son possible pour travailler avec Washington pour rĂ©soudre la crise Ă  notre entrepreneurs ont commencĂ© Ă  placer les conteneurs d'expĂ©dition le 12 aoĂ»t et prĂ©voient de combler l'Ă©cart de 1 000 pieds dans le mur frontalier le 14 aoĂ»t. Cela devrait coĂ»ter 6 millions de conteneurs d'expĂ©dition empilĂ©s atteindront environ 22 pieds de haut et seront reliĂ©s entre eux et soudĂ©s, a dĂ©clarĂ© Ducey. Le mur frontalier existant construit Ă  l'Ă©poque de Trump mesure 30 pieds de agents de la patrouille frontaliĂšre du secteur de Yuma ont connu le plus grand pic d'arrestations le long de la frontiĂšre sud depuis l'entrĂ©e en fonction du prĂ©sident Joe cours de l'exercice 2022, moins trois mois encore Ă  signaler, les agents frontaliers ont arrĂȘtĂ© plus de 162 700 passants illĂ©gaux, selon les donnĂ©es des douanes et de la protection des cours de l'exercice 2021, le total Ă©tait de plus de 184 500, tandis qu'au cours de l'exercice 2020, les agents de la patrouille frontaliĂšre ont apprĂ©hendĂ© un peu plus de 8 700 passants maire de Yuma, Doug Nicholls, a dĂ©clarĂ© une urgence dans sa ville le 9 dĂ©cembre 2021, en raison d'un afflux massif d'Ă©trangers cours de cet afflux, le centre de rĂ©partition local du 911 a Ă©tĂ© occupĂ© pendant des heures par des appels d'Ă©trangers illĂ©gaux demandant un transport, de la nourriture et des vĂȘtements, a dĂ©clarĂ© le shĂ©rif du comtĂ© de Yuma, Leon Wilmot, Ă  Epoch a dĂ©clarĂ© que Yuma, qui compte prĂšs de 100 000 habitants, n'a pas les ressources nĂ©cessaires pour gĂ©rer les milliers de personnes qui traversent actuellement."L'afflux de migrants que le gouvernement fĂ©dĂ©ral a autorisĂ© Ă  franchir la frontiĂšre a le grave potentiel d'impacter et de mettre Ă  rude Ă©preuve notre communautĂ©", a dĂ©clarĂ© Nicholls le 12 aoĂ»t dans un communiquĂ© de presse. "Washington doit envoyer un message clair que ce n'est pas la façon d'immigrer dans notre pays."RĂ©pondreSupprimerLe secrĂ©taire du dĂ©partement de la SĂ©curitĂ© intĂ©rieure, Alejandro Mayorkas, a dĂ©clarĂ© Ă  plusieurs reprises que la frontiĂšre est fermĂ©e ».Mur frontalier arrĂȘtĂ©Biden a interrompu toute construction de mur frontalier le jour de son entrĂ©e en fonction le 20 janvier 2021."Ce sera la politique de mon administration que plus aucun argent des contribuables amĂ©ricains ne soit dĂ©tournĂ© pour construire un mur frontalier", dĂ©clare le dĂ©cret exĂ©cutif de millions de dollars de matĂ©riaux de murs frontaliers inachevĂ©s sont restĂ©s dans les dĂ©serts de l'Arizona rapport des rĂ©publicains du SĂ©nat publiĂ© en juillet 2021 indique que l'arrĂȘt de la construction coĂ»te aux contribuables 3 millions de dollars par sĂ©nateurs qui ont produit le rapport ont estimĂ© que l'administration a dĂ©pensĂ© entre 618 et 708 millions de dollars en entrepreneurs entre le 20 janvier 2021 et le 15 juillet 2021, et qu'elle dĂ©pensera finalement jusqu'Ă  1,2 milliard de dollars de plus pour sortir des projets de mur superviseur du comtĂ© de Yuma, Jonathan Lines, a accueilli le mur du conteneur d'expĂ©dition. La sĂ©curitĂ© nationale commence par la sĂ©curitĂ© des frontiĂšres. La crise frontaliĂšre de Biden se dĂ©tĂ©riore quotidiennement tandis que la Maison Blanche est silencieuse », a-t-il dĂ©clarĂ© dans un communiquĂ© de presse. "Les communautĂ©s frontaliĂšres comme Yuma portent le fardeau d'une frontiĂšre brisĂ©e tandis que les stupĂ©fiants empoisonnent nos jeunes, le trafic d'ĂȘtres humains augmente et des quantitĂ©s massives de migrants portent sur nos organisations Ă  but non lucratif."Lire la suite ici... l'heure oĂč la drogue et les armes passent la frontiĂšre par drones, au prix que sont les containers... ils risquent tout juste de se les faire voler !SupprimerLe pĂ©trole plonge, entraĂźnant une forte baisse des actions Ă©nergĂ©tiques voici ce qui a motivĂ© la vente massivePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1659Le pĂ©trole chute, le Brent glissant jusqu'Ă  7 $ par rapport aux sommets de vendredi, Ă  un creux de 93 $ tandis que le WTI a vomi jusqu'Ă  5 $, tombant briĂšvement en dessous de 87 $ au niveau le plus bas depuis janvier et anĂ©antissant tout le gain post-invasion de l'Ukraine ce qui signifie que toute inflation du prix de l'essence est dĂ©sormais entiĂšrement le fait de Biden et non de Poutine.Qu'est-ce qui fait baisser le niveau d'huile ? Trois chosesPremiĂšrement, comme indiquĂ© hier soir, le ralentissement Ă©conomique de la Chine s'est aggravĂ© en juillet avec la derniĂšre sĂ©rie de chiffres Ă©conomiques tout simplement terribles, forçant la PBOC Ă  rĂ©duire les taux de maniĂšre inattendue et entraĂźnant les marchĂ©s Ă  la baisse bien que la façon dont un ralentissement chinois est une nouvelle pour tout le monde n'est pas claire. le ralentissement Ă©conomique s'est aggravĂ© en juillet en raison de l'aggravation de la crise immobiliĂšre et de la poursuite des blocages de coronavirus, avec une baisse inattendue des taux d'intĂ©rĂȘt qui ne changera probablement pas les choses tant que ces deux freins l'accord sur l'Iran, encore et encore, semble ĂȘtre de retour - du moins jusqu'Ă  ce qu'il ne le soit plus - aprĂšs que le pays a dĂ©clarĂ© qu'il informerait l'Union europĂ©enne de sa position officielle sur un projet de texte visant Ă  relancer l'accord nuclĂ©aire de 2015 d'ici Lundi soir, signalant qu'il pourrait ĂȘtre plus proche d'un accord avec les États-Unis sur un accord qui pourrait rĂ©tablir ses exportations de pĂ©trole vers les marchĂ©s l'impression catastrophique de l'Empire State Mfg Index aujourd'hui, qui a connu sa deuxiĂšme plus forte baisse jamais enregistrĂ©e Ă  des plus bas sur plusieurs annĂ©es, et imprimĂ©e bien en dessous de l'estimation la plus basse, a ravivĂ© les craintes qu'une rĂ©cession brutale pour les États-Unis soit toujours dans les en revenir Ă  la Chine, le premier importateur mondial de pĂ©trole a montrĂ© des signes de faiblesse renouvelĂ©e alors que les raffineurs chinois traitent moins de brut et que la consommation apparente chute dans un vent contraire pour les prix mondiaux. Les raffineries ont traitĂ© le moins de pĂ©trole quotidiennement le mois dernier depuis mars 2020 alors qu'une bande d'usines Ă©tait fermĂ©e pour maintenance, selon les donnĂ©es officielles de lundi. Dans le mĂȘme temps, la demande apparente de pĂ©trole a chutĂ© de 9,7 % en juillet, contre une baisse de 5,6 % en juin. La Chine a raffinĂ© 53,21 millions de tonnes de brut en juillet, le moins depuis avril, selon les donnĂ©es du Bureau national des ce temps, il y a eu une stabilitĂ© du cĂŽtĂ© de l'offre alors que la Russie a dĂ©fiĂ© les attentes d'un effondrement de la production de pĂ©trole aprĂšs son invasion de l'Ukraine. Mais Moscou devra redoubler d'efforts pour trouver de nouveaux acheteurs s'il veut Ă©viter que la production ne diminue dans les mois Ă  venir. AprĂšs avoir plongĂ© immĂ©diatement aprĂšs son offensive en fĂ©vrier, la production russe a rebondi au cours des trois derniers mois alors que le raffinage domestique a explosĂ© et que les clients asiatiques sont intervenus pour prendre les livraisons Ă©vitĂ©es par les acheteurs occidentaux. Pourtant, une interdiction imminente de l'UE sur la plupart des bruts russes, ainsi qu'un ralentissement Ă©conomique croissant, porteront un coup dur aux producteurs du ce stade, la raffinerie de pĂ©trole allemande Schwedt a commencĂ© Ă  traiter du brut amĂ©ricain mĂ©langĂ© Ă  de l'Oural russe, selon une personne proche du dossier. AprĂšs plusieurs mois de reprise, au cours des premiĂšres semaines d'aoĂ»t, la production quotidienne moyenne de pĂ©trole et de condensat en Russie a chutĂ© de 3 % m/m Ă  1,428 million de tonnes, a rapportĂ© Kommersant, citant des personnes non identifiĂ©es connaissant bien les alors mĂȘme que les prix du pĂ©trole continuent de baisser, la demande de spot ici et maintenant continue d'augmenter et laisse entrevoir des pĂ©nuries persistantes dans le prĂ©sent, mĂȘme si les marchĂ©s sont de plus en plus convaincus que l'avenir sera bien plus moche. En consĂ©quence, le secteur de l'Ă©nergie a Ă©tĂ© assommĂ© et alors que la plupart des secteurs sont dans le rouge, l'Ă©nergie est de loin le moins performant aujourd' peur injustifiĂ©e de l'Ă©nergie nuclĂ©aire freine l'industriePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1545RĂ©digĂ© par Felicity Bradstock via sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique est maintenant devenue une prioritĂ© pour les gouvernements du monde entier alors que les prix de l'Ă©nergie montent en flĂšche, et cette nouvelle prioritĂ© a vu un regain d'intĂ©rĂȘt pour l'Ă©nergie le nuclĂ©aire connaĂźt des problĂšmes liĂ©s Ă  son coĂ»t et Ă  son impact sur l'environnement, les problĂšmes de sĂ»retĂ© frĂ©quemment pointĂ©s par ses dĂ©tracteurs sont largement dĂ©partement amĂ©ricain de l'Ă©nergie s'attend Ă  ce que la demande de rĂ©acteurs nuclĂ©aires atteigne 1 000 milliards de dollars dans le monde, bien que tout accident nuclĂ©aire puisse faire reculer considĂ©rablement l' gouvernements soutiennent massivement l'Ă©nergie nuclĂ©aire, mais les craintes de catastrophes persistent, tout accident ayant le potentiel de faire dĂ©railler la grande rĂ©surgence nuclĂ©aire. Alors que les gouvernements soutiennent des projets nuclĂ©aires pour la premiĂšre fois depuis plusieurs dĂ©cennies, afin de renforcer leur sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique, beaucoup continuent d'avoir peur des dĂ©veloppements nuclĂ©aires pour des raisons de sĂ©curitĂ© et d'environnement. Mais les dirigeants sauront-ils convaincre l'opinion publique de la nĂ©cessitĂ© du nuclĂ©aire dans le cadre d'une transition verte ? L'Ă©nergie nuclĂ©aire a Ă©tĂ© saluĂ©e il y a des annĂ©es comme l'alternative plus propre aux combustibles fossiles qui pourrait fournir une Ă©nergie fiable aux pays du monde entier. Mais alors qu'il gagnait en popularitĂ©, avec la rĂ©alisation de plusieurs dĂ©veloppements mondiaux majeurs, trois catastrophes notables ont sapĂ© le potentiel d'un dĂ©veloppement nuclĂ©aire gĂ©nĂ©ralisĂ©. Les Ă©vĂ©nements de Three Mile Island en Pennsylvanie en 1979 ; Tchernobyl en 1986 ; et Fukushima au Japon en 2011 ont conduit Ă  un abandon du dĂ©veloppement de projets nuclĂ©aires au profit, en grande partie, des combustibles avec une insĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique croissante ressentie dans le monde entier, en rĂ©ponse aux sanctions contre le pĂ©trole et le gaz russes ; une Ă©volution rapide des combustibles fossiles vers des alternatives plus vertes ; et une hausse des prix de l'Ă©nergie, plusieurs gouvernements remettent le nuclĂ©aire Ă  l'ordre du jour. Avec ses capacitĂ©s de production d'Ă©nergie sans carbone, il sĂ©duit les gouvernements qui ont pris des engagements ambitieux en matiĂšre de carbone, tout en leur offrant une plus grande sĂ©curitĂ© Ă©nergĂ©tique Ă  moyen terme que d'autres projets d'Ă©nergie renouvelable qui peuvent prendre plus de temps Ă  se dĂ©velopper Ă  l'Ă©chelle requise pour rĂ©pondre Ă  la demande États-Unis, l'Ă©nergie nuclĂ©aire reprĂ©sente environ 20 % de l'Ă©lectricitĂ© du pays et 50 % de son Ă©lectricitĂ© sans carbone. Et avec d'importants investissements publics et privĂ©s injectĂ©s dans la recherche et le dĂ©veloppement, les pays du monde entier espĂšrent construire des rĂ©acteurs nuclĂ©aires plus efficaces, moins coĂ»teux et plus petits que ce que nous avons traditionnellement vu. Si tout se passe bien, le DĂ©partement amĂ©ricain de l'Ă©nergie s'attend Ă  ce que la demande de rĂ©acteurs nuclĂ©aires atteigne 1 000 milliards de dollars dans le selon plusieurs experts en Ă©nergie, un seul incident pourrait radicalement aggraver la perception publique dĂ©jĂ  nĂ©gative de l'Ă©nergie nuclĂ©aire. Une multitude d'Ă©tudes considĂšrent l'Ă©nergie nuclĂ©aire comme la forme de production d'Ă©lectricitĂ© la plus sĂ»re, et pourtant de nombreuses personnes dans le monde qui ont vĂ©cu des catastrophes nuclĂ©aires sont toujours opposĂ©es au dĂ©veloppement de nouveaux projets nuclĂ©aires en raison du danger qui y est associĂ©. D'autres pensent que l'Ă©nergie nuclĂ©aire n'est pas aussi verte qu'on le prĂ©tend, car bien qu'elle crĂ©e de l'Ă©nergie sans carbone, il y a toujours le problĂšme de la gestion des pourquoi avons-nous si peur du nuclĂ©aire ? MalgrĂ© un manque de comprĂ©hension publique de la technologie nuclĂ©aire, ce qui signifie qu'elle peut parfois ĂȘtre confondue avec les armes nuclĂ©aires, il y avait un optimisme gĂ©nĂ©ral autour de l'Ă©nergie nuclĂ©aire lorsqu'elle est apparue pour la premiĂšre fois il y a plusieurs dĂ©cennies. Il semble que la perception publique nĂ©gative actuelle de l'Ă©nergie nuclĂ©aire dĂ©coule principalement des catastrophes nuclĂ©aires qui ont Ă©tĂ© observĂ©es dans le monde entier en temps que relativement peu de personnes soient dĂ©cĂ©dĂ©es au cours de ces incidents par rapport aux dĂ©cĂšs dans le monde rĂ©sultant d'autres opĂ©rations Ă©nergĂ©tiques, les incidents ont Ă©tĂ© largement tĂ©lĂ©visĂ©s et la peur de l'inconnu s'est rapidement propagĂ©e. Les gouvernements y ont rĂ©agi diffĂ©remment par rapport aux autres catastrophes Ă©nergĂ©tiques, principalement parce qu'on ne savait pas combien de personnes devaient ĂȘtre Ă©vacuĂ©es et quelle Ă©tait la meilleure façon de rĂ©agir Ă  la catastrophe sur le terrain. Cela a rendu les gens plus paniquĂ©s que lorsque d'autres Ă©vĂ©nements se produisent, comme une explosion sur une plate-forme pĂ©troliĂšre offshore ou un incendie dans une raffinerie. La rĂ©action excessive des pouvoirs politiques face Ă  un accident nuclĂ©aire a conduit Ă  une mĂ©fiance gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă  l'Ă©gard de la technologie nuclĂ©aire. De plus, la reprĂ©sentation des catastrophes nuclĂ©aires dans plusieurs sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es et films a exagĂ©rĂ© les dangers associĂ©s Ă  l'Ă©nergie rĂ©alitĂ©, les incidents nuclĂ©aires qui ont provoquĂ© la peur ont fait relativement peu de morts. Personne n'est mort Ă  cause des radiations lors des catastrophes de Three Mile Island ou de Fukushima, et moins de 50 sont morts pendant et aprĂšs Tchernobyl. Bien que cela puisse sembler beaucoup, s'il s'agit du seul incident nuclĂ©aire ayant entraĂźnĂ© des dĂ©cĂšs au cours de la durĂ©e de vie actuelle de la production d'Ă©nergie nuclĂ©aire, ce chiffre est bien infĂ©rieur Ă  celui d'autres sources d'Ă©nergie, en particulier les combustibles fossiles qui continuent de crĂ©er une pollution atmosphĂ©rique que la seule façon d'amĂ©liorer la perception publique de l'Ă©nergie nuclĂ©aire est par une rééducation qui met en Ă©vidence la sĂ©curitĂ© relative de la technologie par rapport Ă  d'autres opĂ©rations Ă©nergĂ©tiques. En outre, alors que le public et les organisations internationales font pression sur les gouvernements des États pour qu'ils passent au vert, une meilleure commercialisation de l'Ă©nergie nuclĂ©aire pourrait contribuer Ă  modifier la perception du public, car les gens commencent Ă  considĂ©rer la source d'Ă©nergie sans carbone comme nĂ©cessaire pour un avenir vert. Cependant, pour l'instant, les gouvernements ressentent une pression croissante pour bien faire les choses », avec la possibilitĂ© que tout incident s'ajoute Ă  la diabolisation Ă  long terme de l'Ă©nergie non-dits battent la campagne. Entre ceux du 11 Septembre et celui du cocovide19 s'est interposĂ© celui du 11 Mars 2011 oĂč la faute Ă©tait Ă  100 % TEPCO qui n'avait pas montĂ© les