Saccepter, dans cette enquĂȘte, Ă©tait prĂ©sentĂ© comme l’habitude d’ĂȘtre bienveillant envers soi et de penser d’ĂȘtre bien comme on est. HĂ©las, les rĂ©pondants reconnaissaient aussi que, parmi ces dix propositions, c’était l’attitude qu’ils pratiquaient le moins.

Ce dictionnaire contient 78 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe accepter. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur accepter issus des quatre coins du monde En toute chose il faut ĂȘtre semblable au CrĂ©ateur comme lui il ne faut accepter que les louanges. Oscar Wilde ; Les aphorismes et pensĂ©es 1854-1900 Le bonheur de l'homme n'est pas dans la libertĂ©, mais dans l'acceptation d'un devoir. AndrĂ© Gide ; Journal 1887-1950 On se fait responsable du bonheur de celui dont on accepte l'amour. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 J'aime le courage ; c'est en mĂȘme temps accepter et dĂ©fier tout ce qui peut arriver. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Je me rĂ©volte contre un reproche injuste, mais quand je sens qu'il est fondĂ© et que j'ai tort, je l'accepte avec plaisir, parce que la vĂ©ritĂ© m'est toujours chĂšre. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Ne pas tenir Ă  la vie et pourtant l'accepter vaillamment, cela est difficile. Les uns l'aiment trop, les autres ont de la peine Ă  la supporter. Tous se cherchent en elle et pensent Ă  eux au lieu de songer au but. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Ce qu'il nous faut dĂ©penser de courage chaque jour pour accepter la vie, donne l'idĂ©e de ce que nous en avons tous. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 Il faut parfois longtemps pour qu'une vĂ©ritĂ© dĂ©montrĂ©e devienne une vĂ©ritĂ© acceptĂ©e. Gustave Le Bon ; Les incertitudes de l'heure prĂ©sente 1924 La condition premiĂšre pour ĂȘtre heureux dans la vie, c'est d'accepter d'ĂȘtre ce que nous sommes. Arthur Schopenhauer ; Les aphorismes sur la sagesse dans la vie 1886 Toute notre vie avec notre belle morale et notre chĂšre libertĂ©, cela consiste en fin de compte Ă  nous accepter tels que nous sommes. Jean Anouilh ; Le voyageur sans bagage 1937 Quand la vie dit Je ne veux pas, » que rĂ©pondre ? Faire la rĂ©vĂ©rence et accepter. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Je crois, donc j'accepte. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Faute d'aigles, l'AcadĂ©mie accepte les pigeons. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Aimer, c'est plus que donner, c'est accepter. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 On accepte la menue monnaie de l'amour, la menue monnaie de l'amitiĂ©, mais on n'accepte pas la menue monnaie filiale. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme qui accepte la plainte qu'il se prĂ©pare Ă  accepter le conseil. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 La tĂąche est comme la belle-mĂšre, dĂ©jĂ  dure Ă  accepter de nom. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Il ne faut pas demander aux sangliers d'ĂȘtre des hermines, et il faut accepter les autres comme ils sont, tout en ayant soin de rester fidĂšle Ă  soi-mĂȘme. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 27 octobre 1875. Avant d'accepter un jugement, demandez-vous ce qu'est le juge. Louis Joseph Mabire ; Le dictionnaire de maximes 1830 Nous acceptons tout de celui qui nous aime ou nous admire parce que, de lui, nous pouvons accepter un blĂąme sans perdre cette confiance en nous-mĂȘme, faute de laquelle la vie serait trop pĂ©nible. AndrĂ© Maurois ; Sentiments et coutumes 1934 On ne peut sans s'avilir rien accepter de la scĂ©lĂ©ratesse. Manon Roland ; Les maximes et pensĂ©es 1793 La femme Ă  qui tu proposes la botte, quand elle ne te gifle pas, c'est qu'elle accepte. FrĂ©deric Dard ; Les pensĂ©es de San-Antonio 1996 Il faut trouver un autre mot pour dĂ©signer les notables qui n'acceptent plus d'ĂȘtre notĂ©s. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 Dans la vie, il faut savoir ce qu'on veut, et accepter d'avance les consĂ©quences de ses propres actions. Victor Cherbuliez ; Miss Rovel 1875 Accepte tout ce qui t'arrive, souffre et attends, et dans le temps de l'humiliation garde la patience. Henri Perreyve ; La journĂ©e des malades 1864 Que sert de pleurer le passĂ© ? Ceux-lĂ  seuls ont du courage qui acceptent l'avenir sans crainte et ne regrettent du temps d'autrefois que leurs fautes. Henri Perreyve ; Les lettres de l'abbĂ© Henri Perreyve 1850-1865 Il est parfois humble d'accepter avec simplicitĂ© un Ă©loge flatteur. Vladimir JankĂ©lĂ©vitch ; Les vertus et l'amour 1970 Accepter une place, c'est consentir Ă  borner ses idĂ©es Ă  une certaine sphĂšre dont le gĂ©nie s'accommode mal aussi le voit-on toujours prĂ©fĂ©rer son indĂ©pendance Ă  tout. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Quand on choisit d'aimer quelqu'un, on accepte d'ĂȘtre inquiet. Gilles Archambault ; À voix basse 1983 Je n'accepte de mourir sous aucun prĂ©texte. Georges Brassens ; Journal et autres carnets inĂ©dits 2014
Manytranslated example sentences containing "s'accepter tel que l'on est" – English-French dictionary and search engine for English translations. Look up in Linguee; Suggest as a translation of "s'accepter tel que l'on est" Copy; DeepL Translator Linguee. EN. Open menu. Translator. Translate texts with the world's best machine translation technology, developed by the creators
French Synonyms Dictionary accepter 1 souscrire, accĂ©der, supporter, tolĂ©rer, consentir, acquiescer, adhĂ©rer, admettre, agrĂ©er, avaler, concĂ©der, approuver, ratifier, vouloir, dĂ©fĂ©rer, endosser [antonyme] se soustraire, dĂ©cliner, rĂ©prouver, dĂ©rober, rĂ©cuser, repousser s'accepter emploi pronominal 2 tolĂ©rer, supporter, assumer, admettre [antonyme] repousser, dĂ©charger accepter condamnation v admettre d'ĂȘtre condamnĂ© accepter dans son cadre v admettre en son sein accepter l'augure v espĂ©rer dans le succĂšs annoncĂ© d'une entreprise accepter v se soumettre Ă  une dĂ©cision accepter tel que l'on est v assumer accepter une prolongation de temps v accorder un dĂ©lai accepter un principe comme vĂ©ritĂ© fondamentale v admettre comme un dogme ĂȘtre difficile Ă  accepter forme du verbe ĂȘtre rester sur le cƓur, rester sur l'estomac French Synonyms Dictionary accepter 1 consentir, supporter, agrĂ©er s'accepter emploi pronominal 2 s'assumer, se tolĂ©rer comme French Definition Dictionary Collaborative Dictionary French Synonyms soustrayable adj. que l'on peut soustraire passage obligĂ© nm. Ă©tape que l'on ne peut Ă©viter [Fig.] imprivatisable adj. que l'on ne peut pas privatiser créé par Christian Estrosi en parlant de la Poste transgressible adj. que l'on peut transgresser, enfreindre Sur le modĂšle d'intransgressible, intransgressable. ! sieste nf n. repos que l'on prend aprĂšs le dĂ©jeuner chasse gardĂ©e n. domaine, terrain que l'on se rĂ©serve figurĂ© ex la politique Ă©trangĂšre est la chasse gardĂ©e du chef de l'Ă©tat ! genera non percunt n. lorsqu'on est dĂ©biteur d'une chose de genre, on ne peut s'abriter, pour se soustraire Ă  l'exĂ©cution, derriĂšre le fait que les objets que l'on voulait livrer ont pĂ©ri ; on peut toujours se procurer des biens Ă©quivalents pour satisfaire Ă  son obligation. [Leg.] peser ses mots v. faire attention Ă  ce que l'on dit, ne pas exagĂ©rer, dire des choses dont on est sĂ»r c'est vraiment un spectacle incroyable, et je pĂšse mes mots! bienvenue au club ! exp. se dit pour indiquer Ă  son interlocuteur que l'on est dĂ©jĂ  plusieurs dans la mĂȘme situation [familier] Ex. "- J'en ai marre du mauvais temps ! - Bienvenue au club !". mieux vaut tenir que courir exp. il vaut mieux se satisfaire de ce que l'on a rĂ©ellement, mĂȘme si c'est moins que ce que l'on peut espĂ©rer, mais que l'on n'est pas sĂ»r d'obtenir voir aussi "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras" parce que je le vaux bien exp. s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mĂ©rite lĂ©gitimement ce que l'on a, ce que l'on dĂ©sire [Hum.] * allusion au slogan publicitaire de l'OrĂ©al * s'emploie Ă©galement Ă  propos d'autres personnes et de façon ironique ou non "si sa cote chute, c'est parce qu'il le vaut bien" On est parti sans moi exp. Fiquei para trĂĄs brique nf. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] on dit aussi "un tĂ©lĂ©phone briquĂ©" podcast nm. fichier audio ou vidĂ©o que l'on peut tĂ©lĂ©charger [Inform.] le terme officiellement recommandĂ© est "balado" ! honneur nm n. sentiment que l'on a de sa propre dignitĂ© sauver son honneur; c'est tout Ă  ton honneur tĂ©lĂ©phone briquĂ© nm. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] passer la vitesse supĂ©rieure vi. aller plus vite dans ce que l'on entreprend [Fam.];[Fig.] voir aussi "appuyer sur la pĂ©dale le champignon" l'herbe est toujours plus verte ailleurs exp. on s'imagine toujours que c'est mieux ailleurs que lĂ  oĂč l'on est mĂȘme pas + nom ou adjectif adv. s'emploie pour laisser penser que l'on n'a pas..., que l'on n'est pas... [Hum.] exemple "dĂ©mĂ©nager ton piano ? mĂȘme pas peur !" ressenti nm. la chose que l'on ressent ; ce que l'on Ă©prouve ; le sentiment voir Naples et mourir exp. s'emploie Ă  propos de quelque chose que l'on dĂ©sire ardemment et que l'on considĂšre comme le summum de la perfection Expressio To add entries to your own vocabulary, become a member of Reverso community or login if you are already a member. It's easy and only takes a few seconds
1 Likes, 0 Comments - C.Nly (@c.nly01) on Instagram: “‱ Une des grandes clĂ©s de la confiance en soi est de s'accepter tel que l'on est.đŸ§˜đŸœâ€â™€ïžâ€ cela fait 33 ans que je vis avec un "petit dĂ©faut da fabrication".... enceinte de moi, ma mere a contractĂ© la rubĂ©ole, ce n'est qu'a ma naissance que l'on s'est rendu compte des consĂ©quences une malformation de l'oeil droit, appelĂ©e dans le jargon mĂ©dical microphtalmie; en clair, mon oeil droit est restĂ© bleu, sans pupille et est lĂ©gĂšrement plus petit que l'autre et donc atteint de cĂ©citĂ©, je suis juste sensible a la lumiĂšre.... Ce qui occasionne une gene Ă©vidente dans la vie quotidienne, mais qui ne m'empĂȘche pas de vivre comme tout le monde. Ce n'a pas toujours Ă©tĂ© le cas.... je dois avouer quand meme que, du fait d'un champ de vision rĂ©trĂ©ci, je suis assez maladroite, je me fatigue vite devant un livre par exemple et je manque d'Ă©quilibre; mais, c'est mon cotĂ© gaston lagaffe que j'ai plutĂŽt tendance a prendre a la dĂ©rision!!!!! et mon entourage aussi. Ce n'est pas cela qui a Ă©tĂ© le plus difficile a vivre, c'est le regard des autres. Enfant, mon regard Ă©tait fuyant, je n'osais pas regarder les gens en face, persuadĂ©e qu'ils ne voyaient "que ça". l'imaginaire des enfants est parfois cruel et le mien me poussait a croire quer j'Ă©tais un monstre. Ce sentiment a Ă©tĂ© accru par la culpabilitĂ© de mes parents qui, je le sais aujourd'hui ont considĂ©rĂ© pendant longtemps ca petit "dĂ©faut" comme un des drames de leur vie; pas facile de grandir auprĂšs de parents qui ont du mal a valoriser leur enfant.... Je ne leur reprochent pas, je peux loes comprendre, mais celme ne m'a pas aider a m'accepter telle que je suis.... LadĂ©velopper n’est possible qu’en parvenant Ă  s’accepter, et Ă  s’aimer tel que l’on est. Il s’agit d’un exercice difficile, comme celui de bien se connaĂźtre que j’évoque ici. Ces deux Ă©lĂ©ments sont liĂ©s, et avoir une bonne connaissance de soi est un Ă©lĂ©ment primordial pour pouvoir envisager de s’aimer tel que l’on est. AccĂ©der au contenu principal Qui n’a jamais eu de blessures Ă©tant plus jeune, des complexes, des peurs qui nous suivent tout au long de notre vie. Certaines ne se voient plus une fois adulte mais elle continue Ă  guider nos pas, consciemment ou inconsciemment. Bien que nous ayons chacun notre histoire, il n’appartient qu’à nous de surmonter nos Ă©checs et de construire notre avenir. Matatea est une entrepreneure sociale, coach et consultante originaire de Tahiti basĂ©e Ă  Los Angeles. A 17 ans elle quitte la PolynĂ©sie pour se former Ă  l’étranger et obtient une licence de L’universitĂ© d’Auckland et un master de l’UniversitĂ© d’Oxford. Elle commence sa carriĂšre professionnelle en Patagonie du Chili dans les Ă©nergies renouvelables, pour ensuite rejoindre le gouvernement du Chili basĂ©e Ă  Silicon Valley. En 2015, elle quitte le monde de la diplomatie internationale pour travailler Ă  son compte et mĂšne en parallĂšle consulting, entrepreneuriat et dog-walking. Elle crĂ©e par la suite sa sociĂ©tĂ© de conseil stratĂ©gique, qui se spĂ©cialise dans le dĂ©veloppement de projets innovants avec une approche Ă©thique et tournĂ©e vers l’humain. Depuis 4 ans, elle travaille avec des scientifiques de la NASA sur diverses missions d’explorations spatiales et rĂ©cemment, elle lance, TUMU, la premiĂšre communautĂ© globale pour les professionnels des Ăźles du Pacifique. S’accepter tel que l’on est, ça ressemble Ă  quoi ? Matatea CHANGUY TEDxPapeete Navigation des articles Saccepter tel que l'on est. Cet