tubes de canalisations des pompages sur vĂ©rins ! Et donc, au 'premier' tremblement de terre CRAC ! c'est cassĂ© ! Çà alors !!Et quand il n'y a plus d'eau qui arrive aux rĂ©acteurs la tempĂ©rature monte rĂ©chauffement climatique ? Hahaha ! et passe Ă  l'intĂ©rieur de 300 Ă  3000°C ! Et donc tout fond ! Les barres comme le cuvier !Three Mile Island en Pennsylvanie en 1979 et Tchernobyl Ukraine en 1986 n'ont pas freinĂ© le nuclĂ©aire et... pour des tuyaux cassĂ©s en fer ou pvc ils arrĂȘtent les centrales parce qu'ils manquent de vĂ©rins ?Faut pas prendre les gens pour des cons !SupprimerLe PDG de Pfizer, Albert Bourla, teste positif pour COVID-19PAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1905Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times,Le PDG de Pfizer a Ă©tĂ© testĂ© positif au COVID-19, a-t-il annoncĂ© le 15 aoĂ»t."Je voudrais vous faire savoir que j'ai Ă©tĂ© testĂ© positif pour COVID19", a Ă©crit le PDG Albert Bourla sur 60 ans, dit avoir reçu quatre doses du vaccin COVID-19 de son entreprise, qui s'est avĂ©rĂ© de plus en plus inefficace contre l'infection par le virus qui cause le COVID-19 et une maladie grave une fois qu'une personne contracte le a dĂ©clarĂ© avoir ressenti des symptĂŽmes bĂ©nins. Il n'a identifiĂ© aucun des symptĂŽmes. Il a dit qu'il "se sentait bien"."Nous sommes allĂ©s si loin dans nos efforts pour lutter contre cette maladie que je suis convaincu que j'aurai un prompt rĂ©tablissement. Je suis extrĂȘmement reconnaissant des efforts inlassables de mes collĂšgues de Pfizer qui ont travaillĂ© pour rendre les vaccins et les traitements disponibles pour moi et les gens du monde entier », a dĂ©clarĂ© PDG s'isole et a commencĂ© Ă  suivre un cours de Paxlovid, la pilule COVID-19 de rĂ©gulateurs amĂ©ricains des mĂ©dicaments ont accordĂ© une autorisation d'urgence pour Paxlovid en dĂ©cembre 2021 pour les personnes ĂągĂ©es de 12 ans et plus dont le test COVID-19 est positif et qui sont considĂ©rĂ©es comme Ă  haut risque de progression vers un cas rĂ©gulateurs ont depuis limitĂ© ou rĂ©voquĂ© des autorisations similaires pour de nombreux autres mĂ©dicaments, tels que les anticorps monoclonaux de Regeneron, citant des donnĂ©es qui indiquent que les traitements ne sont pas aussi efficaces, ou ne sont pas efficaces du tout, contre les nouvelles variantes de est devenu le traitement COVID-19 le plus distribuĂ© dans le pays et a Ă©tĂ© administrĂ© au prĂ©sident Joe Biden aprĂšs que le prĂ©sident a rĂ©cemment Ă©tĂ© testĂ© positif au qui a Ă©galement reçu quatre doses du vaccin de Pfizer, a connu un rebond des symptĂŽmes aprĂšs un test nĂ©gatif, ce qui est courant pour les bĂ©nĂ©ficiaires de de 100 % prĂ©cĂ©demment promuBourla fait partie des responsables qui ont prĂ©cĂ©demment promu les vaccins COVID-19 comme Ă©tant efficaces Ă  100 % contre l' avril 2021, par exemple, il a partagĂ© les rĂ©sultats d'une Ă©tude qui aurait montrĂ© que le vaccin de Pfizer Ă©tait efficace Ă  100 % pour prĂ©venir les cas de COVID-19 en Afrique du tous les vaccins COVID-19 se sont rĂ©vĂ©lĂ©s moins efficaces contre les infections et les maladies graves, car de nouvelles variantes virales sont Omicron, qui est devenu dominant aux États-Unis et dans de nombreux autres pays fin 2021, les vaccins offrent peu de protection contre l'infection et une protection rĂ©duite contre les cas nouvelles donnĂ©es indiquent que les sous-variantes d'Omicron sont encore plus efficaces pour Ă©chapper Ă  la protection et Moderna font partie des entreprises qui travaillent sur des injections de rappel spĂ©cifiques Ă  Omicron. Ceux-ci pourraient ĂȘtre dĂ©ployĂ©s aux États-Unis dĂšs Bourla, 60 ans, dit avoir reçu quatre doses du vaccin COVID-19 de son entreprise ...Pour justifier les millions de morts par piqĂ»re le pdg n'hĂ©site pas Ă  dire qu'il s'est fait inoculer autre chose que du sĂ©rum phy !! HAHAHA !Supprimer"Covid est lĂ  pour rester", concĂšde le CDC aprĂšs deux ans d'hystĂ©rie orwelliennePAR TYLER DURDENLUNDI 15 AOÛT 2022 - 1725Soumis par Fringe Finance de QTRAu dĂ©but, je voulais qu'une bonne partie de cet article soit un tour de victoire pour avoir prĂ©dit plus tĂŽt cette annĂ©e que nous verrions un pivot majeur sur la façon dont les mĂ©dias et les figures d'autoritĂ© prĂ©senteraient Covid au autres choses, le 2 janvier 2022, j'ai prĂ©dit "l'un des plus grands pivots mĂ©diatiques grand public de l'histoire en 2022, catalysĂ© par le capitalisme et le bon sens"Mais ce que je veux dire, c'est que je prĂ©dis pour 2022 que les mĂ©dias vont faire l'un des plus grands pivots sur n'importe quel sujet qu'ils aient jamais fait, sur Covid. Ça ne devrait pas ĂȘtre un problĂšme », vous direz-vous. "AprĂšs tout, les mĂ©dias suivent la vĂ©ritĂ©, alors qu'y a-t-il de si difficile Ă  faire pivoter une histoire ?"Soyons rĂ©alistes. Nous savons tous que les mĂ©dias - des deux cĂŽtĂ©s de l'allĂ©e - dĂ©testent se corriger, dĂ©testent pivoter et dĂ©testent faire autre chose que doubler les rĂ©cits dont ils sont nourris, qu'ils soient ou non objectivement 2022, je vais faire une prĂ©diction audacieuse. Les mĂ©dias, et peut-ĂȘtre mĂȘme les politiciens, vont commencer Ă  se rendre compte que les rĂ©cits qu'ils ont poussĂ©s concernant Covid, les confinements, les vaccinations et notre Ă©conomie ne sont plus acceptĂ©s au pied de la lettre par leurs j'aimerais aller Ă  fond avec Barry Horowitz et passer cet article Ă  me fĂ©liciter, mais il y a malheureusement quelques leçons laides de toute la dĂ©bĂącle que je pense qu'il est plus important de Barry Horowitz sur son hĂ©ritage WWF, ce qu'il fait ces jours-ci et plusSi vous n'avez pas entendu parler cette semaine, le CDC a abandonnĂ© les exigences de quarantaine et de distanciation sociale pour les personnes qui sont entrĂ©es en "contact Ă©troit avec une personne infectĂ©e".Le Globe and Mail a rapportĂ© Les changements, qui surviennent plus de 2 ans et demi aprĂšs le dĂ©but de la pandĂ©mie, sont motivĂ©s par la reconnaissance qu'environ 95 % des AmĂ©ricains de 16 ans et plus ont acquis un certain niveau d'immunitĂ©, soit de ĂȘtre vaccinĂ© ou infectĂ©, ont dĂ©clarĂ© des responsables de l' Massetti, une Ă©pidĂ©miologiste du CDC est venue tout de suite et l'a dit la semaine derniĂšre Nous savons que Covid-19 est lĂ  pour rester. Les niveaux Ă©levĂ©s d'immunitĂ© de la population dus Ă  la vaccination et Ă  une infection antĂ©rieure, et les nombreux outils dont nous disposons pour protĂ©ger les gens contre les maladies graves et la mort, nous ont mis dans une position dirais que le pivot est d'environ deux ans et demi trop tard, mais Ă  vrai dire, c'est plutĂŽt 12 Ă  18 mois trop tard. AprĂšs tout, j'Ă©tais l'une des voix originales qui ont sonnĂ© l'alarme Ă  propos de Covid de janvier 2020 jusqu'au dĂ©but de l'Ă©tĂ© 2020, alors que personne d'autre n'y prĂȘtait attention. Mes principales raisons d'ĂȘtre alarmiste Ă  ce sujet, au dĂ©but, Ă©taient Je ne fais tout simplement pas confiance Ă  tout ce que la Chine nous ditNous n'avions aucune donnĂ©e provenant de n'importe oĂč ailleurs dans le monde sur le virusIl y avait des images surprenantes de mĂ©dias sociaux ostensiblement en provenance de Chine, semblant montrer des randos quotidiens s'effondrant dans la rue, les autoritĂ©s soudant des gens Ă  l'intĂ©rieur de leurs appartements et le gouvernement remplissant des tunnels de conduite avec de la terre – entre autres mesures totalement rationnellesPourquoi la Chine est toujours obsĂ©dĂ©e par tout dĂ©sinfecter Examen de la technologie MITLe monde entier n'a pas compris le fait que Covid Ă©tait mĂȘme une nouvelle jusqu'en mars 2020, prĂšs de 2 mois aprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©tiquetĂ© comme un alarmiste pour avoir chantĂ© sans cesse Ă  ce sujet et alertĂ© mes abonnĂ©s Twitter que je prenais des prĂ©cautions en cas de au dĂ©but de l'Ă©tĂ© 2020, j'ai fait un livestream Periscope Ă  peu prĂšs au mĂȘme moment oĂč le marchĂ© battait son plein et Bill Ackman proclamait l'enfer arrive» Ă  la tĂ©lĂ©vision nationale. Le livestream s'appelait quelque chose comme "Être un contrarien pendant le temps d'un coronavirus" et il se concentrait sur les actions que j'aimerais acheter Ă  l'Ă©poque - Ă  savoir, je me souviens avoir mentionnĂ© les finances et certains produits de base de premier ordre. Je n'ai aucune idĂ©e de l'endroit oĂč le livestream est allĂ© - je pense qu'il a disparu dans les annales de l'histoire maintenant que Periscope a disparu. Cette photo d'un me barbu plus gros buvant de la vodka est tout ce que j'ai pu rĂ©cupĂ©rer - voir sur site -RĂ©pondreSupprimerQuoi qu'il en soit, c'est Ă  peu prĂšs Ă  cette Ă©poque que nous avons commencĂ© Ă  obtenir des donnĂ©es de CorĂ©e du Sud et d'Italie qui ont permis de mieux comprendre Ă  quel point le virus Ă©tait vraiment mortel ou non.AprĂšs l'Ă©tĂ© 2020 et aprĂšs que la Fed a mis en place le QE-go-fuck-yourself-we-do-whatever-we-want, je me suis lancĂ© dans une frĂ©nĂ©sie d'achat d'actions et j'ai plaisantĂ© en disant que ce serait une course Ă  4 000 entre le SPX et le prix de l' repris ma routine d'entraĂźnement normale de jiu jitsu, j'ai menĂ© la vie quotidienne sans masque et, Ă  toutes fins pratiques, j'ai mis le stress mental du virus loin derriĂšre moi. C'est au cours de ces 6 Ă  12 mois que le grand public a finalement commencĂ© Ă  rattraper ceux d'entre nous qui faisaient leurs propres devoirs sur le virus en janvier comme le troupeau dirigĂ© par le gouvernement a tendance Ă  le faire, tout le monde a rĂ©agi de maniĂšre excessive de maniĂšre manifestement inefficace et trop zĂ©lĂ©e, et nous avons largement dĂ©passĂ© la marque pour faire face Ă  Covid, et la rĂ©alitĂ© objective de ce que le virus signifiait pour nous dans nos vies quotidiennes, de toute façon d'aujourd'hui est gratuit car je pense que son contenu est trop important pour ĂȘtre placĂ© derriĂšre un mur payant. Si vous souhaitez soutenir mon travail et en avoir les moyens, je serais humble si vous deveniez un abonnĂ© gratuit ou payant Abonnez-vous maintenantTout au long de 2021, les effets Ă©conomiques dĂ©plaisants des fermetures commencent Ă  faire surface, non seulement avec les propriĂ©taires de petites entreprises qui ont Ă©tĂ© contraints de fermer leurs portes, mais aussi avec les grandes villes et municipalitĂ©s des États-Unis qui se transforment en pays du tiers États-Unis sont devenus un champ de distorsion de la rĂ©alitĂ©, oĂč le pays s'est complĂštement arrĂȘtĂ©, mais la Fed a imprimĂ© des billions de dollars pour essayer de masquer ce qui Ă©tait devenu le cadavre de notre l'Ă©conomie amĂ©ricaine connaĂźt la plus forte contraction depuis des dĂ©cennies - BBC NewsCette stratĂ©gie gĂ©niale fait partie des raisons pour lesquelles nous regardons le baril d'un IPC Ă  prĂšs de deux voir sur site -Plus nous avancions en 2021, plus la rhĂ©torique s'intensifiait, malgrĂ© le fait que les vaccins Ă©taient en route. D'autres confinements et restrictions de voyage ont Ă©tĂ© imposĂ©s, bien que les prĂ©cĂ©dents se soient avĂ©rĂ©s totalement inefficaces. Une campagne de propagande de style soviĂ©tique a Ă©tĂ© lancĂ©e pour faire vacciner tout le vous devez prĂ©senter une preuve de vaccination Ă  San Francisco Ă  partir de vendrediCeux qui n'ont pas obĂ©i ont Ă©tĂ© dĂ©pouillĂ©s de leurs droits quotidiens normaux - certains ont mĂȘme Ă©tĂ© licenciĂ©s de leur pas non plus qu'aprĂšs la distribution finale des vaccins, aprĂšs les avoir attendus environ 12 mois et entendu dire Ă  quel point ils seraient miraculeux sans arrĂȘt, ce n'est qu'Ă  ce moment-lĂ  que la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a dĂ©clarĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision nationale qu'elle se sentait un "destin imminent" Ă  propos du virus."Lorsque j'ai commencĂ© au CDC il y a environ deux mois, je vous ai fait une promesse je vous dirais la vĂ©ritĂ© mĂȘme si ce n'Ă©tait pas la nouvelle que nous voulions entendre. C'est maintenant l'un de ces moments oĂč je dois partager la vĂ©ritĂ©, et je dois espĂ©rer et croire que vous Ă©couterez. Je vais faire une pause ici, je vais perdre le script et je vais rĂ©flĂ©chir au sentiment rĂ©current que j'ai d'une catastrophe imminente », a dĂ©clarĂ© nouvelles variantes comme Delta et Omicron ont ensuite Ă©tĂ© colportĂ©es par les mĂ©dias grand public comme des raisons de continuer Ă  faire confiance Ă  la science ».Le public et les mĂ©dias sont devenus accros Ă  l'hystĂ©rie voir sur site -Pendant ce temps, la mĂȘme science» qui informait les automates libĂ©raux comme Rachel Maddow et Joe Biden qu'ils n'attraperaient pas Covid s'ils Ă©taient vaccinĂ©s sources ici et ici, a Ă©tĂ© forcĂ©e de revenir sur ces affirmations. - voir sur site -Alors que 2021 se transformait en 2022, j'ai exhortĂ© mes lecteurs Ă  envisager, si cela leur convenait, ainsi qu'aux membres de leur famille, l'idĂ©e de profiter d'une saison des fĂȘtes de grands espoirs pour les vacances en 2021, j'avais l'impression que les choses revenaient inĂ©vitablement Ă  la normale alors que les vĂ©ritĂ©s objectives et la raison concernant Covid s'enfonçaient plus profondĂ©ment avec quiconque avait quelques cellules cĂ©rĂ©brales Ă  Ă  peu prĂšs Ă  la mĂȘme Ă©poque que l'inventeur de l'ARNm, le Dr Robert Malone, et le Dr Peter McCullough ont tous deux suivi le podcast Joe Rogan Experience et ont proposĂ© des points de vue iconoclastes indispensables sur le l'approche de 2022, j'Ă©tais convaincu que les mĂ©dias allaient ĂȘtre obligĂ©s de modifier leur rĂ©cit sur Covid. En janvier, j'ai Ă©galement Ă©crit que je pensais que les propriĂ©taires d'entreprise supprimeraient les mandats de vaccins et de masques, car le capitalisme et le bon sens dicteraient la voie la plus pragmatique. J'ai Ă©crit il y a huit mois, en janvier Comme j'y ai fait allusion plus tĂŽt, je pense qu'un pivot de masse se produit non seulement dans les mĂ©dias grand public, mais parmi les entitĂ©s gouvernementales chargĂ©es de superviser la rĂ©ponse de Covid. En bref, les pouvoirs en place comprennent que les citoyens de ce pays ont perdu patience avec leurs conneries et, avec les Ă©lections de mi-mandat qui approchent, c'est probablement la seule fois au cours des 2 derniĂšres annĂ©es que quiconque au gouvernement fait passer les prĂ©occupations des gens leurs propres changement narratif fera plusieurs choses. PremiĂšrement, aprĂšs le passage de cette onde omicron, elle devrait, espĂ©rons-le, susciter une discussion sur l'immunitĂ© naturelle qui est en retard d'environ 18 mois. Mis Ă  part les mandats de vaccination, Omicron, compte tenu de sa nature extrĂȘmement infectieuse et de ses effets bĂ©nins, pourrait finir par agir comme le vaccin de la nature pour presque tout le monde de toute façon. Les gens commenceront Ă  comprendre ce concept et Ă  insister davantage sur la science» pour expliquer pourquoi elle a commodĂ©ment ignorĂ© le sujet de l'immunitĂ© naturelle - qui s'est avĂ©rĂ©e plus robuste que la vaccination - jusqu'Ă  deuxiĂšme chose que ce changement narratif va faire est de permettre un Ă©lan et un soutien mĂ©diatique Ă  l'idĂ©e d'assouplir certains mandats et de commencer Ă  ramener certains endroits qui ont des protocoles Covid stricts vers la normale. Un tel assouplissement des protocoles Covid permettra alors aux propriĂ©taires d'entreprises locales ceux qui n'ont pas Ă©tĂ© complĂštement rĂ©duits en poussiĂšre par Target, Wal-Mart ou Amazon au cours des 18 derniers mois d'assouplir les restrictions qu'ils pourraient avoir en place. C'est lĂ  que le capitalisme et le bon sens prendront le alors que 2022 commençait Ă  se dĂ©rouler, c'est exactement ce qui s'est passĂ©. En fait, dans ma ville natale de Philadelphie, cela s'est produit presque immĂ©diatement lorsque la ville a tentĂ© - pour la deuxiĂšme fois - d'imposer des mandats de masque et que les propriĂ©taires d'entreprise se sont regroupĂ©s, ont poursuivi la ville, puis ont essentiellement dit aux responsables d'aller se faire d'autres termes, les gens en ont finalement eu fois qu'il est devenu clair que la population Ă©tait de plus en plus dĂ©goĂ»tĂ©e par la façon dont le virus Ă©tait gĂ©rĂ© par ceux qui tiraient les ficelles, le CDC a cĂ©dĂ© et a finalement admis cette semaine que le virus est lĂ  pour rester et que l'immunitĂ© naturelle - et l'immunitĂ© en gĂ©nĂ©ral - avait Ă©tĂ© atteint comme par voir sur site -À certains Ă©gards, il est poĂ©tique que le CDC nous dise ce que nous savons dĂ©jĂ . AprĂšs tout, ils sont "responsables", n'est-ce pas ?Je crois honnĂȘtement qu'ils ne changeraient pas leur position officielle si le public ne l'avait pas dĂ©jĂ  changĂ© pour eux. Il est devenu de plus en plus clair que les citoyens ne sont tout simplement pas intĂ©ressĂ©s Ă  ĂȘtre mandatĂ©s pour prendre des prĂ©cautions dont ils ne veulent plus. Ceux qui le souhaitent ou en ont besoin sont plus que bienvenus et sont encouragĂ©s Ă  le faire. Sinon, tout le monde ne semble pas intĂ©ressĂ© Ă  ĂȘtre suppléé dans le cadre d'une guerre qu'ils sont complĂštement apathiques Ă  y a quelques grandes leçons Ă  tirer de premiĂšre leçon est que le peuple a vraiment le pouvoir. À certains Ă©gards, on a l'impression que le pays a pris la dĂ©cision du gouvernement pour eux. Philadelphie est un excellent exemple. L'idĂ©e des mandats provoquait quotidiennement plus de combats et de troubles civils qu'elle n'en prĂ©venait. Les propriĂ©taires d'entreprise - pas seulement les restaurateurs et les propriĂ©taires de petites entreprises, mais aussi les PDG de compagnies aĂ©riennes et les dirigeants de grandes entreprises - ont Ă©tĂ© contrariĂ©s par la façon dont les faux mandats affectaient nĂ©gativement leurs entreprises. Il est devenu Ă©vident que la fin ne justifiait dĂ©finitivement pas les deuxiĂšme leçon est Ă©galement trĂšs intĂ©ressante Ă  retenir, en particulier Ă  la lumiĂšre des cĂąpres Ă  la Rube Goldberg que les chirurgiens des fusĂ©es de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale sont actuellement en train d'exĂ©cuter le gouvernement est gĂ©nĂ©ralement en retard, dĂ©passe gĂ©nĂ©ralement la cible, puis ne se corrige pas et ne se rĂ©aligne pas en n'a pris Covid au sĂ©rieux en dĂ©cembre 2019 ou janvier 2020, date Ă  laquelle j'ai commencĂ© Ă  lire Ă  ce sujet. Les signes Ă©taient lĂ  il Ă©tait mentionnĂ© sur le terminal Bloomberg tous les jours et c'Ă©tait mĂȘme sur le crawl de Fox News tous les jours. Ce n'Ă©tait pas encore un gros titre, mais l'information Ă©tait lĂ  que la Chine signalait des cas d'un nouveau coronavirus Ă  Wuhan. Croyez-moi, je le sais, parce que j'ai passĂ© un mois entier Ă  faire des blagues sur le thĂšme de Busta Rhymes "Wuhan, vous avez tous sous contrĂŽle" avant de rĂ©aliser que le monde est peut-ĂȘtre intervenu dans une vraie merde. Voici l'exposition A - voir sur site -Notre gouvernement, dirigĂ© par le prĂ©sident Trump Ă  l'Ă©poque, n'a pas agi assez rapidement. Lorsqu'ils ont pris des mesures, je les ai fĂ©licitĂ©s d'avoir instituĂ© une interdiction de voyager et d'avoir lancĂ© le bal sur les vaccinations, tandis que beaucoup Ă  gauche sont revenus Ă  des jeux sur le thĂšme de la politique identitaire pour savoir s'il Ă©tait ou non raciste de dire qu'un virus Ă©tait originaire de Chine. La stratĂ©gie de Nancy Pelosi Ă  l'Ă©poque semblait ĂȘtre de s'entourer d'autant de Chinois que possible. Allez voir sur site -La lĂ©gende sous la photo, de fĂ©vrier 2020, se lit comme suit La prĂ©sidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a visitĂ© le quartier chinois de San Francisco lundi pour envoyer un message. Elle a dit qu'il n'y avait aucune raison pour que les touristes ou les habitants restent Ă  l'Ă©cart de la rĂ©gion par crainte des problĂšmes de rĂ©ponse mal pensĂ©e et horriblement chronomĂ©trĂ©e Ă  Covid s'apparente Ă  la rĂ©ponse actuelle de la Fed Ă  l'inflation. J'ai notĂ© Ă  plusieurs reprises que je pense que la Fed a augmentĂ© tellement, si rapidement, que nous allons ĂȘtre aveuglĂ©s par les consĂ©quences sur les marchĂ©s du crĂ©dit au cours des deux prochains derniĂšre leçon que nous pouvons tirer de cette volte-face Ă  180 degrĂ©s du CDC est qu'il est normal de poser des questions - encore plus lorsque le rĂ©cit est dictĂ© par des entitĂ©s unilatĂ©rales ou une pensĂ©e de groupe le gouvernement fait les choses correctement et parfois il se trompe - mais s'il y a une chose que nous aurions dĂ» apprendre au cours des deux derniĂšres annĂ©es, c'est que le dialogue plus franc et la mĂ©thode socratique concernant notre rĂ©ponse au virus nous ont peut-ĂȘtre fait du lieu de cela, un peu comme avec l'Ă©conomie, l'accent est mis sur la microgestion, le contrĂŽle et le silence de ceux qui soulĂšvent des questions sur le rĂ©cit officiel. Et Ă  quoi cela a-t-il servi ? PrĂ©cisĂ©ment rien, Ă  part servir Ă  rendre la folie des jours passĂ©s encore plus perceptible maintenant que le CDC a relĂąchĂ© son rĂ©cit de Covid - comme tout autre rĂ©cit dont nous sommes nourris de force - est comme le marchĂ© libre. Finalement, avec le temps, la majoritĂ© arrivera toujours Ă  la solution la plus pragmatique la plus largement acceptĂ©e. Que cette solution provienne d'un mandat gouvernemental, d'un soulĂšvement populaire ou de n'importe oĂč entre les deux est sans objet. Tout ce qui compte, c'est que nous arrivions finalement Ă  proximitĂ© des meilleures rĂ©cent changement de directive du CDC est exactement cela. Un petit groupe de personnes sera horrifiĂ© par la dĂ©cision et se demandera comment l'agence pourrait jamais changer de cap - mais la majoritĂ© des libres penseurs la verront pour ce qu'elle est vraiment un retour Ă  la raison attendu depuis longtemps et POURRIS ! TOUS !Aucun journaliste n'a expliquĂ© calmement qu'un virus VOIR DICTIONNAIRE ! c'est UNE POUSSIÈRE ! et non un microbe ! qui lui est vivant et transporte des poussiĂšres sont inoffensives, sauf les poussiĂšre radioactives. Oui mais lĂ  est venue s'ajouter LA poussiĂšre poison enveloppĂ© fabriquĂ©e en laboratoires. Mais, comme une poussiĂšre ne fait pas le tour du monde... lĂ , il fallait la prĂ©senter dans son Ă©crin dorĂ© d'une seringue en or ! WhoĂąw ! Si t'es piquĂ© tu l'as ! Et si tu l'as t'es mort !SupprimerLes documents de Pfizer et les donnĂ©es du monde rĂ©el montrent tous deux que les piqĂ»res de covid provoquent dĂ©jĂ  un dĂ©peuplement de masseLundi 15 aoĂ»t 2022 par Ethan HuffNatural News Des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes supplĂ©mentaires dans le monde meurent chaque semaine par rapport aux niveaux prĂ©-pandĂ©miques. Et toutes les preuves disponibles indiquent que les vaccins» contre le coronavirus de Wuhan Covid-19 sont le dĂ©cĂšs excessifs, comme ils les appellent, continuent de grimper dans presque tous les pays industrialisĂ©s qui ont poussĂ© les coups sur leurs populations. Cela se passe au Royaume-Uni, en Europe nordique et en AmĂ©rique du Nord – tous les endroits oĂč la vaccination de masse de l'opĂ©ration Warp Speed ​​​​a eu chiffres deviennent un peu poilus en fonction des ensembles de donnĂ©es que vous utilisez, car les gouvernements ont fait des heures supplĂ©mentaires pour essayer de dissimuler la vĂ©ritĂ©. Une enquĂȘte plus approfondie sur les donnĂ©es, cependant, et cela commence Ă  se personnes non vaccinĂ©es, quant Ă  elles, restent en vie et, dans la plupart des cas, prospĂšrent tandis que leurs homologues "entiĂšrement vaccinĂ©s" continuent de dĂ©velopper le VAIDS SIDA induit par le vaccin ou de mourir du "syndrome de la mort subite de l'adulte", Ă©galement connu sous le nom de SADS."Chaque mois depuis le dĂ©but de 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinĂ©s et doublement vaccinĂ©s ont Ă©tĂ© plus susceptibles de mourir que les 18-39 ans non vaccinĂ©s", rapporte ExposĂ© News."Les 18 Ă  39 ans triplement vaccinĂ©s ont cependant eu un taux de mortalitĂ© qui s'est aggravĂ© d'un mois Ă  l'autre aprĂšs la campagne de rappel de masse qui a eu lieu au Royaume-Uni en dĂ©cembre 2021."RĂ©pondreSupprimerPartout, des bĂ©bĂ©s meurent Ă  cause des retombĂ©es des injections de covidUne autre tendance qui se produit partout dans le monde dans les pays les plus touchĂ©s est un excĂšs de dĂ©cĂšs de nouveau-nĂ©s. Pour la deuxiĂšme fois en sept mois en mars, les nouveau-nĂ©s morts ont atteint des niveaux critiques, selon les nombre stupĂ©fiant de 4,6 dĂ©cĂšs nĂ©onatals pour 1 000 naissances vivantes a Ă©tĂ© enregistrĂ© en mars, soit une augmentation de 119 % au-delĂ  des niveaux attendus. En septembre 2021, un pic encore plus important de 5,1 dĂ©cĂšs nĂ©onatals pour 1 000 naissances vivantes a Ă©tĂ© Health Scotland PHS a lancĂ© une enquĂȘte qui a passĂ© la plupart du temps sous le radar. Sa conclusion ? Les bĂ©bĂ©s meurent Ă  cause de facteurs au-delĂ  de la variation alĂ©atoire » – les injections n'ont pas Ă©tĂ© Allemagne, Ă  TaĂŻwan et ailleurs, les taux de natalitĂ© ont Ă©galement diminuĂ©, soit parce que les femmes complĂštement piquĂ©es ne peuvent pas tomber enceintes, soit parce que les bĂ©bĂ©s meurent peu de temps aprĂšs leur s'avĂšre que les soi-disant documents de Pfizer traitent de cela, mentionnant profondĂ©ment dans les donnĂ©es que plus de 90% des femmes enceintes piquĂ©es par le covid finissent par perdre leurs bĂ©bĂ©s. En relation Pfizer a rĂ©cemment Ă©tĂ© surpris en train de mentir au sujet d'Ă©vĂ©nements indĂ©sirables liĂ©s au jab.Soit dit en passant, sans une ordonnance du tribunal, ces rĂ©vĂ©lations critiques et d'autres dans les documents de Pfizer n'auraient jamais vu le systĂšme de notification des Ă©vĂ©nements indĂ©sirables des vaccins VAERS des Centers for Disease Control and Prevention CDC des États-Unis montre en outre que les fausses couches par injection post-covid sont au moins 1 517% plus Ă©levĂ©es que les fausses couches post-vaccin contre la avril dernier, quelque 4 113 bĂ©bĂ©s Ă  naĂźtre sont dĂ©cĂ©dĂ©s, Ă  notre connaissance, en raison de complications associĂ©es aux vaccins contre la grippe Fauci. Parmi ceux-ci, 3 209 ont Ă©tĂ© spĂ©cifiquement attribuĂ©s Ă  l'injection d'ARNm ARN messager de Pfizer."Le CDC a admis que seulement 1 Ă  10% des effets indĂ©sirables sont en fait signalĂ©s au VAERS, donc le vrai chiffre pourrait ĂȘtre bien pire", explique ExposĂ© News."Mais pour mettre ces chiffres en perspective, il n'y a eu que 2 239 dĂ©cĂšs fƓtaux signalĂ©s au VAERS au cours des 30 annĂ©es prĂ©cĂ©dant l'autorisation d'utilisation d'urgence des injections de Covid-19 en dĂ©cembre 2020."Pendant ce temps, les rĂ©gulateurs de la mĂ©decine continuent de colporter le mensonge selon lequel, sur la base des Ă©tudes animales», il n'y a aucun effet nocif direct ou indirect sur la grossesse causĂ© par les injections de virus nous avons le cancer de l'ovaire, dont les taux augmentent considĂ©rablement en raison de l'opĂ©ration Warp Speed."Imaginez le triple piqĂ»re suffisant qui a abusĂ© du non piquĂ© ces deux derniĂšres annĂ©es en lisant maintenant cet article", a Ă©crit un commentateur. "Parlez de devoir manger une humble tarte."Les derniĂšres nouvelles sur les injections de virus chinois peuvent ĂȘtre trouvĂ©es sur sources de cet article incluent AVEC ECOWATT AIDEZ LA FRANCE À ÉVITER LES COUPURES CET HIVER par PAOLO GAROSCIO 16/08/2022 Le prix de l'Ă©nergie a augmentĂ© de plus de 30% sur un an en juin ne fait aucun doute que l’Hiver 2022-2023, sur le front de l’énergie, sera compliquĂ© en France comme ailleurs en Europe. Baisse de la production nuclĂ©aire, guerre en Ukraine, tensions gĂ©nĂ©ralisĂ©es sur le rĂ©seau
 le risque de coupures d’électricitĂ© est rĂ©el. Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă  la patte pour les Ă©viter le plus mĂ©tĂ©o de l’énergie » et des alertes en cas de pic de consommationLes entreprises ont dĂ©jĂ  annoncĂ© des mesures pour limiter leur consommation Ă©nergĂ©tique durant la pĂ©riode hivernale 2022-2023. Des mesures simples qui auraient pu ĂȘtre mises en place depuis longtemps pour lutter contre le rĂ©chauffement climatique, mais qui n’auront Ă©tĂ© adoptĂ©es qu’à cause du risque de coupure et d’explosion de la les mĂ©nages aussi peuvent contribuer. Si couper le wifi », comme l’a demandĂ© le gouvernement, n’aura strictement aucun effet sur la consommation de la France, reporter une lessive ou baisser le chauffage peut effectivement aider. Surtout lors des pics de consommation attendus par il reste la question, pour les particuliers, de savoir quand ces pics sont craints. Pour ce faire, il y a la mĂ©tĂ©o de l’énergie » d’Ecowatt, un service gratuit de alerte mail et SMS envoyĂ©e par EcowattL’espoir de RTE, et du gouvernement, est que grĂące Ă  quelques gestes de la part des mĂ©nages il sera possible d’éviter les coupures d’électricitĂ©. La situation n’est d’ailleurs que temporaire puisque la production nuclĂ©aire est au plus bas au plus mauvais moment, mais qu’elle remontera dĂšs que les rĂ©acteurs seront relancĂ©s. Ainsi, il y a de fortes chances que ces craintes de pĂ©nuries ne soient pas d’actualitĂ© en attendant, les mĂ©nages peuvent s’inscrire sur Ecowatt. Ce dernier va leur envoyer, via mail et via SMS, une alerte dĂšs lors que RTE craint un pic de consommation et donc des coupures. En avril 2022, ce service aura permis de rĂ©duire, entre particuliers et entreprises, de 800 MĂ©gawatts la consommation au moment du pic du 4 avril, et ce alors que l’alerte n’était que orange », soit le niveau 3 sur service fonctionne, de fait, et devient stratĂ©gique cette annĂ©e 2022. Mais il reste purement facultatif et, surtout, sur la base du Il ne fait aucun doute que l’Hiver 2022-2023, sur le front de l’énergie, sera compliquĂ© en France comme ailleurs en Europe. Baisse de la production nuclĂ©aire, guerre en Ukraine, tensions gĂ©nĂ©ralisĂ©es sur le rĂ©seau
 le risque de coupures d’électricitĂ© est rĂ©el. Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă  la patte pour les Ă©viter le plus possible. ...DĂšs le premier paragraphe le bourbier est lancĂ© avec la 'guerre en Ukraine' ! Mais qu'est-ce qu'elle vient foutre dans le domaine de l'Ă©nergie ? L'Allemagne qui reçoit du gaz de Russie apparemment seul pays au monde qui aurait du gaz peut en refiler Ă  la France, mais non, il se contente de terminer son speech sur 'Le gouvernement espĂšre donc que tout le monde mettra la main Ă  la patte pour les Ă©viter le plus possible.' !Éviter ??! Éviter quoi ??! La guerre en Ukraine ? ON S'EN FOUT ! Toutes mes excuses pour les rĂ©gions Est de l'Ukraine qui ont Ă©tĂ© bombardĂ© tous les jours durant 8 ans HUIT !! SANS que la France, l'Angleterre, Allemagne, Espagne, etc n'en parlent ni n'interviennent !! Çà alors !Et tout ces gros cons de chefs d’États de merde qui ont refusĂ© de dĂ©fendre des civils assassinĂ©s par les nazis s'offusquent, s'Ă©tonnent et critiquent, insultent le valeureux Poutine qui vient les sauver !Comprenons que dans ce cas, vu la merde qu'il y a autour de lui, le bon Vladimir refuse tout net de vendre du pĂ©trole et du gaz Ă  ces chiens merdeux qui aboient en serrant les fesses !Et donc, si cet hiver l'Europe de l'Ouest a froid et meurt congelĂ©e dans les -10 ou -20°C ce ne sera pas la faute au chef d’État de Russie mais bel et bien Ă  ceux de l'Ouest qui ont leurs apparts surchauffĂ©s ! sont des assassins de leurs Peuples transis !SupprimerAVEC LA CRISE ÉNERGÉTIQUE, SAUDI ARAMCO GAGNE 500 MILLIONS PAR JOUR par PAOLO GAROSCIO 16/08/2022 Saudi Aramco a confirmĂ© le dividende de 18 milliards de dollars pour le deuxiĂšme trimestre un super-profiteur de crise que les pays europĂ©ens ne pourront pas taxer, bien qu’en France le gouvernement n’ait pas cette volontĂ©, contrairement Ă  d’autres pays europĂ©ens. Saudi Aramco, la plus grosse compagnie pĂ©troliĂšre du monde, a vu ses gains exploser au deuxiĂšme trimestre 2022. Mais le prix du brut n’a cessĂ© de chuter depuis