atelier vous propose d'accueillir qui vous ĂȘtes, dans la plus grande des authenticitĂ©s, celle que vous aurez choisie. Lors de cette expĂ©rience, le groupe aura un rĂŽle capital, puissant, nourricier et rĂ©vĂ©lateur. Elle va se dĂ©rouler en plusieurs Ă©tapes, alliant des temps de travail individuel, en petits Dictionnaire Français Synonyme accepter 1 souscrire, accĂ©der, supporter, tolĂ©rer, consentir, acquiescer, adhĂ©rer, admettre, agrĂ©er, avaler, concĂ©der, approuver, ratifier, vouloir, dĂ©fĂ©rer, endosser [antonyme] se soustraire, dĂ©cliner, rĂ©prouver, dĂ©rober, rĂ©cuser, repousser s'accepter emploi pronominal 2 tolĂ©rer, supporter, assumer, admettre [antonyme] repousser, dĂ©charger accepter condamnation v admettre d'ĂȘtre condamnĂ© accepter dans son cadre v admettre en son sein accepter l'augure v espĂ©rer dans le succĂšs annoncĂ© d'une entreprise accepter v se soumettre Ă  une dĂ©cision accepter tel que l'on est v assumer accepter une prolongation de temps v accorder un dĂ©lai accepter un principe comme vĂ©ritĂ© fondamentale v admettre comme un dogme ĂȘtre difficile Ă  accepter forme du verbe ĂȘtre rester sur le cƓur, rester sur l'estomac Dictionnaire Français Synonyme accepter 1 consentir, supporter, agrĂ©er s'accepter emploi pronominal 2 s'assumer, se tolĂ©rer comme Dictionnaire Français DĂ©finition Dictionnaire Collaboratif Français Synonymes soustrayable adj. que l'on peut soustraire transgressible adj. que l'on peut transgresser, enfreindre Sur le modĂšle d'intransgressible, intransgressable. imprivatisable adj. que l'on ne peut pas privatiser créé par Christian Estrosi en parlant de la Poste passage obligĂ© nm. Ă©tape que l'on ne peut Ă©viter [Fig.] ! sieste nf n. repos que l'on prend aprĂšs le dĂ©jeuner chasse gardĂ©e n. domaine, terrain que l'on se rĂ©serve figurĂ© ex la politique Ă©trangĂšre est la chasse gardĂ©e du chef de l'Ă©tat ! genera non percunt n. lorsqu'on est dĂ©biteur d'une chose de genre, on ne peut s'abriter, pour se soustraire Ă  l'exĂ©cution, derriĂšre le fait que les objets que l'on voulait livrer ont pĂ©ri ; on peut toujours se procurer des biens Ă©quivalents pour satisfaire Ă  son obligation. [Leg.] peser ses mots v. faire attention Ă  ce que l'on dit, ne pas exagĂ©rer, dire des choses dont on est sĂ»r c'est vraiment un spectacle incroyable, et je pĂšse mes mots! bienvenue au club ! exp. se dit pour indiquer Ă  son interlocuteur que l'on est dĂ©jĂ  plusieurs dans la mĂȘme situation [familier] Ex. "- J'en ai marre du mauvais temps ! - Bienvenue au club !". mieux vaut tenir que courir exp. il vaut mieux se satisfaire de ce que l'on a rĂ©ellement, mĂȘme si c'est moins que ce que l'on peut espĂ©rer, mais que l'on n'est pas sĂ»r d'obtenir voir aussi "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras" parce que je le vaux bien exp. s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mĂ©rite lĂ©gitimement ce que l'on a, ce que l'on dĂ©sire [Hum.] * allusion au slogan publicitaire de l'OrĂ©al * s'emploie Ă©galement Ă  propos d'autres personnes et de façon ironique ou non "si sa cote chute, c'est parce qu'il le vaut bien" On est parti sans moi exp. Fiquei para trĂĄs brique nf. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] on dit aussi "un tĂ©lĂ©phone briquĂ©" podcast nm. fichier audio ou vidĂ©o que l'on peut tĂ©lĂ©charger [Inform.] le terme officiellement recommandĂ© est "balado" ! honneur nm n. sentiment que l'on a de sa propre dignitĂ© sauver son honneur; c'est tout Ă  ton honneur tĂ©lĂ©phone briquĂ© nm. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] passer la vitesse supĂ©rieure vi. aller plus vite dans ce que l'on entreprend [Fam.];[Fig.] voir aussi "appuyer sur la pĂ©dale le champignon" l'herbe est toujours plus verte ailleurs exp. on s'imagine toujours que c'est mieux ailleurs que lĂ  oĂč l'on est mĂȘme pas + nom ou adjectif adv. s'emploie pour laisser penser que l'on n'a pas..., que l'on n'est pas... [Hum.] exemple "dĂ©mĂ©nager ton piano ? mĂȘme pas peur !" oups o. s'emploie pour annoncer que l'on a commis une erreur, que l'on a oubliĂ© quelque chose [Fam.] ressenti nm. la chose que l'on ressent ; ce que l'on Ă©prouve ; le sentiment Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide
sestimer c’est s’aimer et s’ accepter tel que l’on est. voici quelques citations qui pourront peutĂȘtre vous inspirer et vous guider vers la voie de aller boire aprĂšs le travail, c’est une coutume qu’on ne peut ignorer. si l’on souhaite rester dans la mĂȘme compagnie, il faut accepter ce mal nĂ©cessaire,car cette Voir aussi : proverbe americain
/ Fleurs de Bach / Atelier S’accepter tel que l’on est L’acceptation de soi-mĂȘme est une des sources essentielles de la joie de vivre. C’est un Ă©tat qui nous permet de nous relier aux autres avec confiance. Et pourtant, s’aimer, s’apprĂ©cier dans toutes ses dimensions, lĂ  oĂč on en est, est parfois un dĂ©fi ! Venez dĂ©couvrir comment les Fleurs de Bach peuvent nous aider Ă  nous sentir en harmonie avec nous-mĂȘme. Samedi 13 mai 2017 Ă  14h30 6 rue Emilio Castelar – Paris 12Ăšme inscription 06 15 58 67 77 Cliquer pour tĂ©lĂ©charger le pdf Laisser une rĂ©ponse Saccepter tel que l’on est pour Ă©voluer. Laisser un commentaire / DĂ©veloppement Personnel, Non classĂ© / Par Jo. Nous sommes chaque jour polluĂ© par la vision de corps parfait, toujours plus jeune, toujours plus belle ou beau, toujours plus.. Cela nous renvoie Ă  notre propre image, Ă  notre apparence et au regard que nous posons sur nous. Nous sommes trop maigre trop grosse, Mon nom est MichaĂ«l Higgburger et je vis ici Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a depuis 16 ans. Avant cela, j’habitais aux Etats-Unis et je m’apprĂȘtais Ă  prononcer des vƓux monastiques dans un ordre bĂ©nĂ©dictin lorsque, juste avant de m’engager dĂ©finitivement, j’ai eu l’opportunitĂ© incroyable de pouvoir voyager pendant deux mois. Je suis venu en Inde en sachant, qu’aprĂšs ce voyage, je ferais vƓux de stabilitĂ©, intĂ©grerais la clĂŽture, et donc, ne pourrais plus sortir de mon ordre bĂ©nĂ©dictin. C’était en 2000. Pendant ma formation bĂ©nĂ©dictine, j’avais lu tous les livres d’Henri le Saux, Svāmi Abhishiktānanda. J’avais entendu parler d’Aruáč‡Ächala montagne sacrĂ©e Ă  Tiruvannamalai dans le Tamil-Nadu, est considĂ©rĂ©e par les fidĂšles comme la manifestation de Úiva et je m’étais dit que, si j’en avais un jour l’opportunitĂ©, c’est lĂ  que j’irais. Lors de la premiĂšre nuit que j’ai passĂ©e ici, j’ai senti quelque chose de trĂšs trĂšs fort qui m’a pris aux tripes ». J’ai perçu l’intensitĂ© de la mĂ©ditation des gens qui Ă©taient autour de moi et j’ai aussitĂŽt pensĂ© qu’il m’allait ĂȘtre trĂšs difficile de repartir aprĂšs les deux mois qui m’étaient accordĂ©s. Dans le monastĂšre c’était trĂšs confortable. J’étais trĂšs bien entourĂ©. Mais, Ă  l’extĂ©rieur du monastĂšre, la vie amĂ©ricaine ne soutenait pas la recherche spirituelle. Avec le recul, je me rends compte que j’étais sans cesse obligĂ© de justifier mon choix de ne pas vouloir entrer dans les valeurs amĂ©ricaines de notre Ă©poque consommer beaucoup, avoir des enfants, devenir trĂšs riche
 Je ne voulais pas de cela. Et mon dĂ©sir de vivre une vie monastique venait en partie de ce refus. MĂȘme, Ă  l’intĂ©rieur de l’Eglise, je devais toujours justifier mon appel Ă  la contemplation parce que, cette partie contemplative et mystique, mĂȘme dans l’Eglise, reste Ă  la lisiĂšre et n’est pas vraiment admise. Ici, c’est incroyable ! Partout, mĂȘme dans les rickshaws, il y a des priĂšres. Tout le monde soutient cette ferveur et vit cette foi. Aussi, quand j’ai mis le pied en Inde, ai-je tout de suite compris que toute cette lutte intĂ©rieure Ă©tait rĂ©solue parce que j’étais arrivĂ© dans un lieu qui soutenait la vie contemplative que je dĂ©sirais et que, mĂȘme dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin d’oĂč je venais, ordre pourtant contemplatif, j’avais du mal Ă  vivre. A la fin de ces deux mois je n’ai pas pu repartir. Mon billet d’avion Ă©tait perdu. J’ai tĂ©lĂ©phonĂ© au monastĂšre qui m’a accordĂ© une extension de quatre mois. Et j’ai achetĂ© un deuxiĂšme billet de retour. Vint le moment de partir. La voix de MichaĂ«l se voile. J’avais mis tout ce que j’avais dans une malle pour les expĂ©dier au monastĂšre et n’avais gardĂ©, pour la derniĂšre nuit, qu’un petit sac pour y mettre mes derniĂšres affaires. Mais, physiquement, je ne pus rien mettre dans le sac. Quelque chose m’en empĂȘchait. C’était la premiĂšre fois de ma vie que cela m’arrivait. Je suis allĂ© Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a. J’y ai rencontrĂ© une femme Ă  laquelle j’expliquai que je devais partir le lendemain aux États-Unis mais que je n’arrivais pas Ă  faire mon sac. Elle m’a dit Rentre dans ta chambre, va dormir, et demain tu sauras ». Le lendemain je n’ai pas pu prendre le taxi. Ce fut trĂšs difficile. Mon sĂ©jour ici avait durĂ© six mois et, pendant les deux derniers mois j’ai vĂ©cu une intense lutte intĂ©rieure. D’une part, j’avais un engagement de vie monastique dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin, un milieu chrĂ©tien, et, d’autre part, en rĂ©sidant ici, dans l’ashram, dans un milieu hindou, j’avais une grande ouverture. Ce fut, en moi, une lutte vraiment trĂšs intense et ce jour oĂč je n’ai pas pu prendre le taxi fut trĂšs dur Ă  gĂ©rer. J’ai cru que je devenais fou ! Ensuite ce ne fut pas facile non plus. Si, aujourd’hui, j’ai un lien trĂšs fort avec ma communautĂ© bĂ©nĂ©dictine qui m’a beaucoup soutenu – j’y suis retournĂ© derniĂšrement – au dĂ©but, j’avais coupĂ© tout lien avec elle. Je ne faisais plus partie de cet ordre. Quand je considĂšre ma vie dans les faits, ma vocation contemplative catholique est devenue une vie d’ashram hindou en Inde. Mais ce n’est pas une transformation, c’est plutĂŽt un dialogue. Un dialogue entre le monde chrĂ©tien occidental et le monde hindou indien. Et je me sens toujours catholique. Q ? A quel ordre Ă©tiez-vous rattachĂ© ? A l’ordre des Camaldules, qui est une branche rĂ©formĂ©e des bĂ©nĂ©dictins. Q ? Comme le PĂšre John Martin ? Oui, l’ashram de Shantivanam est rattachĂ© Ă  cet ordre depuis 1984. John Martin est aussi Camaldule. Si, au bout de 16 ans, je fais le bilan de cette lutte intĂ©rieure entre l’éducation reçue et mes choix de vie, un peu comme Henri le Saux qui, lui aussi, est passĂ© par ces grandes luttes, je touche peut-ĂȘtre la question de ce siĂšcle. Il est possible que l’Eglise ait perdu le feu mystique et que l’on cherche Ă  le raviver. C’est ce qu’a fait Henri le Saux en venant ici. Il a ravivĂ© le feu mystique de l’Eglise, peut-ĂȘtre pour le ramener au cƓur de l’Eglise mais aussi pour aider d’autres chercheurs qui sentaient Ă©galement ce feu perdu. Je ne peux pas blĂąmer l’Eglise parce que nous sommes tous l’Eglise mais nous assistons peut-ĂȘtre Ă  la mort de notre civilisation. C’est sans doute effrayant, mais, en mĂȘme temps, quelque chose d’extrĂȘmement prometteur surgit. J’en suis tĂ©moin chaque jour en rencontrant tous les chercheurs qui viennent ici. C’est, probablement, ce que nous cherchons tous ici. La foi de nos parents, de nos grands-parents, consistait Ă  demander Ă  JĂ©sus son aide, son assistance. C’est la foi du credo que l’on proclame tous les dimanches Ă  la messe. On pourrait dire, ici en Inde, que c’est la voie de l’abandon. On s’abandonne Ă  cette volontĂ© divine, on demande de l’aide pour ĂȘtre guidĂ© dans notre quotidien. Mais je ne pense pas que la prochaine gĂ©nĂ©ration soit appelĂ©e Ă  la mĂȘme foi. Ce n’est plus la mĂȘme chose. Ce qui se dessine n’est pas trĂšs clair mais, il est sĂ»r que nous passons Ă  autre chose car notre foi ne peut plus ĂȘtre la mĂȘme aujourd’hui. Nous sommes de plus en plus ouverts sur le monde. Nous recevons aujourd’hui toute l’information disponible sur les autres traditions, sur les dĂ©couvertes scientifiques