Saudi Aramco PrĂšs de 50 milliards de bĂ©nĂ©fices en trois moisLa publication des rĂ©sultats de Saudi Aramco, dĂ©tenue par l’Arabie Saoudite, cheffe de file du Cartel de l’or noir, l’OPEP, confirme une nouvelle fois que les compagnies pĂ©troliĂšres profitent largement de la crise Ă©nergĂ©tique et des tensions sur le pĂ©trole qui ont explosĂ© avec la fin de la pandĂ©mie et la guerre de la Russie contre l’Ukraine. Au deuxiĂšme trimestre 2022, le bĂ©nĂ©fice du groupe a atteint 48,39 milliards de dollars en trois mois, dĂ©passant les attentes. C’est plus d’un tiers de la capitalisation de TotalEnergies 132,20 milliards de dollars au 15 aoĂ»t 2022 et, surtout, plus de 500 millions de dollars par sa production de prĂšs de 10 millions de barils de pĂ©trole par jour, Saudi Aramco n’a pas encore atteint sa capacitĂ© de production maximale qui est de 13 millions. La marge de progression est donc majeure, mais le pĂ©trolier ne devrait pas l’atteindre plus l’offre sur le marchĂ© est Ă©levĂ©e, plus le prix du baril baisse, ce qui ne ferait pas les affaires de l’entreprise et de ses actionnaires, Arabie Saoudite en premier dividende record pour le deuxiĂšme trimestre 2022Les actionnaires, et en particulier l’Arabie Saoudite qui dĂ©tient encore 98 % de l’entreprise seulement 2 % de Saudi Aramco ont Ă©tĂ© listĂ©s sur la Bourse de Riad en 2019, vont toucher gros. Les rĂ©sultats du deuxiĂšme trimestre 2022 vont permettre au pĂ©trolier de confirmer son dividende de 18 milliards de dollars pour le seul deuxiĂšme pĂ©trole chute en Bourse depuis juin 2022Mais cette aubaine financiĂšre pourrait s’arrĂȘter rapidement si Saudi Aramco, comme TotalEnergies et les autres compagnies pĂ©troliĂšres, ont enregistrĂ© des bĂ©nĂ©fices record, c’est grĂące au pic de prix du brut en Bourse. À la suite du dĂ©but de la guerre, le pĂ©trole s’échangeait Ă  plus de 110 voire 120 dollars le craintes concernant la demande chinoise et mĂȘme mondiale ont nĂ©anmoins inversĂ© la tendance tout le mois de juillet 2022, le cours du brut a Ă©tĂ© en baisse, passant de plus de 110 dollars Ă  moins de 100 pour le Brent, le pĂ©trole de la Mer du Nord. Les marchĂ©s ne semblent pas voir d’amĂ©lioration sur ce front Ă  court le 16 aoĂ»t 2022 avant l’ouverture de la Bourse de Paris, le Brent affichait moins de 95 dollars le baril, soit le niveau prĂ©-guerre en Ukraine. Le WTI, le pĂ©trole amĂ©ricain, suit la mĂȘme tendance, chutant Ă  moins de 90 dollars le baril 88,92 dollars. y est ! maintenant c'est au tour de l'Arabie Saoudite de passer pour des escrocs, des truands, bref des assassins de petites vieilles en profitant de la raretĂ© du pĂ©trole pour s'enrichir !! Çà alors !!Imaginez que seuls les cafĂ©iers de Colombie puissent fournir de l'Arabica et donc, la Colombie traitĂ©e de salope, de putain de sa race parce qu'elle a du cafĂ© et se remplit les poches du pognon qu'on doit lui filer !!'Y a plus de pĂ©trole !' HAHAHAHA ! abiotique. VoilĂ  Ă  quoi çà tient ! Et demain ils diront "Y A PLUS D'AIIIIIIIR !" Et donc le Peuple Ă©coutant les cons qui dirigent s'inquiĂ©tera ! de toute façon quand on voit le nombre de cons qui portent un masque et se font fileter les fosses nasales et se font inoculer profond 4 ou 5 fois ! HAHAHAHA !....SupprimerLes pluies de mousson inondent Vegas, tandis que le nord-ouest du Pacifique se prĂ©pare pour le dĂŽme de chaleurPAR TYLER DURDENMARDI 16 AOÛT 2022 - 0530Le temps sauvage dans la partie ouest des États-Unis a dĂ©clenchĂ© l'une des pires saisons de mousson Ă  Las Vegas depuis une dĂ©cennie, tandis que la Californie et certaines parties du nord-ouest du Pacifique se prĂ©parent Ă  un dĂŽme chauffant qui pourrait pousser les rĂ©seaux Ă©lectriques au la fin de la semaine derniĂšre, des orages intenses ont inondĂ© certaines parties du sud du Nevada, y compris Vegas. Des vidĂ©os sur les rĂ©seaux sociaux montrent des eaux de crue se dĂ©versant dans au moins un casino tandis que des parkings se transformaient en riviĂšres. Cela survient deux semaines aprĂšs qu'une autre tempĂȘte a fait des ravages sur Sin responsables du comtĂ© de Clark rapportent que la derniĂšre sĂ©rie de tempĂȘtes dans la rĂ©gion mĂ©tropolitaine de Vegas a entraĂźnĂ© la saison de mousson la plus humide depuis une dĂ©cennie. Outre les inondations, c'est une bonne nouvelle pour la rĂ©gion qui souffre d'une extrĂȘme sĂ©cheresse."Cela en fait la saison de mousson la plus humide depuis dix ans", a tweetĂ© le National Weather ce temps, une chaleur quasi record est attendue cette semaine dans la vallĂ©e centrale de Californie et dans certaines parties du nord-ouest du Pacifique alors qu'un dĂŽme de chaleur se construit dans la rĂ©gion, aggravant la zone frappĂ©e par la sĂ©cheresse et poussant les rĂ©seaux Ă©lectriques Ă  des niveaux vallĂ©e centrale de Californie pourrait enregistrer des tempĂ©ratures aussi Ă©levĂ©es que 109 degrĂ©s Fahrenheit. Une autre poche de chaleur brĂ»lera l'ouest de voir carte sur site -Bob Oravec, un prĂ©visionniste principal de la branche du Weather Prediction Center, a dĂ©clarĂ© que Sacramento pourrait atteindre 105 Fahrenheit en milieu de semaine, et Redding pourrait enregistrer 109 Fahrenheit."Ce sera bien au-dessus de la moyenne", a dĂ©clarĂ© Oravec. "La chaleur finira Ă©galement par se propager aux plaines du nord-ouest et du nord."Un dĂŽme de chaleur persistant au-dessus de la Californie pourrait stresser les rĂ©seaux Ă©lectriques. La demande devrait culminer lundi Ă  environ 43,8 gigawatts et pourrait mĂȘme atteindre 45,2 gigawatts d'ici le milieu de la semaine, a dĂ©clarĂ© l'opĂ©rateur de rĂ©seau California Independent System prĂ©vision de l'augmentation de la demande de refroidissement, les prix de l'Ă©lectricitĂ© aux heures de pointe du hub SP15 du sud de la Californie ont grimpĂ© de 29 % pour atteindre 149,70 $ le mĂ©gawatt lundi, le plus Ă©levĂ© depuis prĂšs d'un voir graph sur site -Gary Ackerman, un consultant indĂ©pendant en Ă©nergie qui a fondĂ© le Western Power Trading Forum, a dĂ©clarĂ© Ă  Bloomberg que les pĂ©nuries d'alimentation Ă©lectrique sont peu probables Ă  ce la North American Electric Reliability Corporation, un organisme de rĂ©glementation qui gĂšre la stabilitĂ© du rĂ©seau, a rĂ©cemment averti avant l'Ă©tĂ© que l'approvisionnement en Ă©lectricitĂ© de l'ouest des États-Unis pourrait ĂȘtre submergĂ© par une demande croissante en raison de la chaleur extrĂȘme. Nous pourrions ajouter que les efforts de dĂ©carbonisation des rĂ©seaux ont aggravĂ© les l'herbe va pousser en plein dĂ©sert ! De quoi ils se plaignent ?SupprimerLes infirmiĂšres dĂ©crivent les protocoles de traitement brutaux » du COVID-19PAR TYLER DURDENMARDI 16 AOÛT 2022 - 0145Écrit par Matt McGregor via The Epoch TimesLes infirmiĂšres qui ont Ă©tĂ© tĂ©moins des protocoles de traitement brutaux » des hĂŽpitaux COVID-19 tuent des patients brossent un tableau sombre de ce qui se passe dans les systĂšmes de santĂ© financĂ©s par les États et le gouvernement fĂ©dĂ©ral. Ils sont horribles et ils sont tous en phase », a dĂ©clarĂ© Ă  Epoch Times Staci Kay, une infirmiĂšre praticienne des Physicians for Freedom de Caroline du Nord qui a quittĂ© le systĂšme hospitalier pour dĂ©marrer son propre cabinet privĂ© de traitement prĂ©coce. Ils ne prendront pas en compte les protocoles en dehors de ce qui leur est donnĂ© par le CDC Centers for Disease Control and Prevention et le NIH National Institute of Health. Et personne ne demande par la dissonance cognitive au milieu d'une sĂ©rie de drapeaux rouges, Kay a dĂ©clarĂ© que le personnel hospitalier ignore les traitements manifestement problĂ©matiques qui ont mal fonctionnĂ© dans les essais cliniques, tels que le remdesivir, et les protocoles tels que l'isolement du patient, juste pour adhĂ©rer au canon fĂ©dĂ©ral."J'ai vu des gens mourir avec leur famille en regardant via iPad sur Facetime", a dĂ©clarĂ© Kay. "C'Ă©tait brutal."En tant qu'ancienne infirmiĂšre en soins intensifs, Kay a dĂ©clarĂ© qu'elle avait vu sa part de tragĂ©die, mais la façon dont elle a vu les patients COVID ĂȘtre traitĂ©s "m'a fait me rĂ©veiller au milieu de la nuit dans une sueur froide avec des douleurs Ă  la poitrine"."Je dĂ©testais mon travail", a dĂ©clarĂ© Kay. Je dĂ©testais aller travailler. J'Ă©tais stressĂ© d'une maniĂšre que je n'avais jamais Ă©tĂ© auparavant de toute ma les familles isolĂ©es Ă©tait particuliĂšrement difficile, a-t-elle dit, car les gens ne pouvaient pas venir dire au revoir Ă  leurs proches."Nous pouvons faire mieux"Kay cherchait d'autres options lorsqu'elle a trouvĂ© un protocole d'hospitalisation conçu par le Dr Paul Marik, membre fondateur de Front Line COVID-19 Critical Care Alliance, qui prĂ©tendait avoir un taux de rĂ©ussite de 94 %.Cependant, aprĂšs que Kay l'ait prĂ©sentĂ© au chef du service des soins intensifs pulmonaires, elle a Ă©tĂ© licenciĂ©e et le mĂ©decin s'est vantĂ© que l'hĂŽpital avait un taux de survie de 66% Ă  l' lui ai dit" J'ai l'impression que nous pouvons faire mieux ", mais j'ai Ă©tĂ© trĂšs rapidement fermĂ©", a dĂ©clarĂ© Kay. "Je suis devenu trĂšs en colĂšre parce que je regarde des gens mourir et je savais que nous aurions pu faire mieux."C'Ă©tait comme si des gens autrefois intelligents avaient subi un lavage de cerveau, "et puis tout simplement stupides", a dĂ©clarĂ© Kay, manquant de moyens mentaux pour discerner le vrai du a conduit Kay Ă  commencer Ă  traiter les patients en ambulatoire pour empĂȘcher leur admission dans le systĂšme hospitalier, qui est maintenant son travail Ă  temps plein aprĂšs avoir Ă©tĂ© licenciĂ©e pour ne pas s'ĂȘtre soumise Ă  ce qu'elle a dĂ©crit comme des exigences de test illogiques pour ceux qui n'Ă©taient pas son entreprise de tĂ©lĂ©mĂ©decine, Kay a dĂ©clarĂ© qu'elle voyait plusieurs cas de personnes souffrant de blessures causĂ©es par le vaccin COVID-19."J'ai Ă©galement vu des choses du cĂŽtĂ© des patients hospitalisĂ©s, que je soupçonnais ĂȘtre des blessures causĂ©es par des vaccins qui n'ont pas Ă©tĂ© reconnues par nos mĂ©decins", a dĂ©clarĂ© Kay. "J'ai vu des saignements cĂ©rĂ©braux, des convulsions venues de nulle part, un cancer qui s'est propagĂ© comme une traĂźnĂ©e de poudre, des accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux ischĂ©miques, et j'ai vu une personne mourir horriblement d'une myocardite."Du cĂŽtĂ© des patients externes, elle a dĂ©clarĂ© avoir vu des conditions rĂ©sultant du vaccin COVID-19 telles que le brouillard cĂ©rĂ©bral, le dĂ©clin cognitif, les douleurs articulaires, les dysfonctionnements gastro-intestinaux et la neuropathie, qui est un engourdissement et des picotements dans les mains, les pieds et les extrĂ©mitĂ©s."L'ancienne Ă©cole devient la nouvelle Ă©cole"L'entreprise de Kay, Sophelina Counseling, fournit de la tĂ©lĂ©mĂ©decine, des soins d'urgence mobiles et des thĂ©rapies IV mobiles. Il est indĂ©pendant du contrĂŽle des entreprises, du gouvernement fĂ©dĂ©ral et de l'État, ce qui, selon elle, est une solution Ă  un systĂšme de santĂ© paralysĂ© par des exigences oppressives."Tant qu'il y aura un contrĂŽle des entreprises sur la mĂ©decine, qu'il s'agisse de l'assurance-maladie ou des compagnies d'assurance privĂ©es, vous aurez toujours des prestataires qui seront forcĂ©s, sous pression et contraints de faire des choses qu'ils ne feraient pas normalement", a-t-elle dĂ©clarĂ©. "Les mĂ©decins n'ont plus le traitement qu'ils avaient auparavant."En raison de ce contrĂŽle de l'entreprise, Kay a dĂ©clarĂ© que la liste des cases qu'ils doivent vĂ©rifier prend du temps pour le patient lui-mĂȘme."S'Ă©loigner de cette structure d'entreprise va changer la donne", a-t-elle a plaidĂ© pour le retour Ă  la vieille Ă©cole», qui est le modĂšle de soins primaires directs, dans lequel le patient paie des frais mensuels ou annuels pour avoir accĂšs au fournisseur sans l'interfĂ©rence d'une compagnie d'assurance traditionnelle qui exige trop de des cerceaux Ă  franchir, des maux de tĂȘte et des cases Ă  mentionne un modĂšle de soins de santĂ© appelĂ© GoldCare, conçu par le Dr Simone Gold, fondatrice de America’s Frontline qui a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  deux mois de prison pour son implication prĂ©sumĂ©e dans la violation du Capitole le 6 janvier, a créé GoldCare en tant qu'association privĂ©e PMA.Parce qu'une grande partie de ce que font les compagnies d'assurance tourne autour de poursuites potentielles, pour ĂȘtre membre de la PMA, il faut signer une clause, acceptant qu'elles ne poursuivront pas."Ce que cela fait pour nous, c'est que nous n'avons pas besoin de commander des tests ou des consultations inutiles juste pour couvrir notre back-end, car c'est l'essentiel de ce que fait la mĂ©decine d'entreprise", a-t-elle consĂ©quence, a dĂ©clarĂ© Kay, le patient et le mĂ©decin sont plus heureux car le processus de traitement n'a pas Ă©tĂ© alourdi par des exigences d'assurance Kay, ce modĂšle - une Ă©vocation d'une Ă©poque plus simple dans les soins mĂ©dicaux lorsque les mĂ©decins Ă©taient plus connectĂ©s avec leurs patients - est essentiel."L'ancienne Ă©cole va devoir devenir la nouvelle Ă©cole", a dĂ©clarĂ© NIH et le CDC n'ont pas rĂ©pondu Ă  la demande de commentaires d'Epoch Times sur les protocoles de traitement du le systĂšmeAprĂšs avoir pris du saumon, des Ɠufs et du miel contre paiement, une infirmiĂšre de l'État de Washington qui a souhaitĂ© rester anonyme partage la vision plus traditionnelle de Kay pour l'avenir des soins de a dĂ©clarĂ© Ă  Epoch Times que les gens doivent boycotter leur assurance maladie »."Je pense que les personnes qui n'ont pas besoin d'une intervention chirurgicale pour sauver leur vie ne devraient pas aller Ă  l'hĂŽpital", a dĂ©clarĂ© l'infirmiĂšre. "Je pense que les gens ont besoin de trouver des mĂ©decins privĂ©s qui paient et ne paient que pour ce qu'ils doivent faire."Le gouvernement fĂ©dĂ©ral doit ĂȘtre retirĂ© de l'Ă©quation des soins de santĂ©, a-t-elle ajoutĂ©."Je ne pense surtout pas qu'aucun enfant ne devrait aller chez ces praticiens qui acceptent le financement de l'État ou les remboursements de Medicare et Medicaid", a dĂ©clarĂ© l' a demandĂ© l'anonymat parce que, en plus d'ĂȘtre non vaccinĂ©e, dans l'État de Washington et de l'Oregon, elle a dĂ©clarĂ© que le gouvernement avait permis au public de dĂ©poser des plaintes anonymes, "dĂ©pourvues de preuves", contre les travailleurs de la santĂ© qui promeuvent des traitements qui s'Ă©cartent de les protocoles que l'infirmiĂšre ait Ă©tĂ© licenciĂ©e pour non-respect du mandat du vaccin, elle a lancĂ© sa propre entreprise de soins privĂ©s qui propose des anticorps monoclonaux, des infusions de L-lysine et de vitamine C, une thĂ©rapie par la lumiĂšre rouge infrarouge et des nĂ©buliseurs comme traitements selon les besoins et lorsqu'ils sont Suppression gĂ©nĂ©ralisĂ©e des donnĂ©es »Avec son entreprise nouvellement lancĂ©e, elle a effectuĂ© les premiĂšres interventions qu'elle a dit que les hĂŽpitaux devraient faire, "mais refusent de le faire parce qu'ils disent qu'il n'y a aucune preuve pour cela".L'infirmiĂšre travaille avec un rĂ©seau croissant de mĂ©decins et de fournisseurs qui fonctionnent comme une sociĂ©tĂ© parallĂšle totale» existant dans l'ombre Ă  cĂŽtĂ© du systĂšme de santĂ© tordu», a-t-elle la suite ici... ok, nous savons que les infirmiĂšres comme les mĂ©decins, pharmaciens, kinĂ©s ou dentistes ne sont pas des scientifiques. Oui mais, ne prenons pas les gens pour des cons ! Elles et ils ont toutes et tous l'Internet et peuvent suivre depuis bientĂŽt 3 ans les blogs et films des scientifiques qui s'expriment dans le monde entier ! Donc Elles et ils SONT AU COURANT !AaaaaarrĂȘtons de tourner 110 ans autour du pot !Elles et ils savent que leurs masques-Ă -la-con dits 'chirurgicaux' ne sont PAS des anti microbes ou anti virus. Et pourtant en portent !! Elles et ils savent qu'un virus est une poussiĂšre et que cette poussiĂšre n'est pas dans l'air et que personne donc ne peut contaminer quelqu'un. Elles et ils savent que leurs seringues sont LÉTALES ! Mais elles et ils piquent, piquent, piquent, tuent, tuent, tuent !Supprimer
Léchelle des visages de Bieri est une échelle d'auto-évaluation comportementale de la douleur qui s'utilise chez les enfants de plus de quatre ans. 2. Objectifs Mesurer l'intensité de
ï»ż1. DĂ©finition La douleur est dĂ©finie comme une expĂ©rience sensorielle et Ă©motionnelle dĂ©sagrĂ©able, liĂ©e Ă  une lĂ©sion tissulaire existante ou potentielle, ou dĂ©crite en termes Ă©voquant une telle lĂ©sion » International Association for the Study of Pain. L'Ă©chelle des visages de Bieri est une Ă©chelle d'auto-Ă©valuation comportementale de la douleur qui s'utilise chez les enfants de plus de quatre ans. 2. Objectifs Mesurer l'intensitĂ© de la douleur d'un enfant de plus de 4 ans PrĂ©venir la douleur Instaurer un traitement mĂ©dicamenteux ou non-mĂ©dicamenteux Surveiller l'efficacitĂ© d'un traitement mĂ©dicamenteux ou non-mĂ©dicamenteux 3. MatĂ©riel nĂ©cessaire Echelle des visages de Bieri rĂ©visĂ©e ReprĂ©sente 6 visages du visage dĂ©tendu au visage grimaçant de douleur L'enfant sĂ©lection le visage correspondant le mieux Ă  l'intensitĂ© de sa douleur S'utilise chez l'enfant de plus de 4 ans Score de 0 Ă  10 Score > 4/15 nĂ©cessite une thĂ©rapeutique antalgique efficace 4. ProcĂ©dure RĂ©alisation Expliquer les consignes Ă  l'enfant Montrer l'Ă©chelle des visages Ces visages montrent combien on peut avoir mal » Montrer le visage de gauche Ce visage montre quelqu’un qui n’a pas mal du tout » Montrer les visages un Ă  un de gauche Ă  droite Ces visages montrent quelqu’un qui a de plus en plus mal » Montrer le visage de droite Ce visage montre quelqu’un qui a trĂšs trĂšs mal » Demander Ă  l'enfant de sĂ©lectionner un visage Montre-moi le visage qui montre combien tu as mal en ce moment » InterprĂ©tation du rĂ©sultat Les scores sont de gauche Ă  droite 0, 2, 4, 6, 8, 10 0 pas mal du tout 10 trĂšs trĂšs mal IntensitĂ© de 2/10 douleur lĂ©gĂšre IntensitĂ© de 4/10 douleur modĂ©rĂ©e IntensitĂ© de 6/10 douleur intense IntensitĂ© de 8/10 douleur trĂšs intense Seuil thĂ©rapeutique 4/10 Finalisation Notifications dans le dossier de suivi du patient Date et heure de l'Ă©valuation de la douleur Valeur de l'intensitĂ© de la douleur en fonction de l'outil d'Ă©valuation RĂ©actions du patient et collaboration 5. Complications - Incidents - Accidents Mesure erronĂ©e mauvaise comprĂ©hension de l'outil, mauvaise utilisation de l'outil Outil inadaptĂ© au patient 6. Surveillance Outil de mesure adaptĂ© au patient Outil de mesure adaptĂ© Ă  la douleur Surveillance de l'Ă©volution de la douleur Soulagement de la douleur
Priseen charge de la douleur Ă  domicile. Article publiĂ© le 27-03-2019. Les infirmier(e)s Ă  domicile sont souvent les premiers professionnels de santĂ© Ă  devoir gĂ©rer la douleur de leurs patients au quotidien Et ce n’est pas toujours simple ! libheros vous livre des conseils pour Ă©valuer la douleur et vous donne aussi quelques outils pour une meilleure prise AffinerImagesPhotosIllustrationsVectorielsVidĂ©osToutEssentialsDes images de tous les joursSignatureContenu exclusifAfficher les vidĂ©os de Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurParcourez 91 illustrations et vectoriels libres de droits disponibles de Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleur ou lancez une nouvelle recherche pour dĂ©couvrir plus d’images et vectoriels d’ cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de douleur Ă©chelle de notes tableau - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDouleur Ă©chelle de notes tableauillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de carte d’échelle de douleur horizontal - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCarte d’échelle de douleur horizontalillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de graphique d'effort ou illustration d'Ă©chelle de douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurGraphique d'effort ou illustration d'Ă©chelle de douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de conception d’illustration vectorielle Ă  l’échelle de la douleur comparative. ache mĂštre - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurConception d’illustration vectorielle Ă  l’échelle de la douleur...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de tableau des visages-douleur Ă©chelle. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurTableau des visages-douleur cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur ou tableau de compteur de mal dans les icĂŽnes de visage plat vecteur isolĂ© sur le blanc. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur ou tableau de compteur de mal dans les icĂŽnes...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle horizontale de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diffĂ©rentes mĂ©thodes d’épilation. rasoir, crĂšme dĂ©pilatoire, Ă©plilateur, cire et laser. types d’épilation avec des actions de chronologie [converti] - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiffĂ©rentes mĂ©thodes d’épilation. Rasoir, crĂšme dĂ©pilatoire, Ă©plilillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de mĂ©thode utile d’échelle de douleur d’évaluer la conception de diagramme mĂ©dical - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurMĂ©thode utile d’échelle de douleur d’évaluer la conception de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de indicateur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurIndicateurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle horizontale de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de barre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. outil mĂ©dical d'Ă©valuation. la courbe horizontale indique les Ă©tapes de la douleur et Ă©value la souffrance. vecteur illustration clipart - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurBarre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. Outil mĂ©dical d'Ă©valuatiillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de mesure de la douleur ou outil d'Ă©valuation de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de mesure de la douleur ou outil d'Ă©valuation de la...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de illustration vectorielle de l’échelle de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurIllustration vectorielle de l’échelle de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©lĂ©ments d’interface utilisateur de l’échelle de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉlĂ©ments d’interface utilisateur de l’échelle de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de fait face Ă  l’outil d’évaluation de la douleur. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurFait face Ă  l’outil d’évaluation de la cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de graphiques de mesure de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurGraphiques de mesure de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de graphique d'Ă©chelle de douleur avec l'illustration de vecteur de visages d'Ă©moticĂŽne - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurGraphique d'Ă©chelle de douleur avec l'illustration de vecteur de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur. jauge horizontale mesure indicateur de niveau d’évaluation de la douleur avec smiley faces notation outil graphique de vecteur de manomĂštre - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur. Jauge horizontale mesure indicateur de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de note de satisfaction. retour d’information sous forme d’émotions. excellent, bon, mauvais normal, terribles. Ă©chelle de douleur. illustration vectorielle isolĂ©e sur fond noir. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurNote de satisfaction. Retour d’information sous forme d’émotions. illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de le diagramme de l’échelle de la douleur mesure la douleur d’un patient - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurle diagramme de l’échelle de la douleur mesure la douleur d’un...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur horizontale plate de vecteur. couleur du vert aux symboles rouges de douleur de cercle avec le nombre isolĂ© sur le blanc. cinq gradation forment aucune douleur Ă  l'Ă©lĂ©ment indicible de conception d'interface ui pour l'essai mĂ©dical - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur horizontale plate de vecteur. Couleur du vert...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de compteur d’échelle de douleur. mesure de sourire et d’émotion triste, aucune douleur et l’ensemble de la pire Ă©chellede de douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCompteur d’échelle de douleur. Mesure de sourire et d’émotion...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de curseur Ă©chelle de douleur. outil d’évaluation mĂ©dicale. graphique en courbes horizontal indique les stades de la douleur et Ă©valuer la souffrance. vector illustration clipart - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCurseur Ă©chelle de douleur. Outil d’évaluation mĂ©dicale....illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur. icĂŽnes emoji avec couleur de remplissage pour l’outil d’évaluation. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle horizontale de mesure de la douleur. IcĂŽnes Emoji avec...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de tableau vertical de l’échelle de la douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurTableau vertical de l’échelle de la douleurillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de barre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. outil mĂ©dical d'Ă©valuation. la courbe verticale indique les stades douloureux et Ă©value la souffrance. vecteur illustration clipart - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurBarre de curseur de l'Ă©chelle de douleur. Outil mĂ©dical d'Ă©valuatiillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur. compteur de cotation douloureuse, indicateur de niveau de la douleur avec des icĂŽnes de pĂ©diatrie visage Ă©motion - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur. Compteur de cotation douloureuse, indicateur...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©valuation de l'Ă©chelle de douleur Ă©chelle horizontale mesure de mesure indicateur de l'effort de l'indicateur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉvaluation de l'Ă©chelle de douleur Ă©chelle horizontale mesure de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle horizontale de mesure de la douleur. icĂŽnes emoji avec couleur de remplissage pour l’outil d’évaluation. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle horizontale de mesure de la douleur. IcĂŽnes Emoji avec...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur avec des points de douleur concentriques du bleu au rouge. blesser les niveaux de compteur avec des signes de localisation de douleur multicolores. outil mĂ©dical pour le dĂ©pistage des maladies des patients - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur avec des points de douleur concentriques du...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de curseur Ă©chelle de douleur. outil d’évaluation mĂ©dicale. graphique en courbes vertical indique les stades de la douleur et Ă©valuer la souffrance. vector illustration clipart - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurCurseur Ă©chelle de douleur. Outil d’évaluation mĂ©dicale....illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de diagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©rentes couleurs - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurDiagramme affichant le niveau d'Ă©chelle de douleur avec diffĂ©renteillustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de ensemble de diagramme d’échelle de douleur avec des icĂŽnes de sourire. mesurer le niveau de douleur - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurEnsemble de diagramme d’échelle de douleur avec des icĂŽnes de...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle plate de douleur d’émotion de pauvre Ă  bonne illustration vectorielle - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle plate de douleur d’émotion de pauvre Ă  bonne...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de mesure de la douleur, illustration Ă  vecteur plat. compteur de niveau de douleur, outil d’évaluation pour l’enquĂȘte des patients Ă  l’hĂŽpital. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de mesure de la douleur, illustration Ă  vecteur plat....illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de Ă©chelle de douleur, image de rĂ©troaction concept d’expĂ©rience client, boutons vectoriels dans diffĂ©rentes couleurs, indicateur de niveau, icĂŽnes pour votre conception, site web et formes, illustration vectorielle - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurÉchelle de douleur, image de rĂ©troaction concept d’expĂ©rience...illustrations, cliparts, dessins animĂ©s et icĂŽnes de visages de couleur neuf feedback/humeur. valeur neuf faces illustration vectorielle Ă©chelle - neutre de sourire triste - isolĂ©. design plat. illustration vectorielle eps10. - Ă©chelle d'Ă©valuation de la douleurVisages de couleur neuf Feedback/humeur. 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EnrĂšgle gĂ©nĂ©rale, cependant, si vous ressentez rĂ©guliĂšrement de la douleur ou de l’inconfort — par exemple, vous Ă©valuez votre niveau de douleur de 2 Ă  4 pendant quelques jours consĂ©cutifs — Ă  partir d’un sinus pilonidal suspectĂ©, c’est une bonne idĂ©e de consulter votre mĂ©decin. La visite de votre mĂ©decin vous permettra d’obtenir un diagnostic prĂ©cis et d’entamer
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Lobjectif de ces recommandations est d'aider à la prise en charge des patients douloureux chroniques, en favorisant la réalisation d'une évalution initiale rigoureuse pour permettre ensuite un suivi comparatif au cours du temps. Divers outils d'évaluation de la douleur sont proposés pour aider à la prise en charge optimale des patients.