 La foi post-Vatican II n’a plus rien Ă  voir, de prĂšs ou de loin, avec ce qui se passait il y a 150 ans en arriĂšre. De la foi proclamĂ©e Ă  la recherche d’expĂ©rience directe D’une relation au credo oĂč nous affirmions notre foi d’une maniĂšre formelle et structurĂ©e, nous passons maintenant Ă  une recherche d’expĂ©rience directe. Je ne sais pas trĂšs bien ce qui se dessine mais il y a un changement. A l’intĂ©rieur mĂȘme des ordres contemplatifs oĂč l’accent est mis sur la rĂ©citation du credo et oĂč on doit faire sienne cette foi qui se proclame, il semble maintenant que proclamer une foi qui n’est pas expĂ©rimentĂ©e ne satisfasse plus complĂštement. Jusqu’à prĂ©sent, les ordres contemplatifs se rĂ©fĂ©raient Ă  l’évangile dans lequel apparaissent Marthe et Marie. L’exemple de Marie, qui choisit la contemplation, permettait de justifier un mode de vie tout Ă  fait valide la vie contemplative. Mais, aujourd’hui, dans notre vie, il y a certainement un peu de Marthe et de Marie et cela est nouveau. Cependant les laĂŻcs ne sont pas guidĂ©s dans une voie intĂ©rieure, une voie contemplative. Dans la tradition monastique japonaise il existe deux voies la voie Jiriki, voie contemplative dans laquelle on cherche l’expĂ©rience en soi-mĂȘme et la voie Tiriki dans laquelle on demande au Bouddha de prendre en charge sa vie. Les pratiquants rĂ©citent alors tous les noms du Bouddha. Dans notre tradition occidentale, il existe aussi une partie faite de rĂ©citations, de sacrements, du credo, et une partie qui, jusqu’à prĂ©sent rĂ©servĂ©e aux contemplatifs, consistait en recherche intĂ©rieure, en priĂšres intĂ©rieures. Il semble maintenant que, pour plusieurs raisons, ces deux aspects se rencontrent et que nous assistons Ă  l’émergence d’un nouveau paradigme. La vie de foi que nous expĂ©rimentons aujourd’hui est bien diffĂ©rente de celle des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes. Je ne vais pas rentrer dans toutes les raisons de ce changement mais l’une d’elles me semble particuliĂšrement importante. Peut-ĂȘtre mĂȘme est-ce la principale. Le sol sur lequel la foi reposait est devenue mouvant et instable. Nous ne vivons plus dans le monde ancien. Nous vivons un temps nouveau dans lequel apparaissent des personnes en recherche spirituelle et qui, d’une façon trĂšs diffĂ©rente de celle d’avant, se mettent en quĂȘte intĂ©rieure du bonheur. Moi-mĂȘme me suis posĂ© longtemps la question de savoir pourquoi j’ai fait ce grand saut de l’Occident jusqu’en Inde. Ici, je vois passer des milliers de chercheurs qui viennent chaque annĂ©e et je constate que quelque chose Ă©merge. L’étĂ© dernier, je suis retournĂ© aux États-Unis aprĂšs une trĂšs longue absence. J’ai Ă©tĂ© extrĂȘmement Ă©tonnĂ© du sĂ©rieux de la recherche des personnes que j’ai rencontrĂ©es. C’était tout Ă  fait nouveau pour moi. Mais cette recherche ne se fait plus d’une maniĂšre traditionnelle. La blessure du cƓur On pourrait passer des jours Ă  essayer de rĂ©pondre Ă  cette grande question Qu’est-t-il en train d’arriver ? Que se passe-t-il ? NĂ©anmoins, je suis sĂ»r que ce qui se vit en Occident, que ce soit dans la culture amĂ©ricaine 3 ou europĂ©enne, ne peut pas s’appliquer Ă  ce qui est ressenti ou vĂ©cu ici dans la culture de l’Orient. En Occident il y a vĂ©ritablement un basculement dans notre mode de recherche, mais ce basculement ne s’applique pas ici. Ici rien n’a vraiment changĂ©. Dans le monde occidental ce basculement est dĂ» Ă  une sorte de blessure psychique collective qui conduit Ă  vouloir panser cette blessure et trouver des modes de guĂ©rison. Cela passe souvent par les psychothĂ©rapies. Et ces psychothĂ©rapies sont complĂ©mentaires Ă  cette recherche intĂ©rieure que je vois Ă©merger. Cette blessure, presque universelle en Occident, je l’appelle la blessure du cƓur ». C’est une blessure centrale, profonde qui pourrait ĂȘtre liĂ©e Ă  la perte de notre innocence. Et nous cherchons comment tenter de la rĂ©parer, comment tenter de la retrouver. Je vais dĂ©velopper. En 1982, un grand Ă©vĂ©nement eut lieu. Autour du DalaĂŻ-Lama, des moines de mon propre clergĂ© mais aussi des moines bouddhistes d’Occident se sont rĂ©unis pour rĂ©flĂ©chir Ă  cette blessure, Ă  ce qui se passait en Occident. Ils ont dĂ©couvert, qu’en Occident, les gens avaient une trĂšs mauvaise estime d’eux-mĂȘmes. Lors de ce grand rassemblement, quelque chose a Ă©mergĂ© qui a beaucoup Ă©tonnĂ© le DalaĂŻLama et les moines prĂ©sents. QuestionnĂ©s un par un, tous ceux qui venaient d’Occident, sans exception, portaient cette blessure, ce manque d’estime de soi. Ils ne savaient pas trop quoi en faire mais c’était apparu ainsi. Je pense que c’est probablement une blessure universelle. Cependant, ici, dans la culture d’Asie et en Inde, elle ne domine pas. Ici, en Inde, il est possible de vivre avec des personnes qui ne portent pas cette blessure. Cette blessure que nous, occidentaux, portons, provient de notre culture, de notre tradition religieuse et de notre hĂ©ritage. Cela met en lumiĂšre ce contraste entre Orient et Occident. Je me suis rendu compte que toute ma recherche intĂ©rieure Ă©tait fondĂ©e sur le dĂ©sir de m’amĂ©liorer, sur mon dĂ©veloppement personnel. C’est trĂšs courant en Occident et il existe des bibliothĂšques entiĂšres sur ce sujet qui expliquent comment devenir plus performant etc. C’est trĂšs juste et ça a tout son sens en Occident mais, du point de vue de Dieu, du point de vue de l’amour, c’est une Ă©norme violence que l’on se fait et c’est une mauvaise voie. C’est une belle idĂ©e en soi mais qui contient une erreur fondamentale. Dans les grandes traditions, tous les grands mystiques le disent le cƓur mĂȘme de notre personne, ce qui, en outre, est trĂšs vulnĂ©rable, c’est Dieu. Et on ne peut pas vouloir s’amĂ©liorer ou se rendre plus acceptable pour mĂ©riter l’amour de Dieu. C’est une terrible violence et c’est une impasse. On n’en a pas conscience. Si nous considĂ©rons nos motivations, les intentions qui sont derriĂšre nos actions, ce dĂ©sir de je veux m’amĂ©liorer », je veux ĂȘtre meilleur » ce que je dis n’est pas une critique, ce dĂ©sir devient le terreau de notre recherche. Or ce n’est pas le message divin. Ce n’est pas ce que nous sommes. Parce qu’à partir de lĂ , notre recherche se fonde sur il nous manque quelque chose » et nous pensons que nous ne sommes pas complets. MĂȘme chez les mystiques, il y a ce fond je ne suis pas digne de recevoir Dieu, je ne suis pas complet ». C’est le nƓud de l’affaire, c’est le piĂšge dans lequel on tombe. Il est difficile de dire d’oĂč cela vient. C’est probablement une surenchĂšre portĂ©e sur le pĂ©chĂ© originel, mĂȘme chez ceux qui ne sont pas croyants. Nous portons tous le poids de ce pĂ©chĂ© originel et de tout ce qui en dĂ©coule dans nos cellules mĂȘmes. Dans le canon pāli est une langue indo-europĂ©enne utilisĂ©e encore aujourd’hui comme langue liturgique dans le bouddhisme theravada, le bouddhisme originel ancien, il y a un terme qui est bhāvatāna. Tāna signifie la soif, dĂ©sir ardent. Dans la tradition du bouddhisme Theravada l’origine du problĂšme, notre sensation d’insuffisance, a Ă©tĂ© pointĂ©e. En Occident, nous avons un dĂ©sir ardent de devenir, d’ĂȘtre autre chose que ce nous sommes. Et si, dans notre quotidien, dans nos actes, dans tout ce que nous entreprenons, nous tentons de saisir la motivation, nous nous apercevons que, bien souvent, cette motivation de lire, d’aller sur Internet, de participer Ă  des stages, de faire des recherches etc
 puise son origine dans notre sensation d’ĂȘtre insuffisant. Nous ne sommes jamais assez » quelqu’un et nous voulons toujours devenir davantage. Nous pouvons donc tenter de repĂ©rer d’oĂč vient cette ardeur Ă  nous transformer, Ă  devenir quelqu’un d’autre
 Pourtant toutes les traditions spirituelles nous parlent de notre complĂ©tude originelle. HĂ©las, nous faisons comme si nous n’avions pas entendu. Toutes les traditions enseignent que nous ne devons pas devenir autre et tant que nous pensons que nous pouvons accroĂźtre ce que nous sommes en acquĂ©rant de l’expĂ©rience, en multipliant les connaissances, les expĂ©riences, en allant voir toujours plus de maĂźtres, en lisant plus de livres, nous sommes dans l’erreur. C’est exactement le contraire qu’il faut faire et toutes les voies contemplatives en parlent. Dans la tradition chrĂ©tienne il s’agit de la voie apophatique4 , la voie nĂ©gative. Il ne s’agit pas de passer de ce que vous ĂȘtes Ă  quelque chose d’autre, c’est tout le contraire revenir Ă  soi, enlever les couches de tout ce qu’on a accumulĂ© et dĂ©couvrir que le royaume c’est soi-mĂȘme, c’est vous-mĂȘme. Et ce vous-mĂȘme c’est votre innocence. Vous n’ĂȘtes pas le lutteur qui cherche Ă  devenir. Pour revenir au dĂ©but cette conversation oĂč nous nous demandions pourquoi le fait de simplement rĂ©citer le credo ne suffit plus et ne fonctionne plus, c’est parce que nous avons perdu cette connexion au Soi. C’est une perte collective. La mauvaise nouvelle, c’est que nous avons pu prendre une mauvaise voie mais, la bonne nouvelle, c’est que ce que nous cherchons, nous le sommes dĂ©jĂ . Nous le portons en nous. Bouddha disait que deux choses importantes Ă©taient requises pour une quĂȘte spirituelle d’abord commencer la quĂȘte, se mettre en chemin, puis continuer. Alors, quand nous nous apercevons que la direction suivie est mauvaise, il nous faut simplement tenter autre chose. Ce dont nous parlons en ce moment ne met nullement en avant la religion hindoue ou bouddhiste. C’est aussi ce qui se passe dans notre tradition chrĂ©tienne. L’évangile nous appelle Ă  l’amour et l’Amour ultime est bloquĂ© si nous ne sommes pas capables de nous aimer nous-mĂȘmes. JĂ©sus a vĂ©cu la mĂȘme chose sur la croix, les quatre membres immobilisĂ©s, clouĂ©s. Sa crucifixion symbolise l’échec de nos possibilitĂ©s humaines, de notre mental qui possĂšde savoirs et connaissances qui ne nous servent Ă  rien. Le PĂšre semble avoir disparu. Mais quand JĂ©sus clame Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnĂ© », le miracle se produit. C’est une rĂ©volution qui s’opĂšre Ă  ce moment-lĂ . C’est l’apparition d’un nouveau paradigme. LĂ , sur la croix, cet homme qui n’a plus rien ne supplie pas son pĂšre de le sauver. Il va dire pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». A cet instant, la transformation est totale. JĂ©sus est lĂ , au cƓur de sa vulnĂ©rabilitĂ©, au cƓur de sa brisure, de sa blessure. Nous pouvons comprendre que le plus grand obstacle qui nous empĂȘche de trouver Dieu, c’est de vouloir cacher cette blessure au monde, de se la cacher Ă  soi-mĂȘme. Mais sachons que c’est au cƓur-mĂȘme de cette blessure, de cette brisure, que nous trouvons Dieu. Cette scĂšne de la croix est une rĂ©volution. Le Dieu qu’on invoquait chez des HĂ©breux en accomplissant des sacrifices n’a plus lieu d’ĂȘtre. DĂ©sormais cela passe par le cƓur brisĂ© car c’est le cƓur brisĂ©, blessĂ©, qui est la source de l’amour. Mais il faut qu’il y ait cette ouverture, cette reconnaissance de la blessure. Or, souvent, nous protĂ©geons notre blessure, nous l’enfermons entre des murs, en vain. Ces tentatives deviennent des obstacles. Nous pensons que ces murs nous protĂšgent de la souffrance. En rĂ©alitĂ©, ils nous Ă©loignent de l’amour, ils nous sĂ©parent de l’Amour que nous sommes et qui est Dieu. Avant sa crucifixion, pendant sa nuit d’agonie, JĂ©sus lutte et prie pour ne pas passer par l’épreuve mais, finalement, il accepte Que volontĂ© ta volontĂ© soit faite ». Alors, lorsqu’il est sur la croix, l’amour jaillit. Au lieu de blĂąmer, de maudire, ce qu’il aurait trĂšs bien pu faire, c’est l’amour qui jaillit. Il devient Amour. Dans la tradition juive de l’époque de JĂ©sus, il n’y avait aucune notion d’incarnation, aucune pensĂ©e que Dieu puisse s’incarner sous une forme humaine. Aussi sommes-nous ici au cƓur du nouveau paradigme chrĂ©tien, JĂ©sus ne dit pas adorezmoi » mais suivez-moi ». Mais nous n’avons pas entendu et sommes restĂ©s dans cet ancien fonctionnement d’adoration. Nous mettons JĂ©sus trĂšs haut sur la croix, inatteignable. Nous nous reprĂ©sentons trĂšs en deçà, pauvres pĂȘcheurs » et, faisant cela, il nous est impossible de le suivre et, continuellement, nous trahissons la demande du Christ, son commandement qui ne dit pas adorez-moi » mais suivez-moi ». C’est peut-ĂȘtre ce qui aujourd’hui, 2000 ans plus tard, commence Ă  se rĂ©veiller. C’est peutĂȘtre ce que nous devons faire, le suivre, c’est-Ă -dire, dĂ©couvrir que Dieu rĂ©side en nous-mĂȘmes et que la source de l’amour est lĂ . Q ? Comment, en Occident, pouvons-nous retrouver cette estime de nous-mĂȘmes ? Comment revenir recontacter, réécouter, le rien » pour retrouver notre Ăąme ? Nous arrivons lĂ  au point central de notre discussion. Comment faire lorsque nous avons conscience qu’il y a un problĂšme et comment faire de maniĂšre pragmatique ? La rĂ©ponse est simple il faut retourner au lieu de la brisure. Dans toutes les histoires, les contes pour enfants, les contes de fĂ©es de toutes les traditions, on retrouve cette notion. Le hĂ©ros doit aller au fond d’un puits, d’un lac
 Il doit aller dans ce lieu effrayant, s’y retrouver seul, et rencontrer le dragon. Ensuite il va pouvoir sauver la princesse. La princesse symbolise le Soi. Nous devons rencontrer et faire face aux dragons, Ă  nos dĂ©mons. Dans la vie contemplative nous connaissons bien cela. Ceux qui sont habituĂ©s Ă  une longue pratique de la contemplation, en silence avec soi-mĂȘme, ils rencontrent inĂ©vitablement les dragons, les dĂ©mons. Il est certain que ces pratiques conduisent Ă  ces rencontres, mais ce n’est pas grave. Si nous sommes capables de rester, de tenir, nous allons nous apercevoir que ces dĂ©mons ne sont que du vent. Par contre, si nous faisons tout pour Ă©viter d’aller dans ce lieu et Ă©viter les dĂ©mons, ils vont devenir monstrueux. La rĂ©ponse est donc celle-ci retournez Ă  l’endroit de la brisure. Q ? Quand nous Ă©tudions la tradition occidentale, on nous dit que Dieu est au-dessus de nous ou Ă  l’extĂ©rieur de nous. Il est assez facile d’adorer un dieu extĂ©rieur parce qu’on le prie, on l’adore, on lui demande pardon, on lui rend compte de ce qu’on a fait
 Mais trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de soi et se responsabiliser comme le font les traditions orientales est une autre paire de manches. D’autre part, nous pouvons constater un grand regain des Ă©glises Ă©vangĂ©listes qui ont beaucoup de succĂšs et, en mĂȘme temps, beaucoup de personnes mĂ©ditent. Alors qu’est-ce qui prĂ©domine ? De quel cĂŽtĂ© penche la balance ? Y-a-t-il un mouvement plus important qu’un autre ? Enfin, comment trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de nous ? Je ne dis pas que nous devons choisir. Nous sommes appelĂ©s dans l’une ou l’autre des voies. Celle de l’adoration extĂ©rieure ou celle d’une quĂȘte intĂ©rieure. Ce qui est certain, c’est que, dans toutes les traditions et toutes les cultures du monde, cette recherche intĂ©rieure de Dieu, est fondamentale. Ce n’est pas une question de mode ça a toujours Ă©tĂ© lĂ . En Californie il y a un nombre incroyable de mouvements de mĂ©ditation. Dans chaque quartier des cours sont donnĂ©s aux enfants pour leur apprendre Ă  mĂ©diter. Bien sĂ»r, il ne s’agit pas d’arrĂȘter tout ce que l’on fait pour se mettre Ă  mĂ©diter, mais cette quĂȘte intĂ©rieure, cette pratique de l’intĂ©rioritĂ©, est Ă  coup sĂ»r la garantie que notre vie va changer dans le prĂ©sent d’abord mais aussi dans le futur pour de multiples raisons. Je pense que la principale raison de cette recherche intĂ©rieure est la souffrance. Bien sĂ»r, il y a toujours eu de la souffrance, c’est la condition mĂȘme de toute vie mais, la souffrance dont nous faisons l’expĂ©rience Ă  notre Ă©poque, ne peut pas ĂȘtre guĂ©rie ou rĂ©solue par les anciens systĂšmes. Je ne parle pas des systĂšmes qui remontent Ă  la Tradition, mais de ceux de nos parents et grandsparents. L’innocence qui sous-tendait l’Eglise de jadis a disparu. Aujourd’hui, le point d’orgue de cette rĂ©volution de l’évangile, pour sortir de notre blessure, est de plonger au cƓur mĂȘme de la blessure. Les voies de la psychothĂ©rapie conduisent Ă  passer Ă  travers la blessure. Nous ne pouvons pas faire l’économie d’un passage Ă  travers nos souffrances et nos blessures. Il n’y a pas d’issue en dehors de cette traversĂ©e qui demande d’expĂ©rimenter notre souffrance, non de la fuir. La crucifixion de JĂ©sus en est un grand symbole. Car comment pourrait-on reprĂ©senter cette souffrance massive au niveau du corps, du mental, du psychisme, d’une autre façon que celle d’ĂȘtre clouĂ© sur la croix ? La seule issue c’est d’aller au cƓur mĂȘme de la blessure. La mauvaise nouvelle dans tout cela c’est que nous devons passer par la douleur. C’est une douleur bien rĂ©elle que nous rencontrons. La bonne nouvelle c’est la dĂ©livrance. Il y a un trĂšs beau passage dans l’évangile de Thomas, non reconnu dans le droit canon, qui rapporte ces paroles du Christ Si tu veux sortir et mettre dehors ce qui te ronge, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur, cela te sauvera et te rendra libre. Mais si tu ne le fais pas, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur te dĂ©truira ». Je vais reprendre un poĂšme, Ă©crit par David Whyte un Irlandais. Cela se passe au NĂ©pal dans les annĂ©es 1970. David Whyte a environ 25 ans. Il arrive dans un petit village isolĂ© qui s’appelle Braga. Il veut aller voir un temple proche mais trouve les portes fermĂ©es. Il attend le prĂȘtre qui a les clĂ©s. À l’entrĂ©e de ce temple il y a une reprĂ©sentation que l’on trouve trĂšs frĂ©quemment qui s’appelle Vajrapāni. C’est un dĂ©mon moitiĂ© homme-moitiĂ© femme. La moitiĂ© homme, Vajra, porte un couteau qui tranche les illusions de l’ego. La moitiĂ© femme, Pāni, est l’aspect fĂ©minin. David Whyte attend l’ouverture des portes en contemplant cette sculpture. Alors que prĂšs de la porte, Nous voyons la figure terrible, Les yeux fĂ©roces demandant Allez-vous passer? Cinq ou six autres personnes attendent. Le prĂȘtre arrive avec une lanterne. Et, quand il entre, il Ă©claire l’intĂ©rieur et dirige la lumiĂšre vers la voĂ»te de ce petit temple. Ce que le jeune homme voit alors est incroyable, indicible. Tout en haut, sont sculptĂ©s dans le bois, les visages des bodhisattvas, des Ă©veillĂ©s dans la tradition bouddhique. C’est magnifique ! ÉclairĂ© Ă  la lanterne parce qu’il fait trĂšs noir, l’ensemble est saisissant. David Whyte, se demande qui a pu sculpter avec tant d’amour ces visages qui incarnent le silence et l’amour. Il est certain que le sculpteur a contactĂ© quelque chose de grand et devait vivre lui-mĂȘme de ce silence. Suite Ă  cette expĂ©rience David Whyte Ă©crit MichaĂ«l cite et commente Ă  la fois le poĂšme. 
Si seulement nos propres visages permettaient Ă  l’invisible, le sculpteur, le crĂ©ateur, d’amener l’amour Ă  la surface
 Le sculpteur invisible, c’est le crĂ©ateur, c’est Dieu. 
Si nous savions, comme le sculpteur invisible, creuser le bois avec l’instrument qui tranche, le ciseau Ă  bois, jusqu’au cƓur du bois, et aller jusqu’au cƓur de la matiĂšre
 Ce sont tous les dĂ©fauts prĂ©sents dans le bois qui permettent, avec le ciseau, d’aller jusqu’au cƓur, de faire transpirer l’amour. Ce ne sont pas des erreurs, des failles dans le bois, c’est, au contraire, ce qui guide la main du sculpteur pour aller au cƓur. Si nous Ă©tions capables d’ĂȘtre, comme le sculpteur cĂ©leste guidĂ© par les dĂ©fauts du bois, guidĂ©s par les dĂ©fauts de notre chair, nous nous servirions aussi de nos dĂ©fauts et ne serions pas saisis par la peur
 LĂ  oĂč sont nos failles et nos dĂ©fauts, lĂ  aussi est la porte d’entrĂ©e pour aller au cƓur de nous-mĂȘmes. Tant que nous luttons,nos yeux sont blessĂ©s par le chagrin,et nos bouches sont assĂ©chĂ©es par la douleur. Si nous pouvions nous abandonner aux coups du ciseau du sculpteur invisible, les lignes de nos visages deviendraient des riviĂšres qui nourriraient la mer,lĂ  oĂč les voix se rencontrent, et nous parlerions des crĂ©atures de la montagne, du ciel, et des nuages. Si nous Ă©tions capables de nous livrer au couteau du sculpteur invisible, nos visages changeraient chaque jour, se transformeraient chaque jour, deviendraient plus jeunes chaque jour, et nous nous rassemblerions tous au confluent de toutes les cĂ©lĂ©brations. Dans ce poĂšme, dont seule la fin est citĂ©e, ce sont les parties les plus honteuses, les plus rĂ©primĂ©es et plus condamnĂ©es de nous-mĂȘmes, nos impuretĂ©s, notre Ă©goĂŻsme, nos aviditĂ©s
 toutes ces choses qui restent dans l’ombre, qui deviennent les chemins vĂ©ritables du Seigneur. Il est dit dans l’évangile qu’il ne faut rien laisser de nous-mĂȘmes en arriĂšre. Cela veut dire que nous devons avoir un esprit de misĂ©ricorde pour toutes nos zones d’ombre. Mais aussi les reconnaĂźtre, les aimer et se pardonner. LĂ  nous pouvons comprendre la misĂ©ricorde de Dieu qui pardonne. Par contre si nous les laissons en arriĂšre, si nous ne nous en occupons pas, si nous ne les aimons pas, nous ne pouvons pas ĂȘtre heureux et ne pouvons pas dĂ©couvrir l’amour de Dieu. Je pense bien sĂ»r, qu’un travail sur soi est nĂ©cessaire. Mais j’ai du mal Ă  dire que les lectures ne nous aident pas. Vous nous avez dit, c’est en tout cas ce que j’ai compris, que ce n’était pas la peine de lire des tas de choses mais, pour ma part, j’ai besoin de lectures pour avancer. Tout Ă  fait d’accord. Q ? Comment ne pas confondre cette quĂȘte intĂ©rieure qui nous dĂ©livrerait et nous permettrait de retrouver notre innocence avec une introspection qui augmenterait encore notre ego narcissique. Comment ne pas se tromper ? Oui c’est un problĂšme. C’est une difficultĂ© qui nous fait prendre conscience que nous sommes vraiment Ă  un carrefour, sur une ligne de crĂȘte. C’est vraiment un problĂšme parce que, ce moi narcissique, cet ego, ne lĂąche pas facilement le terrain. Il revient Ă  chaque fois que nous tentons de trouver une voie pour le court-circuiter ou simplement pour le faire tenir tranquille. Il trouve un autre chemin et se rĂ©affirme. L’ego est la derniĂšre chose qui s’abandonne et il demeure un problĂšme jusqu’au bout. Il existe des voies qui proposent de tuer l’ego. Mais ce n’est pas la bonne façon de faire. Il est prĂ©fĂ©rable de s’observer, de se rendre compte que nos actions, nos comportements ne sont motivĂ©s que par ce que l’on dĂ©sire pour soi. La cause de ceci est que nous ne nourrissons pas assez notre propre cƓur. Nous devons avoir une attitude bienveillante avec notre ego et, en mĂȘme temps, nourrir le vrai Soi. FIN Traduction simultanĂ©e Claire Dagnaux Transcription et notes Jacqueline Danigo Interview rĂ©alisĂ©e par l’association Chemins de Shanti le 2 janvier 2017
\n\n \n\n\ns accepter tel que l on est
Cest ce que je te propose d’aborder dans ce podcast! Chaque mardi, un nouvel Ă©pisode de Singulier te proposera un nouveau contenu afin de t’aider Ă  t’aimer et t'accepter tel que tu es afin de faire de ta diffĂ©rence une force! Sois fier de qui tu es! Rien n'est impossible, ta seule limite c'est toi-mĂȘme! Tu peux accĂ©der aux liens 9 min de lecture Nous regarder tels que nous sommes, avec nos bons et nos mauvais cĂŽtĂ©s, et essayer d’en tirer le meilleur parti pourquoi est-ce si difficile ? Et que pouvons-nous apprendre de ceux qui y parviennent ?Ne devrais-je pas en ĂȘtre capable ? Est-ce normal ? Ce que je fais est-il saugrenu ? Aurais-je dĂ» le comprendre ? Le savoir ? Le voir ? Ai-je un drĂŽle d’air ? Y suis-je autorisĂ© ? Ai-je le droit de ressentir ça ?L’humanitĂ© tout entiĂšre souffre de ce genre de dialogue intĂ©rieur, voici ce qu’a remarquĂ© la psychologue Marjon BohrĂ© au cours de sa formation, suivie entre autres auprĂšs de l’experte de l’acceptation de soi BrenĂ© Brown, et auprĂšs de ses patients. Tout le monde se dĂ©bat avec la question de savoir s’il est suffisamment bien tel qu’il est. Chez tous, cette petite voix surgit dans les moments de vulnĂ©rabilitĂ©. »Marjon BohrĂ© en a fait l’expĂ©rience elle-mĂȘme. Lorsque l’un de mes enfants est malade, je panique toujours. Je n’ai aucune idĂ©e de ce que je dois faire. Alors c’est mon mari qui prend les rĂȘnes pour constater ce qui se passe, appeler le mĂ©decin, aller chercher les mĂ©dicaments
 Pendant longtemps, j’ai eu une opinion lĂ -dessus je m’en voulais. Je trouvais que ce n’était pas convenable. Une bonne mĂšre sait exactement ce qu’elle doit faire quand son enfant est malade, non ? Si un doigt se coince dans la porte, lors d’une blessure Ă  la tĂȘte ou quand la fiĂšvre monte en flĂšche, vous devez faire face. Soigner, rĂ©gler ce qu’il y a Ă  faire, rĂ©animer en cas de besoin
 Et non pas vous renfermer sur vous-mĂȘme. Quel genre de mĂšre ĂȘtes-vous si vous rentrez dans votre carapace lorsque votre enfant est souffrant ? »La question que posent finalement ces dialogues intĂ©rieurs est puis-je m’accepter tel que je suis ? Avec mes bons et mes moins bons cĂŽtĂ©s, avec mes traits de caractĂšre forts ou estimables. Avec mon cĂŽtĂ© peu sĂ»r de moi, mes colĂšres subites ou ce nez de travers ?Les personnes qui peuvent y rĂ©pondre par l’affirmative sont moins sujettes aux problĂšmes psychiques, a montrĂ© une Ă©tude. Elles sont moins sensibles Ă  la dĂ©pression ou aux angoisses, prĂ©sentent moins de convictions irrationnelles et de tendances narcissiques, peuvent considĂ©rer leur propre comportement avec plus d’objectivitĂ© et rĂ©agissent mieux aux critiques. L’acceptation de soi se trouve mĂȘme en haut de la liste des choses qui contribuent Ă  une vie satisfaisante, selon la psychologue Karen Pine et ses collĂšgues de l’universitĂ© du Hertfordshire. Mais la mĂȘme Ă©tude a montrĂ© que nous n’y parvenons guĂšre. C’est Ă  la question Êtes-vous souvent tolĂ©rant envers vous-mĂȘme et ĂȘtes-vous satisfait de qui vous ĂȘtes ? » que le plus mauvais score a Ă©tĂ© obtenu. Quelle en est la raison ?JAIMEMAVIE Le fait que nous ayons tant de difficultĂ©s Ă  nous accepter vient de ce que nous aspirons Ă  ĂȘtre acceptĂ©s par les autres », explique la psychologue Marjon BohrĂ©. L’autre nous acceptera-t-il dans notre intĂ©gralitĂ©, avec notre gaietĂ© et notre stress, notre pondĂ©ration et nos tendances nĂ©vrotiques ? Nous avons peur d’ĂȘtre rejetĂ©s du fait de nos imperfections. Et c’est une forte menace, car pour notre survie, nous avons depuis toujours besoin d’appartenir Ă  un groupe. C’est un besoin si fondamental que nous sommes toujours attentifs au danger d’ĂȘtre rejetĂ©s. »Donc, nous prĂ©fĂ©rons cacher nos moins bons cĂŽtĂ©s, et intĂ©rieurement, nous nous en punissons. Ne pouvez-vous jamais rĂ©pondre par l’humour, au lieu d’ĂȘtre toujours aussi sĂ©rieux ? Devez-vous toujours vous faire l’avocat de la morale ? Vous devez tout de mĂȘme pouvoir parler normalement devant un groupe si vous approchez de la quarantaine, non ? Ce qui rend les choses encore plus difficiles, c’est de voir sur les rĂ©seaux sociaux combien les autres sont “formidables” et de constater que, pour leur part, ils ont l’air d’avoir une vie culture occidentale favorise ce comportement tendant Ă  cacher ses imperfections et Ă  avoir d’intenses dialogues intĂ©rieurs dans notre sociĂ©tĂ©, nous sommes surtout acceptĂ©s