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal Fais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultats AuteurMessage°o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 1504 Witch's Brew a eu quelques problĂšmes techniques avec son ordi et a predu tous ses fichiers, dont l'histoire du concours. Par consĂ©quent c'est Alex Qui se voit ĂȘtre le grand gagnant du concours du mois d'aoĂ»t avec son histoire La lune sanglante_________________Merci Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2143 Cette histoire, je vais l’écrire Ă  la premiĂšre personne, comme toute les histoires que j’ai Ă©crites, sauf que cette fois-ci, j’en suis l’hĂ©roĂŻne, et que les faits seront mes souvenirs. Je ne vais pas essayer de cacher ce qui me semblera honteux, non, je prĂ©senterai le cas dans toute sa complexitĂ©, et mon personnage dans tous ses dĂ©fauts, comme j’aurais prĂ©sentĂ© n’importe quel autre personnage d’histoire de fiction. Cette histoire est rĂ©elle, mais je vais l’écrire comme s’il s’agissait d’une fiction, c’est comme ça que je sais mieux le faire. Etourdie, je sortis de la voiture. J’étais toute chancelante, et le soleil tapait dur sur mon crĂąne. Je haĂŻssais dĂ©jĂ  ce camping. Mes parents ouvrirent le coffre, tout excitĂ©s. Je ne comprenais pas vraiment leur engouement, la chaleur allait nous rendre la vie difficile, et je ne ferais pas plus de chose sur cette cĂŽte infernale que chez moi, dans ma chambre. Je transpirais dĂ©jĂ . Mon pĂšre passa Ă  cĂŽtĂ© de moi, portant la tente sur ses Ă©paules, et derriĂšre moi, ma mĂšre me demanda de porter une des deux valises. Elle avait dĂ©cidĂ© de rĂ©duire au maximum le nombre d’affaires, mĂȘme si elle vous dira on a dĂ©cidĂ© », mais bon, ce n’est pas ce qui me dĂ©range le plus, je n’avais besoin que de quelques affaires, et surtout de quoi Ă©crire. Je pris donc la valise dans ma main gauche, car je suis gauchĂšre, et aprĂšs que ma mĂšre eut fermĂ© la voiture, nous rejoignĂźmes mon pĂšre Ă  l’accueil. Je n’étais habillĂ©e que d’un pantalon court beige, et d’un dĂ©bardeur blanc. J’étais chaussĂ©e de sandales qui, dĂšs que je posai le pied sur le sable, laissĂšrent un libre contact entre mes pieds et les grains brĂ»lants. Je secouai les pieds, avec un petit air agacĂ©, et je continuais ma route, remontant mes lunettes qui glissaient sur l’arrĂȘte de mon n’étais pas du genre Ă  laisser voir mes Ă©motions. En fait, j’étais carrĂ©ment froide et distante. Je n’allais jamais vers les gens, et j’espĂ©rais que cela ne viennent pas vers moi. Cela me mettait dans des positions inconfortables, oĂč je ne savais que rĂ©pondre, et je prĂ©fĂ©rais souvent dans ce cas garder un air neutre et un silence parfois vexant. Au moins, on ne venait, aprĂšs cette tentative vaine de briser la glace, plus m’embĂȘter. AprĂšs dix mĂštres dans le sable brĂ»lant, j’arrivai enfin, avec ma mĂšre Ă  l’accueil, oĂč mon pĂšre venait de rĂ©gler les derniers dĂ©tails, et nous suivĂźmes un petit chemin de pierre, tellement chaudes que je craignais qu’elles ne fassent fondre la semelle de mes chaussures qui souffraient dĂ©jĂ  le martyr. Le petit chemin allait tout droit, avant de contourner le dernier coin de verdure. DerriĂšre, nous je pus avoir avec une mauvaise humeur de la taille de la joie de mes parents, le emplacements de tente Ă©taient situĂ©s en cercle, autour de petit coin oĂč on pouvait faire un feu. Ce n’était pas l’idĂ©al pour oublier la ville, car ce rangement me faisait penser aux quartiers d’une grande ville. Super, la dĂ©tente ! Plus loin, je voyais la plage, avec des nombreux adolescents qui s’amusaient, tandis que les parents prĂ©fĂ©raient faire bronzette. Le parfait stĂ©rĂ©otype des vacances Ă  la plage, en demi-heure qui suivit fut entiĂšrement consacrĂ©e Ă  la mise en place de la tente, et de son ameublement. Ce ne fut pas une tache aisĂ©e, et je crus bien subir une insolation, avant de tomber dans les pommes. Cependant, je gardais mon masque de neutralitĂ©, devenu si habituel pour mes parents, qui m’adressaient la parole, passant par-dessus mon dĂ©sintĂ©rĂȘt feint ou rĂ©el. Au bout de cette demi-heure, je m’assis sur le sable, sans montrer plus d’émotion. En fait, je n’en ressentais pas tant que ça, mais c’est comme ça que j’étais heureuse ». Je pris alors dans la valise mon matĂ©riel pour Ă©crire, et je continuais une histoire que j’avais commencĂ© l’avant-veille. Je n’avais pas Ă©cris deux lignes que mon pĂšre s’exclama qu’on avait oubliĂ© la trousse de toilette. Je proposai d’y aller, de toute façon, je n’avais pas beaucoup d’inspiration pour le moment. Il accepta, et je me mis en marche de la direction de la voiture, prenant les clĂ©s Ă  ma trousse de toilette Ă©tait inutilement grosse, enfin, si j’en croyais mes parents, mais je savais qu’ils se servaient de la place inoccupĂ©e » pour mettre des cigarettes. Je n’étais pas censĂ© le savoir, mais mĂȘme si je n’étais supĂ©rieurement intelligente, je pouvais me vanter d’avoir un rĂ©el sens de l’observation. Peut-ĂȘtre que le fait que je reste stoĂŻque Ă  tout y aidait. Je commençais donc Ă  traĂźner la valise. Mes parents n’avaient quand mĂȘme pas beaucoup de jugeote, ils pouvaient se douter qu’avec un tel poids, j’allais deviner qu’elle ne contenait pas que du dĂ©o, cette trousse
-Je peux peut-ĂȘtre t’aider ?Un adolescent, peau mate, plutĂŽt grand pour son Ăąge que je devinais sur son visage, venait de m’accoster. Comme Ă  mon habitude, complĂštement froide, je lui souriais Ă  peine, et je continuais mon chemin seule, et l’ignorant superbement. Devant cette attitude, certaine personne ne faisait rien, comprenant que j’étais comme ça, et que ce n’était pas contre eux, et s’en allait tranquillement, d’autres prenaient la mouche, je pouvais aussi comprendre ceux la, mais ceux que je savais que je ne pourrais jamais saquer, c’est ceux qui s’exclamait tu pourrais rĂ©pondre, au moins ! » juste pour me faire passer pour la salope de service, et ne pas perdre la face devant leur petit orgueil. -La parole, ça existe, tu sais !C’était l’autre qui venait de me crier ça. Encore un autre. Bon, tout ça, encore, j’avais l’habitude, ce n’était pas une journĂ©e particuliĂšrement mauvaise, exceptĂ© le fait de ce lieu de vacances, que je trouvais fort insipide Ă  mon goĂ»t, mais bref, si on me fichait la paix
Malheureusement, lorsque j’arrivai Ă  la tente et dĂ©posai la trousse, ma mĂšre en sortit en maillot de bain, et me dit ;-On va Ă  la plage, Elisabeth, tu devrais venir. Pose la trousse, met ton maillot, je te l’ai posĂ© sur ton lit, et rejoins nous. DĂ©cidĂ©ment, je ne pourrais pas Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Lorsque je sortis de la tente, mon bloc-notes Ă  la main, tous les regards se dirigĂšrent vers moi. Je voyais les filles en bikinis qui semblaient avoir pour but de cacher le minimum de chose concernant leur anatomie regarder mon maillot une piĂšce couleur bleu foncĂ©e comme si il s’agissait d’une bombe. Je passais au travers de tout ce joli monde, ignorant les garçons en short de bain. Je savais que leurs regards Ă©taient posĂ©s sur moi, mais je ne savais pas ce qu’ils exprimaient, et je ne voulais pas le savoir. Je me trouvai enfin un endroit tranquille oĂč je m’assis pour Ă©crire. Je dĂ©bouchai mon stylo, et me replongeait dans mon histoire. C’était une histoire assez noire. J’avais créés les personnages avec un maximum de complexitĂ©, pour pouvoir menĂ© l’intrigue oĂč je le voudrais. Tout un petit monde qui avait bien du mal Ă  se comprendre, et qui se dĂ©chirait pour si peu. Le genre d’histoire que j’adore Ă©crire, qui ne peuvent pas avoir une happy-end » sans possĂ©der un esprit particuliĂšrement dĂ©rangĂ©. J’avais dĂ©jĂ  Ă©cris le premier paragraphe, la psychologie du personnage principal, un jeune garçon solitaire et homosexuel qui n’arrivait pas Ă  se tirer de ses sombres pensĂ©es. Je commençai Ă  Ă©crire son histoire quand des bruits, non loin de moi, me firent relever la tĂȘte Ă  contrecƓur. Un petit groupe d’adolescents, qui devaient avoir environ tous mon Ăąge, venait d’entre dans l’eau. Ils riaient bien fort, et je remarquais, au centre du groupe, un type plutĂŽt grand, que toutes les filles semblaient aduler, et que je mĂ©prisai aussitĂŽt. C’est comme ça. Les mecs trop grands, aux cheveux trop blonds, aux yeux trop bleus, avec un corps trop musclĂ©, et beaucoup trop cool », j’avais envie de les massacrer Ă  la pelle. Oh, non, certes, j’étais bien indiffĂ©rente Ă  beaucoup de chose, froide, et tout ce qui va avec, mais je suis quand une fille normale, au fond, mĂȘme si ma façon de penser diverge des autres. Tout ça pour dire que moi aussi il peut arriver qu’un garçon me plaise, mais je prĂ©fĂ©rais les mecs moins tape-Ă -l’Ɠil ». Nos regards se croisĂšrent soudain, il me sourit. Ce genre de sourire prĂ©tentieux, Ă  la encore une » qui me donnait envie de vomir quasi-instantanĂ©ment. Quelle horreur, ce genre de mec
 Mais une fille attira son attention, et ils commencĂšrent tous Ă  rire bruyamment. Je remarquais dans le tas le mec qui m’avait demandĂ© si je voulais de l’aide pour la trousse de toilette du matin, et un autre type, plus menu, blond aussi, toujours collĂ© avec une brune. Ne montrant rien de mon irritation suprĂȘme, je me levais, et allais m’asseoir sur mon lit, dans la tente, pour Ă©crire tranquillement. En dĂ©but d’aprĂšs midi, j’avais bien avancĂ© l’histoire. J’avais mis en place les personnages principaux, Tom, le jeune garçon, Anita, son amie, qui voulait sortir avec lui, mais qui ne savait pas qu’il Ă©tait homosexuel, Franck, un mec plutĂŽt mignon et intelligent qui ne laissait pas Tom indiffĂ©rent, mais qui Ă©tait un gros psychopathe. Bref, une histoire qui ne pouvait pas se finir en happy-end », plutĂŽt en fin assez triste que je commençais un peu Ă  apercevoir. Enfin, les Ă©vĂšnements principaux, que je notais sur une autre, page, je n’avais pas d’idĂ©e pour le lieu. C’est au moment oĂč je dĂ©cidais d’ailleurs dans quels lieux se passeront les diffĂ©rents Ă©vĂšnements de l’histoire que l’entrĂ©e de la tente s’ouvrit, et qu’une adolescente entra. Elle avait un air sympathique, pas trop intĂ©ressĂ©, pas plus qu’il ne fallait, et elle avait un petit sourire qui disait clairement je viens en paix ». Elle Ă©tait plutĂŽt petite, noire de peau, avait des cheveux bouclĂ©s, et portait un T-shirt ou Ă©tait marquĂ© en gros j’aime les filles ». Ce rapport avec le hĂ©ros de mon histoire attira tout de suite ma sympathie. Il Ă©tait bizarre de constater que je me mettais tellement Ă  l’écart, que je finissais par apprĂ©cier plus mes personnages que les personnes rĂ©elles. -Il va y avoir une petite sortie en bateau, dans une demi-heure, dit-elle. On pensait invitait tout le monde, enfin, tout ceux qui ont notre Ăąge, pour faire connaissance. Pour toute rĂ©ponse, je hochais la tĂȘte. Une autre personne, je n’aurais rien fait, mais elle attirait ma sympathie. Elle se leva, avec un petit sourire, et s’en alla. Moi, je remis mes lunettes bien en place sur mon nez, et je me remis Ă  Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2144 Vingt-huit minutes plus tard, j’avais rejoint le petit groupe qui se formait au niveau du bateau. On Ă©tait une petite dizaine, mais le bateau Ă©tait assez grand pour pouvoir tous nous accueillir. Trente-deux minutes plus tard, nous y Ă©tions montĂ©s, et le bateau dĂ©marra, et commença Ă  s’éloigner de la plage. Tout le monde profitait du moment, mĂȘme moi, mais Ă  une façon diffĂ©rente. La plupart des autres riaient entre eux, ou prenait le soleil. Moi j’étais assise sur le bord, Ă  regarder l’eau dĂ©filer, le vent faisant voler mes cheveux. Ca me donnait l’impression d’ĂȘtre libre pour une fois. Du coin de l’Ɠil, je vis l’autre blond de ce matin, Mark, Ă  ce que j’avais entendu, enlever son T-shirt, et le tenant dans une main, le plongea dans l’eau, lui-mĂȘme se couchant bien en arriĂšre pour profiter du soleil, et n’hĂ©sitant pas Ă  montrer Ă  l’assistance ses pectoraux dĂ©veloppĂ©s et ses abdos. Quel frimeur
 Soudain, il y eut un accrochage, et je tombai Ă  l’eau. Quand je ressortis, le bateau avait continuĂ© un peu sa route. Il Ă©tait maintenant Ă  l’arrĂȘt, Ă  dix mĂštres de moi. Je me mettais Ă  nager dans sa direction, et je remarquais l’absence de deux autres personnes Ă  son bord. Une d’elle remonta un peu avec moi, et je remontai moi-mĂȘme quelques instants plus tard, ignorant la main tendue de Mark. -OĂč est Franck ? OĂč est Franck ?C’était la brune avec qui le blond, Franck, donc, Ă©tait collĂ© ce matin. Tout le monde se mit Ă  chercher dans les alentours, quand il ressortit enfin de l’eau, en hurlant. On put tous apercevoir son bras gauche, tranchĂ© au niveau du poignet. Il avait du tomber Ă  l’arriĂšre du bateau. Encore heureux que l’hĂ©lice ne lui ai pris que sa main
Le conducteur du bateau, alors que tous les passagers se mettaient Ă  hurler, sauta Ă  l’eau pour remonter l’infortunĂ©. Ce ne fut pas sans mal, mais aidĂ© par quelques garçons il y arrivĂšrent assez vite, avant que l’hĂ©morragie, accentuĂ©e par l’eau, ne fasse trop de dĂ©gĂąts. Le blessĂ© fut placĂ© au centre du bateau, qui le conducteur fit redĂ©marrer, avant que je ne pose ma main sur son Ă©paule. -Il faut retrouver sa main. Si la coupure est nette, les mĂ©decins pourraient peut-ĂȘtre recoudre. J’avais parlĂ© d’une voix forte, pour couvrir le moteur, et calme. TrĂšs calme. Tout le monde me regarda. Je pouvais, dans certains regards, voire l’horreur. Je savais ce que mes paroles pouvaient susciter, cependant, elles Ă©taient justes. -Elle a raison. C’était la voix de Mark, qui Ă  l’étonnement de tous, et Ă  mon grand dam, venait de s’exprimer. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que personne ne prenne mon parti, que ce soit ce crĂ©tin, que je ne connaissais mĂȘme pas, qui prenne ma dĂ©fense. Il passa prĂšs de moi et sauta Ă  l’eau. Je ne vis sur lui nulle trace de l’ancien T-shirt, mais je n’y fis pas attention. Il y eut un moment de suspens, oĂč j’aperçus la jeune fille qui Ă©tait venue dans ma tente ce matin, et un jeune garçon, brun et menu, qui semblaient ĂȘtre les plus calmes, enfin, tout est relatif. Je regardais le mec discrĂštement. Oui, c’était dĂ©jĂ  plus mon type, mon bon, on ne va pas trop s’attarder non remonta Ă  bord une minute plus tard, alors que le conducteur faisait ce qu’il pouvait pour enrayer l’hĂ©morragie. Il avait la main de par hasard, souffla-t-il. AprĂšs, tout se passa trĂšs vite. Mark prit le relais, en vaillant hĂ©ros caricaturĂ© de la veuve et de l’orphelin, pour empĂȘcher le sang de trop s’écouler de la plaie, et le bateau rentra vite Ă  quai, le conducteur passant un message radio pour qu’on appelle une ambulance qui arrive dix minutes aprĂšs notre arrivĂ© Ă  bon port. Franck s’était alors Ă©vanoui, mais le mĂ©decin du camping avait limitĂ© les dĂ©gĂąts. Nous, les adolescents, Ă©tions restĂ© Ă  part, Ă  environ cinq mĂštres. Beaucoup me regardaient, certains Ă©taient suspicieux, d’autres Ă©tonnĂ©s, et une trĂšs petite minoritĂ© impressionnĂ©e. Personnellement, je gardais le dos droit, totalement maĂźtre de mes attitudes et Ă©motions. Et l’ambulance eut emportĂ© Franck, nous nous dirigeĂąmes vers le camping. J’accueilli, totalement neutre, les compliments sur ma prĂ©sence d’esprit de la part du conducteur du bateau, mais je failli tuer quelqu’un lorsque Mark me fit le mĂȘme compliment. Ce type a des tonnes de filles Ă  ses pieds, pourquoi moi ? Il aime peut-ĂȘtre la difficulté Eh ben il va ĂȘtre servi, me dis-je, lui jetant un regard oĂč la haine ne transpirait presque Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 La nouvelle de l’accident fit le tour du camping en un temps Ă©clair, tandis que j’étais tranquillement dans ma tente en train d’écrire. Mes parents n’étaient pas lĂ , mais je remarquai que la trousse de toilette avait mal Ă©tait replacĂ©e, et je devinai qu’ils Ă©taient allĂ©s fumer discrĂštement. Mon histoire avançait j’avais tout les personnages, tout les Ă©vĂšnements principaux, ainsi que les lieux. Hasard, je prĂ©voyais de mettre la derniĂšre partie dans un camping. Je remarquais tout de suite le cĂŽtĂ© dramatique que cela procurera Ă  l’histoire. En fin d’aprĂšs-midi, mes parents Ă©taient passĂ©s par la tente. Ils avaient Ă©videmment entendu parler de l’accident, et ils me demandĂšrent, d’un ton un tantinet inquiet, si j’allais bien. Ils connaissaient la rĂ©ponse ils me connaissaient, Ă  force, mĂȘme si j’avais du mal Ă  l’admettre, mais je rĂ©pondis tout de mĂȘme un oui » totalement neutre. RassurĂ©s, ils s’en allĂšrent. Je posai alors mes affaires d’écriture, et je faisais une petite sieste. Je fus rĂ©veillĂ© une heure plus tard par quelqu’un qui s’était introduit dans ma tente. Je reconnaissais le type qui m’avait proposĂ© son aide, ce matin, et je me demandai ce qu’il voulait. Je remarquai, maintenant qu’il Ă©tait aussi prĂšs, qu’il Ă©tait un peu plus grand que moi, et assez musclĂ©. Il s’avança vers moi, et ce fut Ă  ce moment que je commençai Ă  m’inquiĂ©ter je vis enfin son regard, un peu fou, carrĂ©ment mĂ©chant. -Alors, la sorciĂšre, on se repose ?On avait visiblement racontĂ© beaucoup de chose sur moi, pendant que je me reposais. Et ce n’était pas du goĂ»t de tout le monde. Je devinai que ça devait avoir un rapport avec la sortie de ce midi –quoi d’autre ?- , peut-ĂȘtre m’accusait-on d’avoir provoquĂ© l’accident ? Vu le sorciĂšre », cela Ă©tait plausible
 -Bon, qu’est-ce ce que tu veux ? fit le garçon en s’approchant mĂ©chamment. Pourquoi es-tu venu ici ? Tu sais, tu es jolie, quand mĂȘme
Alors, il s’avança encore de deux pas, et me prit par les Ă©paules, avant de susurrer Ă  mon oreille -Tu veux baiser ?Je lui envoyĂ© alors un coup de genoux dans l’entrejambe, avant de l’envoyer valser avec une bonne droite. Il tombait au sol, et se releva, l’air fou. Tout en gardant un calme plus extĂ©rieur qu’intĂ©rieur, je soulevais mon matelas, et prenait le couteau qui se trouvait dessus. Au cas oĂč
 Mais soudain, il y eut un cri, et quelqu’un rentra dans la tente, pris le garçon, avant de le sortir de lĂ . Je dĂ©couvris un adolescent aux cheveux corbeaux, qui devait ĂȘtre ce matin sur le bateau. D’allure fine, il Ă©tait plutĂŽt grand, et, je dois l’avouer, avait un joli visage qui finissait dans un menton pointu. Je revins Ă  la rĂ©alitĂ© au moment oĂč les deux garçons touchaient le sable. Je fus tentĂ©e d’aller me battre, mais sortir avec un couteau le ferait mal, surtout que des adultes couraient dĂ©jĂ  par lĂ . Je cachai alors le couteau sous mon matelas, et je tournai la a Ă©tĂ© une dure journĂ©e, aujourd’hui. On raconte beaucoup de choses sur toi. Mais bon, ce ne sont que des saloperies attisĂ©es par la curiositĂ©. Jolie entrĂ©e en sais, Max, celui qui est venu t’aider tout Ă  l’heure, est assez sympa, et il a prit ta dĂ©fense. Oh, les autres l’ont juste mis un peu plus Ă  l’écart, mais bon. Je pense que ça lui ferait plaisir que tu ailles le voir. Cette fille Ă©tait, comme certaines autres personnes, de celles que j’arrivais Ă  bien aimer. MĂȘme si je ne faisais rien pour le montrer, leur compagnie ne m’était pas dĂ©sagrĂ©able. Un peu comme lorsque j’écrivais. -D’accord, rĂ©pondis-je, avec en tĂȘte le souvenir du certain Max. -Au fait, reprit-elle. Je m’appelle sourit, et se leva. Lentement, je la suivis, ayant prĂ©alablement Ă©teint la lampe. Nous passĂąmes prĂšs de plusieurs groupes de jeunes plus ou moins soĂ»ls, qui criaient et chantaient prĂšs du feu, mais Hannah m’entraĂźna plus loin, vers la petite forĂȘt. Max s’y tenait assis, et je n’eus pas besoin de lumiĂšre supplĂ©mentaire pour voir ses bleus. MalgrĂ© ces derniers, je le trouvai assez mignon. La soirĂ©e fut calme. On parlait, discutait, mais rien de plus, mais j’apprĂ©ciais tout de mĂȘme. Une entente Ă©tait passĂ©e directe entre nous trois, et on se contentait des silences, parfois, profitant juste du lien nouveau qui nous unissait. Je restais fidĂšle Ă  moi-mĂȘme, bien sĂ»r ! Aucun sourire ne vint illuminer mon visage. Mais Ă  la fin d’une soirĂ©e, ce n’est pas Ă  mon sourire qu’on voit si je me suis amusĂ©e, non, c’est Ă  mon vu le sourire d’Hannah quand nous nous sĂ©parĂąmes, elle avait aimĂ© ce qu’elle y avait lu. Alors, j’aperçus Mark qui, au loin, m’observait, avec un visage Ă©tonnamment soucieux par rapport Ă  d’habitude. Je prĂ©fĂ©rais me reporter sur mon agresseur et le sien. La nuit Ă©tait maintenant tombĂ©e, et je n’avais pour seul Ă©clairage la lampe de poche pendue au plafond, et le feu de camp, qui se situait Ă  une dizaine de mĂštres de mon emplacement. J’essayais d’écrire, mais mes pensĂ©es dĂ©rivaient, et je n’arrivais Ă  avoir que quelques bribes de l’histoire, que je notais tout de mĂȘme consciencieusement. Une nouvelle fois, j’entendis quelqu’un rentrer dans ma tente, et je relevais la tĂȘte, un tantinet plus nerveuse que les deux fois prĂ©cĂ©dentes. C’était la jeune fille de ce matin. Toujours le mĂȘme sourire, le mĂȘme regard
 et surtout le mĂȘme T-shirt ! Je faillis sourire en remarquant ce dĂ©tail, mais je n’en fis rien. Elle s’assit sur le lit de mes parents, comme la premiĂšre fois, et entama la discussion, comme la premiĂšre Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2145 Le lendemain, je passai la journĂ©e dans ma tente. J’eus Ă  peine le temps de commencer Ă  Ă©crire le matin, que Mac me rejoignit, et que nous commençùmes Ă  discuter. Il Ă©tait assez timide, et n’arrĂȘtait pas de se tordre les mains, ce qui m’amusait quelque peu. La discussion fut agrĂ©able, et un peu plus meublĂ©e que celle de la veille. Nous discutions de tout et de rien, dans le vrai sens du terme. Ca lui plaisait, Ă  moi aussi, et on le savourait chacun Ă  sa maniĂšre. Il me quitta le midi, pour aller manger, et je rejoignit, moi, mes parents, avec lesquels je passai le repas. J’eus le droit aux sempiternels questions sur si je m’amusais, je m’étais fait des amis, et tout le reste de la part de mon pĂšre, et je me contentais de manger tranquillement, feignant d’ĂȘtre trop affamĂ©e pour lui rĂ©pondre. AprĂšs le repas, mon pĂšre, ma mĂšre et moi retournĂąmes Ă  la tente. -Ouah, j’ai bien mangĂ©, moi ! s’exclama mon pĂšre, s’étalant pas la mĂȘme occasion sur son lit deux places qui se referma sur lui au niveau de la sĂ©paration. Ma mĂšre eut un petit cri de souris, et tentant de le libĂ©rer de sa prison de mousse, donna un coup de pied dans la trousse de toilette, libĂ©rant par contre ainsi les cigarettes. La pauvre femme ne savait plus oĂč donner de la tĂȘte. Avec un petit sourire en coin, un sincĂšre, que j’avais quand j’étais vraiment amusĂ©e par quelque chose –ce qui Ă©tait plutĂŽt rare- je replaçais les cigarettes dans la trousse, et aidai ma mĂšre Ă  libĂ©rer mon pĂšre en lui glissant Ă  l’oreille -On dira que je n’ai rien vu
Un peu plus tard, une fois mon pĂšre et ma mĂšre sortis, Hannah et Max arrivĂšrent. Max semblait de plus en plus timide, mais je le trouvais quand mĂȘme assez mignon, et Hannah, tout sourire, Ă©tait vĂȘtue d’une petite robe rouge. Je fus un peu déçue qu’elle ait remplacĂ© le T-shirt par cette robe. -Il y a un truc d’accro branche, cette aprĂšm. Ca te dit ?-Ouais, pourquoi pas
 rĂ©pondis-je, pas trĂšs enthousiaste. En attendant l’heure dite, nous restĂąmes dans la tente, et nous commençùmes une partie de carte. Au bout d’un certain nombre de manches –j’avais arrĂȘtĂ© de les compter
- nous nous rendĂźmes compte qu’il Ă©tait temps d’y aller, et nous nous dirigeĂąmes vers le lieu de rendez-vous. Quand nous fĂ»mes empaquetĂ©s avec tout ce qui Ă©tait censĂ© nous sauvĂ© la vie, nous partĂźmes sur le parcours, non loin du camping, qui dĂ©cidĂ©ment, Ă©tait plein de rĂ©serve. Je remarquai, une dizaine de mĂštres devant nous, le mec d’hier. Lui aussi prĂ©sentait de nombreuses traces des coups que Max lui avait portĂ©s. Cependant, Ă  sa vue, je ralentis un peu l’allure. Le dĂ©but du parcours se passa tranquillement. On avançait tous Ă  notre rythme, sur les diffĂ©rents niveaux de l’installation. Du coin de l’Ɠil, je ne pouvais m’empĂȘcher de surveiller le type qui m’avait brutalisĂ© hier, encore sur la terre ferme, Ă  cause d’un problĂšme de chaussure, ou de je-ne-sais-quoi. J’avançais en compagnie d’Hannah et de Max. On s’entraidait en silence, se hissant mutuellement, se faisant la courte Ă©chelle et toute la panoplie de la survie Ă  vingt mĂštres de hauteur. Je commençais Ă  regretter d’ĂȘtre venue, et je fis la remarqua Ă  voix haute, entre mes dents, mais que tout le monde entendit. Dans leurs regards, je vis que Max et Hannah pensaient la mĂȘme chose. Soudain, il y eut un claquement sec, et je vis, dans le coin de l’Ɠil qui lui Ă©tait rĂ©servĂ©, le type qui venait de faire ses premiers pas sur le parcours chuter, sa corde de sĂ©curitĂ© cassĂ©e. J’entendis de nombreux cris, et tous suivirent la chute de cinq mĂštres du type. Je commençais Ă  vouloir descendre, me demandant si je ne serais pas la suivante, quand mon regard en croisa un que je commençais Ă  croiser trop de fois ces derniers temps celui de Mark. Un regard calme et posĂ©, qu’on ne lui connaissait je ne sais pas pourquoi, mais un frisson me parcouru l’échine. J’étais devenue la bĂȘte noire du camping. On me mettait tout sur le dos. Enfin, surtout les adolescents. Les adultes avaient plutĂŽt pitiĂ© ils connaissaient bien le systĂšme des enfants Ă  mettre sur le dos d’une personne diffĂ©rente tout ce qui arrive de bizarre. Ce fut la raison principale qui me poussa Ă  rester durant les quatre jours qui suivirent l’accident de l’accro branche Ă  rester cloĂźtrer dans ma tente, Ă  Ă©crire. J’avais rĂ©guliĂšrement la visite d’Hannah ou de Max, ou des deux. Je me rapprochais d’eux de plus en plus, jusqu’à un point que je trouvais trop avancĂ©. C’était le point oĂč j’étais presque devenue la meilleure amie. OĂč j’étais censĂ©e divulguer mes secrets, et tout ce qui me tracassait. Et cela me dĂ©plaisait fortement. Et encore, ce n’était que du cĂŽtĂ© d’Hannah. Max s’était aussi rapprochĂ©, mais de façon plus subtile. J’avais l’impression qu’il Ă©tait amoureux. Oui, je les aimais bien, j’apprĂ©ciais leur prĂ©sence, oui max Ă©tait mignon, mais je ne voulais pas m’engager dans quoi que ce soit. En plus, ce n’était qu’un sĂ©jour au camping, et on ne se verrait plus aprĂšs. Pas le lieu idĂ©al pour s’attacher trop aux gens. C’est pourquoi, je mis un frein Ă  leur prĂ©sence, ce qu’ils remarquĂšrent aussitĂŽt. Le cinquiĂšme jour fut tendu, puis arriva le jour de la fĂȘte du Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le soleil Ă©tait sur le point de se coucher, et tout le monde aidait Ă  prĂ©parer le feu de joie qui ferait la nourriture et la lumiĂšre de tous le soir. Je me baladais, de bien mĂ©chante humeur entre les seulement j’avais Ă©tĂ© forcĂ©e Ă  sortir ce soir lĂ , et ainsi Ă  dĂ©laisser mon histoire, qui en Ă©tait Ă  son dernier chapitre, mais en plus, je devais faire des efforts faramineux pour rĂ©ussir Ă  Ă©viter Hannah et Max, ce qui me mettait dans un Ă©tat de tel stress que je n’arrivais pas Ă  penser Ă  mon histoire qui se trouvait dans la poche arriĂšre de mon pantalon. Rageant. Soudain, plus loin, je vis mes parents en train de boire et de discuter avec un type avec lequel ils semblaient fort bien s’entendre dans la beuverie. Fort bien ! BourrĂ©s, ils m’oublieront. Ainsi, je me prĂ©cipitai vers ma tente, oĂč je serais en sĂ©curitĂ© pour justement lĂ  que Max et Hannah m’attendaient. Je freinais un maximum ma course folle, mais je perdis l’équilibre, et je dus faire de tels mouvements pour Ă©viter la chute qu’un aveugle m’aurait repĂ©rĂ© aux dĂ©placements d’air que j’ais provoquĂ©. En deux secondes, j’avais mes deux amis sur moi. Jusqu’à la tombĂ©e du soleil, je rĂ©sistai Ă  la tentation, et je les supportais, en y montrant, il est vrai, fort peu de bonnes volontĂ©. Mais c’est l’intention qui compte ! Quoi que dans ce cas de figure, l’intention n’était pas trĂšs claire
 Quoi qu’il en soit, au moment oĂč le feu de joie s’embrasait, Hannah me demanda si j’allais je ne vais pas bien. Non, je ne veux pas d’aide, continuai-je rapidement, en la voyant ouvrir la bouche. Je ne veux plus vous voir, en autant de tact qu’un zĂ©ro Ă©crit en rouge et en gros sur une feuille d’interro, mais au diable la sensiblerie ! -J’en ai marre, j’ai toujours Ă©tĂ© toute seule, et je ne suis pas prĂȘte Ă  ĂȘtre avec du monde, mĂȘme des gens aussi bien que vous. Surtout en camping, dans dix jours, on se voit plus. Alors vous aurez ouvert quelque chose en moi, mais vous n’en profiterez pas. Sur ce, je m’en allais en courant, ressentant de la culpabilitĂ© Ă  cause du ton, et de la tristesse pour je ne reviendrais pas sur ma nuit Ă©tait maintenant bien tombĂ©e, et j’étais prĂšs d’un des nombreux feu qui avait poussĂ© depuis que le soleil avait disparu, et la tempĂ©rature tombĂ©e. C’était Ă  la lueur des flammes que je continuais Ă  Ă©crire ma tragĂ©die. Anita avait Ă©tĂ© tuĂ©e par Franck, qui pour consoler Tom, l’avait emmenĂ© dans un joli camping. Romantique Ă  souhait !...Mais lĂ , j’étais bloquĂ©e. Le camping, mais quoi d’autre ? Les vacances allaient tournĂ© au cauchemar, c’est clair, mais je ne savais trouver les ingrĂ©dients de ce cauchemar. Je ne voulais pas trop en faire, et en faire tout de mĂȘme un minimum. Qu’allais faire Franck ? Tuer ? Non, trop gros. Alors quoi ?Ca faisait dix minutes que j’étais lĂ , stylo levĂ©, en train de rĂ©flĂ©chir, quand une des
 jeunes filles –terme auquel se limitera mon langage- qui ne semblait pas ce rassasier l’autre
 jeune homme –hum, hum !- se prĂ©nommant
 bref, ça n’a pas d’importance, vint s’asseoir Ă  mes lors, j’eus des envies de lui faire subir des tortures de mon invention, peut-ĂȘtre limitĂ©e, mais sortant droit de ma petite tĂȘte. Des trucs horribles, dĂ©passant l’imagination. Son imagination
Et si Mark voulait se joindre Ă  la fĂȘte, ce serait encore plus ! Elle s’assit face Ă  moi, rejetant en arriĂšre ses longs cheveux blonds. Parfaite caricature d’une de ses pou
 publicitaires travaillant dans une pub de soin de je ne sais quelle partie du corps. J’aurais bien voulu lui enfoncer mon stylo dans la gorge, mais ça aurait risquĂ© de tacher mon histoire. -Alors la sorciĂšre, on s’éclate ?Je t’éclate la tĂȘte Ă  coup de pierres. -Tu veux peut-ĂȘtre de l’aide pour
 tenir ton stylo en l’air ? Et elle partit d’un rire veux surtout de l’aide pour te tenir. -Peut-ĂȘtre que tu vas le lancer un sort avec ton papier maudit ?Tu ne mĂ©rites mĂȘme pas de le toucher
-CONNASSE !Sans m’en rendre compte, j’avais sautĂ© sur mes pieds. Des regards se tournĂšrent vers moi, dont des regards appartenant au fan club de l’autre frimeur de mes-deux-que-je-n’ai-pas. Mais les regards se tournĂšrent vers le sol, en mĂȘme temps qu’une odeur de brĂ»lĂ© montait Ă  mes baissais les yeux sur la criniĂšre enflammĂ©e de l’autre pouf. Et Ă  la vue des regards qu’on me lança, je me mis Ă  courir. Sans sentir un autre regard dans mon dos. Un regard que j’aurais Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Bon, il faut me comprendre ! Je ne suis pas surhumaine, aprĂšs tout
 Et il m’arrive que certains Ă©vĂšnements me touchent plus que d’autres, et ce qui s’était passĂ© durant la soirĂ©e m’avait mis les nerfs Ă  vifs, voilĂ  tout
Le point positif, c’est que, du point oĂč je m’étais, en haut d’une falaise, avec vue imprenable sur la mer et sur le camping, j’avais tout inventĂ©, et tout compris en mĂȘme temps. L’illumination. Tom et Franck sont tranquillement en vacances. Que fais Franck ? Il nargue Tom tout en commentant certaines exactions ni vue, ni connues. En effet, qui mieux que Tom peut dĂ©voiler Franck ? Alors pour dĂ©concentrer Tom, le psychopathe du groupe fait style d’enlever son T-shirt, dĂ©voilant ainsi son corps Ă  Tom. Ainsi, Franck peut lĂącher son T-shirt dans l’eau qui ira bloquer l’hĂ©lice du bateau, faisant ainsi tomber tout le monde dans l’ qu’un des passagers peut avoir la main tranchĂ©e ? C’est ainsi que j’avais dĂ©voilĂ© avait toutes les attitudes de Franck, le seul bug, c’était je n’étais pas Tom. Soudain, des bras entourĂšrent mon corps. -Alors, on se cache pour mieux me retrouver ? Quelle gentille attention
J’arrĂȘtais alors carrĂ©ment de voix de Mark, mais avec en plus toute la folie qu’une voix humain pouvait exprimer. La peur me prit au plus profonde mon ĂȘtre, me faisant frissonner. -Et des frissons de plaisir, en plus ! Tu dĂ©passes mes plus, il croyait que j’avais envie de je sais que sous ta carapace, il y a quelqu’un
 J’étais comme toi, avant, puis aprĂšs quelques
 Ă©vĂšnements, je me suis un peu libĂ©rĂ©. Je peux te libĂ©rer, fais moi confiance