si nous restons assis bien droit sur notre chaise, avons une entreprise florissante ou savons nouer facilement des contacts. La façon dont nous avons Ă©tĂ© Ă©levĂ©s peut encore renforcer ce manque d’acceptation de soi, affirmait le cĂ©lĂšbre psychologue humaniste amĂ©ricain Carl Rogers dĂšs la moitiĂ© du XXe siĂšcle. Vous a-t-on donnĂ© un amour inconditionnel ? Ou avez-vous l’impression que vous n’avez droit Ă  de l’attention, Ă  des cĂąlins et Ă  des compliments que si vous ramenez de bonnes notes, vous montrez secourable, avez une vie de famille rangĂ©e ou – aux yeux de vos parents – faites une magnifique carriĂšre ? Lorsqu’un enfant a l’impression que l’amour qui lui est dispensĂ© dĂ©pend de la mesure dans laquelle il satisfait aux attentes, le risque est plus grand qu’il se juge lui-mĂȘme en termes de “valeur”, affirme Carl Rogers. Et ce genre d’enfant a donc tendance Ă  s’accepter Ă  condition de “faire bien”. »DAVANTAGE D’HUMANITÉCependant, la moitiĂ© du temps, nous ne faisons pas les choses si bien que ça. Nous restons Ă©veillĂ©s quand les autres dorment, gĂąchons notre relation, sommes craintifs, en colĂšre ou disons des choses que nous apprend Ă  jeter un regard plus tolĂ©rant sur lui-mĂȘme comprend que personne n’est parfait et quiconque peut s’accepter avec tous ses dĂ©fauts peut plus facilement se montrer aux autres tel qu’il est. Nous montrons ainsi notre humanitĂ©, et bien souvent il s’avĂšre que les autres ne s’enfuient pas en courant ! Ils se rapprochent justement de nous pour nous dire Moi aussi, je suis comme ça. » ArrĂȘtez donc de vous “rĂ©parer” sans cesse, pour satisfaire Ă  une image que vous avez, ou que les autres ont, de la personne que vous devriez ĂȘtre. Si vous vous acceptez, le monde entier vous acceptera », Ă©crivait le sage chinois Lao-Tseu une centaine d’annĂ©es avant JĂ©sus-Christ. Mais alors, n’avons-nous plus rien Ă  changer en nous ? Pouvons-nous dire voilĂ  qui je suis, dĂ©brouillez-vous avec ! Non, disent les experts de l’acceptation de soi nous accepter tels que nous sommes ne signifie pas que nous soyons dĂ©gagĂ©s de toute responsabilitĂ© envers nous-mĂȘmes et les autres. Marjon BohrĂ© explique Vous pouvez vous aimer vous-mĂȘme, y compris ce en quoi vous n’ĂȘtes pas trĂšs bon, tout en faisant des choix sur la façon dont vous pouvez Ă©voluer et gĂ©rer vos cĂŽtĂ©s moins positifs. » Selon elle, c’est surtout l’intention qui compte Voulez-vous changer parce que vous voulez ĂȘtre encore plus parfait, parce que les autres vous jugent, parce que vous vous jugez vous-mĂȘme ? Ou le souhait de changer vient-il de vos valeurs, de ce que vous trouvez important dans la vie ? En d’autres termes voulez-vous vous dĂ©barrasser de votre impatience parce que tout le monde autour de vous semble patient et que vous estimez devoir ĂȘtre un peu plus zen ? Ou la collaboration est-elle une valeur importante pour vous, et voulez-vous laisser plus souvent d’espace Ă  vos collĂšgues ? Celui qui Ă©volue en partant de cette derniĂšre conviction peut continuer Ă  enrichir sa vie et celle des autres. »Article complet Ă  retrouver dans le numĂ©ro 24 de Psychologie Positive
Ens’acceptant tel qu’on est, on parvient Ă  lĂącher prise et on accĂšde ainsi Ă  l’épanouissement. Finalement, pour parvenir Ă  la relaxation de son corps et de son esprit, tout part de la prise de conscience. DĂ©velopper la gratitude et la reconnaissance Comment fais-tu pour amener tes coachĂ©s Ă  mieux se sentir dans leur peau ?
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche Cela signifie s'accepter tel que l'on est... et Ă  partir de lĂ , choisir sciemment de changer les choses qui ne sont pas dans la lignĂ©e de la belle personne que l'on veut ĂȘtre. That means accepting the way you are... and then consciously choosing to change those things that are not in alignment with the beautiful person whom you wish to be. Plus de rĂ©sultats Cela signifie que s'il accepte notre demande, l'ordre sera automatiquement maintenu. Well, if he accepts our request, everything will be in order. Cela signifie accepter et faire avec la mondialisation. Surtout si cela signifie accepter compromettrait moi d'ĂȘtre un pompier. Especially if it means accepting it would jeopardize me being a firefighter. Cela signifie accepter de trouver une solution. Cela signifie accepter de partager une commune humanitĂ© avec l'autre». Cela signifie accepter qui vous ĂȘtes et ĂȘtre suffisamment fier de vous pour partager cela avec le monde. It means coming to terms with who you are and being proud enough of yourself to share that person with the world. Cela signifie accepter d'ĂȘtre condamnĂ©s Ă  la dĂ©composition et Ă  la mort, comme n'importe quelle autre crĂ©ature sur Terre. It means accepting that we are doomed to decay and die, just like any other creature on earth. Cela signifie accepter jour aprĂšs jour sa parole comme critĂšre valable pour notre vie. It means accepting his Word day after day as a valid criterion for our life. Pour elle, cela signifie accepter sa mort et conclure son existence dans la sĂ©rĂ©nitĂ©. For her, this means accepting her approaching death and closing her life in serenity. [Beaucoup de gens] pensent que cela signifie accepter l'Ă©chec dans la dignitĂ© et aller de l'avant. [Many people] think it means accept failure with dignity and move on. Cependant, notamment en pĂ©riode de chĂŽmage Ă©levĂ©, cette option n'est pas acceptable par les membres de foyers Ă  bas revenus, qui ont besoin d'un emploi rĂ©munĂ©rĂ© mĂȘme si cela signifie accepter un poste pour lequel ils sont surqualifiĂ©s. However, especially during a period of high unemployment, this is not an option for people from lower income households who need to find paid work even if it means accepting a job for which they are over-qualified. Par rapport au corps, cela signifie accepter la douleur, la maladie, le vieillissement et la mort. Cela signifie une acceptation par grĂące/faveur ou une attitude de rĂ©activitĂ©. Cela signifie qu'accepter la tenue d'Ă©lections Ă  date fixe constitue un pas dans le sens du progrĂšs. This means that accepting fixed election dates would be a step towards progress. Voici un aperçu des changements entourant le Visage de l'ID et ce que cela signifie pour accepter les transactions par l'intermĂ©diaire d'Apple Pay. Here's a brief rundown of the changes surrounding Face ID and what it means for accepting transactions through Apple Pay. Une fois votre inscription faite celĂ  signifie l'acceptation des conditions de vente de Khamvoyage. Once you book the tour with us it signifies your agreement and acceptance of the terms and conditions of Khamvoyage. Parce-que cela signifie qu'on accepte le principe d'universalitĂ©. Peut-ĂȘtre, en vous servant du mot accepter » n'avez-vous pas rĂ©alisĂ© qu'en anglais courant cela signifie accepter les choses telles qu'elles sont. Perhaps when you used the word 'accept' you did not realize that in ordinary English that means to accept things as they are. L'arrĂȘt ou le quasi-arrĂȘt de l'alimentation orale est souvent difficile Ă  accepter par la famille parce que cela signifie accepter que le patient va mourir. For family members, accepting the patient's poor oral intake is often difficult because it means accepting that the patient is dying. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 109090. Exacts 1. Temps Ă©coulĂ© 1572 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200 CettepensĂ©e est confortĂ©e par JĂ©rĂŽme Mataneel qui a expliquĂ© lors d’un de ses sĂ©minaires : « quand on parle d’acceptation, on ne parle pas de rĂ©signation ». S’accepter ; c’est de ne pas se laisser influencer par la pensĂ©e commune, de ne pas aller Ă  l’encontre de ce que l’on est, de ne pas cĂ©der Ă  la pression sociale et Qui n’a jamais eu de blessures Ă©tant plus jeune, des complexes, des peurs qui nous suivent tout au long de notre vie. Certaines ne se voient plus une fois adulte mais elle continue Ă  guider nos pas, consciemment ou inconsciemment. Bien que nous ayons chacun notre histoire, il n’appartient qu’à nous de surmonter nos Ă©checs et de construire notre avenir. Matatea est une entrepreneur sociale, coach et consultante originaire de Tahiti basĂ©e Ă  Los Angeles. A 17 ans elle quitte la PolynĂ©sie pour se former Ă  l’étranger et obtient une licence de L’universitĂ© d’Auckland et un master de l’UniversitĂ© d’Oxford. Elle commence sa carriĂšre professionnelle en Patagonie du Chili dans les Ă©nergies renouvelables, pour ensuite rejoindre le gouvernement du Chili basĂ©e Ă  Silicon Valley. En 2015, elle quitte le monde de la diplomatie internationale pour travailler Ă  son compte et mĂšne en parallĂšle consulting, entrepreneuriat et dog-walking. Elle crĂ©e par la suite sa sociĂ©tĂ© de conseil stratĂ©gique, qui se spĂ©cialise dans le dĂ©veloppement de projets innovants avec une approche Ă©thique et tournĂ©e vers l’humain. Depuis 4 ans, elle travaille avec des scientifiques de la NASA sur diverses missions d’explorations spatiales et rĂ©cemment, elle lance, TUMU, la premiĂšre communautĂ© global pour les professionnels des Ăźles du Pacifique.
saceptrt l s’accepter tel que l’on est 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester actif s’aceptrt l en parler 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 3 18.11.14 16:33. s’aceptrt l rester en contact avec des amis 201434442_Femmes_Moderationskarten_FRANZ.indd 4 18.11.14
Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? Comment faites-vous ? Je suis perdue, je ne sais pas vraiment comment rĂ©agir dans toutes les situations de la vie, je me sens toujours prise entre porter ce masque qui finalement arrange tout le monde, j'ai l'impression que dĂšs que je me montre telle que je suis je suis automatiquement rejetĂ©e. Je me sens toujours obligĂ©e finalement de le remettre quoi qu'il arrive. Comment parvenez-vous Ă  trouver un juste milieu peut-ĂȘtre ? MinnaMessages 37Date d'inscription 05/05/2017 Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par Sherryn Mer 21 Juin 2017 - 1523Je frĂ©quente des cercles dans lesquels je suis avec masque et d'autres dans lesquels je suis sans masque ou en tout cas avec moins de masques. Cela me permet de garder un semblant d'Ă©quilibre. Internet est aussi un vrai bol d'air frais, on peut se montrer comme on veut, Ă  condition de rester dans les normes de la biensĂ©ance. SherrynMessages 133Date d'inscription 30/05/2017Age 35Localisation Lausanne, Suisse Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par tordopensant Jeu 22 Juin 2017 - 1408Le juste milieu, c'est la conscience des moments ou on porte son masque .... et ou on ne le porte pas....puis peu Ă  peu rĂ©flĂ©chir Ă  augmenter les moments ou on le porte pas parce que c'est reposantLa question est avec qui avons nous envie de nous reposer ? A qui fait on cet honneur ? Est ce qu'on donne la chance Ă  la relation quand on porte un masque ? Le masque pour moi c'est un deuil de quelque-chose, qui aurait naitre entre 2 personnes tordopensantMessages 35Date d'inscription 15/06/2017 Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par MissLyte Jeu 22 Juin 2017 - 1737Comment et pourquoi tu arbores un ou plusieurs faux-selfs ?Si tu rĂ©ussi Ă  rĂ©pondre Ă  cette question, tu pourras trouver les personnes avec qui te reposer sans ton masque et les personnes oĂč il faudra que tu te protĂšges avec ton masque. La rĂ©ponse "sans mon masque, je suis automatiquement rejetĂ©e" ne t'avancera que trop peu dans ta rĂ©flexion puisqu'il faudra, comme dans la premiĂšre question, chercher la ou les causes. Ces causes, ça peut ĂȘtre des caractĂ©ristiques physiques, mentales, comportementales, etc, une opinion politique, religieuse, etc, une orientation sexuelle, scolaire, etc, un Ă©vĂ©nement, plein de choses. Ensuite, il faut se demander si ce faux-self est directement liĂ© Ă  la personne ou au groupe avec qui tu es ou bien si c'est pour rester cohĂ©rent avec un autre faux-self car cette personne ou ce groupe possĂšde un lien avec une personne avec qui le faux-self est tu auras rĂ©ussi Ă  tout mettre sur la table, tu pourras commencer Ă  dĂ©complexifier la chose, supprimer les faux-selfs inutiles, rĂ©duire les faux-selfs que tu peux rĂ©duire. Pas d'un coup, mais juste milieu dans tout ça, c'est savoir pourquoi tu portes un masque. Quand tu sauras ça, tu te sentiras dĂ©jĂ  mieux. Mais ça peut ĂȘtre long. Personnellement j'ai mis quelques mois juste pour savoir pourquoi je me crĂ©ais des faux-selfs et quelques autres mois pour identifier le "rĂ©seau" de mes !MissLyteMessages 48Date d'inscription 22/04/2017Age 22Localisation Nantes, France Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par amesauvage Jeu 22 Juin 2017 - 1802Il y a deux choses que j'ai compris et qui ne se remettent jamais en cause dans toutes mes remises en causes chroniques - On ne peut pas passer sa vie avec un masque. Trop destructeur, pour qui que ce soit, encore plus pour un zĂšbre- Dans certaines situations de la vie, le masque est nĂ©cessaireAlors lĂ  tu vas me dire "c'est bien gentil mais ça ne m'avance pas !" C'est pas faux...Comme l'avis gĂ©nĂ©ral je dirais aussi qu'il faut faire un tri est-ce une bonne compagnie que des personnes avec qui tu ne peux pas ĂȘtre toi mĂȘme ? Évidemment, il y en a toujours, dans les collĂšgues Ă©cole, travail, ..., dans des relations que tu croises peu ou dans la famille que tu ne choisis pas. Tant qu'elles ne t'empoisonnent pas, elles ne sont pas forcĂ©ment Ă  contre, dans les amis, je pense qu'il est mieux d'ĂȘtre avec des personnes qui te permettent d'ĂȘtre toi mĂȘme. Comme Sherryn, je pense qu'internet peut ĂȘtre d'un grand secours sur ce coup lĂ  amesauvageMessages 65Date d'inscription 22/06/2017Age 31Localisation Besançon Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par InvitĂ© Jeu 22 Juin 2017 - 1819Ben c'est toujours le soucis de ce genre de discussions on en arrive vite Ă  "faut pas porter de masque, faut ĂȘtre soi-mĂȘme". Vivi c'est bien comme morale d'un Ă©pisode de Winnie l'ourson, en pratique ça se que bon, il y a masque et masque. Dans mon cas, ça arrange effectivement tout le monde que je ferme ma gueule sur une identitĂ© "complexe" et une libido trĂšs peu conventionnelle ^^Si j'Ă©tais moi-mĂȘme la dessus... moui, peut-ĂȘtre que dans l'absolu ce serait cool pour moi... mais on sait bien que le jeu en vaut pas la chandelle Mais bon, mon nombril...Donc oui, il y a aussi tout ces gens "rejetĂ©s" s'ils montrent, par exemple, leur amour pour 33-45 en Allemagne, et qui s'en Ă©tonnent ! A ceux-lĂ  je dirais Mais continuer Ă  porter un masque, ça rends le monde plus hypocrite mais plus respirable aussi ^^Edit un formidable penseur, d'une humanitĂ© infini pour son prochain, m'a signalĂ© avec dĂ©licatesse comme un bourrin que ma derniĂšre phrase est un point Godwin destinĂ©e Ă  Ă©nerver les "vilains modos" C'est fou, ces gens qui savent mieux que nous ce qu'on a voulu dire, ça force le respect ou pas ^^ Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par tordopensant Ven 23 Juin 2017 - 1148Si j'Ă©tais moi-mĂȘme la dessus... moui, peut-ĂȘtre que dans l'absolu ce serait cool pour moi... mais on sait bien que le jeu en vaut pas la chandelle Dent pĂ©tĂ©e a Ă©critCa me fait penser Ă  thĂ©rese une ex qui habitait Ă  opĂ©ratordopensantMessages 35Date d'inscription 15/06/2017 Re Changer pour s'adapter ou s'accepter tel Que l'on est? par Clems Sam 1 Juil 2017 - 2330Impose toi tel que tu es !! avec tes dĂ©fauts et tes qualitĂ©s ! Tu as peur d ĂȘtre rejetĂ© mais tu rejette dĂ©jĂ  ta propre n es pas plus tordu que les autresClemsMessages 43Date d'inscription 21/05/2017 Sujets similairesSauter vers Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Encliquant sur « Consulter », vous acceptez le dépÎt de cookies par des services de vidéos en ligne tel que YouTube, Dailymotion. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant

Que veut dire s’accepter comme on est » ?Mieux vivre dans son corps pour entretenir l’amour de soiS’aimer soi pour aimer les autresS’accepter comme on est physiquementQuelle est sa motivation principale en tant que coach ?Faire prendre conscience avant toutComment impactes-tu les personnes que tu conseilles ?Pourquoi ĂȘtre indulgent avec soi-mĂȘme ?Est ce que cela passe par la dĂ©couverte physique et mentale de soi-mĂȘme ?Parvenir Ă  s’aimer et se respecterDĂ©velopper la gratitude et la reconnaissanceComment fais-tu pour amener tes coachĂ©s Ă  mieux se sentir dans leur peau ?Se prouver Ă  soi-mĂȘme que l’on a de la valeurDe quoi es-tu la plus fiĂšre ?Oser ĂȘtre soi pour vivre la vie qui nous inspire30 Citations pour aider Ă  s’accepter comme on estConclusionSi cette interview vous a plu ou si vous pensez qu’elle pourrait inspirer des personnes de votre entourage, n’hĂ©sitez pas Ă  le partager sur vos rĂ©seaux sociaux ! 😉😉 Que veut dire s’accepter comme on est » ? L’acceptation de soi est un concept clĂ© pour de nombreuses raisons. Intimement liĂ© Ă  celui de confiance en soi, il influence notre vie Ă  de multiples niveaux. S’accepter comme on est c’est oser affirmer sa diffĂ©rence aux yeux du monde. C’est tolĂ©rer ses particularitĂ©s, celles qui nous rendent unique, en les considĂ©rant comme des Ă©lĂ©ments de fiertĂ©. Mais cette forme d’affirmation de soi, est Ă©galement et surtout un formidable moyen de trouver sa place dans la SociĂ©tĂ©, de guĂ©rir du besoin de reconnaissance et ne plus se sentir incompris. On peut ainsi dire qu’il s’agit d’un chemin qui mĂšne Ă  l’épanouissement personnel. En m’appuyant sur l’interview de Claire, coach en acceptation de soi, nous allons voir tous les bienfaits qu’un tel accomplissement permet de ressentir, car s’accepter c’est commencer Ă  s’aimer
 Mieux vivre dans son corps pour entretenir l’amour de soi J’ai donc eu la chance de pouvoir interviewer, Claire Castagne, une coach de Yoga et de bien-ĂȘtre comme elle se dĂ©finit elle-mĂȘme, dont le quotidien est dĂ©sormais d’accompagner des personnes qui souffrent de compulsions alimentaires. En voici une rapide prĂ©sentation Je suis Claire Castagne, coach de vie et professeur de Hatha Yoga certifiĂ©e 250 heures, spĂ©cialisĂ©e dans la guĂ©rison des compulsions alimentaires, la reconversion professionnelle et la confiance en soi. » Au travers de ses vidĂ©os et de son blog, elle essaie de diffuser ses recettes pour parvenir Ă  mieux accepter son corps. Son site est directement liĂ© Ă  une quĂȘte du bonheur ou plus exactement au chemin pour y parvenir. En rĂ©ussissant Ă  dĂ©nouer les blocages psychologiques, Claire amĂšne les personnes qu’elle suit, Ă  changer leur Ă©tat d’esprit. Les effets immĂ©diats ne sont pas des moindres puisqu’elle permet Ă  ses coachĂ©s d’accĂ©der au bien-ĂȘtre de dĂ©velopper leur confiance via l’acceptation d’eux-mĂȘmes et de leur corps, et ainsi dĂ©velopper leur propre estime d’eux-mĂȘmes et ainsi d’ĂȘtre plus heureux et d’oser vivre leurs rĂȘves Car quand on souffre de perte d’estime de soi, on culpabilise et on s’enfonce inĂ©vitablement dans une spirale nĂ©gative de laquelle il n’est pas Ă©vident de sortir seule. S’aimer soi pour aimer les autres Comment fait Claire pour aider chacun Ă  s’accepter ? Comme elle le dit fort justement dans l’interview, Claire est convaincue que l’on est jamais plus efficace pour parler de ce que l’on a vĂ©cu personnellement. Elle considĂšre qu’elle est elle-mĂȘme le profil type de son client idĂ©al » Ă©tant passĂ©e par ces Ă©preuves
 Du coup elle est totalement lĂ©gitime pour accompagner des femmes Ă  faire ce qu’elle mĂȘme a rĂ©ussi. Ayant souffert dans le passĂ© de troubles alimentaires, mais Ă©tant parvenue Ă  dĂ©passer son manque d’estime grĂące Ă  un coaching en ligne, elle aide dĂ©sormais les gens Ă  s’accepter. S’accepter comme on est physiquement Quelle est sa motivation principale en tant que coach ? Les trois objectifs que Claire poursuit au travers de son blog et de sa chaĂźne Youtube sont simples booster l’estime de soi pour vivre ses rĂȘves apaiser la relation avec la nourriture en sortant des compulsions alimentaires et accompagner la personne dans son Ă©panouissement professionnel en l’amenant dans un Ă©ventuel processus de reconversion
 De lĂ , on voit bien l’influence gigantesque sur une vie que peut avoir le fait de s’accepter. Cela impacte tous les domaines de notre existence. D’un point de vue personnel, Claire nous confie vouloir Ă©galement apporter plus de libertĂ© aux personnes qu’elle accompagne. MĂȘme si elle avoue avoir eu peur dans un premier temps de cette forme de libĂ©ration qu’à Ă©tĂ© le fait de parvenir Ă  se dĂ©tacher de la dĂ©pendance Ă  la nourriture liĂ© Ă  la perte de repĂšres, elle est convaincue que c’est comme cela que l’on peut reprendre le contrĂŽle de sa vie. Le fait de vaincre cette peur du vide est directement Ă  l’origine, selon elle, d’un manque de confiance. C’est cette perte d’assurance, ce besoin psychologique de reconnaissance, auxquels elle a dĂ» faire face et Ă  laquelle elle sait donc pallier pour enfin oser faire ce qui nous fait vibrer sans avoir peur de l’échec. Selon ses propres mots, il est nĂ©cessaire d’échouer pour dĂ©velopper sa confiance en soi et plus on Ă©choue, mieux c’est. Faire prendre conscience avant tout Comment impactes-tu les personnes que tu conseilles ? A la question relative Ă  sa mĂ©thode pour parvenir Ă  crĂ©er ce dĂ©clic chez ses coachĂ©s », Claire insiste en premier lieu sur ce qui fait sa particularitĂ© ses valeurs. Pour elle, la bienveillance et l’écoute sont vĂ©ritablement les deux piliers sur lesquels elle appuie ses accompagnements. Mais mĂȘme si elle dit s’impliquer Ă  100% dans son travail, Claire reconnaĂźt que l’essentiel du travail est fait par la personne coachĂ©e. Telle une psychologue, elle n’a pour mission que de faire prendre conscience. Elle n’a pas de formule magique qui soigne le mal
 Ce sont juste les mots qu’elle utilise pour amener la personne Ă  rĂ©aliser par elle-mĂȘme quelle est la solution. Dans les faits, c’est en rĂ©pondant Ă  une sĂ©rie de questions l’amenant Ă  Ă©voquer ce dont elle souffre, ce qui la bloque, que la personne peut entamer un travail sur elle-mĂȘme. Le but derriĂšre tout cela est prĂ©cisĂ©ment de lui permettre de dĂ©passer ses croyances limitantes. Finalement Claire se dĂ©finit plus comme un accĂ©lĂ©rateur Ă  transformations pour amener les personnes dans la direction qu’elles souhaitent inconsciemment. Ce sont donc bien ces derniĂšres qui changent elles-mĂȘmes leurs propres vies ! Il n’y a pas de recette miracle
 Pourquoi ĂȘtre indulgent avec soi-mĂȘme ? Est ce que cela passe par la dĂ©couverte physique et mentale de soi-mĂȘme ? A cette question, Claire de par son titre de professeur de Yoga affirme que prendre conscience de son propre corps ne nĂ©cessite pas tant de temps que cela. A toute heure de la journĂ©e, il est possible de s’exercer. Il suffit de 5 minutes quand on se brosse les dents, oĂč au moment de prendre sa douche
 Il est simplement nĂ©cessaire de se focaliser sur l’existence de son corps, d’y prĂȘter attention en se concentrant par exemple sur les sensations des gouttes d’eau sur sa peau ou de la tempĂ©rature de l’eau. Selon elle, tout part du cerveau et donc de la connaissance et de la comprĂ©hension de soi. Il faut s’accepter comme on est pour ĂȘtre bien dans sa peau ! Certes Claire reconnaĂźt que les rĂ©sultats dĂ©pendent du plan d’actions mises en place tel qu’un rĂ©gime par exemple, mais avant tout, ils sont liĂ©s au ressenti de la personne. En effet, ce sont les pensĂ©es et les Ă©motions que ressent cette derniĂšre qui dĂ©terminent les rĂ©sultats obtenus. Agir sans tenir compte de ces paramĂštres ne sert strictement Ă  rien ! Par exemple, si j’ai envie de chocolat et que je me l’interdis en le diabolisant, un jour ou l’autre je craquerai. Si, par contre avant d’attaquer un rĂ©gime je passe un contrat avec moi-mĂȘme en m’autorisant d’en manger 3 carrĂ©s, puis progressivement 2 et 1
 Ma dĂ©pendance va se rĂ©guler ! En clair, les interdits crĂ©ent des frustrations et il est nĂ©cessaire d’inclure la gestion des rĂ©actions de notre cerveau dans un processus global. En commençant par changer ses pensĂ©es, on arrive Ă  modifier son comportement. Parvenir Ă  s’aimer et se respecter En d’autres termes quel est le rapport entre l’acceptation de son corps, la confiance en soi et l’estime de soi ? Selon Claire, le corps et l’esprit sont intimement liĂ©s pour ne pas dire qu’ils ne font qu’un. Chaque individu est un ĂȘtre entier et avec le yoga il est possible de parvenir Ă  dĂ©connecter ses pensĂ©es de son corps