Oh, et en plus, il me proposait de tuer je ne sais quel sale type !C’est Ă  ce moment que la colĂšre prit place sur la espĂšce de petit enculĂ© Ă©tait encore plus vaniteux qu’un aille au Diable !Je baissai alors la tĂȘte, et la remontai d’un coup sec. En plein dans le nez. Il poussa une petite exclamation, et tomba en arriĂšre, m’agrippant au passage. Je tombai alors avec lui, lĂąchant mon carnet d’histoire. -Non !...Mais je ne pus en dire plus, et il m’enfonça la tĂȘte dans le vainement de bouger la tĂȘte, alors que lui me l’enfonçais encore plus profondĂ©ment dans le sable, et c’est ainsi que j’entendis un craquement Ă©touffĂ©. Mon nez venait de casser. De plus, je commençais sĂ©rieusement Ă  manquer d’ me concentrai alors sur d’autres choses. Mes mains. Un caillou. mains lĂąchĂšrent soudain ma tĂȘte, et je me relevais. Je frottai mon nez, enlevant le sable collĂ© Ă  mon sang, et courus sans rĂ©flĂ©chir vers mon carnet d’histoire que je ramassai. Puis, me retournant, j’aperçus Mark qui se relevait, le nez et l’arcade sourciliĂšre en sang. Alors je me mis Ă  n’avais jamais courus comme ça, et j’atteignais rapidement le camping. Tout le monde Ă©tait rĂ©uni en son centre, et je ne croisai personne. A l’approche de ma tente, je lĂąchai mon carnet d’histoire, que je retrouverai plus tard, et je m’engouffrai dans ma tente. Je soulevai mon matelas, mais il n’y avait pas le couteau. Je me souviens du regard de Mark, et je me couteau s’enfonça dans mon abdomen, et j’eus le souffle coupĂ©. EntraĂźnĂ©e par le poids de Mark, je tombai en arriĂšre. Il Ă©tait maintenant au dessus de moi, et avait lĂąchĂ© le couteau, le laissant dans mon ventre. Je gĂ©mis de douleur, ce qui lui provoqua un grand sourire. Lentement, il se pencha vers moi, et il posa ses lĂšvres sur les Enflure. Je vais te au moment oĂč j’eus cette pensĂ©e que ma main droite toucha la trousse de toilette. Le dĂ©o, et, surprise, le briquet mal m’emparais alors des deux dans ma main, chose plutĂŽt difficile, et j’attendis qu’il se relĂšve. J’avais un goĂ»t de sang dans ma bouche, qui couvrait son Ju' !! =D °o° oups' °o°AdminNombre de messages 172Date d'inscription 31/05/2008Sujet Re [Concours AoĂ»t] Lun 11 AoĂ» - 2146 Le temps ma parut long, mais quand il se releva, j’eus enfin un plus grand de toute ma plus carnassier. Je levai alors le dĂ©o, appuyai sur le bouton, en actionnant le briquet que j’avais changĂ© de main, et dirigĂ© le jet vers sa cria de douleur, alors que ses cheveux, et le reste de la tente prenait feu. Il se releva en arriĂšre, se tenant le visage Ă  deux main, et, aveuglĂ© par la douleur, tomba sur la lit de mon pĂšre qui se referma, une nouvelle fois. Personnellement, je me relevai en vitesse, et sortis de la tente en courant. -Au feu ! Au feu ! Les vacanciers avaient repĂ©rĂ©s les flammes, et couraient dans ma direction. SauvĂ©e. -Mon carnet
. Soufflais-je Ă  ma mĂšre, qui venait d’arriver Ă  mon chevet. Je perdis connaissance avec pour derniĂšre vision la lune rougie par le feu, comme si elle Ă©tĂ© couverte de lune fois-ci, je pose le stylo pour de bon, et je ferme les yeux. J’ai racontĂ© l’histoire, mon histoire, comme je l’avais vĂ©cue. Oh, oui, elle est Ă©crite comme une fiction, mais ça la rend plus vivante, non ? Maintenant, je suis Ă  l’hĂŽpital du coin, chambre 204. Mon Ă©tat est trĂšs bon, et je dois quitter les lieux le lendemain. Oh, je ne suis pas déçue de partir, mais je dois avouer qu’un sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital vaut toutes les vacances au camping !... Je n’ai pas revu Hannah et max, mĂȘme si je leur ai laissĂ© un petit mot, leur expliquant ma dĂ©cision sur laquelle je ne suis pas revenue. Mon histoire se termine ainsi, avec rien d’autre qu’une cicatrice, ma mĂ©moire, et ce texte pour prouver qu’elle est rĂ©elle. Je range le carnet dans le tiroir, et je regarde les cadeaux qui se trouvent sur ma table de chevet, et je m’arrĂȘte avec un sourire sur une carte d’anniversaire arrivĂ©e lĂ  par erreur, destinĂ©e Ă  une certaine Laureline. J’aime bien ce prĂ©nom. Je le prĂ©fĂšre en tout cas Ă  Elisabeth, mais bon. Mon regard se perd dans le ciel que je voie par la fenĂȘtre, et j’imagine le vent qui court dans mes cheveux. VoilĂ  quelque chose que j’aime sans concession. Je ferme les m’endors, avec un sourire d’ Ju' !! =D Contenu sponsorisĂ©Sujet Re [Concours AoĂ»t] [Concours AoĂ»t] Page 1 sur 1 Sujets similaires» [Concours Aout]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFais ton show !! LittĂ©rature Concours RĂ©sultatsSauter vers Causes La douleur physique a deux sources. La douleur nociceptive dĂ©signe la douleur transmise par les nerfs et dont l'objectif est de renseigner sur les dommages subis par une partie du corps.Cette douleur est gĂ©nĂ©ralement ressentie comme un endolorissement ou une pression. Les douleurs provoquĂ©es par le cancer sont gĂ©nĂ©ralement de cet ordre. Cet article approfondit l’analyse du concept de fonction de mesurage continue, introduite dans l’article 5a, qui utilise l’exemple d’une Ă©chelle analogique de douleur. Il s’agit de prĂ©ciser l’incertitude thĂ©orique qui s’attache Ă  l’interprĂ©tation des mesures lues sur l’échelle de mesure et d’en tirer les consĂ©quences du point de vue psychologique. 1. Comparaison inter-individuelle ConsidĂ©rons tout d’abord le graphique ci-dessous qui reprĂ©sente la fonction de mesurage de Paul et la fonction de mesurage de Julie pour zoomer sur l’image, cliquer dessus ; on se place dans la situation oĂč ces fonctions seraient connues. Tous deux, lors d’une mesure, indiquent sur l’échelle une valeur d’environ 7 cm. Qui des deux a le plus de douleur ? Sauf quand leur douleur est nulle ou maximale, lorsque Paul et Julie indiquent l’intensitĂ© de leur douleur par une mĂȘme mesure, la douleur de Julie est plus grande que la douleur de Paul ce qui, en termes courants, signifie que Julie est plus rĂ©sistante Ă  la douleur que Paul. Ainsi, si on admet que les fonctions de mesurage sont propres aux personnes et que ces fonctions ne sont pas identifiĂ©es, on ne peut pas utiliser les mesures pour comparer les quantitĂ©s mesurĂ©es chez les diffĂ©rentes personnes chacun est son propre instrument de mesure et on ignore comment passer d’un instrument Ă  un autre. 2. Comparaison intra-individuelle Concentrons-nous Ă  prĂ©sent sur le mesurage de la douleur de Paul par sa fonction reprĂ©sentĂ©e ci-dessous et envisageons quatre Ă©tats de sa douleur, q1 Fq4 – Fq3. En d’autres termes, la fonction de mesurage ne conserve pas l’unitĂ© de changement de la douleur, ou encore, la mesure n’est pas mĂ©trique mais seulement ordinale. Calculer une diffĂ©rence entre plusieurs mesures pour quantifier le changement de la douleur, c’est-Ă -dire connaĂźtre la quantitĂ© de changement de douleur, est une chose vaine cf. Bachelard, 1938/1983. Les hauteurs lues sur l’échelle de douleur indiquent seulement le sens positif ou nĂ©gatif du changement de la douleur. D’oĂč la question suivante que faut-il pour que la diffĂ©rence entre deux mesures ait une signification quantitative, c’est-Ă -dire qu’on puisse rĂ©fĂ©rer Ă  une unitĂ© de douleur ? En d’autres termes, que faut-il pour que le taux d’accroissement dy/dq soit une constante positive ? Il faut et il suffit que la fonction de mesurage soit une fonction affine, c’est-Ă -dire du type Fq = aq + b, avec a > 0. En effet, quels que soient q1 et q2 distincts, [Fq2 – Fq1]/q2 – q1 = a Fq2 – Fq1 = aq2 – aq1 pour tout q Fq = aq + b. Les mesures obtenues par une fonction de mesurage affine conservent les intervalles de quantitĂ©s de la grandeur mesurĂ©e, c’est pourquoi on les appelle des mesures d’intervalle cf. 40a. Enfin, les mesures sont-elles additives ? Autrement dit, quels que soient q1 et q2, a-t-on Fq1 + Fq2 = Fq1 + q2 ? Si F est linĂ©aire, ie., Fq = aq, ce qui correspond Ă  ce qu’on appelle une Ă©chelle de ratio, F est additive pour tous q1 et q2, Fq1 + q2 = aq1 + q2 = aq1 + aq2 = Fq1 + Fq2. Par exemple, les mesures de tempĂ©rature effectuĂ©es Ă  l’aide d’un thermomĂštre en degrĂ©s Celsius ne sont pas additives parce que b, dans l’équation de la fonction affine de mesurage, n’est pas nul quand on lit 0°, la tempĂ©rature n’est pas nulle. Si F est additive et continue, elle est linĂ©aire preuve que m’a expliquĂ©e Julien Labetaa. 3. ConsĂ©quences Si, lorsqu’on demande Ă  quelqu’un d’indiquer l’intensitĂ© de sa douleur en utilisant une Ă©chelle de douleur, on veut interprĂ©ter ses rĂ©ponses comme des mesures, il faut admettre que toute rĂ©ponse dĂ©pend de la quantitĂ© de douleur instantanĂ©e via une fonction de mesurage, dont on ignore la nature. Si on veut considĂ©rer que la mesure effectuĂ©e est quantitative, il faut admettre que cette fonction est affine Ă©chelle d’intervalle ou linĂ©aire Ă©chelle de ratio. Toutes ces suppositions sont invraisemblables si on admet que la personne rĂ©pond non pas machinalement mais selon ce qu’elle veut, quand bien mĂȘme sa volontĂ© nous demeure inaccessible. Au lieu de fonder son interprĂ©tation de la rĂ©ponse sur des arguments psychomĂ©triques ou mĂ©trologiques dont la plausibilitĂ© est douteuse, le psychologue peut plutĂŽt considĂ©rer cette rĂ©ponse comme un acte de langage, qui implique l’intentionnalitĂ© des interlocuteurs plongĂ©s dans un champ de significations possibles. Si, par exemple, la personne Ă©nonce “7 cm” hier et “6 cm” aujourd’hui, il est possible qu’elle dise “j’ai un peu moins mal aujourd’hui qu’hier” dans le langage du clinicien qui la fait s’exprimer par dĂ©placements du curseur de l’échelle. La sagesse philosophique de Bachelard 1938/1983 peut ĂȘtre utile au psychologue Mesurer exactement un objet fuyant ou indĂ©terminĂ©, mesurer exactement un objet fixe et bien dĂ©terminĂ© avec un instrument grossier, voilĂ  deux types d’occupations vaines que rejette de prime abord la discipline scientifique. p. 213 RĂ©fĂ©rence Bachelard, G. 1983. La formation de l’esprit scientifique. Paris Vrin. PremiĂšre Ă©dition en 1938
aligne ciL -dessous reprĂ©sente une Ă©chelle d’intensitĂ© des douleurs. À l’aide de votre souris, faites glisser le curseur jusqu’à l'emplacement qui corresponde le mieux aux douleurs que vous ressentez actuellement. pas de douleur douleur maximale imaginable Dans cette fenĂȘtre, vous pouvez constater Ă  quelle valeur correspond l'endroit oĂč vous avez cliquĂ©: Voici comment votre
Echelles douleur une structure spĂ©cialisĂ©e en douleur chronique Au-delĂ  de sa reconnaissance et quelle que soit son expression clinique, la prise en charge de la douleur repose en premier lieu sur son Ă©valuation permettant d’identifier les facteurs somatiques, psychologiques et sociaux participant Ă  l’expĂ©rience douloureuse. Au-delĂ  de l’écoute, cette Ă©valuation passe par l’utilisation d’échelles et de questionnaires validĂ©s. Les Ă©chelles d’évaluation de la douleur sont des outils pour aider Ă  identifier, Ă  quantifier, Ă  qualifier ou Ă  dĂ©crire la douleur. On distingue deux modes d’évaluation l’auto-Ă©valuation, Ă©valuation par le patient, l’adulte ou l’enfant Ă  partir de 4-6 ans Ăąge scolaire, capables de communiquer sur l’intensitĂ© ou les caractĂ©ristiques de la douleur ; l’hĂ©tĂ©ro-Ă©valuation, Ă©valuation par les soignants de la douleur des adultes non communiquant personnes ĂągĂ©es, patients de rĂ©animation, polyhandicapĂ©s
 ou des enfants de moins de 4 ans. L’évaluation de la douleur doit privilĂ©gier l’auto-Ă©valuation chaque fois qu’elle est possible. Son interprĂ©tation ne peut-ĂȘtre qu’intra-individuelle et jamais inter-individuelle. L’évaluation de la douleur doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e et faire l’objet d’une traçabilitĂ© dans le dossier patient. Il existe deux types d’échelles d’évaluation les Ă©chelles unidimensionnelles permettant une estimation globale et ne mesurant qu’une seule dimension de la douleur intensitĂ© les Ă©chelles pluridimensionnelles, apprĂ©ciant quantitativement et qualitativement diffĂ©rents aspects de la douleur. OUTILS D’HETERO-EVALUATION EVALUATION DE LA DOULEUR CHEZ LE PATIENT SOUFFRANT DE DEMENCE, AGE OU MAL-COMMUNIQUANT Version mobile Echelles douleur Au-delĂ  de sa reconnaissance et quelle que soit son expression clinique, la prise en charge de la douleur repose en premier lieu sur son Ă©valuation permettant d’identifier les facteurs somatiques, psychologiques et sociaux participant Ă  l’expĂ©rience de l’écoute, cette Ă©valuation passe par l’utilisation d’échelles et de questionnaires Ă©chelles d’évaluation de la douleur sont des outils pour aider Ă  identifier, Ă  quantifier, Ă  qualifier ou Ă  dĂ©crire la distingue deux modes d’évaluation l’auto-Ă©valuation, Ă©valuation par le patient, l’adulte ou l’enfant Ă  partir de 4-6 ans Ăąge scolaire, capables de communiquer sur l’intensitĂ© ou les caractĂ©ristiques de la douleur ;l’hĂ©tĂ©ro-Ă©valuation, Ă©valuation par les soignants de la douleur des adultes non communiquant personnes ĂągĂ©es, patients de rĂ©animation, polyhandicapĂ©s
 ou des enfants de moins de 4 de la douleur doit privilĂ©gier l’auto-Ă©valuation chaque fois qu’elle est possible. Son interprĂ©tation ne peut-ĂȘtre qu’intra-individuelle et jamais de la douleur doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e et faire l’objet d’une traçabilitĂ© dans le dossier existe deux types d’échelles d’évaluation les Ă©chelles unidimensionnelles permettant une estimation globale et ne mesurant qu’une seule dimension de la douleur intensitĂ©les Ă©chelles pluridimensionnelles, apprĂ©ciant quantitativement et qualitativement diffĂ©rents aspects de la douleur. OUTILS D’HETERO-EVALUATION EVALUATION DE LA DOULEUR CHEZ LE PATIENT SOUFFRANT DE DEMENCE, AGE OU MAL-COMMUNIQUANT Recherchezparmi des Echelle Douleur photos et des images libres de droits sur iStock. Trouvez des photos de banque d’images de haute qualitĂ©, que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Ce goniomĂštre plastique Ă  360° comporteune Ă©chelle d'Ă©valuation de la suffit de dĂ©placer le curseur sur l'undes 5 niveaux de la douleur par votre 20 x l. 4,5 x ep 0,7 cm
ReconnaĂźtreet traiter la douleur. La dĂ©mence n’est pas une maladie qui provoque des douleurs physiques. Mais les personnes concernĂ©es peuvent avoir des douleurs qui ont d’autres causes. Pour les dĂ©celer, les soignants doivent ĂȘtre particuliĂšrement attentifs Ă  certains signes. Car les personnes atteintes de dĂ©mence sont souvent
Description Échelle graduĂ©e pour identifier l’intensitĂ© de la douleur. Type d’outil Outil visuel À quoi sert-il Certains enfants Ă©prouvent de la difficultĂ© Ă  exprimer leur inconfort physique. Ainsi, plusieurs parents doivent aller par dĂ©duction pour faire un diagnostic de maladie/blessure. Avec ce support visuel, nous pouvons dĂ©velopper l’habiletĂ© Ă  nommer l’inconfort pour vĂ©rifier si celui-ci provient d’une douleur physique. tirĂ© du site Quand l’utiliser L’outil est enseignĂ© en prĂ©vention, avant l’apparition d’une douleur. Par la suite, il pourra ĂȘtre utilisĂ© pour Ă©valuer le niveau douleur ou pour voir si un mĂ©dicament soulage suffisamment celle-ci, et ce, Ă  la maison ou lors des rendez-vous mĂ©dicaux. Comment enseigner son utilisation Imprimer l’outil. Au quotidien, pointer la reprĂ©sentation aucune douleur » et nommer ce qu’elle signifie en utilisant un vocabulaire connu de l’enfant pas de bobo, je n’ai pas mal, aucune douleur
. Faire la mĂȘme chose pour le visage de douleur intense nommer selon un vocabulaire connu trĂšs mal, outch! GROS bobo, etc. Pratiquer l’utilisation de l’outil dans diffĂ©rents et multiples contextes, lors de blessures ou accrochages mineurs, quand un membre de la famille se blesse, en visionnant un film ou lors de blessures ou douleurs plus vives.

lintensité de la douleur (sur une échelle de 1 à 10, par exemple), la durée et la fréquence de la douleur, ce qui modifie, aggrave ou diminue la douleur (par exemple une bonne nuit de sommeil, le fait de te lever, une certaine position, etc.). Les traitements alternatifs de la douleur

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Copyright 2019 Onmeda – Un site du groupe aufeminin En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies Ă  des fins statistiques, ou pour vous proposer des contenus et publicitĂ©s adaptĂ©s Ă  vos centres d’intĂ©rĂȘts, anonymement ou dans le respect de votre vie privĂ©e. Voici quelques idĂ©es de recette site Fiable Pour Acheter Norvasc vous aider Ă  choisir. Le grain de poivre noir est. Comme quoi il y a du fil Ă  retordre pour ceux qui veulent semer la zizanie entre les arabes et les peuples qui se sont arabisĂ©s. 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Until recently, Karen utilized her nursing education and management skills as the Manager of the Prostate & Uro-Oncology Clinical Trial Unit led by Dr. Neil Fleshner. During this period, she was actively involved in the oversight of research team members and their clinical trial patients in addition to grant-writing and participation on multiple clinical research committees. She currently supports the physician assistant and/or nurse-led ADT Injection Clinic for Toronto Urology Associates, acts as a senior consultant for the Uro-oncology Clinical Research team at The Princess Margaret and sits on ad hoc Nurse Consultancy Boards for pharmaceutical companies involved in delivering and developing prostate cancer therapies. Karen has co-authored over 35 peer-reviewed publications and has been an invited presenter numerous times, focusing primarily on quality of life issues experienced by men undergoing prostate cancer therapy. Karen is an avid reader, a music and cat lover and mother of three grown daughters.
Tzmx.
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