 C’est lĂ  le principal bienfait ! GrĂące Ă  la mĂ©ditation, il est possible de stopper ce cycle continu du cerveau et de parvenir Ă  le dĂ©brancher ». Le yoga a de nombreuses utilitĂ©s comme par exemple le fait de permettre de se dĂ©tacher de son enveloppe physique et de se sentir bien justement en se concentrant sur ses pensĂ©es. Selon Claire, il est bĂ©nĂ©fique de revenir Ă  son corps pour gĂ©nĂ©rer du bien-ĂȘtre, de façon spontanĂ©e. En s’acceptant tel qu’on est, on parvient Ă  lĂącher prise et on accĂšde ainsi Ă  l’épanouissement. Finalement, pour parvenir Ă  la relaxation de son corps et de son esprit, tout part de la prise de conscience. DĂ©velopper la gratitude et la reconnaissance Comment fais-tu pour amener tes coachĂ©s Ă  mieux se sentir dans leur peau ? Comme nous l’avons Ă©crit prĂ©cĂ©demment, le rĂŽle du coach se limite aux conseils, Ă  mettre sur la voie. Claire avoue ne pas pouvoir forcer la personne qu’elle accompagne Ă  faire le travail et Ă  s’accepter. Sa technique est de lui faire comprendre grĂące Ă  la gratitude, que le corps respire et nous maintient en vie ». Elle cherche Ă  faire prendre conscience de la chance que nous avons simplement d’ĂȘtre en bonne santĂ©. Il est nĂ©cessaire de travailler sa gratitude et d’ĂȘtre reconnaissant pour des choses que nous prenons trop souvent pour acquises ! DĂšs lors, il n’y a plus qu’à se dĂ©barrasser des pensĂ©es nĂ©gatives pour se sentir parfaitement bien dans son corps. Se prouver Ă  soi-mĂȘme que l’on a de la valeur De quoi es-tu la plus fiĂšre ? Se prouver Ă  soi-mĂȘme que l’on a du talent pour quelque chose est essentiel pour l’estime de soi. MĂȘme si Claire avoue avoir toujours Ă©tĂ© plutĂŽt sportive, elle n’aurait jamais cru rĂ©ussir Ă  dĂ©passer ses limites comme elle le fit. Pour elle, le corps a toujours Ă©tĂ© important. C’est grĂące Ă  lui qu’elle est parvenue Ă  prendre confiance en elle en accomplissant des objectifs personnels qu’elle aurait pensĂ© inatteignable. Alors qu’elle n’avait jamais couru plus de 10 kilomĂštres, elle s’était mise en tĂȘte de boucler un marathon complet malgrĂ© les doutes de son entourages et malgrĂ© ses propres apprĂ©hensions. Un tel accomplissement, reste encore aujourd’hui Ă  ses yeux une expĂ©rience qui a littĂ©ralement changĂ© sa vie. En deux mots se prouver Ă  soi-mĂȘme que l’on est capable pour passer ses croyances limitantes ! Oser ĂȘtre soi pour vivre la vie qui nous inspire Pour terminer notre entretien, je demande Ă  Claire quel serait LE conseil qu’elle donnerait Ă  une personne qui souffre de manque de confiance, sa rĂ©ponse est sans appel il faut se lancer et oser ! » C’est en dĂ©cidant de vivre pour soi que l’on parvient Ă  se rĂ©aliser. Il est nĂ©cessaire de faire abstraction de l’opinion des autres. Nous n’avons rien Ă  prouver Ă  personne si ce n’est Ă  nous-mĂȘme car si l’on vit pour les autres on ne peut vivre de façon Ă©panouie. Pour se rĂ©aliser il est nĂ©cessaire de passer outre le regard des autres et poursuivre ses propres rĂȘves afin de ne jamais rien regretter ! 30 Citations pour aider Ă  s’accepter comme on est Rappelle-toi que l’unique personne qui t’accompagne toute ta vie, c’est toi-mĂȘme ! Sois vivant dans tout ce que tu fais. » Pablo Picasso DĂšs l’instant oĂč vous acceptez, les choses se mettent Ă  changer pour le mieux. » Don Miguel Ruiz Être diffĂ©rent n’est ni une bonne ni une mauvaise chose en soi. Cela signifie simplement que vous ĂȘtes suffisamment courageux pour ĂȘtre vous-mĂȘme. » Albert Camus Il y a d’admirables possibilitĂ©s en chaque ĂȘtre. Persuade-toi de ta force et de ta jeunesse. Sache te redire sans cesse il ne tient qu’à toi ! » . AndrĂ© Gide La vĂ©ritable perfection de l’homme ne rĂ©side pas dans ce qu’il a mais en ce qu’il est. » Oscar Wilde Rien ne renforce autant la confiance en soi et l’estime de soi que l’estime de soi. » Thomas Carlyle En devenant conscient et en cessant de vous juger, vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ  amĂ©liorĂ©. » Don Miguel Ruiz Le plus grand voyageur n’est pas celui qui a fait 10 fois le tour du monde, mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-mĂȘme. » Bouddha N’essayez pas de devenir un homme qui a du succĂšs, essayez de devenir un homme qui a de la valeur. » Albert Einstein Ce que tu te dis Ă  toi-mĂȘme tous les jours peut te construire, ou totalement te dĂ©truire. » Max Piccinini ArrĂȘtez de chercher la bonne personne, soyez la bonne personne. » Joy Shetty Aujourd’hui, je choisis de vivre dans la lumiĂšre de mes espoirs plutĂŽt que dans l’ombre de mes doutes. » Ray Davis Cultivez votre personnalitĂ© car c’est votre bien le plus prĂ©cieux. » Dale CarnĂ©gie Il faut tenir la main de l’enfant qui est en vous, pour lui rien n’est impossible. » Paulo Coelho Deviens celui que tu es. Fais ce que toi seul peut faire. Sois le seul maĂźtre et le sculpteur de toi-mĂȘme. » Friedrich Nietzsche L’homme ne se dĂ©couvre que lorsqu’il se mesure Ă  l’obstacle. » Antoine de Saint ExupĂ©ry Tout le monde est un gĂ©nie. Mais si vous jugez un poisson Ă  sa capacitĂ© Ă  grimper Ă  un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu’il est stupide. » Albert Einstein Tu ne sais pas Ă  quel point tu es fort, jusqu’au jour oĂč ĂȘtre fort reste la seule option. » Bob Marley Aie confiance en toi-mĂȘme et tu sauras vivre. » Johann Wolfgang von Goethe RĂ©ussir c’est ĂȘtre soi-mĂȘme. » John Gray S’aimer soi-mĂȘme est le dĂ©but d’une histoire d’amour qui durera toute une vie. » Oscar Wilde Qui que vous soyez, soyez le bien. » Abraham Lincoln Ne te compare Ă  rien ni Ă  personne, tout ĂȘtre est unique. » Raoul Vaneigem On respecte un homme qui se respecte lui-mĂȘme. » HonorĂ© de Balzac Le monde ne vous donnera jamais que la valeur que vous vous donnez vous-mĂȘme. » Joseph Murphy Soyez Ă  vous-mĂȘme votre propre refuge. Soyez Ă  vous-mĂȘme votre propre lumiĂšre. » Bouddha On ne croit qu’en ceux qui croient en eux. » William James Le succĂšs n’est pas tant ce que nous avons, que ce que nous sommes. » Jim Rohn Il faut avoir la volontĂ© d’ĂȘtre soi-mĂȘme. » Dale CarnĂ©gie On m’a dit Tu trouveras la vĂ©ritĂ© en chemin ». Jai demandĂ© OĂč est le chemin ? ». On m’a rĂ©pondu Mais c’est toi le chemin. » Trouve-toi ! » Bouddha Conclusion En fin de compte, nous avons pu mesurer au travers des propos de Claire le lien Ă©vident qu’il existe entre le fait de s’accepter comme on est, et les notions de confiance et d’estime de soi. L’entretien du corps et celui de l’esprit sont aussi importants l’un que l’autre Ă  l’épanouissement de l’ĂȘtre humain. Travailler Ă  l’épanouissement physique peut permettre de dĂ©velopper confiance estime de soi et cela doit faire partie d’un programme global pour quiconque ambitionne de vivre pleinement sa vie. De cette rĂ©alisation globale dĂ©pend la rĂ©ussite de sa vie, ce qui n’est pas une mince ambition mais cela peut permettre de rĂ©duire son anxiĂ©tĂ© et enfin devenir acteur de son propre changement ! Si cette interview vous a plu ou si vous pensez qu’elle pourrait inspirer des personnes de votre entourage, n’hĂ©sitez pas Ă  le partager sur vos rĂ©seaux sociaux ! 😉😉

Savoirs'accepter tel que l'on est Qui n'a pas éprouvé de honte ou de culpabilité dans sa vie ? Mais dÚs qu'il s'agit de guérir le passé et de nous pardonner, nous nous sentons démunis. Pourquoi ? Notre conception du pardon intÚgre généralement une victime et un coupable. Mais nous nous retrouvons dans l'impasse dÚs lors que nous jouons ces deux rÎles, que nous faisons du tort à

Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč tout est jugĂ©, l’apparence, les opinions, les choix, les diffĂ©rences
 Le poids est un sujet qu’il est encore plus. Dans cette sociĂ©tĂ© oĂč les femmes doivent toutes se ressembler et oĂč il existe un idĂ©al
 Être trop mince ça dĂ©range. J’ai toujours Ă©tĂ© trĂšs mince, voir maigre Ă©tant petite. Et j’en ai toujours souffert. J’en souffre encore. Quand tu es enfant, ça passe, les gens n’en font pas toute une histoire. Quand tu entres dans l’adolescence, lĂ  ça commence Ă  faire parler
 “T’es anorexique ?” “Manges un peu !” “Sac d’os” “On dirait une gamine” “Sale maigre”
 Je pourrais continuer encore longtemps. C’est ce que j’entendais environ une fois par jour. Chaque jour, c’était le mĂȘme supplice. J’avais le droit Ă  ces propos Ă  l’école, par mes proches, mes amis, des inconnus. Chaque jour, mon obsession devenait de pire en pire. Car oui, j’en ai fait une obsession. A force d’entendre parler de mon poids Ă  chaque conversation, c’est devenu une obsession. “Manger plus, grossir, ne pas Ă©couter les autres, grossir, se crĂ©er une barriĂšre pour ne plus ĂȘtre blessĂ©e, ne pas pleurer
“ Mon rituel chaque matin lorsque je devais m’habiller, Ă©tait de me regarder sous toutes les coutures en me disant “Mon dieu, t’es vraiment horrible. T’es trop maigre”. Je ne m’aimais pas. En fait je ne m’aimais plus, Ă  cause des autres. Je me dĂ©testais et je me rabaissais moi-mĂȘme chaque jour. A force je ne me voyais plus comme “Amandine”, je me voyais plutĂŽt comme “la fille maigre”. Je ne voyais plus ce que j’aimais chez moi, je voyais seulement ce que je dĂ©testais. J’ai fini par me dĂ©tester entiĂšrement. Et si j’étais atteinte d’une maladie ? Et si leurs propos me blessaient ? Et s’ils me faisaient du mal ? Je me demande si toutes ces personnes qui se permettaient de me juger se sont dĂ©jĂ  posĂ© ne serait-ce qu’une seule de ces questions. Alors un jour, ça a Ă©tĂ© la goutte d’eau. La rĂ©flexion de trop. J’ai pleurĂ© tout ce que je gardais en moi depuis mon enfance, et j’ai dĂ©cidĂ© de m’aimer. Telle que je suis. Avec mes dĂ©fauts. Avec mon poids, mon nez trop long, mes petites cernes, mes vergetures. AprĂšs tout, pourquoi nous devrions ĂȘtre comme tout le monde ? Pourquoi devrions-nous tous se ressembler ? Qui a dĂ©cidĂ© qu’il y avait un idĂ©al ? Un corps parfait, pas trop grosse, pas trop maigre, de la poitrine mais pas trop, des fesses mais pas un “gros cul”, pas de cellulite ni de vergetures
 Cela n’existe pas. Mon corps, c’est mon moyen de locomotion sur cette Terre. C’est grĂące Ă  lui que je peux vivre, marcher, nager, rigoler
 C’est le mien, pas celui des autres. C’est moi. Il me ressemble, il est ma personnalitĂ©, mon enveloppe physique. Alors pourquoi les autres m’empĂȘcheraient de l’aimer ? Certes, j’ai encore du boulot, mais j’en aurai toute ma vie. Le corps change, il peut connaĂźtre la grossesse, les Ă©preuves, le temps. Mais si je l’accepte tel qu’il est, je suis prĂȘte Ă  le faire pour toujours. Tant pis s’il change, je ferais tout pour ĂȘtre bien. Je m’engage Ă  manger sainement, Ă  faire du sport, Ă  prendre soin de mon esprit. Et Ă  accepter le changement. Personne ne peut le faire Ă  ma place. Et puis si les autres ne l’acceptent pas, si je ne leur plais pas, c’est leur problĂšme, pas le mien. J’ai remarquĂ© que les personnes qui se permettent de juger les autres, sont celles qui ne s’aiment pas elles-mĂȘme. Si elles jugent notre apparence, c’est qu’elles jugent la leur. “Une personne qui ne s’aime pas pourra difficilement aimer les autres.” Alors, pour devenir la personne que nous rĂȘvons d’ĂȘtre, avec le corps parfait dont nous rĂȘvons, la premiĂšre Ă©tape est de s’accepter tel que l’on est, d’aimer ce que l’on est, et d’effacer la mauvaise image que nous avons de notre physique. Et si vous ĂȘtes bien dans votre peau, que vous soyez fort, mince, petit ou grand, les autres le sentiront et ils ne pourront que vous trouver resplendissant, car vous dĂ©gagerez le bien-ĂȘtre et la confiance en vous. Chaque dĂ©tail, chaque dĂ©faut, fait de nous ce que nous sommes et c’est ce qui nous rend unique ! . . . ↡ Pour Ă©pingler l’article ↡
Saccepter tel que l’on est. Qui n’a jamais eu de blessures Ă©tant plus jeune, des complexes, des peurs qui nous suivent tout au long de notre vie. Certaines ne se voient plus une fois adulte mais elle continue Ă  guider nos pas, consciemment ou inconsciemment. Bien que nous ayons chacun notre histoire, il n’appartient qu’à nous
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article L'acceptation de soi est la capacitĂ© d'apprĂ©cier toutes vos facettes de façon inconditionnelle. Cela signifie que vous devriez apprĂ©cier Ă  la fois vos qualitĂ©s et ce que vous aimeriez amĂ©liorer chez vous [1] . La procĂ©dure d'acceptation de soi-mĂȘme commence par la reconnaissance des jugements que vous portez vis-Ă -vis de vous-mĂȘme et de les adoucir afin que tous les aspects de votre personnalitĂ© puissent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s. De plus, il est important de vous engager Ă  faire passer votre tendance Ă  vous juger et Ă  vous accuser Ă  un sentiment de compassion et de tolĂ©rance. 1 Reconnaissez vos forces et vos caractĂ©ristiques. Faites-le pour garder un Ă©quilibre entre le travail que vous faites sur vous-mĂȘme pour accepter les aspects que vous apprĂ©ciez et les autres. De plus, le fait de vous rendre compte de vos forces peut changer votre façon de vous voir. Commencez par faire la liste de vos forces ou trouvez chaque jour une force, s'il est trop difficile d'y penser en une seule fois. Vous pourriez, par exemple, vous trouver les forces suivantes je suis une personne affectueuse, je suis une mĂšre courageuse, je suis un peintre de talent, je sais rĂ©soudre les problĂšmes en faisant preuve de crĂ©ativitĂ©. 2 Faites une liste de vos rĂ©alisations. Identifiez et reconnaissez vos forces en faisant une liste de ce que vous avez rĂ©alisĂ©. Cela peut comprendre les personnes que vous avez pu aider, vos rĂ©alisations personnelles ou les pĂ©riodes difficiles que vous avez dĂ» surmonter. Ces types d'exemples peuvent vous aider Ă  diriger votre concentration sur des agissements ou des actes concrets. Des exemples plus concrets peuvent vous aider Ă  identifier vos forces, comme dans les cas suivants. La mort de mon pĂšre a Ă©tĂ© dure pour ma famille, mais je suis fier d'avoir Ă©tĂ© en mesure de soutenir ma mĂšre pendant cette Ă©preuve. J'ai dĂ©cidĂ© de courir un semi-marathon et aprĂšs un entrainement de six mois, j'ai pu franchir la ligne d'arrivĂ©e ! AprĂšs avoir perdu mon emploi, j'ai eu du mal Ă  m'adapter et Ă  payer les factures, mais j'ai appris bien des choses sur ma propre force et j'ai Ă  prĂ©sent un meilleur emploi. 3 Sachez comment vous vous jugez. Le fait de reconnaitre la façon dont vous vous jugez est important pour identifier les endroits oĂč vous ĂȘtes trop critique vis-Ă -vis de vous-mĂȘme. Vous ĂȘtes trop critique quand vous crĂ©ez ou vous trouvez des caractĂ©ristiques de vous-mĂȘme qui vous paraissent inutiles. Cela peut comprendre la honte ou la dĂ©ception et ces sentiments peuvent Ă©craser l'acceptation de soi. Commencez par rĂ©diger une liste de pensĂ©es nĂ©gatives qque vous pourriez avoir. En voici des exemples je ne serai jamais capable de faire quelque chose correctement, j'interprĂšte toujours les remarques des autres de travers, il y a certainement chez moi quelque chose qui cloche, je suis trop gros, je ne sais absolument pas prendre de dĂ©cisions. 4 Reconnaissez la façon dont les remarques des autres vous touchent. Quand d'autres font des remarques Ă  notre sujet, nous avons souvent tendance Ă  les analyser et Ă  les assimiler Ă  notre propre opinion de nous-mĂȘmes. Vous pouvez commencer par revoir votre façon de vous percevoir si vous ne trouvez pas l'origine de votre tendance Ă  vous juger [2] . Si, par exemple, votre mĂšre a toujours critiquĂ© votre allure, vous pourriez ne pas ĂȘtre trĂšs sĂ»r de vous par rapport Ă  votre apparence. Mais vous devriez comprendre que ses critiques Ă©taient issues de ses propres incertitudes. Vous pouvez retrouver de l'assurance en votre allure une fois que vous vous rendez compte de cela. PublicitĂ© 1 Prenez-vous sur le fait quand vous avez des pensĂ©es nĂ©gatives. Il est temps de rĂ©duire votre petite voix critique, quand vous connaissez les domaines prĂ©cis de votre vie pour lesquels vous ĂȘtes le plus critique. Votre petite voix critique peut vous dire que votre physique n'est pas idĂ©al ou que vous faites constamment tout de travers. Le fait de rĂ©duire au silence votre petite voix critique va rĂ©duire vos pensĂ©es nĂ©gatives sur vous-mĂȘme, ce qui vous aidera Ă  crĂ©er de la place pour la compassion, le pardon et l'acceptation. Pour ce faire, entrainez-vous Ă  prendre ces pensĂ©es nĂ©gatives en flagrant dĂ©lit quand elles apparaissent. Si, par exemple, vous vous surprenez Ă  penser que vous ĂȘtes un parfait imbĂ©cile, posez-vous les questions suivantes. Est-ce une pensĂ©e sympathique ? Cette pensĂ©e me met-elle Ă  l'aise ? Pourrais-je exprimer cette pensĂ©e Ă  un ami ou Ă  une personne aimĂ©e ? Sachez que votre petite voix intĂ©rieure critique s'est Ă  nouveau manifestĂ©e, si les rĂ©ponses Ă  ces questions sont non. 2 DĂ©fiez votre critique intĂ©rieur. Affrontez et rĂ©duisez au silence ce critique intĂ©rieur, si vous vous retrouvez Ă  avoir des pensĂ©es nĂ©gatives vis-Ă -vis de vous-mĂȘme. PrĂ©parez-vous Ă  y opposer une pensĂ©e plus positive ou un mantra. Vous pouvez aussi vous servir des forces que vous avez identifiĂ©es plus haut. Si, par exemple, vous vous surprenez Ă  dire que vous n'ĂȘtes pas intelligent, changez cette pensĂ©e et faites-en une affirmation plus gentille, comme de vous dire que vous ĂȘtes intelligent dans d'autres domaines, mĂȘme si vous ne connaissez rien Ă  ce sujet en particulier et que c'est trĂšs bien ainsi. Souvenez-vous de vos forces Nous n'avons pas tous les mĂȘmes talents. Je sais que je suis douĂ© dans un autre domaine et je suis fier de cela ». Rappelez Ă  votre critique intĂ©rieur que sa dĂ©claration nĂ©gative est fausse. Dites-lui que vous en avez assez de l'entendre vous rĂ©pĂ©ter que vous ĂȘtes idiot, parce que ce n'est pas vrai. Ajoutez que vous avez appris Ă  comprendre que vos forces et votre intelligence se trouvent dans des domaines importants et bien prĂ©cis. Assurez-vous de toujours rester gentil avec votre critique intĂ©rieur. Ne l'oubliez pas et rĂ©pĂ©tez-le-vous, car vous ĂȘtes toujours en train d'apprendre Ă  changer ce que vous pensez de vous-mĂȘme. 3 Mobilisez-vous d'abord sur l'acceptation de vous-mĂȘme avant de chercher Ă  vous amĂ©liorer. L'acceptation de soi est le fait de vous accepter tel que vous ĂȘtes dans l'instant prĂ©sent. L'amĂ©lioration de soi se concentre plutĂŽt sur les changements qui doivent ĂȘtre faits afin de mieux s'accepter Ă  l'avenir [3] . Identifiez des domaines avec l'intention de les apprĂ©cier tels qu'ils sont dĂšs Ă  prĂ©sent. Vous pouvez ensuite dĂ©cider si vous voulez les amĂ©liorer plus tard. Vous voudriez, par exemple, perdre du poids. Commencez par accepter votre poids actuel en vous disant que vous ĂȘtes trĂšs bien comme vous ĂȘtes et que vous l'acceptez. Vous devriez ensuite recadrer votre remise en forme d'une façon productive et positive. PlutĂŽt que de penser que vous n'avez pas la silhouette idĂ©ale et ne serez jamais bien dans votre peau si vous ne perdez pas dix kilos, vous pourriez vous dire que vous avez envie de perdre dix kilos afin d'ĂȘtre en meilleure santĂ© et d'avoir plus d'Ă©nergie. 4 Changez vos attentes en ce qui vous concerne. Quand vous avez des attentes irrĂ©alistes pour vous-mĂȘme, vous allez au-devant de dĂ©ceptions. Cela ne va pas, en retour, vous faciliter la tĂąche pour vous accepter. Changez vos attentes de vous-mĂȘme. Si vous dites, par exemple, que vous Ă©tiez trop paresseux aujourd'hui pour nettoyer la cuisine, changez vos attentes et dites que vous avez prĂ©parĂ© un diner pour toute la famille et que vous pouvez demander Ă  vos enfants de vous donner un coup de main pour nettoyer la cuisine avec vous le lendemain aprĂšs le petit-dĂ©jeuner. PublicitĂ© 1Apprenez Ă  ĂȘtre digne de compassion. Il peut sembler bizarre ou malaisĂ© de dire que vous allez vous forger de la compassion pour vous-mĂȘme, parce que cela peut sembler Ă©gocentrique. Mais l'art de la compassion pour soi-mĂȘme est le ciment de l'acceptation de soi. Cela est dĂ» au fait que la compassion est la conscience sympathique de la dĂ©tresse des autres et le dĂ©sir de la soulager [4] ». Vous mĂ©ritez Ă  votre tour cette mĂȘme comprĂ©hension et cette gentillesse ! La premiĂšre mesure Ă  prendre en direction de cette compassion pour vous-mĂȘme est de valider votre propre valeur. Il est facile et assez courant de laisser aux autres le soin de dĂ©cider de vos pensĂ©es, de vos sentiments, opinions et convictions. PlutĂŽt que de laisser les autres dĂ©cider Ă  votre place, vous devriez vous forger les vĂŽtres. Apprenez Ă  valider et Ă  approuver quoi que ce soit de vous-mĂȘme, sans avoir besoin de le chercher auprĂšs des autres. 2 EntraĂźnez-vous Ă  affirmer quelque chose tous les jours. Une affirmation est une dĂ©claration positive censĂ©e vous encourager et vous remonter le moral. L'emploi de cette mĂ©thode sur vous-mĂȘme peut ĂȘtre un outil puissant pour vous permettre d'avoir plus de compassion pour vous-mĂȘme [5] . L'autocompassion permet d'avoir plus d'empathie pour soi-mĂȘme et de mieux pardonner Ă  la personne que l'on Ă©tĂ©, ce qui aide Ă  surmonter des sentiments de culpabilitĂ© et de regret. Des affirmations journaliĂšres peuvent changer progressivement votre façon de vous critiquer. Forgez-vous de la compassion tous les jours en faisant des affirmations Ă  l'oral, Ă  l'Ă©crit ou en pensĂ©e. En voici quelques exemples. Je suis capable de surmonter des pĂ©riodes difficiles, je suis plus fort que je ne le crois. Je ne suis pas parfait et je fais des erreurs et c'est tout Ă  fait normal. Je suis une fille gentille et attentionnĂ©e pour mes parents. Faites une pause compassionnelle. Prenez le temps d'ĂȘtre gentil avec vous-mĂȘme quand vous voulez avoir plus de compassion, si vous avez parfois du mal Ă  accepter un aspect particulier de vous-mĂȘme. Reconnaissez que votre jugement de vous-mĂȘme vous crĂ©e des souffrances et que cela peut ĂȘtre trop dur. Souvenez-vous d'ĂȘtre gentil et de vous entrainer Ă  vous affirmer davantage. Si vous pensez par exemple que vous n'avez pas la silhouette idĂ©ale et que vous ĂȘtes trop gros, reconnaissez que ces pensĂ©es ne vous font pas du bien et dites-vous que vous ne voudriez pas dire des choses pareilles Ă  un ami parce qu'elles vous dĂ©priment et sont inutiles. Dites quelque chose de gentil Mon corps n'est sans doute pas parfait, mais il est Ă  moi et il est en bonne santĂ©. Il me permet aussi de faire ce que j'aime, comme de jouer avec mes enfants. » 3 Exercez-vous Ă  vous pardonner. Cela peut rĂ©duire les sentiments de culpabilitĂ© du passĂ©, lesquels peuvent vous empĂȘcher d'accepter pleinement votre prĂ©sent. Vous pourriez juger votre passĂ© sur la base d'attentes irrĂ©alistes. Le fait de vous pardonner va soulager votre honte et vous donnera de la place pour crĂ©er une vision plus empathique et tolĂ©rante de votre passĂ©. Notre critique intĂ©rieur est parfois peu disposĂ© Ă  nous laisser pardonner notre passĂ©. Nous sommes parfois trop durs avec nous-mĂȘmes en trainant un sentiment de culpabilitĂ©. Faites surtout trĂšs attention Ă  la culpabilitĂ© que vous pourriez Ă©prouver. TĂąchez d'Ă©valuer d'Ă©ventuels facteurs extĂ©rieurs impliquĂ©s dans la situation. Les Ă©vĂšnements sont parfois incontrĂŽlables, mais nous nous cramponnons toujours Ă  nos sentiments de culpabilitĂ©. Voyez si ces actes Ă©taient vraiment hors de votre contrĂŽle et tĂąchez de vous pardonner pleinement. Le fait de rĂ©diger une lettre peut ĂȘtre un outil mental et Ă©motionnel puissant pour dĂ©marrer la procĂ©dure quand il s'agit de vous pardonner [6] . RĂ©digez une lettre Ă  la personne que vous Ă©tiez dans le passĂ© et employez un ton gentil et affectueux. Rappelez Ă  cette personne du passĂ© votre critique intĂ©rieur que vous avez pu faire des erreurs. Mais vous savez que vous n'ĂȘtes pas parfait et que c'est normal. Nous pouvons souvent tirer des enseignements utiles de nos erreurs. Souvenez-vous que vos agissements ou votre attitude peuvent avoir Ă©tĂ© vos seules connaissances Ă  ce moment-lĂ . 4 Faites des pensĂ©es de culpabilitĂ© des affirmations de reconnaissance. Le fait de vous souvenir que vous pouvez souvent apprendre quelque chose de vos erreurs du passĂ© peut vous aider Ă  en avoir une vision fĂ©conde. Entrainez-vous Ă  ĂȘtre reconnaissant pour ce que vous avez appris et Ă  accepter que les erreurs fassent partie de la vie. Votre culpabilitĂ© ou honte passĂ©e ne vous empĂȘchera plus Ă  ce moment-lĂ  de vous accepter aujourd'hui. Notez les expressions ou pensĂ©es de culpabilitĂ© que vous pouvez avoir et faites-en des dĂ©clarations de reconnaissance. Une critique ou une pensĂ©e dĂ©pourvue de gentillesse pourrait ĂȘtre j'Ă©tais horrible avec ma famille quand j'avais la vingtaine, j'ai honte de m'ĂȘtre comportĂ© aussi mal. Une dĂ©claration de reconnaissance je suis reconnaissant de ce que j'ai tirĂ© des leçons de mon comportement Ă  cet Ăąge, car cela m'a aidĂ© dans l'Ă©ducation de mes propres enfants. Une critique ou pensĂ©e odieuse j'ai dĂ©chirĂ© ma famille parce que je ne pouvais pas m'arrĂȘter de boire. Une dĂ©claration de reconnaissance je suis reconnaissant d'avoir rĂ©parĂ© mes relations familiales et je le referai Ă  l'avenir. PublicitĂ© 1Entourez-vous de personnes affectueuses. Vous pourriez avoir du mal Ă  vous accepter si vous frĂ©quentez des gens qui vous dĂ©nient toute valeur. Quand on n'arrĂȘte pas de vous critiquer, il peut ĂȘtre plus dur de vous convaincre que vous avez des forces. FrĂ©quentez des personnes qui vous soutiennent et qui vous aiment. Elles vous donneront l'Ă©lan dont vous avez besoin pour vous accepter tel que vous ĂȘtes [7] . 2Voyez un psychologue. Il peut vous aider Ă  vous dĂ©barrasser de tout ce qui peut vous empĂȘcher de vous accepter. Cette personne peut vous aider Ă  analyser votre passĂ© pour comprendre pourquoi vous pensez telles choses de vous-mĂȘme. Elle peut aussi vous permettre de trouver des moyens de vous parler Ă  vous-mĂȘme, vous donner des idĂ©es pour vous affirmer et ainsi de suite. 3 Posez des limites et sachez communiquer avec assurance avec les autres. Quand vous avez besoin d'Ă©changer avec des personnes qui sont critiques et qui ne vous soutiennent pas, vous pourriez avoir besoin de leur imposer des limites. Parlez Ă  ces personnes de telle sorte qu'elles comprennent en quoi leurs commentaires sont stĂ©riles et blessants. Si, par exemple, votre patron critique constamment votre travail, vous pourriez lui dire J'ai l'impression de ne pas ĂȘtre soutenu suffisamment dans ce que je fais. Je veux faire du bon travail, mais j'ai l'impression qu'il est difficile de vous satisfaire. Essayons de trouver une solution qui puisse nous convenir Ă  tous les deux ». PublicitĂ© Conseils La procĂ©dure d'acceptation de soi-mĂȘme peut prendre un certain temps. AprĂšs tout, vous devez apprendre Ă  revoir votre façon de vous parler. Faites preuve de patience avec vous-mĂȘme. Le temps est prĂ©cieux. Donnez de la valeur Ă  chaque jour en faisant preuve d'une patience et d'une compassion infinies pour vous-mĂȘme. Tenez compte de ce que les autres disent de vous. Essayez de vous amĂ©liorer en consĂ©quence, mais ne vous changez pas complĂštement. Il n'y a pas au monde deux personnes comme vous. PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 9 326 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
3JruZ.
  • nlwkr94ath.pages.dev/102
  • nlwkr94ath.pages.dev/458
  • nlwkr94ath.pages.dev/133
  • nlwkr94ath.pages.dev/304
  • nlwkr94ath.pages.dev/499
  • nlwkr94ath.pages.dev/274
  • nlwkr94ath.pages.dev/164
  • nlwkr94ath.pages.dev/464
  • s accepter tel que l on est